Secret de famille

Des récits qui ne manqueront pas de réveiller vos sens et votre imagination...
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DeLsEp9

Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Secret de famille
( suite de Si belles, si sœurs)



Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées

Propos de Suzanne
Propos de Charlotte
Propos de Lucie
Propos de Louise


1)


Elle remonte à bord s’installe confortablement, pose sa main sur ma cuisse, me regarde.

On y va ?

Je démarre en douceur, et nous prenons la route pour aller chez belle maman il est 11h10.

Ouf on est presque dans les délais.


Je roule, tranquillement, il me faut 45 minutes en roulant normalement pour me rendre à destination. En roulant, j’explique à ma puce ce que j’ai dit à sa sœur.

Si l’année prochaine, tu as une note sous la moyenne, tu retourne chez maman, ou Sabine et moi on te met en pension.

Elle sourit.

Tu ne le ferais pas. De toute façon cela n’arrivera pas. Je te l’ai promis, je l’ai promis à l’homme que j’aime, et qui m’aime. Avec qui je veux partager ma vie.

Il n’y a pas grand monde sur la route. Tout en roulant, je pose ma main sur sa cuisse, mes doigts fonds de petit mouvement circulaires.

Elle se penche, pose sa tête sur mon épaule.


Arrête, je mouille.

Vraiment ?

Je passe ma main sous sa jupe, je remonte doucement, elle soulève légèrement ses fesses pour laisser plus de place à ma main.

Quand elle est revenu après avoir fermé le portail, j’aurais put me servir de la télécommande, mais le plaisir de la voir fermer la porte de notre nid d’amour, a était pour moi important, comme s’i y avait une symbolique derrière ceci.

Une symbolique peut être bête, mais qui me réconforte et me fait plaisir.

Je souris intérieurement, quand elle s’est assise, j’ai remarqué qu’elle ne porte pas de culotte la coquine. Je l’adore, elle est d’un naturel, qui me fait chaud au cœur. Dommage que l’on n’est pas le temps, un voyage chaud brulant en perspective ne me déplairait pas.


Sa jupe remonte sur son pubis, elle se retrouve les fesses nues sur le siège en cuir. Mes doigts, tout en pianotant sur l’intérieur de sa cuisse, arrive à son entre jambe. Je sens effectivement ses poils pubiens humides. Un de mes doigts commence à caresser son clitoris.
En même temps je la voie ouvrir son sac, et elle me montre sa petite culotte. Elle commence à gémir. J’arrête.

Elle me regarde, les yeux compétemment énamourés, se tord les doigts. Elle pose sa tête sur mon épaule.


T’es un chameau, tu m’allumes comme pas possible, et tu me plantes là au milieu de mes envies, a croire que tu aime que je sois frustrée.

Ma petite puce, mon petit cœur, je savais que tu n’avais pas mis de sous vêtements.

Tu m’as dit apprends moi. Je commence maintenant. A partir de cet instant ton apprentissage débute.

Ton apprentissage de femme, ton apprentissage, d’amante, ton apprentissage de maîtresse débute maintenant.

Tout ne sera que leçons pour que tu le deviennes. Pour que tu deviennes une femme à part entière, la plus merveilleuse des maitresses, l’amante dont tout homme rêve.

Mais aussi pour que tu deviennes, que tu sois la plus exigeante des femmes, des maitresses, des amantes. Il n’est pas question de sens unique.

Certaines choses te choqueront peut être, ne t’inquiètes pas. Si tu ne te sens pas prête, dis le moi.

Il est hors de question que je te mette dans les bras d’un autre. Je ne te le demanderais pas.

Ton apprentissage de femme se fera crescendo. Tant que j’estimerais que tu n’es pas prête nous n’irons pas plus loin. Nous recommencerons tant que ce ne sera pas assimilé en toi.


Je me gare sur un petit parking au bord de la route.

Je désire ton accord, entier à ce que je viens de te dire.

Elle me regarde, nullement effrayée par la teneur de mes propos. Ses mains prennent les miennes et les serrent. Elle se penche m’embrasse délicatement, se recule, ses grands yeux verts, me regardent tendrement.

Je t’aime, tu m’aimes, je te suivrais jusqu’en enfer si tu me le demandais.

Oui je suis d’accord avec ce que tu viens de me dire. Oui je sais que tu seras intraitable. Oui j’ai toute confiance quoique tu me demande.



Je tiens à te préciser un point important.

Si un homme, te fais envie, si ton désir t’appelle dans d’autres bras, si tu le veux, si tu en as envie. Tu le peux.

Si le désir se fait sentir, te tenaille le ventre, que tu en meures d’envie, tu le peux, même tu dois le faire.

Je ne suis pas jaloux. Je ne te poserais jamais de question à ce sujet.

Je te demande, simplement la vérité, comme le fais ta sœur, comme je le fais avec elle.

Je sens, je ressens au fond de moi, tout comme elle, quand nous avons était à côté. Il n’y a aucune jalousie, aucune rancœur. Simplement une vérité que nous nous sommes promis de nous dire si l’autre le demande.

A ce jour, aucun ne l’a demandé à l’autre. Sachant quand même qu’elle ou moi, parfois allons goûter d’autres personnes. Cela met du piment dans notre relation amoureuse de couple, réveille notre relation d’homme et de femme, d’amant et de maitresse.

Je dois t’avouer que si elle me le demandait maintenant je ne saurais quoi lui répondre de peur de lui faire mal, si mal.


Elle a posé sa main sur ma cuisse, et consciemment ou non serre ma cuisse. Elle me regarde ébahis de ce que je viens de lui dire.

Vous allez tous les deux à côtés, et vous savez que l’autre le fait. D’un commun accord. Mais c’est destructeur. Moi qui pensait que vous étiez si amoureux l’un de l’autre, si fidèle l’un à l’autre.

Justement ma chérie, nous sommes amoureux l’un de l’autre, comme peux de personnes peuvent l’être, autant je pense que je le suis de toi.

Pour qu’un couple tienne il faut une confiance totale dans l’autre. Je reconnais qu’en ce moment j’ai l’impression de trahir ta sœur. L’avenir nous le dira.

Pour ta sœur et moi, un couple ne se ramène pas qu’à une fidélité sexuelle, un couple est une osmose. Pour que l’osmose dure, il faut de temps à autres, ramener un élément extérieur pour mieux fusionner, mieux la souder.

Je ne te considère pas comme un élément extérieur, oh non, loin de moi cette idée. Je ne sais pas ce que cela donnera, où cela nous amènera, mais je t’aime, et j’ai peur.


Je la regarde tendrement, elle a l’air surprise, désappointer. Je dépose un léger baiser sur ses lèvres. Elle me prend dans ses bras, pose sa tête sur mon épaule, ne bouge plus. Je prends ses mains dans les miennes, embrasse délicatement le dos de ses mains, puis les retournant, j’embrasse avec de petits baisers humides ses paumes de mains en remontant vers ses poignets.

Elle frissonne, me regarde.


Je t’aime, me dire tout cela, m’avouer tout, est la plus grande preuve d’amour que tu pouvais me donner. Je n’en avais pas besoin. Je le sais, mon cœur sait que tu m’aimes.

Je me penche et embrasse ses cuisses, au ras de sa jupe qui est remonté bien haut. Les effluves, ses effluvent glissent sournoisement sous sa jupe, et viennent me chatouiller le nez. Comme pour venir me remémorer que sa petite chatte est là. Qu’elle se rappelle à mon bon souvenir. L’air de dire, moi aussi j’ai envie que tu me baise aussi tendrement. Je sens ma verge grossir dans mon boxer.

Ma main caresse l’intérieur de ses cuisses, remonte vers sa vulve que je devine dégoulinant de cyprine. Je la voie s’appuyer contre le dossier de son siège de voiture, elle a les yeux fermés. Ses cuisses s’écartent ma main glisse vers son pubis, tout en caressant lentement l’intérieur de ses cuisses. Mes doigts glissent vers sa toison pubienne, elle est humide. Un de mes doigts se glisse entre ses grandes lèvres, et caresse ses petites lèvres qui doivent être gorgées de sang. Ses mains descendent, et emprisonne ma main. Elle se penche.



Cette fois ci tu ne me laisseras pas en plan dans mes frustrations. Faits moi jouir s’il te plait, je t’en prie.
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Re: Secret de famille

Message par Invité »

:cinglé: sa promet

encore encore encore
Biquette
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Re: Secret de famille

Message par Biquette »

:tombe:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Bikette a écrit : :tombe:

Histoire de troubler la bikette encore bien plus..................
Dernière modification par DeLsEp9 le 11 juillet 2011, 19:49, modifié 1 fois.
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Propos de Sabine ma femme
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Propos de Louise

2)


Ma main caresse l’intérieur de ses cuisses, remonte vers sa vulve que je devine dégoulinant de cyprine. Je la voie s’appuyer contre le dossier de son siège de voiture, elle a les yeux fermés. Ses cuisses s’écartent ma main glisse vers son pubis, tout en caressant lentement l’intérieur de ses cuisses. Mes doigts glissent vers sa toison pubienne, elle est humide. Un de mes doigts se glisse entre ses grandes lèvres, et caresse ses petites lèvres qui doivent être gorgées de sang. Ses mains descendent, et emprisonne ma main. Elle se penche.


Cette fois ci tu ne me laisseras pas en plan dans mes frustrations. Faits moi jouir s’il te plait, je t’en prie.

-/-


Je te crée des envies, je veux que tu ressentes ton corps, tout ton corps. Il faut que tu apprennes à dominer tes envies, les maitriser.

En même temps que je lui parle je continue de la caresser. Je sens ses mains qui desserrent leur étreinte. Ses doigts effleurent mes avants bras, comme pour les caresser. Sa main se pose sur mon jeans, à l’emplacement de cette bosse si visible. Elle commence à me masser doucement de la paume de sa main.

Mes doigts on trouver son petit bouton qui est énorme, il dépasse des grandes lèvres comme s’il avait peur que je l’oublie, que je ne pense pas à m’occuper de lui. Mon index s’immisce dans sa vulve, pendant que mon pouce joue avec son clito. J’accélère le mouvement, je martyrise, maltraite son clito comme elle aime à se faire. Je suis limite violent, sans être brusque dans mes caresses.


J’ai envie de la faire jouir rapidement, violement. Il faut qu’elle comprenne qu’un homme, peut faire d’elle ce qu’il veut.

Et cela elle doit le maitriser, ne pas être un jouet entre les mains d’un homme. Elle doit assumer sa sexualité, assumer ses envies, assumer ses désirs.

Je suis une ordure, mais bon sang, elle me rend dingue. Qu’est ce que j’aime quand elle s’abandonne, qu’elle s’abandonne au plaisir de mes mains. A mon plaisir tout simplement.

De la voir comme cela, abandonnée sous mes doigts, j’ai autant, si ce n’est plus de plaisir qu’elle. Je suis à la limite de la jouissance, rien que de sentir, au travers de mon jeans, sa main posée sur mon sexe.


Je voie ses jambes qui commencent à se tendre. Un son sort de sa gorge. Il me rappel le feulement de ce matin. Tout son corps se crispe, se tétanise. Heureusement que nous sommes seul sur le parking, le cri qui sort de sa gorge, de ses poumons me fait sursauter.
J’ai l’impression vue sa violence et sa brièveté, que c’est plus un cri de rage, qu’un cri de jouissance. Je sens sa mouille s’écouler abondante. Sa main qui est posée sur moi, serre mon sexe. Heureusement qu’il y a mon jeans, elle m’aurait broyé.

Elle cherche sa respiration, je me penche, l’embrasse doucement, m’écarte et souffle doucement sur ses lèvres. Elle ouvre les yeux. Ils me sourient.



Tu es horrible, j’ai l’impression de n’être que plaisir dans tes mains, dés qu’elles se posent sur moi, mon corps s’abandonne, je n’arrive pas à me contrôler, à le contrôler, je n’ai plus aucune volonté. Mon corps n’attend qu’une chose. Le plaisir qu’il sait, que par toi il aura, que tu vas lui donner.

Je te hais et je t’aime pour tout ce que tu me fais. Mais mon dieu que j’adore ces sensations, cette jouissance qui explose en moi, au moment où tu le décide, au moment où tu le veux.
Je ne suis que jouissance, qu’envie, que désir, que plaisir au bout de tes doigts.


Je souris.

Mais qu’est ce que je suis heureux, heureux de cette tendresse, de cette complicité qui nous unie, de cette amour qui nous tiens corps et âme.

Elle n’a aucun complexe, aucune pudeur dans se mots. Elle dit les choses comme elle le pense, comme elle le ressent.


Tu dois donner, créés les envies chez l’autre. Les rendre fou de désirs.

Tu ne dois jamais les subir, te laisser aller, ni dans leurs bras, ni autrement.

Les envies, le désir que les autres voudraient que tu ressentes, ne doivent pas t’affecter. Tu dois maitriser tes émotions, maitriser ton corps. Plus simplement te maitriser

Lui laisser croire qu’il dirige, mais à aucun moment tu ne lâche le contrôle de ton corps. Il ne doit pas faire ce qu’il veut de toi. Le croire oui, le faire non.


Pourquoi ces propos. Je suis avec toi. Il n’est pas question de quelqu’un d’autre. Pas question qu’un autre homme me touche.

J’image mes propos, cela s’applique à tout.

Quand tu seras apprentis, tu dois faire croire à tes clientes, qu’elles sont les plus belles. Leurs laisser croire que tu es toute ouïe à leurs envies, leurs soucis, leurs désirs.
Pour mieux arriver à tes fins. Les amenées où toi tu veux.

Pas leur vendre ce qu’elles veulent, et en plus leur vendre ce que tu voudrais leur caser.

Mais qu’elles achètent ce qu’elles veulent, et en sus ce que tu les as amenées à vouloir, à désirer. Qu’elles se disent, cette chose, ce vêtement qu’elle me conseille, il me le faut, il faut que je l’achète, il est fait pour moi, seulement pour moi.

