Chère cousine à la campagne...
Chère cousine à la campagne...
Lorsque j'appris que je devrais croiser à nouveau à l'occasion d'un mariage Clara la cousine que j'avais violemment saillie dans l'épisode précédent de mes formidables aventures, je ne savais pas si je devais m'en réjouir à titre familial ou craindre que la jeune écervelée ne se livre à des allusions tellement fines à notre rencontre, que seule l'arrière grand-mère de 94 ans sourde et aveugle l'aurait ignorée à l'issue du banquet.
En m'habillant comme un coq de province, seul devant le miroir, je préparais déjà des justifications aux allégations de la jeune étudiante pour ma compagne, qui aurait modérément goûté ce scandale champêtre. J'avais le sentiment d'aller à l'abattoir, sentiment mêlé d'excitation à l'idée de ma frotter au corps dodu et sensuel de la gamine.
Durant la messe interminable, je croisais son regard et elle m'adressa un sourire innocent. Au vin d'honneur, nous échangeâmes quelques banalités. Je compris rapidement que Clara n'avait pas l'intention d'étaler nos frasques en famille. Je me relaxai rapidement, finalement décidé à jouir de la fête dans cette belle ferme aménagée en lieu de réception. Détendu, je me jetai sur la bouteille de whisky destinée aux alcooliques, les gens bien-élevés se cantonnant à un kir insipide.
C'est donc plutôt gai que je m'attablai pour un colossal dîner, bientôt rejoint par ma compagne à ma gauche et... Clara, toute en seins, à ma droite.
Elle portait une jupe droite qui lui descendait sous le genou et lui faisait un adorable popotin de crémière. Son chemisier, tel la force de frappe nucléaire, menaçait d'exploser à tout instant sous la pression intense de ses voluptueux seins blancs compressés par une incroyable dentelle bordeaux. Et surtout, comble du raffinement pour le fétichiste refoulé que je suis, elle avait gainé ses jambes d'envoutants bas blancs, légèrement transparents.
Considérant la jeune femme d'un air que je pensais discret, mais qui, l'alcool aidant, devait être plutôt appuyé, je sentis mon pauvre slip devenir rapidement trop étroit au regard du développement incongru des organes qu'il s'efforçait de contenir.
Mes coups d'oeil à la nymphette n'avaient pas échappé à un obscur cousin assis en face de nous, lui aussi passablement imbibé, qui crut bon de d'aboyer en direction de ma compagne : "Hé! Sylvie! Méfie-toi! Y a la Clara qui cherche un mari!" et de finir dans un rire gras qui fut repris par ses plus fidèles admirateurs.
Sylvie, répondit par un sourire magnanime à l'attention du gugusse et m'adressa un regard qui équivalait à une condamnation à une mort prochaine et douloureuse au cas où je laisserais dévier mes centres d'intérêt vers la droite.
Je me résignai donc à essayer d'échanger avec les autres convives, mais mes connaissances sur les problèmes de l'élevage bovin et mon intérêt pour les Volkswagen Golf tunnées étant fort limité, seule la conversation cultivée et primesautière de Clara parvint à retenir mon attention.
Nous étions, sans espoir, en train de tenter de convaincre nos voisins qu'il existe des films de cinéma sans Vin Diesel qui peuvent être regardés, lorsque Clara me dit à l'oreille : "J'ai encore envie que tu me baises." Elle saisit ma main et la posa sur sa cuisse. Elle avait remonté sa jupe, je touchai le haut de ses bas. Je bandai comme jamais. Je jetai un regard de détresse à ma gauche, Sylvie était sortie, je respirai...
Je n'eus que le temps de lui répondre : "Moi aussi... Quand on dansera..." Sylvie se rassit près de moi. Je ne pensai plus qu'au moment où je pourrais être seul avec Clara...
En m'habillant comme un coq de province, seul devant le miroir, je préparais déjà des justifications aux allégations de la jeune étudiante pour ma compagne, qui aurait modérément goûté ce scandale champêtre. J'avais le sentiment d'aller à l'abattoir, sentiment mêlé d'excitation à l'idée de ma frotter au corps dodu et sensuel de la gamine.
