
Les 'one shot'
Re: Les 'one shot'
Le temps viendra où il se lâchera vraiment
Le temps viendra où il la battra méchamment
Elle a choisi cette vie d'esclave au quotidien
Elle a voulu vivre pour son maitre tel un chien
Fait elle ce qu'il faut pour cela?
Se donne t elle totalement pour ça?
Les mots sont plus faciles que les actes
Pourtant il avait prévenu avec tact
Qu’elle était loin du compte, loin de ses envies
Qu’il n'attendrait certainement pas toute sa vie.
Voilà, le temps était passé, il était trop tard
Ce soir là, la nuit était noire tout comme son regard
Elle avait encore une fois failli
Sa colère sans limite a jailli
Une peur immense l'envahi comme jamais
Elle connaissait ces yeux, ce visage fermé
Ses cris couvraient le bruit mat des coups
Ses mains fermes s'étaient refermées sur son cou
Le temps viendra où il la battra méchamment
Elle a choisi cette vie d'esclave au quotidien
Elle a voulu vivre pour son maitre tel un chien
Fait elle ce qu'il faut pour cela?
Se donne t elle totalement pour ça?
Les mots sont plus faciles que les actes
Pourtant il avait prévenu avec tact
Qu’elle était loin du compte, loin de ses envies
Qu’il n'attendrait certainement pas toute sa vie.
Voilà, le temps était passé, il était trop tard
Ce soir là, la nuit était noire tout comme son regard
Elle avait encore une fois failli
Sa colère sans limite a jailli
Une peur immense l'envahi comme jamais
Elle connaissait ces yeux, ce visage fermé
Ses cris couvraient le bruit mat des coups
Ses mains fermes s'étaient refermées sur son cou
Re: Les 'one shot'
Trés beau Eclipses !!
Ceci dit , j'ai fais un tour sur ton blog , et mon préféré reste "Sang"
Ceci dit , j'ai fais un tour sur ton blog , et mon préféré reste "Sang"

Re: Les 'one shot'
Merci TagadaTagada93 a écrit :Trés beau Eclipses !!
Ceci dit , j'ai fais un tour sur ton blog , et mon préféré reste "Sang"
Re: Les 'one shot'
Merci ,Dom_Tatto_Paris a écrit :Très joli poème Tagada ...
Ca donne envie d'exacerber la douleur de la vie !
Oui exacerber la douleur . . .

Re: Les 'one shot'
Tic… Le ventricule droit la joue tactique
Tac… Le ventricule gauche part à l’attaque
Tic… Mon impatience est frénétique
Tac… Ce premier rendez-vous : le trac
Pif… Tu t’échoues sur moi comme sur un récif
Paf … Nos regards signent le même paraphe
Pif… Nos lèvres s’embrassent à l’impératif
Paf… Déjà nos sens partent en carafe
Ding… Nos bassins dansent déjà un swing
Dong… Quand un passant à la vue trop longue
Ding… Me surprend à soulever ton string
Dong… C’est l’orage qui nous sauve sur le gong
Zip… Dès l’ascenseur tu me dézippes
Zap… Dans la chambre, on franchit le cap
Zip… Le grand voyage, le vrai trip
Zap… De deux amants qui se kidnappent
Tac… Le ventricule gauche part à l’attaque
Tic… Mon impatience est frénétique
Tac… Ce premier rendez-vous : le trac
Pif… Tu t’échoues sur moi comme sur un récif
Paf … Nos regards signent le même paraphe
Pif… Nos lèvres s’embrassent à l’impératif
Paf… Déjà nos sens partent en carafe
Ding… Nos bassins dansent déjà un swing
Dong… Quand un passant à la vue trop longue
Ding… Me surprend à soulever ton string
Dong… C’est l’orage qui nous sauve sur le gong
Zip… Dès l’ascenseur tu me dézippes
Zap… Dans la chambre, on franchit le cap
Zip… Le grand voyage, le vrai trip
Zap… De deux amants qui se kidnappent
Re: Les 'one shot'
sirhup a écrit :Tic… Le ventricule droit la joue tactique
Tac… Le ventricule gauche part à l’attaque
Tic… Mon impatience est frénétique
Tac… Ce premier rendez-vous : le trac
Pif… Tu t’échoues sur moi comme sur un récif
Paf … Nos regards signent le même paraphe
Pif… Nos lèvres s’embrassent à l’impératif
Paf… Déjà nos sens partent en carafe
Ding… Nos bassins dansent déjà un swing
Dong… Quand un passant à la vue trop longue
Ding… Me surprend à soulever ton string
Dong… C’est l’orage qui nous sauve sur le gong
Zip… Dès l’ascenseur tu me dézippes
Zap… Dans la chambre, on franchit le cap
Zip… Le grand voyage, le vrai trip
Zap… De deux amants qui se kidnappent