La nuance est énorme.
Si tu vends le client peut ne pas être content.

S’il achète, c’est qu’il le veut, qu’il le décide. Il reviendra, car il est heureux de ses achats.


je la regarde, en souriant, elle est complètement ébaubie. Je sors de la voiture, ouvre le coffre, prend un des draps de bain, ouvre la porte de ma puce.

Mon cœur, ce n’est plus un siège de voiture c’est une piscine. Tu es une vrai gargoulette, une fontaine ambulante.

Elle me regarde, elle est encore dans les propos que je viens de lui tenir.

Tu es démoniaque.

C’est vrai ma foi. Avec Sabine on a était dans un magasin, la vendeuse était arrivé à ce résultat.
Enfin à peut prés à cela. Heureusement que Sabine était là. J’aurais dépensé un an d’argent de poche, sans compter mon mois de salaire pendant les vacances.


Je souris, pour deux raisons. Les propos quelle vient de tenir, Sabine m’en avait parlée.

La deuxième raison qui manque de me faire éclater de rire, c’est sa jupe.

Elle lui sert plus de ceinture, que de jupe. Elle prend la serviette s’essuie. Prends sa culotte dans son sac en sortant de la voiture. Elle s’est placée de manière à ce que je la voie. Pendant que j’essuie le siège, elle la remet sensuellement en me souriant, histoire de me provoquer. Heureusement des arbres nous cachent de la route (c’est pour cela que je me suis arrêté sur ce parking que je connais bien).

Je retourne au coffre, y jette le drap de bain. Il est humide, limite trempé. J’en prends deux autres. Je les pose sur nos sièges respectifs.

Je me réinstalle au volant. La puce va pour s’asseoir. Je la regarde avec un grand sourire, et je tends la main paume ouverte vers le haut, comme si j’attendais quelque chose.

Elle me regarde surprise.


Tu veux quoi, qu’est ce qu’il y a ?

Rends la moi. Donne moi ta culotte ma puce.

Aujourd’hui, tu n’en portes pas. J’aimerais, te savoir nue sous tes vêtements. Te connaissant, tu seras heureuse que je le sache.

Que je t’imagine avec ta petite chatte nue sous ta jupe ou ta robe, toute humide de désir sous mes yeux.

Que tu saches que je m’imagine tes petites lèvres gorgées de sang qui n’attendent que tes doigts ou les miens pour les satisfaire.

Que ton petit bouton en ai tellement envie, caressé par l’air qui se faufile, qu’il apparaisse attendant, impatient de se faire dévorer de caresses, de se faire manger.


Elle souri, ses yeux brillent d’excitation.

Tu es fou, et rien que de t’entendre, j’ai envie que tu me caresses, que tes doigts abusent encore de moi.

Tu es fou et moi aussi je suis folle, aussi folle que toi.

C’est n’importe quoi, mais, bon sang, comme je me connais. Je vais avoir du mal à me tenir si tu me regarde comme tu le fais quand on est seul tous les deux.


Elle m’embrasse tout en enlevant sa culotte. Elle me la tend. Je la prends, la roule, elle est déjà bien humide, je la pose sous mon nez et hume les saveurs captivent dans le tissu. Mes papilles olfactives frémissent des effluves de ma petite puce. Elle souri en me voyant faire. Je La mets dans la poche de ma veste.

Elle se rassoie, et m’embrasse fougueusement.


On est deux grands malades. Tu te rends compte, je vais couler en permanence, et si Sabine ou maman s’en aperçoit.

Justement de savoir, que tu n’as pas de culotte, que tu risques de te faire attraper, tu vas être dans un état indescriptible.

C’est la meilleure façon d’apprendre à dominer tes émotions, tes pulsions. A assumer tes envies, sans que personne ne s’en rende compte.

Se dire qu’à tout moment tu peux faire une erreur. Te faire prendre sur le fait, par ta mère, par ta sœur.

A toi de ne pas te faire prendre. Je sais que tu y arriveras. Tu en es parfaitement capable.


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Re: Secret de famille

Message par Biquette »

Jak67 a écrit :
Histoire de troubler la bikette encore bien plus..................
C'est réussi :niarf: :d
Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Bikette a écrit : C'est réussi :niarf: :d

et attends la suite.
Invité

Re: Secret de famille

Message par Invité »

vivement la suite ouai
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Mel29440 a écrit :vivement la suite ouai


pour un fidèle lecteur,


pi soyons logique pour en rajouter une couche à qui tu sais.
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Propos de Sabine ma femme
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3)


C’est la meilleure façon d’apprendre à dominer tes émotions, tes pulsions. A assumer tes envies, sans que personne ne s’en rende compte.

Se dire qu’à tout moment tu peux faire une erreur. Te faire prendre sur le fait, par ta mère, par ta sœur.

A toi de ne pas te faire prendre. Je sais que tu y arriveras. Tu en es parfaitement capable.


-/-


Cela fait trois ans que tu joues à cache-cache avec moi, je n’avais pour ainsi dire rien remarqué.

Ni ta mère ni ma femme n’ont rien vue venir. Il y a juste ta sœur, mais elle pense que tu flash sur moi comme une ado, peut le faire. Sans conséquences aucune.


Sa main se pose sur ma virilité qui est plus que visible, et me masse doucement. Mon sexe qui était, il y a dix minutes encore, au bord de cracher son plaisir, recommence à se sentir plus qu’à l’étroit dans mon jeans. Elle sent les contractions de mon corps. Elle s’arrête.

Malgré ce que tu viens de m’offrir. Cette jouissance qui a était aussi violente, que fulgurante.

Je n’ai pas oublié ce matin. Ceci n’est qu’un tout, tout petit bout de ma vengeance. Le reste viendra en son temps.

Tu as eut raison, sans le savoir. Le fait de me savoir sans sous vêtements, va te rendre fou, fou de désir, je ferais ce qu’il faut pour.

Moi je sais, que je vais souffrir, qu’il faudra que je me domine, car en ce moment de voir tes yeux qui regardent ma jupe, je coule déjà comme une fontaine.

D’être nue sous ma jupe, devant ta femme, ma sœur, ma mère, va m’obliger à avoir une attention de tous les moments.

J’adore quand tu me provoques, que tu me pousses dans mes derniers retranchements, comme tu le fais en ce moment.

Tu veux me tester, on va voir qui cédera le premier.


Elle me regarde et pose sagement ses mains sur ses genoux. Je démarre, faits demi tour. Elle pose sa tête sur mon épaule, j’apprécie cette complicité, la tendresse du moment, et de la voir calme et détendue, je crois bien qu’elle apprécie aussi ce moment de complicité.

Ce que je t’apprends en ce moment, ce que je t’explique, s’applique pour tout. Pour la vie, pour ton futur travail, pour tes sentiments.

D’une manière différente, mais c’est la même chose, le principe est le même.
Je préfère te réexpliquer mes propos d’avant.

Tu comprendras au fur et à mesure. N’essaie pas d’aller trop vite, laisse faire le temps, je serais là pour toi à tout moment. S’il le faut, on fera des pauses, car cela va être un apprentissage de toutes les heures, de tous les jours.


Facile à dire. Tu me rends folle, folle de désir, dès que tes mains se posent sur moi.

Nous arrivons près du village, elle retire sa tête de mon épaule, cinq minutes plus tard nous arrivons. Il est 12 h 15.

Ma femme nous attend sur le pas de la porte, le petit dans les bras.


Alors comment vont les amoureux dit-elle en riant.

Magalie se précipite, l’embrasse. J’arrive, prend le petit, le tend gentiment à Magalie qui le prend dans les bras. J’embrasse tendrement mon épouse. Elle me prend dans ses bras. Pose sa tête sur mon épaule, se laisse aller dans mes bras.

Tu m’as manqué.
Toi aussi tu m’as manqué.

Je voie Magalie avec notre petit dans les bras qui me regarde, nous regarde.

Aucune émotion dans le regard, aucune jalousie, aucune rancœur. Elle comprend, elle assume la situation.

Elle embrasse le petit et me le tend.


Tu pourrais penser à ton fils dit-elle en riant.

Je prends mon fils dans les bras. M’assied sur les marches de l’escalier. Magalie et Sabine s’approche l’une de l’autre et commence à discuter. J’entends des pas derrière moi.

Ma belle-mère Suzanne, encore une prise de tête en perspective déjà qu’elle ne m’aime pas. Qu’est ce qu’elle va encore trouver pour me prendre la tête.

Elle interpelle Magalie.

C’est quoi cette histoire. T’es amoureuse de ton beau-frère ? Et lui de toi ? C’est quoi ce cirque.

Déjà ton père qui se barre, pour s’envoyer en l’air avec la trainée du village. Il ne manquerait plus que toi, que tu suives les traces de ton père.

La pomme n’est pas tombée loin de l’arbre, je voie. T’es la digne fille de ton père.



Je voie ma femme qui devient rouge, ma belle-sœur blanche et moi je commence à bouillir. Si elle dit un mot de plus j’explose, je la massacre, elle commence sérieusement à me chauffer les oreilles la belle-doche.

Maman tu arrêtes, je t’ai dit que je rigolais, que je plaisantais avec mon mari. Sa suffit, si c’est tout ce que tu as trouvé comme motif pour empêcher Magalie de venir chez nous tu me déçois.

Magalie s’effondre assise sur la pelouse et pleure à chaude larmes. Sa sœur la prend dans les bras.

Regarde ce que tu as faits maman.

Jacques lui a trouvé un apprentissage dans une très bonne boutique. Je connais la patronne, qui a ce magasin depuis plus de quinze ans. Il a fait jouer ses relations, pour la pistonner.

Toi tu veux tout gâcher. Tu ne pense qu’à toi. Tu es égoïste. Tu es aigri.


Je regarde ma femme, étonné. Elle, qui d’habitude ne dit rien à sa mère, qui arrondi les angles, elle lui tient tête.

Waouh sa n’a pas dut être facile ces deux jours. Je comprends maintenant le ton joyeux de sa voix, quand je lui ai dit que nous montions.

Ou tu arrêtes, et on discute tranquillement. Ou on part et on emmène Magalie avec nous.

Je t’ai prévenue. Papa est au courant et approuve qu’elle vienne chez nous. Cela lui facilitera la vie pour son apprentissage.


Ton père, ce salopard, depuis qu’il est parti avec sa greluche, il ne cherche qu’à me pourrir la vie.

Je me lève et m’approche de ma femme en lui tendant notre fils. Je la voie me faire non de la tête. Elle est paniquée. Je lui Pose notre fils dans les bras. L’embrasse sur le front, comme pour la tranquilliser, non, pour la tranquilliser.

Ne dit rien je t’en pris, cela va mal finir.

Je lui souris. Magalie me regarde, en se demandant ce qui va se passer. Elles savent que ma belle-mère et moi nous détestons cordialement.

Elles s’attendent au pire. Elles ont assistées à une engueulade mémorable entre la belle-doche et moi, les mots avaient tellement fusés, je pense qu’ils avaient dépassées nos pensées, enfin pas tous. Pendant un an je ne suis plus monté.

Je me retourne. Je voie ma belle-mère sur la défensive, blanche de rage. Elle aussi s’attend à ce que j’explose.


Bon belle-maman, je suis monté pour manger, et passer une bonne journée, et profiter de ma famille gentiment. On arrête de se prendre la tête, et on passe à table.

Je monte l’escalier, et l’embrasse sur la joue.

Je me demande si je dois lui faire la respiration artificielle, ou appeler le SAMU.

Elle devient rouge écarlate, cherche sa respiration. C’est elle qui ne sait plus où se mettre.
Je suis arrivé à renverser une situation, qui serait devenu très vite catastrophique. Elle est comme un ballon de baudruche qui se dégonfle.

Je me retourne vers mon épouse et Magalie. Je les vois interloqué. Elles s’attendaient à ce que j’explose, et j’embrasse leur mère.


Mon salop, elles t’en font faire des choses tes deux puces, tes deux femmes, tes deux amours.
J’embrasse même ma belle-mère, ça doit faire deux ans que l’on se croise en se disant à peine bonjour.

Faut que je sois sérieusement mordu pour l’avoir fait. Non je suis tout simplement accroché, verrouillé, pieds et poings liés. Mais c’est moi qui l’ai voulu. Enfin il me plait de le croire.

Comme le disait mon grand-père, la femme te donne l’illusion que tu choisi. Mais c’est elle qui décide. Mais a toi d’assumer après.


On passe à table les puces.

Je descends l’escalier, passe derrière les deux sœurs, me mets entre elle, passe un bras derrière chacune, pose mes mains sur leurs hanches que j’adore, dépose un tendre baiser sur la joue de chacune des sœurs.

On y va, on passe à table mes chéries !!!
Dernière modification par DeLsEp9 le 11 juillet 2011, 21:44, modifié 1 fois.
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Re: Secret de famille

Message par Invité »

Jak67 a écrit :

pour un fidèle lecteur,


pi soyons logique pour en rajouter une couche à qui tu sais.
ouai je vois de qui tu parle ^^
Invité

Re: Secret de famille

Message par Invité »

en tout cas c'est tres prenant encore
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Re: Secret de famille

Message par Biquette »

Jak67 a écrit :
et attends la suite.
Pervers :o


je lirai demain, pas le temps ltdsm ;)
Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Bikette a écrit : Pervers :o


je lirai demain, pas le temps ltdsm ;)

me serais je dévoilé......................... :mdr: :mdr: :mdr: :mdr: :mdr:
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

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4)


Je descends l’escalier, passe derrière les deux sœurs, me mets entre elle, passe un bras derrière chacune, pose mes mains sur leurs hanches que j’adore, dépose un tendre baiser sur la joue de chacune des sœurs.


On y va, on passe à table mes chéries !!!