Durant la messe interminable, je croisais son regard et elle m'adressa un sourire innocent. Au vin d'honneur, nous échangeâmes quelques banalités. Je compris rapidement que Clara n'avait pas l'intention d'étaler nos frasques en famille. Je me relaxai rapidement, finalement décidé à jouir de la fête dans cette belle ferme aménagée en lieu de réception. Détendu, je me jetai sur la bouteille de whisky destinée aux alcooliques, les gens bien-élevés se cantonnant à un kir insipide.
C'est donc plutôt gai que je m'attablai pour un colossal dîner, bientôt rejoint par ma compagne à ma gauche et... Clara, toute en seins, à ma droite.
Elle portait une jupe droite qui lui descendait sous le genou et lui faisait un adorable popotin de crémière. Son chemisier, tel la force de frappe nucléaire, menaçait d'exploser à tout instant sous la pression intense de ses voluptueux seins blancs compressés par une incroyable dentelle bordeaux. Et surtout, comble du raffinement pour le fétichiste refoulé que je suis, elle avait gainé ses jambes d'envoutants bas blancs, légèrement transparents.
Considérant la jeune femme d'un air que je pensais discret, mais qui, l'alcool aidant, devait être plutôt appuyé, je sentis mon pauvre slip devenir rapidement trop étroit au regard du développement incongru des organes qu'il s'efforçait de contenir.
Mes coups d'oeil à la nymphette n'avaient pas échappé à un obscur cousin assis en face de nous, lui aussi passablement imbibé, qui crut bon de d'aboyer en direction de ma compagne : "Hé! Sylvie! Méfie-toi! Y a la Clara qui cherche un mari!" et de finir dans un rire gras qui fut repris par ses plus fidèles admirateurs.
Sylvie, répondit par un sourire magnanime à l'attention du gugusse et m'adressa un regard qui équivalait à une condamnation à une mort prochaine et douloureuse au cas où je laisserais dévier mes centres d'intérêt vers la droite.
Je me résignai donc à essayer d'échanger avec les autres convives, mais mes connaissances sur les problèmes de l'élevage bovin et mon intérêt pour les Volkswagen Golf tunnées étant fort limité, seule la conversation cultivée et primesautière de Clara parvint à retenir mon attention.
Nous étions, sans espoir, en train de tenter de convaincre nos voisins qu'il existe des films de cinéma sans Vin Diesel qui peuvent être regardés, lorsque Clara me dit à l'oreille : "J'ai encore envie que tu me baises." Elle saisit ma main et la posa sur sa cuisse. Elle avait remonté sa jupe, je touchai le haut de ses bas. Je bandai comme jamais. Je jetai un regard de détresse à ma gauche, Sylvie était sortie, je respirai...
Je n'eus que le temps de lui répondre : "Moi aussi... Quand on dansera..." Sylvie se rassit près de moi. Je ne pensai plus qu'au moment où je pourrais être seul avec Clara...
Re: Chère cousine à la campagne...
Ce fut long, mais un affreux DJ droit sorti des années 80 mit en marche son immonde techno pourrie et on commença enfin à évoluer sur la piste. Sylvie savait que je ne consentais à danser que sur quelques tubes de coldwave, aucun risque qu'elle me cherche pendant le massacre musical en cours. Je filai donc derrière la salle où dans le bruit étouffé du bal, Clara fumait une cigarette en bavardant avec... Anne. Anne était une amie de sa mère. La cinquantaine svelte, un joli regard pétillant de malice. Une jupe plutôt courte et très bien portée. Hélas, pas de bas. pas même un collant : une misère. Anne était plutôt agréable à regarder, mais j'avais une furieuse envie de me trouver seul avec ma belle monture.
La conversation des femmes, à laquelle je m'intégrais peu à peu, portait sur les hommes et leurs capacités viriles. L'alcool avait désinhibé les deux femmes qui gloussaient en évoquant diverses prestations de ces messieurs qui auraient fait rougir un bataillon de sapeurs du Génie. Anne, passant sa main dans ses cheveux, poussa un long soupir et avoua sans pudeur : "Putain, ça fait longtemps, tu peux pas savoir comme j'en ai besoin...".