Re: Les 'one shot'
Très jolie Sir Eclispes : toujours ce frisson glaciale qui me transperce en te lisant 
Callie et Tagada et Sirhup aussi

Callie et Tagada et Sirhup aussi

Re: Les 'one shot'
Merci CedilleCedille92 a écrit :Très jolie Sir Eclispes : toujours ce frisson glaciale qui me transperce en te lisant
Callie et Tagada et Sirhup aussi

Bah quoiParlevis a écrit :
![]()

Re: Les 'one shot'
Merci EclipsesEclipses a écrit :superbe sirhup.
un nouveau style littéraire est lancé
je dis bravo
Merci et bises aussi à Callie et Volup'

Re: Les 'one shot'
tu t'es trompé, c'est Cedille, pas Calliesirhup a écrit :
Merci Eclipses
Merci et bises aussi à Callie et Volup'


Re: Les 'one shot'
En écriture automatique, j'ai toujours préféré le papier duquel le porte-plume ne décolle pas au clavier que les doigts n'arrêtent jamais de pianoter. Mais bon... n'ai pas pu réprouver ce besoin, cette envie. C'est parti tout seul...
J'avais bâti des murailles plus hautes et plus épaisses que celles du grand Krach des Chevaliers du Temple. J'avais construit des tours afin de guetter la moindre approche et la repousser. J'avais même préparé des potions nauséabondes afin de les verser sur les assaillants via les meurtrières. Je m'étais érigé un fort imprenable. Un bastion armé à tous les étages, toutes les échancrures. J'avais fait détruire le pont-levis devant une décuple rangée de grilles. J'en avais ensuite fait fondre toutes les clés. Je m'étais emmuré. Je me croyais protégé de tout. J'avais même fais enfermer dans le donjon mon romantisme, par trop pillé et blessé dans des contrées où j'avais osé m'aventurer, et mon esprit aventurier et la passion. Après avoir fait tout cela, j'avais brûlé dans la cour du château tous mes écrits, tous. Et puis, un genou au sol face à feu symbolique, fait le serment que ces mains, les miennes, ne céderaient plus à aucun élan de ce genre.
Fini!
Aujourd'hui, où sont ces murailles, ce grand Krach, ces tours de guet, ces meurtrières, ce fort, ce bastion, ces armes de protection, ces grilles, ce donjon? Des miettes ! Tout est abattu, vaincu, conquis, dévasté. Et le serment? Parjuré.
Il aura suffi d'une fissure, une seule. Oh! Pas bien grande au début mais elle a directement attiré mon attention tout de même. Plutôt que la réparer, je l'ai d'abord regardée. Comme fasciné par ces courbes qui venaient embellir ma citadelle. Je suis resté là à la regarder encore. Parfois, je m'approchais pour la voir de plus près. Elle était trop fine pour désintégrer un tel édifice. Au contraire, elle l'enjolivait. J'aurais dû me méfier? Peut-être. Mais en avais-je envie seulement? Il me faut bien l'admettre maintenant: je l'ai aidée à grandir. Et la fissure est devenue faille. Elle offrait ainsi une vue sur ma cour intérieure. Ce petit risque, ce petit jeu est venu égayer l'existence paisible de mon refuge. Je me suis surpris à aller jusqu'à la porte d'entrée du donjon une première fois. Juste regarder dans l'oeillet si mon romantisme y était toujours bien enfermé. Et il y était. Recroquevillé dans la pénombre, couvert de poussière et amaigri. A ma deuxième visite, j'ai ouvert la porte, fais quelques pas dans le cachot. Un pas de trop. Le prisonnier, ce mourant, s'est levé tel un diable et m'a sauté à la gorge. Mon coeur battait la chamade, mes bras se sont contractés et mes genoux plantés dans les pavés du cachot traînaient mon corps vers l'extérieur.
Je me suis relevé, sans dire mot, avec une seule envie: libérer les autres prisonniers. A chaque fois que je libérais l'un d'eux, le cachot disparaissait et puis, rapidement, le donjon tout entier. Revenu dans la cour principale, j'étais irrémédiablement attiré par cette faille qui avait désormais éventré de part en part toute la citadelle. Elle exerçait sur moi une attraction incompressible. Je n'ai pas marché... J'ai couru. Je crois même avoir volé. Surtout au moment de la franchir.