-/-


Tu me surprendras toujours, je m’attendais à ce que tu lui dises ses quatre vérités, que tu exploses, et toi tu l’embrasses.

J’ai un super beau-frère, je l’adore, il me surprendra toujours.

Je me baisse et leur dit discrètement,

Que ne ferais-je pour mes deux amours.

Elle me regarde toutes les deux en souriant.

Bon ça ne mérite pas quelque chose ?

Les deux sœurs m’embrassent chacune sur une joue. Je voie ma belle-mère qui nous regarde interloquée. Elle ne comprend rien, je me demande si elle comprendra un jour.

En se moment c’est moi qui suis le plus heureux des hommes. Je suis le roi, le roi de mes dames de cœur. J’ai dans mes bras deux femmes qui m’aiment. Et je les aime, non pas chacune, mais toutes les deux simplement, réellement, pour ce qu’elles sont, deux merveilles.

Arrivé à l’escalier, je laisse passer mes deux femmes qui prennent leur mère par la taille.

J’entends les deux sœurs presque en même temps.


Viens maman,on mange.

Ma femme emmène le petit dans sa chambre et le couche.

Nous rentrons dans la salle à manger. Je vais pour m’asseoir comme toujours à côté de ma femme. Ma belle-mère m’arrête.


Jacques, je t’en prie mets-toi en bout de table, à la place d’honneur.

Je me déplace, et je m’assieds. Je voie les regards de mes deux puces qui passent de leur mère à moi et inversement. Sabine et Magalie me passent, l’assiette, les couverts et les verres, qui étaient à mon ancienne place.

Que lui arrive t’il à la belle-mère, elle est malade ou elle me prépare un coup de Jarnac.

Je vais chercher l’entrée.

Je pose ma main sur son bras pour l’arrêter. Sabine me regarde surprise. Elle se rassoie. Je regarde Magalie.

Tu peux y aller s’il te plait.

Magalie me sourit, se lève va en cuisine, revient avec le plat. Elle va pour servir sa maman, qui l'arrête.

Sers d’abord le chef de famille s’il te plait.

Elle me fixe. Je soutiens son regard, aucun des deux ne baisse les yeux.

Houlala elle essaie de m’endormir, elle me caresse dans le sens du poil, qu’est ce qu’elle ma prépare, je m’attends au pire.

Je voie Magalie qui manque de lâcher le plat.

Ma femme regarde sa mère songeuse. Magalie s’approche avec un énorme sourire, elle sait que je sais. J’ai l’impression qu’elle danse en s’approchant de moi. Elle assume d’être presque nue sous sa robe, elle s’assume, peut être un peut trop. Elle est heureuse, et ça se voit tellement, que je commence à m’effrayer.

Le repas se poursuit, sans anicroche, nous prenons le café. Ma belle-mère dit qu’elle est fatiguée et va faire une sieste. J’aide mes deux puces à débarrasser la table, je les entends chuchoter.

Je sors sur le perron, m’assied sur les marches et allume une cigarette. Mes deux puces s’assoient de part et d’autre, et m’embrasse chacune sur une joue. J’écrase ma cigarette, dans un pot de fleur, pose mes bras sur leurs épaules. Ma main gauche empaume le sein de ma femme.

Je me retiens de faire de même avec Magalie. Elle fait glisser ma main de son épaule, en relevant son bras, comme pour remettre sa manche. Ma main se retrouve sur son flanc. Sous sa fabuleuse poitrine, que je sens effleurer ma main. Magalie se penche pour regarder sa sœur, son sein se retrouve dans ma main. Comme pour mieux regarder et pouvoir parler elle bouge doucement, je sens son téton qui pointe contre mes doigts. Non seulement elle ne porte pas de culotte, mais elle n’a pas mis de soutien gorge. Elle est nue sous sa robe.


Tu comprends quelque chose à ce qui vient de se passer ?

Je n’ai jamais vue maman aussi calme quand tu es là.

Je ne cherche pas à comprendre. On verra bien ce qui va se passer quand elle aura fini sa sieste.

Magalie se penche et regarde sa sœur. Je la regarde discrètement, ses bras sont positionnés pour cacher ma main. Je ne peux m’empêcher de jouer avec le feu, je pince doucement entre deux doigts son téton qui pointe sur mes doigts. Je sens sa cuisse qui appuie sur la mienne. Sabine, n’est pas en reste, elle se tortille sur place, je ne sais pas si ma main l’embête ou si elle apprécie.

Elle est bizarre depuis que papa est partie.

Depuis le temps que sa trainer, il fallait bien s’attendre, à ce qu’il parte. Tout le monde dans le village sait que c’est un cavaleur, depuis toujours.

Magalie qui est penchée pour parler à sa sœur, n’arrête pas de bouger, de se tourner. Ce n’est pas un téton que j’ai dans les doigts, c’est une bille, un vrai bout de bois. De temps à autre discrètement elle me regarde, avec un petit sourire qui en dit long sur son état. Sa cuisse s’appuie de plus en plus sur la mienne. Sa main qui est posée sur sa cuisse, s’égare par moment comme par inadvertance sur ma jambe.

Tu viens avec moi s’il te plait.

Allez-y, je reste là au cas où le fauve se réveille.

Elles se lèvent. Magalie prend appuis sur ma cuisse, ses doigts effleurent mon sexe. Elle descend les quelques marches, se retourne en me souriant. Je voie les deux sœurs, mes deux puces, mes deux amours de femmes, marchées dans le jardin. Magalie saute deux ou trois fois au cou de sa sœur, elles s’embrassent moult fois.

Sa sœur lui prend la main, et je les voies comme de gamines déambulées, en faisant de grands mouvements avec leurs bras, elles rient à gorges déployées.


Magalie commence sérieusement à me provoquer. Toutes les occasions sont bonnes. Mais qu’est ce qu’elles se peuvent bien se raconter ? Je suis à la fois heureux de les voir si proche et tellement inquiet.

Que peuvent elles se dirent. Magalie ne lui raconte quand même pas tout. Si ça se trouvent, elles sont en train de se mettre d’accord dans mon dos. Vue le style de confidence qu’elles se sont déjà faites, plus rien ne m’étonnerais.

Je ne suis plus aussi à l’aise que cela.


Elles reviennent, s’arrêtent en face de moi en rigolant comme deux sœurs bien dans leur peau.

Magalie m’a dit que nous l’avons gâté pourri, qu’elle le mérite pas. Mais qu’elle t’a promis de travailler comme une folle, qu’elle sait qu’elle ira en pension si elle ne travaille pas.

Mais tu ne m’as pas tout dit. Tu me fais des cachoteries mon homme, pourtant nous avions dit que l’on se dirait toujours tout, sans se mentir, sans rien omettre.


Aie qu’est ce que je n’ai pas dit ? Et sa phrase, « Tu me fais des cachoteries mon homme, pourtant nous avions dit que l’on se dirait toujours tout, sans se mentir, sans rien omettre. ». C’est quand même pas de ça qu’elles ont parlées, elle lui a dit, elle lui a tout dit.

Et là le silence, elle qui ne dit rien. Elle ménage ses effets, elle est toujours comme sa quand elle a quelque chose de grave à m’annoncer.

Elle prépare le terrain pour mieux me massacrer. Elles se sont tout dit, elles étaient de connivences, elle sait que je couche avec sa sœur.


Tu ne m’as pas dit que tu lui as donné une fessée mémorable. Je ne te savais pas sado maso mon chéri.

Non la fessée, je ne voulais plus y pensé, je ne sais pas pourquoi d’ailleurs. Elle a tout déclenchée.

Elle a été le révélateur pour moi, de ses sentiments, mais surtout de ses envies. De ce qui se passe maintenant.

Mais quel hypocrite, tu lui mets tout sur le dos, mais c’est moi qui a tout déclenché, pas elle.

Elle ne lui a quand même pas parlé de tout ? De sa provocation, de mes caresses, non pas de tout. Et voila elle recommence comme à chaque fois après qu’elle a parlé avec sa sœur.

Elle ménage ses effets. Je suis sur qu’elle sait, qu’elle a compris que je couche avec sa sœur, qu’elle ne veut pas me le dire, mais veux me le faire comprendre.


Oui une fessée mémorable, comme jamais elle n’en a eut une, et dieu sait que quand le père nous en donnait une, on ne pouvait plus s’asseoir.

Elle a été impolie, et elle est arrivée chez nous en ayant but. Elle la méritait m’a-t-elle dit.

Tu me passe les clefs de la voiture, elle veut me montrer vos achats.


Magalie se penche et m’embrasse sur la joue. En me serrant très fort. Je me trouve le nez entre ses seins, des effluves de parfum que j’adore (c’est celui de ma femme) viennent me dire bien des choses.

Invité

Re: Secret de famille

Message par Invité »

:love: Arf
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Pour passer une bonne nuit,

enfin qui sait ........................

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Oui une fessée mémorable, comme jamais elle n’en a eut une, et dieu sait que quand le père nous en donnait une, on ne pouvait plus s’asseoir.

Elle a été impolie, et elle est arrivée chez nous en ayant but. Elle la méritait m’a-t-elle dit.

Tu me passe les clefs de la voiture, elle veut me montrer vos achats.


Magalie se penche et m’embrasse sur la joue. En me serrant très fort. Je me trouve le nez entre ses seins, des effluves de parfum que j’adore (c’est celui de ma femme) viennent me dire bien des choses.

-/-


C’est vrai, je la méritais cette fessée. Je te l’ai promis, je travaillerais comme une folle, plus de sortie, plus de bringues avec les copains.

Tant que j’habiterais chez vous, si maman est d’accord, tant que mon apprentissage n’est pas fini, j’obéirais à tous ce que tu me diras de faire. Je le dis devant ma sœur, à tout ce que tu me diras. Tu t’es engagé pour moi, je ne te décevrais jamais.


Elle me regarde avec un sourire radieux, ces yeux me dévorent. Heureusement que sa sœur, ma femme a déjà descendu l’escalier, elle ne la voie que de dos.

J’ai l’impression que son regard me dit, pas besoin de sortir, j’ai ce qu’il faut à la maison, j’ai mon homme sous la main, elle habite déjà avec nous dans sa tête.

D’ailleurs elle n’habite pas que chez nous, à la voir si câline, il va falloir que je la prenne entre quatre yeux, elle va fort dans ses sous-entendus par moment.

Tout son apprentissage, oh la coquine, elle joue sur les mots. Elle ne parle pas de son apprentissage de vendeuse, j’en suis certain. Ses yeux moqueurs me disent qu’elle est à un autre apprentissage. Que celui-ci la tente bien plus. C’est un sacré numéro quand même ma puce.



La voiture est ouverte.

Elles se précipitent en riant vers la voiture, sortent les paquets du coffre, et reviennent. Je voie deux collégiennes, deux gamines.

Magalie tu vas dans le salon pour te changer, je dois juste dire une chose à ta sœur.

Magalie entre dans la maison puis dans le salon.

Je parle doucement pour que Magalie n’entende pas, la fenêtre est ouverte.


Je ne lui ai pas donné l’ensemble grésille avec la veste assortie. Je tiens à ce que ce soit toi qui lui offre. Elle pourrait se demander pourquoi je lui offre le même ensemble que le tien?

Ma femme m’embrasse tendrement.

Tu es trop gentil, nous lui donnerons ensemble c’est mieux.

Ma femme rejoint sa sœur, je les entends papoter.

Je m’éloigne, et m’installe sur un relax. Il fait beau, et chaud je m’endors. J’entends des rires à coté de moi. Je sorts de ma torpeur. Les deux puces sont assissent sur le relax à côté de moi. Ma femme se penche m’embrasse.


Tu as du faire des rêves cochons tu bande comme pas possible. T’as une sacré bosse, ce n’est pas discret du tout. Il y a Magalie qui est à côté de moi, heureusement elle n'a pas vu, enfin je crois que si, un peu quand même.

Quand je réalise dans quel état je suis, je me doute bien que j’ai rêvés, et des rêves pas très sages plutôt hot, et même very hot.

Mais avec laquelle des deux, quand même pas les deux, je ne sais plus, ne me souviens plus.


Je relève mes genoux, pour cacher le corps du délit. Je voie Magalie ma petite puce qui me regarde discrètement pendant que sa sœur, va voir si le petit dort encore.
Elle se passe la langue sur les lèvres très lentement.

Elle écarte doucement ses cuisses, me laissant admirer sa petite chatte nue. Les reflets du soleil se perdent dans sa toison, et lui donnent des reflets qui me disent, viens, on a envie de ta bouche, viens on te veut. Des petites perles de cyprine, perdues dans sa toison, brillent au soleil.

Cela me fait un effet pas possible, je me sens vraiment très à l’étroit dans mon jeans. Je baisse mes genoux, la protubérance dont parler ma femme n’est plus une évidence, c’est le Stromboli, prêt à cracher sa lave incandescente. Magalie souri et se repasse la langue sur les lèvres.


J’en connais une qui me mangerait bien, qui le mangerait bien. Elle est terrible quand elle s’y met.

Elle m’allume comme c’est pas possible, j’étais prévenu. Je ne pensais pas qu’elle irait aussi loin.


Je me relève, prends Magalie par la taille et me dirige vers la maison. Elle se hisse sur la pointe des pieds, et m’embrasse sur la joue et doucement me glisse à l’oreille.

Je t’aime, je suis heureuse, car je sais que tu es heureux, entouré de tes deux femmes qui t’aiment, que tu aimes.

Elle est radieuse. Ma femme accoudée sur l’appui de la fenêtre du salon nous regarde en souriant. Nous rentrons, dans le salon.

Le petit dort encore, on a tout remis dans le coffre. C’est super ce que vous lui avez, toi et la vendeuse, conseillé. Pour une fois tu as été sage, pas de dessous osé, rien de trop sexy.
Elle va être adorable dans ses vêtements. C’est vrai que quand elle les porte, ce n’est plus une gamine. Je voyais une femme, et une sacrée femme en plus, va falloir la surveiller en Corse.