Clara fut prise d'un fou rire. Pour l'étouffer, elle se blottit contre moi. Mais ses mains prirent ma taille et son rire s'écrasa sur ma bouche où sa langue entra mettre le bordel. Elle me roula un patin d'anthologie en regardant du coin de l'oeil Anne qui était très attentive à cette démonstration d'amitié.
Très excité, je pelotais fiévreusement les énormes seins de Clara, je caressai ses fesses : je l'aurais prise contre le mur si Anne n'avait pas été présente.
"Ca te gène si Anne vient avec nous ?"
"Juste pour regarder ou...?"
Elle gloussa.
Elle se détacha de moi et prit Anne par la main. Je suivis les filles dans une remise. On ferma la porte à clef. Un rai de lumière me suffit pour voir les deux femmes s'assoir sur des tas de bâches qui formaient comme un matelas. Elles se chuchotaient des mots tendres en me regardant m'agacer dans l'obscurité. J'entendis des tissus se froisser, des respirations fortes.
"Tu vas voir, il va bien te baiser..."
"Mmmmm" fit Anne, d'un air gourmand.
Anne avait ouvert son chemisier et dégraffé son soutien-gorge. Elle avait des seins menus et superbement dessinés. Ses tétons étaient fins et roses. Dressés. Clara les suçait délicatement. A genoux devant elles, j'enlevai les escarpins d'Anne et caressai ses belles jambes. Je lui remontai sa jupe et baisai l'intérieur de ses cuisses. Anne portait une fine culotte blanche que je lui retirai avec l'aide de Clara. Sa chatte n'était pas rasée. Je caressai son pubis, écartai aussi délicatement que possible les lèvres de son sexe. Je humai le parfum de son intimité, je la léchai. Elle soufflait fortement quand ma langue fouilla sa vulve qui s'inondait. Elle prit ma tête entre ses mains alors que je jouais avec son clitoris proéminent. Clara lui massait doucement les seins en l'embrassant. Lorsque le bout de ma langue appuya à un endroit précis de son clito, elle eut comme un choc. Elle appuya brusquement mon visage contre sa vulve, je titillai l'endroit indiqué avec la langue. Elle cria Ho! Et jouit brutalement.
La pression de ses cuisses et de ses mains se relâcha, je repris mon souffle. Clara caressait le pubis poilu d'Anne.
"Enlève ta jupe !" ordonnai-je à l'étudiante lubrique.
Obéissante, elle retira sa jupe, sa culotte et tout le haut. Elle était en bas et porte-jarretelles devant moi. Je pris son gros sein et le pressai fortement.
J'ouvris ma braguette et sortis ma verge tendue, courbée vers le ciel.
"Suce moi !"
Elle semblait apprécier ce ton dominateur. Elle s'agenouilla et me prit aussitôt en bouche. Elle manqua de me faire jouir dés les premières secondes. Anne, encore sous l'emprise de son orgasme, se caressait en nous regardant. Clara savait me lécher, du gland jusqu'aux couilles en me branlant fermement. Mon membre prenait des proportions inouïes.
La conversation des femmes, à laquelle je m'intégrais peu à peu, portait sur les hommes et leurs capacités viriles. L'alcool avait désinhibé les deux femmes qui gloussaient en évoquant diverses prestations de ces messieurs qui auraient fait rougir un bataillon de sapeurs du Génie. Anne, passant sa main dans ses cheveux, poussa un long soupir et avoua sans pudeur : "Putain, ça fait longtemps, tu peux pas savoir comme j'en ai besoin...".
Clara fut prise d'un fou rire. Pour l'étouffer, elle se blottit contre moi. Mais ses mains prirent ma taille et son rire s'écrasa sur ma bouche où sa langue entra mettre le bordel. Elle me roula un patin d'anthologie en regardant du coin de l'oeil Anne qui était très attentive à cette démonstration d'amitié.
Très excité, je pelotais fiévreusement les énormes seins de Clara, je caressai ses fesses : je l'aurais prise contre le mur si Anne n'avait pas été présente.
"Ca te gène si Anne vient avec nous ?"