Et j'ai assisté, de la colline voisine à la volatilisation des tours, des meurtrières, des grilles et de toutes les murailles. En souriant. Béatement.
J'avais bâti des murailles plus hautes et plus épaisses que celles du grand Krach des Chevaliers du Temple. J'avais construit des tours afin de guetter la moindre approche et la repousser. J'avais même préparé des potions nauséabondes afin de les verser sur les assaillants via les meurtrières. Je m'étais érigé un fort imprenable. Un bastion armé à tous les étages, toutes les échancrures. J'avais fait détruire le pont-levis devant une décuple rangée de grilles. J'en avais ensuite fait fondre toutes les clés. Je m'étais emmuré. Je me croyais protégé de tout. J'avais même fais enfermer dans le donjon mon romantisme, par trop pillé et blessé dans des contrées où j'avais osé m'aventurer, et mon esprit aventurier et la passion. Après avoir fait tout cela, j'avais brûlé dans la cour du château tous mes écrits, tous. Et puis, un genou au sol face à feu symbolique, fait le serment que ces mains, les miennes, ne céderaient plus à aucun élan de ce genre.
Fini!
Aujourd'hui, où sont ces murailles, ce grand Krach, ces tours de guet, ces meurtrières, ce fort, ce bastion, ces armes de protection, ces grilles, ce donjon? Des miettes ! Tout est abattu, vaincu, conquis, dévasté. Et le serment? Parjuré.
Il aura suffi d'une fissure, une seule. Oh! Pas bien grande au début mais elle a directement attiré mon attention tout de même. Plutôt que la réparer, je l'ai d'abord regardée. Comme fasciné par ces courbes qui venaient embellir ma citadelle. Je suis resté là à la regarder encore. Parfois, je m'approchais pour la voir de plus près. Elle était trop fine pour désintégrer un tel édifice. Au contraire, elle l'enjolivait. J'aurais dû me méfier? Peut-être. Mais en avais-je envie seulement? Il me faut bien l'admettre maintenant: je l'ai aidée à grandir. Et la fissure est devenue faille. Elle offrait ainsi une vue sur ma cour intérieure. Ce petit risque, ce petit jeu est venu égayer l'existence paisible de mon refuge. Je me suis surpris à aller jusqu'à la porte d'entrée du donjon une première fois. Juste regarder dans l'oeillet si mon romantisme y était toujours bien enfermé. Et il y était. Recroquevillé dans la pénombre, couvert de poussière et amaigri. A ma deuxième visite, j'ai ouvert la porte, fais quelques pas dans le cachot. Un pas de trop. Le prisonnier, ce mourant, s'est levé tel un diable et m'a sauté à la gorge. Mon coeur battait la chamade, mes bras se sont contractés et mes genoux plantés dans les pavés du cachot traînaient mon corps vers l'extérieur.
Je me suis relevé, sans dire mot, avec une seule envie: libérer les autres prisonniers. A chaque fois que je libérais l'un d'eux, le cachot disparaissait et puis, rapidement, le donjon tout entier. Revenu dans la cour principale, j'étais irrémédiablement attiré par cette faille qui avait désormais éventré de part en part toute la citadelle. Elle exerçait sur moi une attraction incompressible. Je n'ai pas marché... J'ai couru. Je crois même avoir volé. Surtout au moment de la franchir.
Et j'ai assisté, de la colline voisine à la volatilisation des tours, des meurtrières, des grilles et de toutes les murailles. En souriant. Béatement.
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Re: Les 'one shot'
J'aime bien, c'est trés trés bien écrit toussa toussa 
Mais j'suis... euh... j'sais pas... ça me fait bizarre...