Tu sais que la chasse à la tourterelle sera ouverte quand on y arrivera.


Elle rit de bon cœur.

Ce n’est pas de son âge, chaque chose en son temps ma chérie, rappelle toi, au début toi aussi tu étais sage, et maintenant, tu te lâches, pour tout !!!
Bien que certains maillots de bain fussent wouah, Magalie ne les a pas voulus.


D’accord !! Tu t’es bien rincé l’œil avec ma petite sœur, pendant les essayages. Il est vrai qu’il y a de quoi regarder. Si je comprends bien, tu en as bien profité. Mais tu es un sacré chaud lapin toi !

Pour les maillots, il n’était pas là. Il était parti à la banque chercher des sous. C’est la patronne de Darjeeling Chantelle qui le lui a dit, quand il est revenu. Elle m’a montré des modèles, j’étais quasiment nue avec. Je ne pouvais pas les choisir, pas étant en vacances avec vous deux.

Vue la manière et les mots que j’ai employé pour lui dire, elle a était tellement surprise, qu’elle m’a demandé si la place d’apprentis m’intéressait. Elle en a parlé à Jacques à son retour de la banque.


En plus Magalie te défend, je vais finir par me poser des questions sur vous deux. Enfin, ça vous regarde, c’est votre vie. Elle éclate de rire.

Oups, sa commence à sentir le roussi. Et là son allusion, en douce. Comme si elle voulait nous dire, prenez vous cela dans les gencives et réfléchissez bien vous deux.

Il fallait si attendre j’ai beau faire attention, elle n’est pas aveugle ma Sabine.
Avant d’être ma femme c’est d’abord une chasseresse. Attention si on chasse sur ses terres.

Pourtant elle sait qu’il m’arrive d’aller à côté, tout comme elle. On se l’est déjà dit, pas avouer, simplement dit, naturellement. Sans que personne n’en veuille à l’autre.

Oui mais là c’est sa sœur, sa petite sœur. Elle défend qui, sa sœur, son homme, ou son territoire ?


Je souri, Magalie également.

Je regarde discrètement la petite puce. Elle n’a pas l’air à l’aise, elle doit cogiter sec, suite aux propos de sa sœur. Elle a l’air sacrément songeuse, tout comme moi d’ailleurs.

Elle a l’air d’encaisser la réflexion, comme si de rien était. Elle ne le montre pas, mais ça a dut la toucher en plein cœur.

Pourtant elle connait si bien sa sœur. C’est vrai que Sabine, peut être aussi douce qu’un agneau et deux secondes après ressembler à une tigresse défendant ses petits.


Bon on fait comment ?

Hey, vous m’écouter tous les deux, au lieu d’être plonger dans vos songes. Vous pourriez m’écouter. Je vais finir par réellement me poser des questions.


Oui, c'est-à-dire ?

Tu m’as dit que la patronne de Darjeeling veut qu’elle soit là, lundi à 8h30 ?

Oui et elle a dit que je devais avoir une tenue correct.

Si tu dors ici, le bus part à 6h pour arriver à 7h15 en ville. Tu devras attendre plus dune heure.

Ce n’est pas possible. Tu en pense quoi.


Je suis d’accord avec toi, on ne peut pas la laisser attendre plus d’une heure dehors. Surtout dans ces horaires.

Je voie Magalie dans un coin qui se fait discrète, elle a encaissée la réflexion de sa sœur. Elle ne perd pas une miette de ce qui se dit.

Bon c’est simple. Elle reste ici cette nuit. Sa calmera maman, et demain elle redescend avec le bus de 11h. L’arrêt est à 200 mètres de la maison.

Je voie Magalie qui bouge sur sa chaise. Elle n’a pas l’air à l’aise.

Ben le dimanche il n’y a pas de bus à 11h.

C’est à 8 h ou 18h.


J’oubliai que demain c’est dimanche. Bon alors tu redescends avec celui de 18h.
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

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Bon c’est simple. Elle reste ici cette nuit. Sa calmera maman, et demain elle redescend avec le bus de 11h. L’arrêt est à 200 mètres de la maison.

Je voie Magalie qui bouge sur sa chaise. Elle n’a pas l’air à l’aise.

Ben le dimanche il n’y a pas de bus à 11h.

C’est à 8 h ou 18h.


J’oubliai que demain c’est dimanche. Bon alors tu redescends avec celui de 18h.

-/-


J’en voie une qui aurait préféré redescendre déjà ce soir. Mais bon faut calmer la tigresse, sinon je ne sais pas ce que sa va donner.

D’accord.

Plus simple je dors ici cette nuit et je la redescends demain avec moi après le déjeuner ou alors je dors ici les deux nuits de samedi et de dimanche, et je redescends lundi matin tôt, mais avec la circulation sur la N4 ça risque de pas être évident.

C’est gentil, on dort ensemble, tes bras me manquent. Pour le retour on verra demain.

Pour calmer la suspicion de Sabine j’ai proposé de redescendre lundi matin, mais je ferais tout pour descendre dimanche. Rentrer lundi matin à la maison, se changer, repartir, elle va être stressé ma petite puce.

J’en voie une qui aurait préféré redescendre déjà ce soir.


Moi aussi ça me manque de dormir avec toi.

Et oui depuis la naissance on dort. Faire l’amour, se donner, jouer pour employer son terme, cela n’arrive plus souvent.

Elle me dit souvent, pour ne pas dire tout le temps, « J’ai la libido en berne », et le petit lui pompe toute son énergie.

Ce n’est plus une femme, une femelle que j’ai dans le lit. C’est la mère de famille, et de temps en temps elle se souvient qu’elle est aussi une femme.


Pour les vêtements j’ai une idée. Tu te souviens de mon petit ensemble qui est trop grand pour moi.
Celui que tu as essayé la dernière fois que tu es venue et qui te va si bien. Qui mets tellement en valeur ta poitrine. Surtout quand tu le mets sans chemisier et sans ...


Non s’il te plait.

Les deux sœurs rigolent.

Sans soutien gorge, on a l’impression que tes seins veulent partir se promener tout seul, sans la veste.

Grrr t’es une chipie Sabine.

Oui il est super et discret.


Tu le mets avec un de mes chemisiers. Pour le reste tu as ce qu’il faut dans la voiture.

Lundi je vais chez papa, à l’autre bout du village, je dors chez lui et je rentre mardi dans la journée. Il est d’accord pour signer les papiers, si maman les signe avant. Heureusement que maman l’a déjà fait.


Les papiers?

Pour nous autoriser, s’il arrive quelque chose pendant les vacances, à faire hospitaliser la petite.

Je ne suis pas une petite j’ai 16 ans. Je suis grande.

Elle gonfle sa poitrine, j’ai l’impression que son tee-shirt va exploser, ses tétons pointent à travers le tee-shirt.

Elle éclate de rire.


Ok il me signe les papiers pour ma sœur. C’est bon comme ça ?

Elle rigole aussi.

Tu ne porte pas de soutien gorge ?

Il fait trop chaud, et puis on est en famille.

Oui, j’en connais un qui doit bien se rincer l’œil. J’espère que tu te ballade pas les fesses à l’air aussi. .

Elle souri en me regardant.

Il n’y a pas de mal, tant que c’est les yeux. Avant la grossesse, tu te baladais bien sans soutien gorge, et tu m’as toujours dit que c’est agréable.

Nous rigolons tous les trois.

Pas de tension entre mes deux puces, surtout pas.

Je me demande ce que Sabine a derrière la tête. Elle envoie pas mal d’allusions à sa sœur. La connaissant elle doit se douter de quelque chose.

Pourquoi, est ce que je ne suis pas tranquille. Pourquoi, est ce que je suis tout le temps sur la défensive, comme si j’étais coupable.

Coupable de les aimer, non je les aime, sans aucun sentiments de culpabilité, enfin je crois.


Nous entendons ma belle-mère arrivée.

Que va-t-il encore se passer, quel mauvais coup a-t-elle encore cogité. Je ferais mieux de me taire je suis pire qu’elle.

Maman, Jacques Dort ici ce soir. Il redescend Magalie demain après le repas de midi. Elle doit se présenter à 8h30 en ville pour son apprentissage et avec les horaires de bus se n’est pas possible. Je t’en ai déjà parlé de la boutique qui veut lui faire faire un essai.

Plus simple, on va manger au Goldbrunenn demain midi. Comme il n’y aura pas de cuisine à faire, on pourra dormir un peut plus longtemps.

Au Goldbrunenn ?

Chez Charlotte à La Hoube.

Mais qu’est ce qui m’a pris de dire ça. La belle-mère va encore dire non pas ça, c’est trop calorique, pas de ci, pas de ça, c’est pas bon. Une vraie galère les repas avec elle, enfin il n’ya pas que les repas qui sont une galère avec elle, à elle seule, elle est une galère.

Ah chez charlotte. D’accord, on y mange bien, et sa fait longtemps que je ne l’ai pas vue la Charlotte.

Bonne idée.

Ma belle-mère continue, sans avoir écouté ma femme.

Ca doit être de famille de pas écouter les autres.

Ta femme a raison, tu redescends Magalie, ta belle-sœur avec toi se sera plus simple.

Je trouve qu’elle insiste sur le terme de belle-sœur.

J’en voie une qui se retient de sauter de joie sur son siège.

Nous grignotons pour le diner, tout le monde est fatigué. Nous souhaitons bonne nuit à ma chère belle-mère.

Nos chambres ainsi que celle de la puce étant au premier étage, nous prenons l’escalier qui est étroit l’un derrière l’autre. Ma femme ouvre la marche, puis moi et Magalie ferme la marche.


La lampe de l’escalier est fichue, il faudra que tu la change demain.

Pas de soucis je le ferais.

Au même moment je sens une petite main qui me caresse les fesses, je m’arrête. La main passe entre mes cuisses et me masse rapidement mon sexe qui a commencé à se réveiller. J’entends un petit rire derrière moi. Je ris aussi.

Ma femme qui est arrivé sur le palier allume la lumière.


Pourquoi vous rigolez ?

J’ai stoppé dans l’escalier et comme il n’y a pas de lumière, ta sœur m’est rentrée dans les fesses avec la tête.

Mais quel menteur je faits, je m’enfonce, je conforte la petite puce dans ce qu’elle pense, dans ce qu’elle fait. De toute façon je suis d’accord. Et en plus la puce continue à me provoquer, à m’allumer. Toutes les occasions sont bonnes

Vous êtes deux gamins.

Direction la chambre. Le petit se réveille. Je l’emmène dans la salle de bain. Je le lave, je joue avec lui, il gazouille, il est adorable. Je l’essuie, lui mets sa couche et lui passe une grenouillère. Je retourne dans la chambre, ma femme est assise sur le lit.
Je lui tends le petit.


Il n’est pas possible notre fils, il ne fait que téter toutes les quatre heures, et dormir. Un vrai métronome vivement qu’il prenne un rythme normal, qu’il fasse ses nuits complètes.

Elle l’approche de son sein, et là comme si il n’avait pas mangé depuis vingt quatre heures je le voie se précipiter sur le téton de sa mère, et téter comme si sa vie en dépendait.

Invité

Re: Secret de famille

Message par Invité »

jak aujourd'hui c'est jour de fete sa mérite bien un autre chapitre non?
Biquette
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Re: Secret de famille

Message par Biquette »

:+1:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Mel29440 a écrit :jak aujourd'hui c'est jour de fete sa mérite bien un autre chapitre non?
Bikette a écrit : :+1:

Pas de fête, mais férié. :blabla:

Pour tout le monde. :bik:
Invité

Re: Secret de famille

Message par Invité »

bon ben ratrappe le chapitre que tu n'a pas poster hier alors :bik:
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

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Il n’est pas possible notre fils, il ne fait que téter toutes les quatre heures, et dormir. Un vrai métronome vivement qu’il prenne un rythme normal, qu’il fasse ses nuits complètes.

Elle l’approche de son sein, et là comme si il n’avait pas mangé depuis vingt quatre heures je le voie se précipiter sur le téton de sa mère, et téter comme si sa vie en dépendait.

-/-


Il est vrai que sa vie en dépend. J’en suis presque envieux de le voir accrocher au sein de ma femme.

Je me rappelle l’époque ou ma femme me tendait le sein comme si elle voulait m’allaiter, pour s’entrainer disait elle. Au bout de cinq minutes, on en était loin de la tété, Je lui tété autre chose et elle aussi. Et nous finissions complètement vidés de l’amour que nous avions l’un pour l’autre. Vider du plaisir que nous nous sommes toujours donnés, sans compter.

A cette époque elle était femme, une femme à part entière. Aujourd’hui j’ai l’impression qu’elle est mère avant d’être femme. Il est vrai que se réveiller toutes les quatre heures ce n’est pas facile, c’est épuisant. Et je ne peux rien faire pour l’aider à ce niveau.


Le petit qui vient d’avoir sa tété comme toutes les quatre heures s’est endormi sur le sein de sa mère. Je le prends, et le pose dans l’ancien lit de bébé de sa mère.

Tu viens prendre ta douche avec moi ?

Si tu veux, mais une douche sage, je n’ai pas trop envie de ce que tu sais, je suis crevé.

Et puis on est chez maman. Pas envie qu’elle nous prenne pour des obsédés.


Ta mère regarde ses sempiternels feuilletons en allemand, au rez de chaussée.

Comme toujours elle va s’endormir devant la télé, et puis sa chambre est en bas, et elle sa salle de bain attenante à sa chambre, donc pas de risque de visite intempestive.


Bon si je vais avec toi sous la douche, ce n’est pas que pour la douche. J’espère quand même arriver à réveiller ta libido un de ces jours.
Pourvue que la puce ne nous surprenne pas, je pense qu’elle ne réagira pas, mais on ne sait jamais.