"Juste pour regarder ou...?"
Elle gloussa.
Elle se détacha de moi et prit Anne par la main. Je suivis les filles dans une remise. On ferma la porte à clef. Un rai de lumière me suffit pour voir les deux femmes s'assoir sur des tas de bâches qui formaient comme un matelas. Elles se chuchotaient des mots tendres en me regardant m'agacer dans l'obscurité. J'entendis des tissus se froisser, des respirations fortes.
"Tu vas voir, il va bien te baiser..."
"Mmmmm" fit Anne, d'un air gourmand.
Anne avait ouvert son chemisier et dégraffé son soutien-gorge. Elle avait des seins menus et superbement dessinés. Ses tétons étaient fins et roses. Dressés. Clara les suçait délicatement. A genoux devant elles, j'enlevai les escarpins d'Anne et caressai ses belles jambes. Je lui remontai sa jupe et baisai l'intérieur de ses cuisses. Anne portait une fine culotte blanche que je lui retirai avec l'aide de Clara. Sa chatte n'était pas rasée. Je caressai son pubis, écartai aussi délicatement que possible les lèvres de son sexe. Je humai le parfum de son intimité, je la léchai. Elle soufflait fortement quand ma langue fouilla sa vulve qui s'inondait. Elle prit ma tête entre ses mains alors que je jouais avec son clitoris proéminent. Clara lui massait doucement les seins en l'embrassant. Lorsque le bout de ma langue appuya à un endroit précis de son clito, elle eut comme un choc. Elle appuya brusquement mon visage contre sa vulve, je titillai l'endroit indiqué avec la langue. Elle cria Ho! Et jouit brutalement.
La pression de ses cuisses et de ses mains se relâcha, je repris mon souffle. Clara caressait le pubis poilu d'Anne.
"Enlève ta jupe !" ordonnai-je à l'étudiante lubrique.
Obéissante, elle retira sa jupe, sa culotte et tout le haut. Elle était en bas et porte-jarretelles devant moi. Je pris son gros sein et le pressai fortement.
J'ouvris ma braguette et sortis ma verge tendue, courbée vers le ciel.
"Suce moi !"
Elle semblait apprécier ce ton dominateur. Elle s'agenouilla et me prit aussitôt en bouche. Elle manqua de me faire jouir dés les premières secondes. Anne, encore sous l'emprise de son orgasme, se caressait en nous regardant. Clara savait me lécher, du gland jusqu'aux couilles en me branlant fermement. Mon membre prenait des proportions inouïes.
Re: Chère cousine à la campagne...
Je prenais grand plaisir à regarder Clara, ses magnifiques seins nus, me sucer avec application. J'en prenais un autre tout aussi fort à reluquer Anne dont les caresses se faisaient de plus en plus précises entre ses cuisses largement écartées.
"Viens sucer toi aussi."
Elle me regarda, cessa de se toucher, puis docilement bondit à mes genoux.
Clara lui présenta ma queue et la guida dans sa bouche.
"Suce salope!" Et je lui pris la tête pour bien engager ma verge entière dans sa bouche. Je vis Anne chercher sa respiration, ses yeux s'embuèrent de larmes. Clara sourit. Je relâchai la pression et la laissai improviser sur mon instrument. Clara me léchait. Le membre, les testicules. Anne suçait. Je me croyais dans un film porno. Rocco Siffredi dans la Nièvre.
Je dis à Clara : "Mets toi à quatre pattes."
Je la vis s'installer sur le lit improvisé. Je matais son énorme cul rond et blanc et sa somptueuse raie. Ses belles cuisses et ses bas blancs. Je voyais ses mamelles pendre comme celles de la louve. J'écartai Anne et me ruai sur Clara qui, soumise, attendait sa saillie.
Je la pris par le cul sans préliminaire. Elle cria de douleur lorsque mon gland poussa sur son petit trou. Tant pis. Trop tard. Je la bourrai bien férocement de ma verge. Mes testicules claquaient contre son ventre. Elle criait. Elle était ma chose. Je la défoncai. Je ne me reconnaissais pas en bête sauvage. Anne se coucha à ses côté et l'embrassa. Clara grimaçait, mon dard planté dans son derrière. Malgré tout, elle aimait être prise ainsi. Anne prenait les seins de la jeune fille au vol et les pinçait. Elles échangeaient de furtifs baisers.