Mais j'suis... euh... j'sais pas... ça me fait bizarre...
Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Les 'one shot'
Bikette a écrit :J'aime bien, c'est trés trés bien écrit toussa toussa
Mais j'suis... euh... j'sais pas... ça me fait bizarre...
Merci.
Pour le reste, je peux tenter l'exercice plus dans le ton du post, c-à-d dans le registre plus sexy. Ici, c'est l'imagerie choisie et du laisser-aller total. Mais, promis, je reviens dans le ton plus connoté du post... C'est vrai que je me rends compte que ça dénote avec le reste...

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Re: Les 'one shot'
Nan nan nan nan, il est trés bien comme il est ton texte !!!! Au contaire, ça apporte une fraicheur, un souffle d'air plus frais pas désagréables du tout à dire vrai 
Mais c'est pas ça qui me gène

Mais c'est pas ça qui me gène

Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Les 'one shot'
Pas sexy, pas joyeux, juste une tranche de vie passée, cette gamine qui pleure en silence et à qui je dis doucement adieu pour renaître et avancer:
"Qui nous a dit un jour
Que le cœur des enfants était précieux
Personne pour s’élever quand les nôtres ont été piétinés
Qui nous a dit un jour
Que leur innocence devait être chérie
Quand personne n’était là pour entendre nos cris
Seul le silence a fait écho
Au son de nos pleurs, au bruit de nos maux
Nos rêves brisés jonchent le sol
Reflétant la peur qui se peignait
Quand de nous, leurs pas se rapprochaient
Nos yeux fermés pour ne pas voir, ne surtout pas se rappeler
Envolés dans un autre monde, jusqu’à ce qu’ils aient terminé…
Qui a dit un jour que l’enfance était paradis
Quand ils nous atteignaient dans notre chair
Pavant à jamais notre route vers l’enfer
Nos illusions perdues… en avons-nous jamais eues…"
"Qui nous a dit un jour
Que le cœur des enfants était précieux
Personne pour s’élever quand les nôtres ont été piétinés
Qui nous a dit un jour
Que leur innocence devait être chérie
Quand personne n’était là pour entendre nos cris
Seul le silence a fait écho
Au son de nos pleurs, au bruit de nos maux
Nos rêves brisés jonchent le sol
Reflétant la peur qui se peignait
Quand de nous, leurs pas se rapprochaient
Nos yeux fermés pour ne pas voir, ne surtout pas se rappeler
Envolés dans un autre monde, jusqu’à ce qu’ils aient terminé…
Qui a dit un jour que l’enfance était paradis
Quand ils nous atteignaient dans notre chair
Pavant à jamais notre route vers l’enfer
Nos illusions perdues… en avons-nous jamais eues…"
Re: Les 'one shot'
Pour Callie
nous aimerions te dire des mots pour effacer tes maux
nous aimerions te montrer le ciel bleu et voir les étoiles dans tes yeux
nous aimerions te faire sourire pour secher tes larmes et entendre ton rire
nous aimerions te raconter de belles histoires et te faire oublier la tienne trop noire.
nous aimerions prendre ta douleur pour que tu trouves le bonheur
Eric et Lili
nous aimerions te dire des mots pour effacer tes maux
nous aimerions te montrer le ciel bleu et voir les étoiles dans tes yeux
nous aimerions te faire sourire pour secher tes larmes et entendre ton rire
nous aimerions te raconter de belles histoires et te faire oublier la tienne trop noire.
nous aimerions prendre ta douleur pour que tu trouves le bonheur
Eric et Lili
Re: Les 'one shot'
Eclipses a écrit :Pour Callie
nous aimerions te dire des mots pour effacer tes maux
nous aimerions te montrer le ciel bleu et voir les étoiles dans tes yeux
nous aimerions te faire sourire pour secher tes larmes et entendre ton rire
nous aimerions te raconter de belles histoires et te faire oublier la tienne trop noire.
nous aimerions prendre ta douleur pour que tu trouves le bonheur
Eric et Lili