Nous arrivons dans la salle de bain. Elle se retourne pour fermer la porte à clef.

C’est vrai il n’y a plus de clef, il va falloir qu’un de ces jours, tu viennes pour réparer tout ce qui doit l’être. La porte ne ferme plus comme il faut non plus.

Nous nous déshabillons, nous rentrons dans la cabine douche qui malheureusement est moins spacieuse que la notre.

Je prends le gel douche, et commence à laver le dos de ma moitié. Mes mains arrivent sur ses fesses. Elles se contractent.


Je sais que tu n’aimes pas. Je te lave, c’est tout, ne t’inquiète pas.

Sa commence bien, elle n’a pas l’air d’avoir envie de quoi que ce soir. Sa va encore être, soit une main devant une main derrière, soit la veuve poignet.

Mes mains passent sur ses flancs, glissent sur son ventre. Son corps est plaqué contre le mien, mon sexe est contre ses fesses. Je la sens qui s’appuie contre moi. Sa nuque est sur mon épaule. Mon dos se retrouve contre le mur.
Mes mains arrivent sous ses seins, et doucement les massent, très doucement.


Je fais attention, je sais qu’ils te font souffrir, qu’ils sont hyper sensibles. Que depuis que tu allaites, tu as pris deux tailles de bonnet.

Elle tourne sa tête et m’embrasse.

Je sais que depuis trois mois ce n’est pas marrant pour toi. Que je suis par moment, limite chiante, voir pire. Mais je n’y arrive pas.

Nous qui avions deux voir trois rapports par jour avant la grossesse, maintenant on en est à peine à un par semaine, et encore.


Je sais que ce n’est pas de ta faute, mais je ne veux pas que tu le fasses sans en avoir envie. Je ne veux pas que tu te forces.

Elle décolle ses fesses tout en laissant ses épaules contre mon thorax. Elle prend mon sexe en main, et commence à me caresser.
Elle se retourne, m’embrasse, tout en me masturbant. Elle est douce, câline. Elle sourit.


J’ai envie, envie de te sentir dans ma bouche, de te donner ma bouche.

Elle s’agenouille, je voie le bout de sa langue qui commence à léchouiller mon gland.

Quand elle commence comme cela, je sais que je vais souffrir. Elle est partie pour me faire le grand jeu. Je ferme les yeux. Ma femme a toujours était merveilleuse en amour, quand elle se laisse totalement aller, mais cela pour l’instant fait parti des souvenirs.

Elle adore faire durer le plaisir, elle m’amène au bord de la jouissance, arrête pour laisser tomber la pression recommence. Elle adore me rendre fou de désir, que je la supplie de me faire jouir.

Elle passe du méat au frein. Elle lèche mon sexe sur toute sa longueur. Une de ses mains est sur mes fesses, l’autre joue avec mes bourses, un de ses doigts passe de mes bourses au périnée. Elle mordille mon sexe sur toute la longueur. Elle n’arrête pas. Passe de mes bourses à mon pénis avec sa bouche, ses dents, sa langue. Elle est déchainée. Mes mains se posent sur sa tête, se crochète dans les cheveux, essaient de la ralentir, de calmer ses mouvements. Si elle continue à cette cadence je vais exploser dans peut de temps.

J’ouvre les yeux, j’aime la voir quand elle est comme cela.

Devant mes yeux, je voie la petite puce dans l’encadrement de la porte. Elle a enfilé un tee-shirt. Elle regarde la tête de ma femme qui me suce, me mange mon sexe, mes bourses et qui lui tourne le dos.

Le bas de son tee-shirt est dans sa bouche. Sa main droite est en train de s’occuper de son clitoris, de sa petite chatte si douce, qui dégouline de sa mouille.

Son majeur entre et sort de sa vulve. Son pouce écrase son petit bouton, elle le pince entre son pouce et son index. L’autre main masse violement ses seins. Elle torture ses tétons. Elle les tire violement, les tourne, les pince. Elle est d’une rare violence.

Elle voie que mes yeux sont ouverts, sa main accélère ses mouvements dans sa vulve. Elle tire comme une folle sur ses tétons. Je voie ses mâchoires se crisper comme se tétaniser sur le tee-shirt.

Elle laisse retomber le tee-shirt. Je la voie reprendre son souffle calmement. Son majeur s’approche de sa bouche, elle le lèche, le suce. J’ai l’impression qu’elle articule silencieusement « Je t’ai me ». Elle m’envoie un baiser et ressort.


Ben voila ce qui devait arriver est arrivé. Mais je ne m’attendais pas à ça. Que la puce se masturbe, se caresse jouisse, pendant que ma femme me suce.

Sa devient vraiment chaud, j’adore. Mais elle est totalement inconsciente, il suffit qu’elle se retourne, et ce sera le drame ?


Je réalise que ma femme est comme folle, j’ai l’impression qu’elle veut dévorer mon pénis. Je voie qu’en même temps qu’elle me suce, me mange, me dévore, elle se masturbe comme pas possible. Elle est à genoux, deux doigts dans son minou, son pouce joue, appuis, fait tourner son clito dans tous les sens, elle le maltraite, le martyrise.

Cela fait longtemps qu’elle ne s’est pas laissé aller comme sa. Je ne l’ai pas vue se déchainé de cette manière depuis la naissance du petit.

Je suis au bord d’exploser. Je retire mon sexe da sa bouche.


Je vais jouir.

Moi aussi.

Ma femme reprend violement mon sexe en main et me masturbe. Elle prend à nouveau mon sexe en bouche, j’ai l’impression qu’elle veut l’avaler, tellement elle l’enfonce dans sa bouche. Sa bouche m’aspire me tète, s’en est presque douloureux. C’est douloureux.

Elle sait que je vais éjaculer, je sens les contractions de mon sexe, elle aussi. Elle me regarde dans les yeux.


J’ai compris, elle me donne sa bouche, elle se donne, je la retrouve, elle est comme avant. A la fois ma femme et ma maitresse, elle se donne corps et âme. Elle me veut, elle le veut.

Elle me tète encore plus violement, comme si elle voulait aspirer mon gland. J’éjacule, ma femme tout en me regardant dans les yeux, déglutis. Elle avale mon sperme.

Elle qui a toujours dit qu’elle n’aimait pas le gout, qu’elle n’aimait pas avaler.
Je commence à penser à sa petite sœur qui elle, naturellement, par envie, parce qu’elle le veut le désir se laisse totalement aller à ses envies.

Non ne commence pas à les comparer tu va te foutre dedans. Pense à celle avec qui tu es, pas de comparaison, surtout pas.


Je la voie qui continue à se masturber brutalement. Elle se mord les lèvres. Elle se mord les lèvres pour ne pas crier, ne pas hurler. Je l’entends gémir. Elle se relève m’embrasse passionnément. J’ai un gout de sang dans la bouche. Elle s’est mordue au sang. Elle passe ses bras autour de moi et pose sa tête sur mon épaule.

Je sens son cœur qui bat à tout rompre. Je lui caresse les cheveux. Je la sens se détendre après quelques minutes, où elle cherche sa respiration et essaie de se reprendre, où je dois la soutenir.

Biquette
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Re: Secret de famille

Message par Biquette »

Wooaaooouuuhhhh :yuna: :yuna:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Invité

Re: Secret de famille

Message par Invité »

encore stp
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Mel29440 a écrit :encore stp
pourquoi pas :sarcastic:
Bikette a écrit :Wooaaooouuuhhhh :yuna: :yuna:
a ce point. :bik:
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
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Mes pensées

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Propos de Louise


8)



Je la voie qui continue à se masturber brutalement. Elle se mord les lèvres. Elle se mord les lèvres pour ne pas crier, ne pas hurler. Je l’entends gémir. Elle se relève m’embrasse passionnément. J’ai un gout de sang dans la bouche. Elle s’est mordue au sang. Elle passe ses bras autour de moi et pose sa tête sur mon épaule.

Je sens son cœur qui bat à tout rompre. Je lui caresse les cheveux. Je la sens se détendre après quelques minutes, où elle cherche sa respiration et essaie de se reprendre, où je dois la soutenir.


-/-


.Je ne sais pas ce qui s’est passé mais j’ai eut envie soudainement de tout te donner, de me donner entièrement. J’ai voulu te faire jouir, que tu jouisses, rien d’autre ne m’intéressait. J’ai avalé ton sperme, ta semence sans réfléchir. J’ai jouie juste après toi, je me suis mordu les lèvres pour ne pas hurler tellement ça a était fort, violent incroyablement violent, cela fait tellement longtemps, que je n’en n’avais pas ressenti l’envie.

Tu es tellement gentil, tu faits tant de chose pour moi, tu comprends mes problèmes, mes soucis, tu ne me reproche jamais rien.

J’ai envie que tu me fasses l’amour, de me donner à toi, que tu me prennes, que tu me fasses jouir.

Avec le petit dans notre chambre, on va certainement le réveiller, tu peux demander à ma sœur de dormir dans notre chambre ?

Elle comprendra. Je lui en avais touché un mot, quand on était dans le jardin. Elle m’a dit qu’elle comprenait que nous ayons besoin d’être tranquille pour nous retrouver, de ne pas avoir le petit entre nous, d’être seul. Elle nous passe sa chambre jusqu’à que le petit se réveille.

En plus sa chambre n’est pas au dessus de celle de maman. Là j’ai les jambes coupées. Tu y vas s’il te plait.


Je vais voir si elle ne dort pas encore.

Je ne pense pas, elle lit certainement.

Je prends un drap de bain que j’enroule autour de ma taille. Ma femme me souri. Elle me fait signe d’y aller, et s’assois au fond de la douche. Elle a l’air vidée, exténuée.

J’entends la télé en passant dans le couloir.


Bon la belle-mère n’a rien entendu, ou bien elle écoute sa satanée télé, ou bien elle dort devant la télé.

Je gratte à la porte de Magalie.

Oui,

C’est moi, je peux entrer.

Oui, entre.

J’entre dans la chambre, inconsciemment je referme la porte. Elle est couchée en train de lire. Je m’assois sur le bord du lit. Je ne sais pas comment aborder le sujet. Pas évident, de demander à sa maitresse, à la femme qui t’aime, que tu aimes, de laisser son lit à son amant et à sa femme. Elle pose sa main sur ma main, sa tête se pose sur ma cuisse.
Elle me regarde et me dit doucement, presque en chuchotant.


Vous avez l’air de vous retrouver, j’en suis heureuse pour vous deux, pour nous deux. Si tu reste avec moi, et je sais que ce sera le cas, tes yeux me l’ont dit pendant que je regardais ta femme te sucer, pendant que tu me dévorais des yeux quand je me caressais, je me faisais jouir, pour ton plaisir et pour le mien.

Je suis heureuse, car maintenant, je sais que ce n’est pas que pour te soulager, car tu n’as plus ce qu’il faut à la maison, que tu es avec moi. C’est parce que tu tiens à moi, que tu m’aimes, que tes deux amours, tes deux femmes sont complémentaires.


Plus notre relation avance, plus cette petite puce m’étonne, me désarçonne. Elle est d’un réalisme décapant, elle a tout compris, bien avant moi.
Elle a sut m’amener là où elle voulait, dans une voie à sens unique, une voie qui fait mal, qui est destructrice si on veut en sortir, l’amour.

Tant l’amour de l’âme que celui du corps. En peut de temps, elle a sut m’extirper, m’arracher, me faire dire des mots que je ne me savais plus capable de dire.
M’amener à avoir envie, à la désirer comme une femme qu’elle n’est pas encore, à me donner à elle, comme si nous étions amants depuis des années.
Sa y est on s’embarque, on est dans le même bateau. Le tout maintenant s’est de ne pas chavirer, de ne pas se faire torpiller.


Je vais pour lui dire difficilement la raison de ma venue.

Je t’attendais, je sais pourquoi tu es là. Ta femme m’a demandé de vous passer ma chambre pour une partie de la nuit.

Pas de soucis, je suis d’accord. Quand je me coucherais après j’aurais ton odeur dans mon oreiller, se sera merveilleux de m’endormir avec l’odeur de l’homme que j’aime, qui m’aime, avec l’odeur de mon homme, de mon amant qui me bercera.

Je veux juste.


Silence. Elle me regarde dans les yeux en souriant

Que tu me porte dans tes bras, dans votre lit.

La discussion n’a durée que quelques bref instants.

Elle s’allonge comme si elle dormait.

Je passe mes bras sous son corps qui est bien au chaud sous la couette. Son tee-shirt est légèrement remonté, Ma main passe sous ses fesses. Je sens qu’elle appuie ses fesses sur ma main, elle écarte les cuisses. Un de mes doigts s’égare quelques instants sur ses grandes lèvres.
Elle ressert ses cuisses emprisonnant ma main. Le doigt se retrouve captif de sa vulve, qui est déjà bien humide. Je la soulève en profite pour dégager ma main et la prends dans mas bras. Elle me susurre sa bouche presque contre mon oreille.


J’ai dut me faire violence pour ne pas me caresser. J’en meurs d’envie. Tu voies la tête de Sabine si elle trouve le lit trempé.

Elle m’embrasse tendrement, sa main me caresse doucement, je commence à bander.
Je me dirige vers notre chambre. Je sens sa poitrine, ses seins à travers le tee-shirt contre mon torse nu. Ses tétons sont réveillés, je les sens qui pointent, Il faut que je me calme.


Je sens ton sexe contre moi, mon dieu que j’ai envie de te sentir en moi. Fais l’amour à ta femme comme si s’était moi dans tes bras, comme si s’étais moi que tu voulais faire jouir.
Elle en a envie, elle me l’a dit, mais sa tête bloque encore. Il faut qu’elle comprenne, qu’elle en a autant besoin que toi, que votre couple en a besoin.


