alors après la discution sur les couettes que j'ai pu voir !! voici la mienne....
Tu verras ma cédille, tu verras les couettes autrement
LA COUETTE
Sur le chemin de mon lit
La couette s'étale
Langoureuse et insoumise
Elle me détaille
Allongé nue sur le drap
Elle se glisse tout contre moi
Le poids m'étouffe un peu
Mais sa douceur m'emporte
Une chaleur m’envahit
Comme plusieurs bras puissant
Se serrant contre moi
M'emprisonnant dans leurs tourbillons
Légèreté de la plume
Pourtant, si lourd contre mes seins
Frottant sans discontinue
Les bourgeons de ma poitrine
Sentir sur mon ventre
La douceur de sa soie
Me rappelle souvent
Le feu de sa main viril
Me mettre sur le ventre
Me feras oublier un instant
Le doux contact de son emprise
Me rappelant mon maitre chéri
Mes seins contre le matelas
La couette continue de m'envahir
Elle frotte le bas de mes reins
Et mes fesses répondent à son contact
Petite putain qui ne cherche
Que le plaisir de sa chaleur
Relève les fesses
Pour plus de sensation
Cela suffit
Je dois me contenir
Et me tourner
Pour que cela finisse
Mais la couette n'est pas d'accord
Me voilà prisonnière
De sa force et de ses plumes
Doux contraste de la douceur et de la force
Je m'imagine
Sous la pression de cette enveloppe
N'être attaché que par les chaînes
De mon maitre chéri
Que doit-je faire ?
M'en extraire, ou me laisser envahir ?
Chercher le sommeil coincé ainsi ?
Ou simplement le plaisir ?
Ma main glisse le long de ma cuisse
La couette très heureuse
Force un peu plus sur le dos de main
Qu’essai-t-elle de faire ?
Sous son emprise mes doigts
Entre bien plus vite dans mon humidité
Elle les empêche de ressortir
Je suis prisonnière de sa force
Sentir le poids de ses plumes
Sur ma main en mouvement
J'imagine mon maitre
La tête entre mes cuisses
Comme le poids de ses mains
Sur mes fesses qu'il maintiens
Mon imagination s'enflamme
Ma couette m'étreint
Doux mouvement de mes hanches
Coincé contre les plumes
Mes doigts titille
Mon bourgeon enflammé
Mes tétons dardés
Par cette danse endiablée
Frotte avec violence
Le tissu imprimé
Sous la pression du plaisir
Une force m’envahit
Projetant sans délais
La couette sur le parquet
Mon corps nu et libéré
De cette emprise de fantasme
Repose épuisé
De cette bagarre effrénée
Sentir la douce fraicheur
Du soir sur ma peau nue
Me fait chavirer
Oh non cela suffit
Ce n'est pas la couette
Qui m'excitait ainsi
Ce n'est pas la fraicheur
Qui maintenant, me porte
Je le sais maintenant
Seulement le doux plaisir
De la pensée de mon maitre
Si loin de moi et qui me manque
Vite couette, reviens ici
Me réchauffer de ta présence
Pour me rappeler la sienne
Si présente en moi