Re: Les 'one shot'
Rien, ni personne ne se mettra entre nous.
Nous sommes pris pour des fous, des dangereux,
A quoi bon les écouter ?
Qui sont-ils pour juger ?
S’ils savaient….
S’ils savaient ce que nous partageons,
S’ils savaient à quel point nous nous aimons,
S’ils savaient qu’avant je ne vivais pas,
S’ils savaient à quel point vous m’avez fait grandir.
Nos histoires, ils ne la connaissent pas.
S’ils savaient que vous avez pansé mes blessures,
S’ils savaient que vous avez fait tomber mes barrières,
S’ils savaient que vous avez guérit mon âme.
S’ils savaient que vous m’avez libérée.
S’ils se savaient….alors ils n’oseraient pas.
L., plus forte que jamais
Nous sommes pris pour des fous, des dangereux,
A quoi bon les écouter ?
Qui sont-ils pour juger ?
S’ils savaient….
S’ils savaient ce que nous partageons,
S’ils savaient à quel point nous nous aimons,
S’ils savaient qu’avant je ne vivais pas,
S’ils savaient à quel point vous m’avez fait grandir.
Nos histoires, ils ne la connaissent pas.
S’ils savaient que vous avez pansé mes blessures,
S’ils savaient que vous avez fait tomber mes barrières,
S’ils savaient que vous avez guérit mon âme.
S’ils savaient que vous m’avez libérée.
S’ils se savaient….alors ils n’oseraient pas.
L., plus forte que jamais
Re: Les 'one shot'
Elle a écrit :Rien, ni personne ne se mettra entre nous.
Nous sommes pris pour des fous, des dangereux,
A quoi bon les écouter ?
Qui sont-ils pour juger ?
S’ils savaient….
S’ils savaient ce que nous partageons,
S’ils savaient à quel point nous nous aimons,
S’ils savaient qu’avant je ne vivais pas,
S’ils savaient à quel point vous m’avez fait grandir.
Nos histoires, ils ne la connaissent pas.
S’ils savaient que vous avez pansé mes blessures,
S’ils savaient que vous avez fait tomber mes barrières,
S’ils savaient que vous avez guérit mon âme.
S’ils savaient que vous m’avez libérée.
S’ils se savaient….alors ils n’oseraient pas.
L., plus forte que jamais
toujours aussi poignant tes mots

Re: Les 'one shot'
Callie a écrit :Pas sexy, pas joyeux, juste une tranche de vie passée, cette gamine qui pleure en silence et à qui je dis doucement adieu pour renaître et avancer:
"Qui nous a dit un jour
Que le cœur des enfants était précieux
Personne pour s’élever quand les nôtres ont été piétinés
Qui nous a dit un jour
Que leur innocence devait être chérie
Quand personne n’était là pour entendre nos cris
Seul le silence a fait écho
Au son de nos pleurs, au bruit de nos maux
Nos rêves brisés jonchent le sol
Reflétant la peur qui se peignait
Quand de nous, leurs pas se rapprochaient
Nos yeux fermés pour ne pas voir, ne surtout pas se rappeler
Envolés dans un autre monde, jusqu’à ce qu’ils aient terminé…
Qui a dit un jour que l’enfance était paradis
Quand ils nous atteignaient dans notre chair
Pavant à jamais notre route vers l’enfer
Nos illusions perdues… en avons-nous jamais eues…"