Je passe la tête par la porte de la salle de bain. Ma femme s’est remise, et me voie avec sa sœur qui dort dans les bras. Elle se lève, et va rapidement pour ouvrir discrètement la porte de notre chambre. Nous rentrons discrètement, éclairé par la lumière du couloir. Elle ouvre notre lit, je dépose la puce.
Je me penche pour rabattre la couette sur la puce, il fait frais en altitude, et ce sont de sacrées frileuses les deux puces.

Au même moment ma serviette se défait et tombe. Le hasard veut que je tienne la couette bien en l’air. Se faisant une partie importante de mon corps est caché à la vue de ma femme. Elle n’a rien remarquée de ce qui s’est passé, elle est déjà ressortie. Je sens une main qui m’attrape mon sexe et deux lèvres se posent sur mon gland et l’embrasse. Une langue passe sur mon gland, m’électrisant. Je sens deux lèvres enveloppées mon sexe, et une langue qui continue de jouer avec lui. La bouche se retire, et elle embrasse longuement mon gland. Je fini de rabattre la couette, me baisse pour ramasser ma serviette. Discrètement je dis.


Coquine, tu en profite dès que tu le peux !!!

J’entends, plutôt je devine.

J’en avais envie, pour te donner des forces, et te montrer ce que tu manques. Je t’avais dit que je me vengerais. Je continue. Tout en douceur, te faire baver d’envie chaque fois que c’est possible, chaque fois que je le peux.

J’ai vue que tu as aussi bien à côté, ma sœur a l’air d’avoir envie, de reprendre gout à toi, à ses envies. C’est bien pour nous deux. Vas y lâche toi avec elle, elle le veut et tu en as envie.

Je ne t’en voudrais jamais, c’est ma sœur que j’adore, que j’aime.


Je remets ma serviette en place, et après avoir fermé la porte de la chambre, je rejoins ma moitié dans la salle de bain qui m’attend sous la douche.

J’enlève la serviette, elle regarde mon sexe décalotté qui bande ostensiblement. Je la rejoins la prend dans mes bras. Nos corps se lovent l’un contre l’autre.


C’est de porter ma sœur presque nue qui t’a mis dans cet état, où de penser à la suite qui nous attend ? Il faudra que je la remercie de m’aider à te maintenir en forme.

Elle me souri tendrement. Nous nous lavons et nous séchons rapidement. Je voie que ma femme est impatiente de profiter de ce moment d’intimité, et de la chambre de sa sœur. Moi aussi d’ailleurs.

Que d’allusions, de sous entendus.
Profiter de ma femme, de la chambre, de sa sœur, je commence vraiment à ne plus savoir ou j’en suis, ou je vais. A ce rythme va falloir que j’explique à la petite puce de se calmer sinon on court droit au clash. On va se payer le mur, ça va faire mal.

Non seulement elle accepte et comprends que je m’envoie en l’air avec ma femme, que nous fassions l’amour, nous nous donnions, l’un à l’autre.
Mais en plus si elle intervient comme quand je l’ai vue se caresser, se masturber en regardant ma femme, sa sœur, qui me bouffait littéralement mon sexe, commencer à me sucer pour que je puisse mieux honorer mon épouse, cela va être chaud bouillant à gérer.

Maintenant, elle fait tout pour que l’on se retrouve, elle est incroyable, décapante de lucidité. Elle ne pense pas uniquement à elle. Elle veut notre bonheur à tous, à tous les trois.

Mais que c’est bon de sentir autant désiré, autant aimer. Il faut qu’elle m’aime, quelle nous aime, pour l’accepter. Elle aime comme peux de personnes en sont capable.

Pas pour son propre bonheur, pas pour ce qu’elle en retire pour elle-même, comme le commun des mortels. Elle m’aime pour le bonheur qu’elle peut me donner, nous donner. Et c’est magnifique de se sentir autant aimer.



Invité

Re: Secret de famille

Message par Invité »

:wouah:

moi qui pensai avoir deux chapitres a lire a mon retour et qu'est ce que je vois pas un seul de publier :valfa: :valfa:

jak repare cette erreur stp
BjEd9a10

Re: Secret de famille

Message par BjEd9a10 »

il n'a pas du encore se remettre de son 14 juillet :soupir1:
Invité

Re: Secret de famille

Message par Invité »

:valfa:

je suis en manque moi :hornet:
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Mel29440 a écrit : :wouah:

moi qui pensai avoir deux chapitres a lire a mon retour et qu'est ce que je vois pas un seul de publier :valfa: :valfa:

jak repare cette erreur stp
Yuna a écrit :il n'a pas du encore se remettre de son 14 juillet :soupir1:
Mel29440 a écrit : :valfa:

je suis en manque moi :hornet:

Les visites montant beaucoup plus vite que les coms,

j'attendais au moins un com, pour poster la suite.
Dernière modification par DeLsEp9 le 17 juillet 2011, 19:26, modifié 1 fois.
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

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9)



Maintenant, elle fait tout pour que l’on se retrouve, elle est incroyable. Décapante de lucidité. Elle ne pense pas qu’à elle, elle veut notre bonheur à tous, à tous les trois.

Mais que c’est bon de sentir autant désiré, autant aimer. Il faut qu’elle m’aime, quelle nous aime, pour l’accepter. Elle aime comme peu de personnes en sont capable.

Pas pour son propre bonheur, pas pour ce qu’elle en retire pour elle-même, comme le commun des mortels. Elle aime pour le bonheur qu’elle peut me donner, nous donner. Et c’est magnifique de se sentir autant aimer.


-/-


Nous nous précipitons dans la chambre. Je ferme la porte, Ma femme me passe les bras autour du cou, je l’entends me dire :

Tu bande encore, comme pas possible, prends-moi maintenant, là tout de suite. J’ai envie que tu me baises.

Je te veux maintenant, tout de suite dans mon ventre.

Ma vulve, mon vagin, mon ventre veulent sentir ce pénis qui les remplit si bien, qui les comble si merveilleusement.

Je veux sentir cette verge qui sait si bien me faire jouir.


Je prends les cuisses de ma femme et les soulèvent. Elles passent ses jambes autour de moi, et les croisent dans mon dos. Je suis dos à la porte, Je soulève ses fesses. Sa main se glisse entre nous, et dirige mon pénis vers sa vulve. Elle me regarde et se laisse carrément tomber sur mon pénis.

Je sens son vagin qui m’aspire, elle serre comme si elle voulait le garder en elle. C’est comme si une ventouse m’avait attiré en elle. Je suis au plus profond d’elle. Elle bloque ses jambes, et je sens ses muscles vaginaux qui se relâchent, se contractent. Le rythme est lent. Ma femme m’embrasse sur les joues, dans le cou. Elle me mordille le lobe de l’oreille.


Ca m’a servi que je sois enceinte.

Tu te souviens les cours d’accouchement sans douleur ?
Ils m’ont appris à faire travailler mes muscles vaginaux. La sage femme parlée de muscles pelviens par ci, de muscles pelviens par là.

Elle a dit que ce n’était pas grave si on ressentait un trouble lorsque l’on essayait de les faire travailler, mais qu’il fallait que l’on s’entraine régulièrement, que ça serait plus simple pour l’accouchement, si on arrivé à se détendre à les relâcher.

Je me suis rendu compte que s’était un peut ce dont on avait parlé tous les deux, à une époque, suite à l’article parue dans Cosmopolitain.

Dans l’article il parlait aussi des boules de geisha. De nos jours les personnes les considèrent comme un jouet sexuel. Ils s’imaginent des tas de choses concernant les boules de geisha.

La réalité est toute autre. Elles viennent comme leur nom l’indique, de chine dans des temps immémoriaux.

Le but initial des boules de geisha est très simple. Elles étaient réservées à la reine et aux concubines du roi. Celles qui maîtrisaient cette technique gardaient une excellente santé, elles restaient jeunes et généreuses ; même à un âge avancé, leurs organes sexuels étaient encore aussi fermes et vigoureux que ceux des jeunes filles vierges.
Pour être reine ou concubine de l’empereur ces femmes devaient être parfaites à tous les niveaux : avoir de la conversation, savoir servir le thé, être instruite, savoir danser et faire de la musique mais surtout être une très bonne maîtresse sexuelle.
En France tu as du mal à en trouver.et celles que tu trouves ne sont que des inepties, des attrapes couillon.

Au cours d’un déplacement à Londres tout au début de ma grossesse j’ai trouvé une vraie boule de geisha en jade.

Cela a était dur au départ, je n’arrivais pas à la garder, elle glissait. Sa m’énervait, pas moyen de la garder en moi. Puis petit à petit je suis arrivée à la garder de plus en plus longtemps.

J’ai continuée à m’entrainer, après l’accouchement, maintenant j’arrive à la retenir avec 250 grammes attaché après. Tu te rends compte qu’une légende chinoise dit qu’une des concubines de l’empereur Ming, arrivait à maintenir l’équivalent de deux kilos accroché après, pendant plus d’une heure.


Tout en parlant, les mouvements musculaires de son vagin qui d’abord étaient lent, s’accélèrent. Nos corps ne bougent pas. Je suis comme planté en elle. J’ai l’impression que son sexe, sa vulve, son vagin m’aspire, qu’elle me veut complètement en elle. Je lui mordille le lobe de l’oreille, et me dirige vers le lit où je m’assieds elle toujours accroché, verrouillée sur moi.

Elle repousse mon thorax sur le lit, pose ses mains sur mes tétons. Ses jambes fléchissent, ses pieds se posent sur mes cuisses.

En même temps qu’elle accélère ses contractions musculaire elle commence à bouger lentement, doucement, elle monte et descends avec une lenteur qui a l’air calculée, mesurée, comme si elle l’avait déjà fait.

L’impression est spectaculaire, incroyablement bizarre. Je découvre un plaisir, une montée du plaisir étonnante, qui n’a rien à voir avec nos rapports antérieurs.

Je la sens monter et descendre lentement sur ma hampe. Ses contractions, provoquent une sensation extrême de jouissance. Comme si elle était vierge, que son hymen faisait toute la longueur de son vagin.

C’est à la limite de l’indescriptible, je comprends à peine ce qui se passe, ce que je ressens. Je ne sais plus où je suis, qui fait quoi.

Je voie les yeux de ma femme qui chavire, Ses mains sur mon thorax se crispent, son corps se tend. Ses ongles entrent dans ma chair. Elle est contracter jusqu’au bout ses doigts, comme tétanisée. Je sens ma verge comme explosé, d’un seul coup. Je n’ai pas ressenti les prémices habituelles. J’éjacule avec une violence que je n’ai jamais ressentie. Je me vide littéralement.

J’ai l’impression qu’un feu d’artifice explose dans ma tête, dans tout mon corps. Ma femme se laisse tomber en commençant à pousser un cri, à la limite du hurlement qui s’étouffe, quand elle mord mon épaule. Nous jouissons ensemble, intensément. Je suis complètement laminé, vidé. Le cerveau vide, je ne comprends rien à rien.

Nous nous réfugions sous la couette, et nous nous endormons, repus de l’amour, de la jouissance que nous venons de partager.

Au bout de quelques temps je ressens ou je sens, des bisous dans mon cou, sur ma joue, sur mes lèvres. J’ouvre les yeux.

Ma douce moitié, est accoudée sur le côté et elle m’embrasse tendrement. Elle a l’air détendue, bien.


Sa fait longtemps que l’on ne s’est pas donné comme cela l’un à l’autre.

Oh non, tu ne t’es jamais donné comme cela. Ton ventre, ton vagin ne se sont pas donné.

Là tu m’as pris, aspiré, malaxé, broyé, laminé.
Je ne t’ai pas fait l’amour comme tu me l’as demandé, comme tu le voulais. C’est toi qui as abusé de moi, qui m’as fait l’amour, qui m’as baisé, qui m’as pris.

J’en reviens pas, ou tu as appris, et compris ce que tu pouvais faire avec ton vagin.

Tu as un amant qui t’as appris ?


Ce n’est pas tout à fait cela.

Elle me regarde pour voir ma réaction. Je ne bouge pas, je la regarde impassible.

Nous avons toujours dit, autant elle que moi, qu’un couple ne se ramène pas qu’à une fidélité sexuelle, un couple s’est une osmose. Pour que l’osmose dure, il faut de temps à autres, ramener un élément extérieur pour mieux fusionner, la souder.

Je n’ai pas eut d’amant au sens ou je n’ai pas couchée avec lui. Mais j’ai flashé sur un des jeunes étudiants qui assisté le professeur Nisand mon gynéco. C’est un apollon, il a beaucoup d’humour. S’il avait insisté, j’aurais cédée, certainement cédée, et sans aucun regret.

Lors d’un examen au début de ma grossesse, il m’a fait un toucher vaginal, il me faisait tellement d’effet, il était si doux, que j’ai sans le vouloir, commencé les mouvements des muscles de mon vagin.

Il m’a regardé surpris, « votre mari a beaucoup de chance d’avoir une femme qui arrive autant à contracter à commander ses muscles du périnée, il doit être le plus heureux des hommes au lit ».

Il y avait une certaine envie dans sa voix, pas de la jalousie, juste l’impression qu’il voulait me mettre dans son lit, qu’il me désirait. Je ne savais plus ou me mettre. Mais j’ai apprécié son commentaire.

Jusqu’à l’accouchement j’ai continué à m’entrainer avec la boule de geisha. Effectivement il s’est très bien passé, pas de péridural, rien, sa s’est passé superbement. Tu le sais tu étais là.


J’embrasse mon épouse.

Tu n’avais pas l’obligation de m’en parler, s’était juste une boutade.

Tu sais que je ne suis pas jaloux. La jalousie rend les gens bêtes, idiots. La jalousie tue le couple, la relation entre deux personnes. C’est un poison. Heureusement que ni l’un ni l’autre ne l’est.


Ma femme, me regarde, me souris.

