Quelle emprise avez-vous donc sur tout mon être…
Eloignez-vous quelques instants de moi,
Et je redeviens petite Chienne, guettant son Maître
Le cœur battant à l’écho de votre voix.
Je frissonne sous vos caresses,
Ma peau brûle sous vos coups.
Petite Pute portant fièrement sa laisse,
Sur votre ordre je me mets à genoux.
Entre vos jambes, je m’active, cherchant votre plaisir
Ma langue danse, joue ; habilement, elle glisse.
Ce soir encore, j’obéirai sans mots dire,
M’abandonnant avec bonheur à tous vos vices.
Callie a écrit :Quelle emprise avez-vous donc sur tout mon être…
Eloignez-vous quelques instants de moi,
Et je redeviens petite Chienne, guettant son Maître
Le cœur battant à l’écho de votre voix.
Je frissonne sous vos caresses,
Ma peau brûle sous vos coups.
Petite Pute portant fièrement sa laisse,
Sur votre ordre je me mets à genoux.
Entre vos jambes, je m’active, cherchant votre plaisir
Ma langue danse, joue ; habilement, elle glisse.
Ce soir encore, j’obéirai sans mots dire,
M’abandonnant avec bonheur à tous vos vices.
Callie a écrit :Quelle emprise avez-vous donc sur tout mon être…
Eloignez-vous quelques instants de moi,
Et je redeviens petite Chienne, guettant son Maître
Le cœur battant à l’écho de votre voix.
Je frissonne sous vos caresses,
Ma peau brûle sous vos coups.
Petite Pute portant fièrement sa laisse,
Sur votre ordre je me mets à genoux.
Entre vos jambes, je m’active, cherchant votre plaisir
Ma langue danse, joue ; habilement, elle glisse.
Ce soir encore, j’obéirai sans mots dire,
M’abandonnant avec bonheur à tous vos vices.
Petite femelle emplie de désir
Rêve de n'être que son objet de plaisir
Au claquement de ses doigts fléchir
De son foutre et ses crachats se nourrir
Un instant rien qu'à Lui, lui offrir
Instant pendant lequel de Seigneur
En Roi il règnera pendant quelques heures
Chose indicible qui ne fait que m'envahir
Chose qui de jour en jour de mes entrailles ne cessent se nourrir
Pour une fois ce soir j'aimerais hurler : Aidez moi
Pour une fois ce soir j'aimerai être dans des bras
Et qu'une voix me chuchote à l'oreille : je suis la
Ne t'inquiètes pas je veille sur toi
Mais seule je dois restée droite
Comme une fille doit le faire pour sa mère certainement maladroite
Imperturbable, roc devant le sort
Seule et forte face à la mort
Je ne dois pas dire : prends la
Mais impuissante j'aimerai lui dire : arrêtes ça
Et pourtant mon esprit embrumée ne cesse de penser : pourquoi ?
Et cette inconnue me réponds : pourquoi pas ?
Cedille92 a écrit :Parceque la vie ne se résume pas qu'a l'amour :
Chose indicible qui ne fait que m'envahir
Chose qui de jour en jour de mes entrailles ne cessent se nourrir
Pour une fois ce soir j'aimerais hurler : Aidez moi
Pour une fois ce soir j'aimerai être dans des bras
Et qu'une voix me chuchote à l'oreille : je suis la
Ne t'inquiètes pas je veille sur toi
Mais seule je dois restée droite
Comme une fille doit le faire pour sa mère certainement maladroite
Imperturbable, roc devant le sort
Seule et forte face à la mort
Je ne dois pas dire : prends la
Mais impuissante j'aimerai lui dire : arrêtes ça
Et pourtant mon esprit embrumée ne cesse de penser : pourquoi ?
Et cette inconnue me réponds : pourquoi pas ?
Cedille92 a écrit :Parceque la vie ne se résume pas qu'a l'amour :
Chose indicible qui ne fait que m'envahir
Chose qui de jour en jour de mes entrailles ne cessent se nourrir
Pour une fois ce soir j'aimerais hurler : Aidez moi
Pour une fois ce soir j'aimerai être dans des bras
Et qu'une voix me chuchote à l'oreille : je suis la
Ne t'inquiètes pas je veille sur toi
Mais seule je dois restée droite
Comme une fille doit le faire pour sa mère certainement maladroite
Imperturbable, roc devant le sort
Seule et forte face à la mort
Je ne dois pas dire : prends la
Mais impuissante j'aimerai lui dire : arrêtes ça
Et pourtant mon esprit embrumée ne cesse de penser : pourquoi ?
Et cette inconnue me réponds : pourquoi pas ?
nous t'aimons et jamais nous t'abandonnerons
chassant toutes les araignés de ton plafond
nous sommes là, tu es notre amie pour toujours
ma lady seche tes larmes de ce jour.
Eclipses a écrit :
nous t'aimons et jamais nous t'abandonnerons
chassant toutes les araignés de ton plafond
nous sommes là, tu es notre amie pour toujours
ma lady seche tes larmes de ce jour.
Etendue à vos pieds, petite chienne apaisée
Je vous observe à la dérobée ;
Essayant de deviner vos désirs,
Pour y répondre sans que vous n’ayez à mots dire.
Frissonnant sous vos caresses,
Mon corps se délecte de votre tendresse ;
Brûlant sous vos coups,
Devenant proie, il s’offre au loup.
Je travaillerai à vous rendre fier,
Oubliant aujourd’hui les craintes d’hier ;
Portant avec reconnaissance ce nom,
Je dépose à vos pieds ma soumission.
Callie a écrit :Etendue à vos pieds, petite chienne apaisée
Je vous observe à la dérobée ;
Essayant de deviner vos désirs,
Pour y répondre sans que vous n’ayez à mots dire.
Frissonnant sous vos caresses,
Mon corps se délecte de votre tendresse ;
Brûlant sous vos coups,
Devenant proie, il s’offre au loup.
Je travaillerai à vous rendre fier,
Oubliant aujourd’hui les craintes d’hier ;
Portant avec reconnaissance ce nom,
Je dépose à vos pieds ma soumission.
Allongée sur le sol, elle attend ;
Guettant son pas.
Troublée, le cœur battant ;
Il lui semble qu’il fait froid.
Ou peut-être est-ce juste parce qu’il n’est pas là.
Elle compte lentement, les minutes, les secondes ;
Qui la sépare du moment où il rentrera ;
Et là, comme si le jour se levait sur le monde,
Elle lui sourira.
Sa respiration s’apaise : Il sera bientôt là.
Elle imagine Ses pas qui résonnent,
Sa main ouvrant la porte ;
Cette impression de calme qu’Il donne,
Ce sourire, ce regard qui la transporte…
Magnifique.
Lire le ressenti d'une bonne chienne dans l'attente de son maitre...trop bon et si vrai
Il ne manque plus que l'image de la truffe de cette chienne cherchant l'odeur de son maitre.
Callie a écrit :Allongée sur le sol, elle attend ;
Guettant son pas.
Troublée, le cœur battant ;
Il lui semble qu’il fait froid.
Ou peut-être est-ce juste parce qu’il n’est pas là.
Elle compte lentement, les minutes, les secondes ;
Qui la sépare du moment où il rentrera ;
Et là, comme si le jour se levait sur le monde,
Elle lui sourira.
Sa respiration s’apaise : Il sera bientôt là.
Elle imagine Ses pas qui résonnent,
Sa main ouvrant la porte ;
Cette impression de calme qu’Il donne,
Ce sourire, ce regard qui la transporte…