Eclipses a écrit :Son fouet à la main, il l'attrape par les cheveux.
Il la tire sur plusieurs metres, déterminé, ses cris ne l'arretent pas.
le sol n'est pas tres glissant mais les cheveux sont solides.
il la fout vite à poil, il a envie de s'amuser avec son fouet.
Lui laissant seulement sa culotte, il y accroche une pince à linge derrière.
Décidé à faire sauter la pince au fouet, il prend sa distance.
Le coups tombent en haut en pas rarement sur le but.
Forcement, elle bouge tellement que ses repèrent changent.
Alors, il lui ordonne pour la dernière fois de ne plus bouger.
Il touche la pince à plusieurs reprises. Mais dommage elle ne tombe pas.
Il doit y aller plus franchement, clac, la pince vole. Bon pas du premier coup mais la pince n'est plus là
Elle est soulagée. Mais envoyant son sourire sadique, elle comprend que ce n'est pas fini.
Il met une pince sur son sein gauche.
Elle panique, elle sanglote, elle tremble, elle le supplie de ne pas faire ça à cause du visage et des coups manqués dans le dos.
Il sourit de plus belle et la rassure en lui disant que le dos était un échauffement.
Elle n'est pas rassurée et ça le fait bander.
Il se recule, fait claquer son fouet pour prendre ses repères. Il doit attaquer pour faire voler la pince.
Il lui demande de lever la tête.
Elle a eu de la chance, deux coups ont suffi.
Je suis tombée sur ça et maintenant je me trouve vraiment douillette... Bon c'est pas une course mais comme c'est mon angoisse numéro un
Je sais pas si j'aurais pût sciemment rester la tête relevée... Non, je ne pense pas... Et pourtant il rate assez peu sa cible
Écarte, l'ordre claque dans le silence, elle ressert les cuisses et plante son regard dans le Sien : pas envie de Lui céder de suite, envie de sentir la situation basculer, de Le sentir Lui et de se sentir chienne... Non, aujourd'hui elle n'a pas envie d'être docile, Il ne va pas aimer, elle est égoïste, elle ne pense qu'à elle et son désire qui l'enivre... La première claque tombe, elle sursaute, surprise, encaisse, et savoure le doux picotement sur sa joue qui l'excite. Il se penche, attrape son menton pour lui redresser le visage avant de lui assener une première volée de gifles, cuisantes ; ses yeux s'embrument et commencent à se perdre dans le lointain. Il observe ses moindres faits et gestes, rôle minutieux qui est le Sien que de la conduire là où Il voudra l’emmener, au bord du gouffre où grouillent ses désirent en vrac sans pour autant la laisser sombrer... Il lit dans ses yeux le désire qui gronde et la submerge et sa détermination à lui tenir tête pour mieux flancher. Il se prend au jeu : ce sont ses yeux qui réclament, son regard qui l'excite. Si elle aime, Il aimera... Il se penche en avant et approche son visage à quelque centimètres du sien avant de lui demander si elle a envie d’écarter les cuisses pour être la bonne Petite Chienne qu'elle sait être pour Son Maître. Le regard fuyant elle secoue timidement la tête de gauche à droite : cruel dilemme qui la ronge, furieuse envie d'être sage et de Lui réclamer qu'Il la cravache toujours plus, et pourtant... Tout s'embrouille...
Il se saisit violemment de ses poignets et la plaque en avant, face contre terre : ça sera la badine, la plus courte des deux mais pourtant la plus lourde. Il ne prend aucune précaution : Il tape pour rougir son cul, pour lui faire mal, pour la marquer... Elle bloque sa respiration, inspire, se tortille, voudrait mettre ses mains sur son cul pour le protéger et dans le même temps se cambrer plus pour Lui laisser un plus large accès à ses cuisses et sentir la douleur la mordre sur chaque parcelle de son corps, car elle sait qu'à la douleur suivre le plaisir, le seul qui la fait perdre pied, le seul qui l'amène à la jouissance quand Il vient la prendre avec force, Son bassin cognant son cul meurtris et Ses mains jouant avec ses seins couverts de trace de morsure... Premiers gémissements, Il repose la badine et caresse son visage tendrement en lui expliquant qu'Il va attacher ses poignets à son collier pour avoir libre accès à sa chatte, et que résister serait pour elle une perte de temps et d'une inutilité complète puisqu'elle sait qu'Il le fera de toute façon. Elle le laisse faire mais continue à le défier du regard. Lui, ça l'amuse, il la fait mettre à genoux d'une simple pression sur ses épaules : elle fulmine.