Clara se crispa, ferma les yeux et cria. L'orgasme, sous les doux encouragements d'Anne, couchée nue contre elle.
Je retirai ma verge du cul de l'étudiante. Anne se coucha sur le dos et écarta ses cuisses. Je me couchai sur elle. Elle avait un regard magnétique. Elle agrippa ma verge et la guida dans son vagin. Ses cuisses se refermèrent sur moi.
Je fus aussi bestial qu'avec Clara qui gisait tout près de nous.
Anne prenait ma bouche pendant que je la baisais comme une chienne. Je lui donnai de vigoureux coups de queue. Son sexe était doux et chaud. J'adorais le contraste avec le derrière bien étroit de Clara. Sentant mes résistances faiblir, je m'agenouillai en tenant les chevilles d'Anne, ses cuisses largement écartées et une vue affolante sur ma bite coulissant entre ses chairs. J'adorai lécher ses pieds fins. Elle jouit en mordant son doigt, dans une attitude douloureuse. Je jouis simultanément. Ce fut extraordinaire d'intensité.
Je m'écroulai sur les toiles amassées. Les deux femmes se blottirent contre moi.
A l'extérieur, j'entendis la voix de Sylvie qui me cherchait. Il fallait déjà se dire adieu.
"Viens sucer toi aussi."
Elle me regarda, cessa de se toucher, puis docilement bondit à mes genoux.
Clara lui présenta ma queue et la guida dans sa bouche.
"Suce salope!" Et je lui pris la tête pour bien engager ma verge entière dans sa bouche. Je vis Anne chercher sa respiration, ses yeux s'embuèrent de larmes. Clara sourit. Je relâchai la pression et la laissai improviser sur mon instrument. Clara me léchait. Le membre, les testicules. Anne suçait. Je me croyais dans un film porno. Rocco Siffredi dans la Nièvre.
Je dis à Clara : "Mets toi à quatre pattes."
Je la vis s'installer sur le lit improvisé. Je matais son énorme cul rond et blanc et sa somptueuse raie. Ses belles cuisses et ses bas blancs. Je voyais ses mamelles pendre comme celles de la louve. J'écartai Anne et me ruai sur Clara qui, soumise, attendait sa saillie.
Je la pris par le cul sans préliminaire. Elle cria de douleur lorsque mon gland poussa sur son petit trou. Tant pis. Trop tard. Je la bourrai bien férocement de ma verge. Mes testicules claquaient contre son ventre. Elle criait. Elle était ma chose. Je la défoncai. Je ne me reconnaissais pas en bête sauvage. Anne se coucha à ses côté et l'embrassa. Clara grimaçait, mon dard planté dans son derrière. Malgré tout, elle aimait être prise ainsi. Anne prenait les seins de la jeune fille au vol et les pinçait. Elles échangeaient de furtifs baisers.
Clara se crispa, ferma les yeux et cria. L'orgasme, sous les doux encouragements d'Anne, couchée nue contre elle.
Je retirai ma verge du cul de l'étudiante. Anne se coucha sur le dos et écarta ses cuisses. Je me couchai sur elle. Elle avait un regard magnétique. Elle agrippa ma verge et la guida dans son vagin. Ses cuisses se refermèrent sur moi.
Je fus aussi bestial qu'avec Clara qui gisait tout près de nous.
Anne prenait ma bouche pendant que je la baisais comme une chienne. Je lui donnai de vigoureux coups de queue. Son sexe était doux et chaud. J'adorais le contraste avec le derrière bien étroit de Clara. Sentant mes résistances faiblir, je m'agenouillai en tenant les chevilles d'Anne, ses cuisses largement écartées et une vue affolante sur ma bite coulissant entre ses chairs. J'adorai lécher ses pieds fins. Elle jouit en mordant son doigt, dans une attitude douloureuse. Je jouis simultanément. Ce fut extraordinaire d'intensité.
Je m'écroulai sur les toiles amassées. Les deux femmes se blottirent contre moi.
A l'extérieur, j'entendis la voix de Sylvie qui me cherchait. Il fallait déjà se dire adieu.
Re: Chère cousine à la campagne...
Je ne vise pas le Goncourt, mais un petit mot pour me dire ce que vous en pensez, en bien ou en mal, serait vraiment bienvenu. 