Re: Les 'one shot'
Elle a écrit :Rien, ni personne ne se mettra entre nous.
Nous sommes pris pour des fous, des dangereux,
A quoi bon les écouter ?
Qui sont-ils pour juger ?
S’ils savaient….
S’ils savaient ce que nous partageons,
S’ils savaient à quel point nous nous aimons,
S’ils savaient qu’avant je ne vivais pas,
S’ils savaient à quel point vous m’avez fait grandir.
Nos histoires, ils ne la connaissent pas.
S’ils savaient que vous avez pansé mes blessures,
S’ils savaient que vous avez fait tomber mes barrières,
S’ils savaient que vous avez guérit mon âme.
S’ils savaient que vous m’avez libérée.
S’ils se savaient….alors ils n’oseraient pas.
L., plus forte que jamais

Re: Les 'one shot'
Quand de deux, nous ne ferons plus qu'un
Quand de nos murs, nous aurons pris la possession
Quand enfin reunis, de nos plaisirs nous pourrons vivre
Quand enfin, à tout moment, je pourrais jouer avec mes instruments
Quand enfin, à tout instant, je pourrais sortir ta laisse ou ma cravache
Quand enfin, à chaque seconde, nous pourrons vivre comme nous le voulons
Quand enfin, tu seras à mes pieds...
Quand de nos murs, nous aurons pris la possession
Quand enfin reunis, de nos plaisirs nous pourrons vivre
Quand enfin, à tout moment, je pourrais jouer avec mes instruments
Quand enfin, à tout instant, je pourrais sortir ta laisse ou ma cravache
Quand enfin, à chaque seconde, nous pourrons vivre comme nous le voulons
Quand enfin, tu seras à mes pieds...
Re: Les 'one shot'
Solib75 a écrit :Quand de deux, nous ne ferons plus qu'un
Quand de nos murs, nous aurons pris la possession
Quand enfin reunis, de nos plaisirs nous pourrons vivre
Quand enfin, à tout moment, je pourrais jouer avec mes instruments
Quand enfin, à tout instant, je pourrais sortir ta laisse ou ma cravache
Quand enfin, à chaque seconde, nous pourrons vivre comme nous le voulons
Quand enfin, tu seras à mes pieds...







Re: Les 'one shot'
Et si...
Contre un mur..
Votre souffle dans ma nuque....
Votre corps pesant contre le mien...
Ma jambe enserrant votre taille...
Juste à me plaquer ouverte contre vous...
Et si...
Vos doigts venaient glisser entre mes lèvres...
A sentir mon envie couler...
Emmêler nos langues...
M'agripper, gémir d'impatience et d'envie...
Mes mains qui débouclent votre ceinture...
Détachent votre jeans..
S'immiscent et se saisissent de votre queue déjà bandée...
Vous offrir ma chatte...
Vous sentir vous y enfoncer...
Me mordre...
Me baiser..
Me gifler...
Me baiser..
Me cracher dessus...
Me baiser...
Et juste vous réclamer...encore et encore...
Contre un mur..
Votre souffle dans ma nuque....
Votre corps pesant contre le mien...
Ma jambe enserrant votre taille...
Juste à me plaquer ouverte contre vous...
Et si...
Vos doigts venaient glisser entre mes lèvres...
A sentir mon envie couler...
Emmêler nos langues...
M'agripper, gémir d'impatience et d'envie...
Mes mains qui débouclent votre ceinture...
Détachent votre jeans..
S'immiscent et se saisissent de votre queue déjà bandée...
Vous offrir ma chatte...
Vous sentir vous y enfoncer...
Me mordre...
Me baiser..
Me gifler...
Me baiser..
Me cracher dessus...
Me baiser...
Et juste vous réclamer...encore et encore...
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Re: Les 'one shot'
Y sont chou 

Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.