Et toi, pas de petite copine passagère, ou non, pas de petite chatte, de petite pucelle, qui t’a fait tourner la tête, que tu as pénétré qui t’as fait jouir, que tu as fais jouir ?

De toute façon c’est ta vie, on est heureux, Je t’ai déjà dit au début de notre relation ce que j’en pensais. Je suis comme toi. Absolument pas jalouse. Tout ce qui m’intéresse c’est notre bonheur, le reste n’est que futilité.


Tu ne me laisses même pas le temps de te répondre.
Invité

Re: Secret de famille

Message par Invité »

j'espere que tu va poster 2 chapitre pour te faire pardonner
Invité

Re: Secret de famille

Message par Invité »

la suite stp :oups:
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Mel29440 a écrit :j'espere que tu va poster 2 chapitre pour te faire pardonner

Me faire pardonner.


et de.................................. :bik:
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

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Et toi, pas de petite copine passagère, ou non, pas de petite chatte, de petite pucelle, qui t’a fait tourner la tête, que tu as pénétré qui t’as fait jouir, que tu as fais jouir ?

De toute façon c’est ta vie, on est heureux, Je t’ai déjà dit au début de notre relation ce que j’en pensais. Je suis comme toi. Absolument pas jalouse. Tout ce qui m’intéresse c’est notre bonheur, le reste n’est que futilité.


Tu ne me laisse même pas le temps de te répondre.

-/-


Aille si elle continue que vais-je dire, pas de mensonge, pas de faux fuyant. On a toujours dit si l’un demande, l’autre répond sans mentir. Pas envie de lui dire que sa sœur et moi on s’envoie en l’air, et que l’on est amoureux. Et ses allusions « petite chatte, petite pucelle », « vous êtes amoureux », je me demande, si elle n’a pas compris quelque chose, mais qu’elle refuse de l’admettre, ou qu’elle veut nous laisser nous enfoncer. Ou peut être elle attend que je lui dise.

Et maintenant elle m’a fait l’amour comme elle ne me l’a jamais fait, comme si elle voulait me dire « Alors elle le fait mieux que moi» ?


Je n’attends pas de réponse, et n’en veux pas. Je t’aime c’est la seule chose qui compte. Nous nous retrouvons, nos corps se retrouvent. Le reste ne m’intéresse pas.

Elle se couche sur moi, et m’embrasse doucement langoureusement. On est bien, sa tête repose sur mon torse.

Elle roule sur le côté et s’endort. Moi de mon côté je cogite.


Il y a de la pression dans ma tête, mon esprit est ailleurs, en train d’essayer de chercher, de comprendre, est ce qu’elle a des doutes, est ce qu’elle a compris, est ce qu’elle sait. L’éruption du Vésuve n’est rien à côté de ce qui se passe dans ma tête.

J’entends la porte s’ouvrir, j’entrouvre mes paupières et voie la petite puce qui entre. Un somnambule est plus réveillé qu’elle. Elle va du côté de mon épouse, s’agenouille, et lui parle à l’oreille.

Le petit est réveillé, c’est l’heure, je l’ai changé mais il a faim.

Elle la secoue doucement. Ma femme se réveille, s’assied en douceur, sur le lit.

Parle doucement, il dort, j’ai l’impression qu’il a eut une semaine difficile, il est fatigué.

Seulement la semaine.

Et elle rigole doucement.

Oui je sais on a fait des folies de nos corps, sa fait longtemps que je n’ai pas autant joué avec lui, enfin que l’on n’a pas fait l’amour comme ça.


Heureusement que maman s’est endormi devant la télé, elle a rien entendu. Je peux te dire que moi de l’autre côté je vous ai entendu, vous n’êtes pas discret.

Je les voies qui se penchent l’une vers l’autre et qui chuchotent à l’oreille. Je ne comprends pas tout mais j’entends des mots qui m’interpellent.
Emoustillée, caresses, tripotée, jouir, verge, geisha …


Elles se font des confidences, elles se disent tout, vraiment tout, ou ce n’est qu’une discussion entre sœur comme d’autres que j’ai déjà surprise, ou elles parlaient de sexualité, de caresses etc.

C’est une simple discussion de ce style, enfin à cette heure je ne pense pas, ou alors elles se sont mis d’accord toutes les deux, sur mon dos. J’en suis au stade ou je plane complètement. Je ne sais plus ou j’en suis.


Bon je vais allaiter le petit, couche toi, je le réveille quand je reviens et on se couche dans notre chambre.

Tu n’y pense pas, dans le lit avec mon beauf t’es malade.

Il dort comme une masse, après ce que l’on a fait ensemble il ne se réveillera pas.

Non je viens avec toi.

Tu es fatiguée, regarde toi tu ne tiens pas debout.

Tu veux me mettre dans le lit de ton homme, dits le tout de suite ? T’es vraiment pas bien, tu pense que vous n’avez pas assez joué comme tu dis si bien, tu as envie qu’il s’occupe de moi aussi ?

Et si ça le prends en étant à moitié endormi, pas envie qu’il s’occupe de moi. Tu penses que tu ne lui suffis pas. A ce moment autant que je couche nue, ça lui simplifiera le travail (elle fait mine d’enlever son tee-shirt).Il ferait quelle tête en me trouvant dans son lit ?


Ok viens avec moi.

Elles sortent, discrètement. Je continue à cogiter comme un malade.

Elle joue à quoi Sabine, elle a voulu tester sa sœur, ou elle l’a fait en toute innocence, ce que je ne crois pas. Je commence vraiment à me poser des questions. Je suis sur qu’elle a des doutes, qu’elle nous teste. Qu’elle a voulu voire sa réaction.

J’ai l’impression de m’être endormi. Je me réveille, je suis seul dans le lit. Je me lève à moitié endormi, et me dirige tel un somnambule, vers la chambre du petit ou ma femme doit être, devrait être. J’entre.

Ma femme allaite le petit, sa sœur est assise dans le lit à côté d’elle. Elles sont en train de parler. Elles se retournent toutes les deux, la couette glisse, et je voie deux magnifiques poitrines qui apparaissent discrètement. Ma femme me regarde surprise.


Mais tu es tout nu, et tu bandes.

Elle regarde à sa droite, voie la poitrine dénudée de sa sœur.

Magalie, tu lui fais de l’effet, regarde dans l’état où il est, où tu le mets.

Je voie ma femme et ma belle-sœur qui éclate de rire. Leurs poitrines tressautent, les tétons, dansent devant mes yeux, comme s’ils m’appelaient, me demandaient de venir m’occuper d’eux.

Mes mains plongent vers ma virilité, qui se dresse encore de plus belle manière, pour la cachée aux quatre yeux qui la dévore. Heureusement que Sabine est concentré dessus, Magalie, passe et repasse un petit bout de langue sur ses lèvres.


Pas de complexe elle m’a dit, il y a cinq minutes, qu’elle a déjà vue un sexe d’homme et même un beau elle a dit. Que ça l’avait bien émoustillée.

J’attends la suite de la phrase, mais ma moitié, ne dit rien, que va-t-elle me dire, elle attend pour voir ma réaction, que sais je.
Magalie ne lui a pas dit, quand même, et moi qui a le cerveau qui dort.


Celui de son prof de gym dans les douches de la piscine. Un pari idiot avec ses copines de classes.

Magalie se retourne.

Tu m’avais dit que tu ne dirais rien. Il va me prendre pour une dévergondée, une nana qui ne pense qu’à ça.

Mais non il te connait, il sait que tu es nature, j’ose espérer pas autant que lui. Que tu n’a pas ta langue dans ta poche. Sauf en classe.

Au faite tu sais que tu as manqué te réveiller avec ta belle-sœur dans ton lit.

Mais elle a refusée.

En te voyant maintenant dans l’état où tu es, je réalise qu’elle a eut tout à fait raison.


Tu joues à quoi là ? Tu veux mettre ta sœur dans mon lit ? Si tu veux on peut simplifier. Puisque sa ne te gêne pas plus que ça. Tout juste si tu en as pas envie, on peut essayer quelque chose, qui devrait te plaire, chaude comme tu es là, vue ton regard de braise qui me dévore.

Je me dirige vers le lit, de son côté, soulève la couette.

Oups elles sont nues toutes les deux, je pensais qu’elles avaient au moins mis un sous vêtements, une culotte, ou autres choses. Je suis aussi surpris qu’elles.

Wouah, mais quelle vision, elles sont toutes les deux adossées sur les coussins.
Ma femme en train d’allaiter, les cuisses écartées, son petit minou complètement rasé, bien en vue.
Magalie, les bras le long du corps, les cuisses aussi écartées que celle de ma femme, sa petite chatte toujours aussi blonde, brille, comme si elle mouillait. Purée tu exagère, tu as vue dans qu’elle tenue elles sont, dans quelle tenue tu es ? Tant pis je continue sur ma lancée. Ca va être chaud bouillant, si quelqu’un fait un geste malencontreux, enfin qui sait.


En même temps que j’enjambe ma femme qui allaite toujours, je voie les jambes des deux puces qui commencent à se refermer sur leur adorable petite chatte. Est-ce involontaire de leurs parts, ou voulu, elle s’écarte comme pour me laisser une place entre elles.

Je m’installe entre les deux sœurs, rabat la couette, passe mes bras dans leurs dos. Je me retrouve sans le vouloir avec un sein dans chaque main. Heureusement ma femme ne se rend compte de rien. Magalie réalisant s’enfonce dans le coussin pour masquer ma main qui a empaumer un des ses seins.

Je recommence à jouer avec le feu, je ne peux m’empêcher de prendre ces tétons qui sont à portés de mes doigts et de jouer avec. Je relève mes genoux, mon érection n’est plus discrète, le fait d’avoir un sein de chacune de mes chéries en main, de sentir leurs tétons réagir à mes caresses, je me retrouve avec une érection d’enfer. La vision que j’ai eut m’a fait un effet pas possible. Je les embrasse sur la joue.


Je pense que c’est mieux comme ça. C’est vrai qu’entre vous deux, c’est super agréable. En plus le lit est bien chaud. Et vue votre tenue, il le restera. Tu as eut une bonne idée ma chérie.

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vivement la suite :cinglé:
DeLsEp9

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Je recommence à jouer avec le feu, je ne peux m’empêcher de prendre ces tétons qui sont à portés de mes doigts et de jouer avec. Je relève mes genoux, mon érection n’est plus discrète, le fait d’avoir un sein de chacune de mes chéries en main, de sentir leurs tétons réagir à mes caresses, je me retrouve avec une érection d’enfer. La vision que j’ai eut m’a fait un effet pas possible. Je les embrasse sur la joue.


Je pense que c’est mieux comme ça. C’est vrai qu’entre vous deux, c’est super agréable. En plus le lit est bien chaud. Et vue votre tenue, il le restera. Tu as eut une bonne idée ma chérie.

-/-


Je commence à rire, Le petit sursaute, et lâche le téton de sa mère. Sabine le cajole, il reprend le téton et continue de téter.

Aucune des deux ne me semble complexée. La couette est sur leurs jambes, il y a un étalage de poitrine des plus affriolants. J’ai surtout l’impression qu’elles ne réalisent pas. Je sens leurs cuisses contre les miennes. Magalie, semble complètement abasourdi, enfin pas autant que cela. Elle a encore ses mains sous la couette. Je sens ses doigts sur mes fesses. Ses doigts commencent à remonter doucement vers ma hanche. Je regarde discrètement du côté de ma femme, ses deux mains sont occupées avec le petit, qu’elle ne lâche pas des yeux. Est-ce volontaire, pour ne pas voir ce qui se passe, à côté !!!

Je ne bande plus, c’est le Fuji-Yama et l’Etna réuni. Je suis dans un état que je n’ai jamais connu, dans un état indescriptible. Il ne faudrait pas qu’une des deux s’avise de me toucher, je ne sais pas si je pourrais me retenir. Je sens le bout des doigts de Magalie qui effleurent mon sexe. Ils pianotent sur mon gland qui est décalotté. J’enlève ma main de la poitrine de Magalie, son téton est dur comme du bois, et la pose discrètement sur la tête de lit, bien en évidence. Sa main caresse mon sexe, limite si elle ne me masturbe pas, et Sabine, qui ne semble rien voir.


Non arrête, sa va mal finir, je vais exploser si tu continue. Elle n’est pas possible, elle veut vraiment que sa explose, elle me caresse avec sa sœur à côté, elle est dans la provoque pure et dure. Elle joue avec mes nerfs.

Je voie les deux sœurs qui avancent la tête et se regardent. Leur regard et à la foi narquois, paniqué, et rieur.

Je les embrasse tendrement chacune sur la joue.

Je me lève, passe par-dessus ma belle sœur, et sort du lit. Je me mets derrière le pied de lit, pour cacher ma virilité qui est au bord d’exploser. Elles rient de bon cœur de la blague que je viens de faire. Je me penche au dessus du pied de lit, pendant qu’elles remettent la couette en place.


Merci pour la belle vision, pour la vision de rêve, que vous m’avez offert, je vais faire des rêves, les plus cochons que je n’ais jamais fait.

En cœur les deux sœurs me disent :

Co chon

Elles se regardent et pouffent de rire.
Je me dirige vers l’autre chambre en faisant danser mes fesses. Arrivé à la porte, je me retourne et leur envoi deux baisers.


Bonne nuit mes amours. Hum, je vais rêver de …. Non c’est trop chaud pour en parler. Je ne vais plus savoir me tenir. Je risque de venir reprendre cette place si chaude entre vous deux.

Je les voie sourire, et remarque comme un regret dans leurs yeux.

Peut de temps après ma femme me rejoint. Elle me dit que sa sœur est d’accord de nous laisser sa chambre pour les prochaines quatre heures.
Elle s’allonge, pose sa tête sur mon torse.