Re: Chère cousine à la campagne...
Excellent, dans la façon de raconter, sur l'histoire aussi
J'avoue avoir eu une certaine raideur à la lecture

J'avoue avoir eu une certaine raideur à la lecture

Re: Chère cousine à la campagne...
C'est la première fois que je fais bander un garçon...Jeanjean a écrit :Excellent, dans la façon de raconter, sur l'histoire aussi![]()
J'avoue avoir eu une certaine raideur à la lecture
Re: Chère cousine à la campagne...
Ripolino a écrit : C'est la première fois que je fais bander un garçon...

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Re: Chère cousine à la campagne...
Ripo, arrête de gagner du temps, et ponds nous une suite 

Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Chère cousine à la campagne...
Jak67 a écrit :Commence aussi bien, que l'épisode précédent à fini
Comme tu as l'air de l'avoir zappé.
Re: Chère cousine à la campagne...
Bikette a écrit :Ripo, arrête de gagner du temps, et ponds nous une suite
t'es la bosse, alors fait ce qui faut.

Re: Chère cousine à la campagne...
Ripolino a écrit :Moi aussi j'ai la bosse.
pas de l'écriture pour l'instant.
Re: Chère cousine à la campagne...
J'ai aussi un métier qui me paie grassement.
Z'avez qu'à m'envoyer des dons, j'arréterais de bosser...
Z'avez qu'à m'envoyer des dons, j'arréterais de bosser...
Re: Chère cousine à la campagne...
Point de Goncourt, point de dons, mais un petit compliment, ça oui 
Certaines phrases m'ont particulièrement excitée, mais je les garde pour moi.

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Re: Chère cousine à la campagne...
Ripo ?? 

Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Chère cousine à la campagne...
Bah, y a pas une tite suite ? 

Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Chère cousine à la campagne...
Comme si j'étais méchante 

Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Chère cousine à la campagne...
Action très coulante et appréciée. Tu promets et il faudra continuer.
Et s'est la première fois qu'un de tes récits fait bander un mec? je crois pas. car par ici aussi cela réagit.
mais se serait encore plus plaisant si.............
Continues tout simplement.
T'embrasse tendrement.
Et s'est la première fois qu'un de tes récits fait bander un mec? je crois pas. car par ici aussi cela réagit.
mais se serait encore plus plaisant si.............
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Re: Chère cousine à la campagne...
Ah ben oui, ça fait un ptit moment déjà 

Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Chère cousine à la campagne...
Efficace, chaud et une envie enorme de participer.
Continue dans ce sens et j'appelle au secour.
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Re: Chère cousine à la campagne...
Bien, la suite maintenant hein



Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Chère cousine à la campagne...
Je verrais bien Sylvie coucher avec l'arrière cousine du cousin du vieil oncle 

Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Chère cousine à la campagne...
Des filles entre elles... Pas mal...Bikette a écrit :Je verrais bien Sylvie coucher avec l'arrière cousine du cousin du vieil oncle
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Re: Chère cousine à la campagne...
Alors hop, au boulot !
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Re: Chère cousine à la campagne...
J'ai lu 

Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.