Non souvent rien de plaisant hormis parfois une jolie femme au décolleté engageant, le sourire ravageur, le regard qui capte ou bien au cul de déesse qui illumine votre journée qui s’annonce ou qui fût maussade et chiante comme la mort.
Non je ne suis pas un pervers lubrique qui profitant de la promiscuité aime tripoter, sans vergogne, les passagères.

Mais je reste gentlemen.

Jusqu’à ce jour, où je prenais à cette époque le métro ligne 6 pour me rendre à la station Sèvres Lecourbe, cette fille est montée dans la rame. Le wagon étant quasiment plein, elle se positionne devant moi et lit son livre.
Je la regarde de temps en temps, ne pouvant pas faire autrement, elle est à moins d’un mètre devant moi. Excuse pathétique je sais !
Jolie fille, cheveux châtains, yeux marrons noisettes et à peine la trentaine à vue d’œil.
A la station suivante ça se corse, L’espace se réduit et tout en se rapprochant de moi, elle me tourne le dos. On est là, à peine 20 centimètres nous sépare..
Puis à cause des mouvements du métro son cul vient se coller à mon entre-jambe.
Etant collé à la porte je ne peux pas reculer et si je me dégage sur le côté j’ai peur qu’elle prenne ça pour un frottement. Alors je ne bouge plus, presque gêné par la situation.
Elle non plus ne bouge pas, elle ne semble même pas se rendre compte sur quoi elle appuie ses fesses.
Suis-je invisible à ce point-là ?
Très rapidement cette question va être balayé. Je commence à sentir ses fesses bougées.
On aurait dit qu’elle essayé de me branler avec son cul …et elle le faisait très bien.
J’étais de plus en plus gêné et j’aurais pu rougir si le sang ne s’accumulait pas dans mon entre jambes.
Oui je bandais comme un fou, son parfum semblait avoir un côté apaisant sur moi, je m’aventure à reprocher mon nez de son cou afin d’en sentir davantage. Qu’est ce que j’aurais aimé sentir le parfum de son cul et de son sexe à ce moment précis !
C’est là que dans la porte vitrée d’en face, nos regards se croise enfin, on se fixe du regard, le métro s’arrête, un léger sourire s’esquisse de son visage et elle s’en va me laissant désemparé et une trique magistrale.

Les questions se bousculent dans ma tête ! Mais qu’est ce qu’elle m’a fait là cette garce ?
Qu’est ce que je fais je là ? Je la suis ?
Je commence à fantasmer comme jamais, me voyant la rattraper, la prendre par le bras et l’emmené dans un endroit isolé, la plaquer face contre le mur, je lui baisserai son leggin, lui empoignerai ses deux fesses afin de les écarter pour y glisser ma queue turgescente et lui glisser à l’oreille « Tu vas finir ce que tu as commencé ! » tout en écrasant ma queue contre son cul….
Ouh là je m'égare ! Pour finir en prison après non.
Et puis les portes se referment, je la vois marcher sur le quai et me sourire au moment où je passe à côté d’elle dans le métro. Dur retour à la réalité
Je ne l’ai jamais revue dans la rame, ni ailleurs d’ailleurs !
Je pense avoir fais le bon choix en ne la suivant pas, même si parfois j’en doute fortement. Elle m’a allumé et bien comme il faut, mais une allumeuse ne va jamais jusqu’au bout.
Et vous qu’auriez-vous fait ?