Je sais que tu as de l’humour, limite sans gêne, mais là te mettre à poil entre les deux frangines t’es culotté.
En plus on était nues toutes les deux. Ca va tu t’es bien rincer l’œil. En plus tu as vue dans quel état tu étais, en sortant du lit. Tu bandais comme un âne. Je ne l’ai jamais vue aussi énorme, à croire que de voir nos deux chattes, t’as amené des envies inavouées, voir inavouables.
T’es un sacré numéro.


Tu as bien essayer de mettre ta sœur dans mon lit, et tu m’as dit je cite :

Pas de complexe elle m’a dit, il y a cinq minutes, qu’elle a déjà vue un sexe d’homme et même un beau elle a dit.

Elle me regarde et souri.

En plus tu peux dire ce que tu veux mais ça t’a fait de l’effet d’être assis entre nous deux. Et la visions de nos deux corps nues, de nos chattes t’a émoustillé mon cochon.

Se n’était pas la peine en sortant du lit de lui mettre le tien devant les yeux. Tu bandais tellement que tu as manqué lui mettre dans la figure.

Ta petite danse sexy en sortant, s’était adorable.

La frangine était pliée.


Il a un beau petit cul mon beauf.

Je savais qu’il avait de l’humour, mais là toi et moi il nous a bluffé. Se mettre entre nous deux à poil, en plus on est nues, on lui étale nos chattes. Je savais plus ou me mettre, et s’il était sérieux ou pas.

Puis en passant au-dessus de moi il manque me mettre son truc dans la figure, maintenant sa danse des fesses, il est trop. T’as vraiment tiré le gros lot.


C’est simple, s’il nous refait le coup du lit et qu’il repasse devant tu mords dedans.

Mais ça doit faire mal !!!

On s’est regardé et on a éclaté de rire. On avait mal aux côtes, le petit n’arrivait plus à téter. On s’est vite calmé.

En même temps que nous parlions sa main s’était égaré sur mon pénis et me masturbait doucement.

Faut quand même que je te dise, la frangine elle m’a demandé pourquoi tu avais une morsure sur l’épaule, et que tu étais griffé sur la poitrine. J’ai vue quand tu es rentré que je ne t’avais pas loupé. Si s’était pendant qu’on avait fait l’amour que je t’avais mordu et griffé ?

Parce qu’elle le sait ?

Elle nous a entendus. Il parait que nous n’avons pas était discret, mais alors pas du tout.
Elle m’a dit heureusement que maman dort devant la télé.


Et ?

Rien !!! Mais faudra être un peut plus discret.

Nous nous endormons, je sens une main qui me secoue doucement, j’ouvre les yeux. Un regard d’ange est fixé sur moi. Elle me dépose un petit baiser sur mes lèvres.

Ma sœur est en train d’allaiter, tu la rejoins, je reprends mon lit, avec tes odeurs je vais dormir comme un bébé.

Je me lève. Je voie ses yeux se baisser.

C’est tout l’effet que je te fais. Tout à l’heure devant nos deux minous tu étais plus fier.

Je me dirige vers la porte, elle me rattrape, me plaque contre le mur et m’embrasse violement, en me caressant, elle se baisse, prends mon sexe en bouche, commence à le sucer, le lécher, le mordiller. Je me retrouve très vite, avec une érection d’enfer. Elle l’embrasse, se relève.

Voilà tu es présentable comme cela. Je t’aime mon amour. Dort bien mon cœur.

Elle fait demi-tour et se couche. Je ferme sa porte, j’arrive dans notre chambre.

T’es encore tout nu, ça va tu es presque présentable, enfin tu bandes mais pas autant qu’avant.

Je me couche, ma femme couche le petit, me rejoint et nous nous endormons, dans les bras l’un de l’autre. Je me réveille, Il est 9h45. Tiens ma femme ne m’a pas réveillé pour les tétés. Et en plus je n’ai rien entendu. Avec ce qui s’est passé depuis deux jours ça ne m’étonne pas. A ce rythme, elles vont avoir ma peau.

J’ai dormis plus longtemps que d’habitude. Quelqu’un toc à la porte.


Oui.

C’est le petit dej.

Entre.

Magalie arrive avec un plateau rempli. Le pose sur une chaise, s’approche m’embrasse avec passion.

Je réponds à son baisé tout aussi passionnément.


Fait attention si quelqu’un arrivé.

Pas de risque maman ta femme et ton fils sont à la messe de 9h30.

Je la prends par la main et l’attire sur le lit, nous nous embrassons, nos langues se mêlent. Je la bascule en arrière, je caresse, ses seins.
Ils sont toujours aussi fermes et dur. Ses tétons droits sont comme des I, je les embrasse à travers le tissu. Elle soulève son tee-shirt ouvre son soutien gorge, me présentent ses seins. Je lèche son téton déjà bien érigé. Je passe ma langue sur son aréole. Ma main pince son autre téton. Elle gémit.


J’adore quand tu me fais ça, mais calme toi, sinon faudra que je change de jupe. Tu me fais un effet pas possible.

Ma main descends, passe sous sa jupe, je remonte doucement en lui caressant l’intérieure des cuisses. Elle ne porte pas de culotte. Elle souri, quand elle sent ma main se poser sur son clitoris, et commencer doucement à le masser. Je sens sa mouille qui commence à être abondante. Elle prend mon sexe en main et l’embrasse. Lèche le gland. Se relève. Remet de l’ordre dans sa tenue.
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Re: Secret de famille

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la suite stp stp stp stp stp
DeLsEp9

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J’adore quand tu me fais ça, mais calme toi, sinon faudra que je change de jupe. Tu me fais un effet pas possible.

Ma main descends, passe sous sa jupe, je remonte doucement en lui caressant l’intérieure des cuisses. Elle ne porte pas de culotte. Elle souri, quand elle sent ma main se poser sur son clitoris, et commencer doucement à le masser. Je sens sa mouille qui commence à être abondante. Elle prend mon sexe en main et l’embrasse. Lèche le gland. Se relève. Remet de l’ordre dans sa tenue.

-/-



J’ai décidé que je ne porte plus de culotte, tant que tu es là. On arrête sinon faudra que je me change, je sens déjà que je commence à mouiller.

Seulement commencer dis je en souriant. Soit tu ne porte plus de culotte, et ce tout le temps, ou alors ce n’est pas la peine.

T’es vraiment pas possible. D’accord, une dans le sac, et rien d’autre.

Elle rapproche la chaise au bord du lit, le plateau à côté de moi.

Je me sers mon sempiternel café noire. Le bois.


Tiens, sans avoir bu ton café tu es charmant. Je suis ton café matinale ? Pourtant se matin tu ne m’as pas but, pas à ma source. Elle souri de la répartie qu’elle vient de faire.

Si j’ai bu à tes lèvres, mon amour.

Le mot est encore lâché, il est sorti sans que je le veuille, normalement. Elle souri, elle encaisse le mot, elle le mâche, elle le digère. Ce mot qu’elle me semble attendre toujours de mes lèvres. Ce mot qu’elle me dit ressentir depuis si longtemps pour moi. Et qu’elle sait qu’elle à compris que je ressens vraiment pour elle.

Elle me regarde avec des yeux humides, tendre, je lui tends la main, elle vient. Je la prends dans mes bras et dépose de légers baisers sur ses paupières, sa bouche. Je la sens frémir contre moi. Je la sers contre moi, tendrement, amoureusement.

Je t’aime. Je suis bien dans tes bras. J’aime me réfugier dans tes bras.

Elle me regarde et m’embrasse doucement, tendrement.

Tu sais j’ai jouie en même temps que vous cette nuit, ça a était violent et sublime.

J’étais derrière la porte sur le palier j’ai tout entendu, je t’ai entendu gémir de plaisir, ma sœur gémir, hurler, et moi je devenais folle de vous entendre.

J’ai jouie presque aussi violement que la dernière fois. Je me mordais la main pour ne pas crier, ne pas hurler mon plaisir.

C’est comme si tu m’avais fait l’amour. Je sentais ton sexe en moi. Je le sentais me pénétrer, me remplir, me combler de bonheur. S’était complètement fou, complètement irréel.


Elle me montre sa main où je devine encore la trace de ses dents.

Tu ne peux pas savoir comme je suis heureuse. Heureuse que tu te retrouves avec ta femme, avec ma soeur. Heureuse que l’on soit ensemble.

Je sais que l’on restera ensemble. Que tu resteras avec Sabine. Que tu resteras avec Moi. Tout simplement tu resteras avec tes deux amours.


Je la regarde ébahis qu’elle me dise cela aussi naturellement sans aucune animosité, si simplement. Je prends sa tête et l’embrasse passionnément.

Nos langues se cherchent, se trouvent, s’emmêlent se provoquent, c’est une explosion de nos papilles sensitives, de nos terminaisons nerveuses.

Il n’y a rien de sexuel, de physique, juste un bien être, une envie de contact, de s’effleurer. Nos mains ne cherchent même pas nos corps. Elles sont simplement posées soit derrière nos nuques, soit sur nos flancs. A se toucher mutuellement, avec une infinie douceur.

Nous entendons, les voix de belle-maman, et de ma moitié par la fenêtre de la chambre qui est ouverte.

La petite puce, va pour sortir de la chambre, je lui faits signe de se rasseoir.
Je me ressers un café, trempe un croissant frais. Le mange en le dégustant. J’entends des pas dans l’escalier.


C’est gentil de m’avoir monté le plateau. C’est toi qui as fait le café et cherché les croissants ?

Oui. J’y suis allé à 7h dés que je me suis levé. C’est ta femme qui a fait le café. Je ne sais pas encore bien le faire.

C’est adorable, de penser à nous chercher des croissants, tu as mangé ?

Ma femme le petit dans les bras et sa mère entre dans la chambre.

Tiens son altesse petit-déjeune. La cour de son altesse arrive de l’église. Monsignor, a fait un sermon sur la pauvreté, la richesse de l’âme.

Sur l’infidélité conjugale, et les relations dans les couples. Mon Jacques nous sommes des pêcheurs. De très grands pêcheurs. L’enfer nous tend les bras. Les flammes de Satan, vont nous rôtir les fesses.


Ma belle-mère la regarde éberluée. J’ai l’impression que le ciel lui tombe sur la tête, que la terre s’ouvre sous ses pieds.

Nous couchons non pour procréer, mais pour le plaisir. Nous risquons la damnation, l’excommunication.

Et je ne ta parle pas des préservatifs. Notre bon Pape en a interdit l’usage. Là on ne risque pas grand-chose, on ne s’en sert pas. Mais la pilule ce n’est pas mieux.


Ma belle-mère la regarde catastrophée. Elle est complètement abasourdie.

On lui aurait annoncé la mort de Mitterrand, qu’elle ne serait pas senti plus concerné.


Mais tu te rends compte de ce que tu dis, et devant la petite. Tu pourrais faire attention. Ce ne sont pas de choses de son âge.

Maman, il faut que tu te mettes au gout du jour, si tu savais le nombre de filles de la l’âge de Magalie qui ont déjà couchées, sans compté toutes celles qui ont déjà un enfant sans père.

Soit tranquille ce n’est pas son cas. Je l’ai emmenée chez mon gynéco il y a peut de temps, pour un contrôle.
D’ailleurs toi aussi il faudrait que tu y aille. Tu es dans une tranche d’âge à risque. Ce n’est pas sérieux.


Ma belle-mère me regarde, elle est rouge comme une pivoine. Pas aussi à l’aise que cela la belle-mère. Il y aurait un trou de souris, elle se cacherait dedans.

Excuse moi ma chérie, mais tu gêne ta maman. Attends que je ne sois pas là pour parler de cela avec elle. Ce sont des choses, dont sa génération ne parle pas devant les hommes.

Je voie ma belle-mère, qui souffle, qui reprend sa respiration. Son regard me remercie, d’être intervenue. Elle n’en pouvait plus. Elle était au bord d’une crise d’apoplexie.

Bon ce n’est pas tout. On papote, on papote. Et son altesse n’a pas fini son café.

Au faîte, je m’excuse belle maman mais je dors tout nu, je ne me lève pas pour vous embrasser. Mais enfin, si vous y tenais.

Je fais mine de soulever la couette à l’opposer de l’endroit où elles se trouvent.

Non, non ça va, tu me feras la bise quand tu seras habillé.

Bon la puce tu as mangé ou pas ce matin tu ne m’as pas répondu avec tout ce petit monde, qui papote.

Non, je n’ai pas mangé, tu sais moi le petit dej c’est rare.

Tu apprendras, si tu viens chez nous, mais je pense que maman sera d’accord, elle est compréhensive, elle sait ce qu’il faut faire pour l’intérêt de sa fille, pour que sa fille est un bon métier. N’est ce pas belle-maman ?

Ma belle-mère me regarde interloquée.

Je ne veux pas vous forcer la main, vous en parlerez avec ma femme demain, tranquillement. Je pense connaitre votre réponse, vous savez ce qu’il faut faire dans l’intérêt de vos enfants.

Bon alors tu apprendras que chez nous, n’est ce pas ma chérie dis je en direction de ma femme, chez nous on petit déjeune ensemble. Et il n’est pas question que tu déroges à la règle.

Approche ta chaise, bois un café et mange un de ses croissants que tu as ramené avec amour.


Pendant toute la discussion je voie le regard de ma femme qui s’est assise, enfin, qui s’est plutôt écroulée sur une chaise, passé de sa mère à moi.

Elle est out, groggy, ma moitié. J’appelle sa mère, maman. Il y encore deux jours nous nous serions gentiment étripés avec des couteaux rouillés, pour être certain que l’un de nous deux y reste.

Là, nous sommes d’une gentillesse rare l’un vis-à-vis de l’autre. Elle ne comprend plus rien. Il est vrai que moi depuis hier j’ai arrêté de chercher à comprendre. J’y vais au feeling, au pif, à l’intuition.


Il est tard on mange dans 2 heures.

Ce n’est pas un café et un croissant qui vont te couper la faim, et te faire grossir.
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