Il se saisit de sa laisse, accroche le mousqueton à son collier et tire dessus sans ménagement, elle bascule mais ses poignets liés l’empêche de se rattraper ; elle tombe à même le sol, un peu piteuse, Il continue à tirer sur la laisse pour l'amener vers Lui, elle suffoque légèrement et elle aime. Il accroche la poignet de la laisse au pied de la table puis se saisit d'une poignet de cheveux pour la faire se redresser : tu vas rester sage maintenant Ma Chienne lui assène-t-Il en la laissant choir comme une poupée de chiffon à même le sol. Elle voit Ses chaussures s'éloigner d'elle et suivant le mouvement de Ses pieds elle le devine s'installer dans Son fauteuil, grand, noir, imposant et surtout hors de portée pour elle... Bruissement de papier froissé : elle Le devine lisant Son journal et prend sur elle pour se redresser du mieux qu'elle peut pour L'observer à la dérobé. Elle garde son regard baissé, redressant les yeux que de brèves secondes pour tenter d’apercevoir le titre, et à chaque fois c'est avec la peur au ventre de croiser Son regard. Et la tristesse l'envahit : elle veut Le sentir près d'elle, Lui donner tout pourvu qu'Il reste ; les larmes lui montent aux yeux... Elle voudrait Lui dire qu'elle L'aime mais elle ne peut soutenir Son regard, elle ne peut se résoudre à Lui dévoiler l'amertume qui roule le long de ses joues... Bruissement plus prononcé, craquement de la pierre du briquet : Il a reposé son journal et s'allume à présent une clope. À genoux, les poignets liés à son cou, elle laisse ses cheveux longs barrer son visage pour ne pas Lui offrir la vu de celui-ci, elle panique, elle sait qu'Il la matte, elle déteste ça et Il adore d'autant plus. Les pieds s'approchent, elle bloque sa respiration. Les pieds s’arrêtent à quelques centimètres et le droit vient immiscer entre ses cuisses entrouvertes pour la forcer à ouvrir plus largement. Elle résiste légèrement, pour ne pas perdre la face trop vite mais sa chatte luisante s'offre bientôt à Lui. Elle garde le regard rivé sur le sol et ne Le vois donc pas s'agenouiller, une pince dans chaque main, la morsure sur ses seins réveille ses sens, l’enivre, elle entrouvre la bouche comme pour Lui faire signe de la baiser, qu'elle est sa chose, son jouet et qu'elle adore ça... Il recule de quelques pas, l'appelle : « suce-moi »
Il y a le tango...
Sensualité mêlée au plaisir...
Il y a le flamenco..
Ces claquements qui envoûtent..
Il y a tant de danses déroutantes..
Mais il y aussi des danses surprenantes...
Celles de corps à corps et d'un fouet...
Menée par son Maître...
Menée par celui qu'elle aime...
Dans leurs ombres et la lumière...
La danse s'admire et se ressent...
Ils se transcendent...
Ils s'offrent à nos yeux...
Pour notre plaisir...ou plutôt...juste le leur...
J’ai sonné à la porte de la grande maison, j'attendais la belle femme en robe blanche qui devait m'apporter le réconfort.
La porte s'ouvrit. « Bonjour, je dois voir madame Justice ».
« Désolée, elle ne peut pas vous recevoir, en fait, elle n'en n'a pas envie... »
Je tourne les talons, dépité... « Attendez, il y a ici ,une autre belle femme qui elle va vous recevoir.... »
La jeune femme est devant moi, une robe rouge, des cheveux noirs et un sourire plein de dents...
« Te voilà enfin, je t'attendais depuis si longtemps... Justice n'est qu'une catin, elle se vend, et toi mon pauvre, tu n'as pas un sou en poche... Moi, je m'offre et je sais que tu as envie de ma compagnie ».
« Mais mademoiselle, quelle est votre nom ? ».
Elle sourit, ses dents ont l'air de crocs... « Je suis la bâtarde, la demi-sœur de Justice... Je m'appelle Vengeance ! »
Laphoenix75 a écrit :Il y a le tango...
Sensualité mêlée au plaisir...
Il y a le flamenco..
Ces claquements qui envoûtent..
Il y a tant de danses déroutantes..
Mais il y aussi des danses surprenantes...
Celles de corps à corps et d'un fouet...
Menée par son Maître...
Menée par celui qu'elle aime...
Dans leurs ombres et la lumière...
La danse s'admire et se ressent...
Ils se transcendent...
Ils s'offrent à nos yeux...
Pour notre plaisir...ou plutôt...juste le leur...
c'est....c'est ...c'est... je ne trouve pas les mots.
pour te dire combien tes mots nous touchent.
je suis vraiment ému... merci
Dernière modification par Eclipses le 14 février 2012, 14:22, modifié 1 fois.
jamais tu n'as été plus belle ce soir là
jamais tu n'a été autant ma sirène
au bout de mon fouet tu étais mienne
tu m'as suivi prendre ce chemin là
torse nu, jupe longue serrée
sirène nageant les bras levées
tu chantes, tu danses, tu m'enivres
tes mouvements de hanche me rendent ivre
Aller dance, dance avec mon fouet
Aller dance, dance avec moi
Aller dance, dance pour moi
Aller dance, dance mon jouet
mon corps et mon fouet tournent
autour de ton corps de braise
je te vois ombre japonaise
je te regarde de mes yeux dévorant
j'ai la tête qui tourne, les yeux qui brillent
j'en veux plus, encore plus fort
le rythme s'accélère sur ton corps
les marques sont là, le fouet qui file
Aller dance, dance avec mon fouet
Aller dance, dance avec moi
Aller dance, dance pour moi
Aller dance, dance mon jouet
je l'arrete, je t'en lace
de mes bras je t'embarsse
j'ai les yeux qui pleurent d'amour
amour éternel, amour pour toujours
je sens ton souffle dans mon cou
ton corps marqué qui me rend fou
Aller dance, dance avec mon fouet
Aller dance, dance avec moi
Aller dance, dance pour moi
Aller dance, dance mon jouet
Dernière modification par Eclipses le 30 avril 2012, 11:29, modifié 2 fois.
Eclipses a écrit :jamais tu n'as été plus belle ce soir là
jamais tu n'a été autant ma sirène
au bout de mon fouet tu étais mienne
tu m'as suivi prendre ce chemin là
torse nu, jupe longue serrée
sirène nangeant les bras levées
tu chantes, tu dances, tu m'ennivres
tes mouvements de hanche me rendre ivrent
Aller dance, dance avec mon fouet
Aller dance, dance avec moi
Aller dance, dance pour moi
Aller dance, dance mon jouet
mon corps et mon fouet tournent
autour de ton corps de braise
je te vois ombre japonaise
je te regarde de mes yeux dévorant
j'ai la tête qui tourne, les yeux qui brillent
j'en veux plus, encore plus fort
le rythme s'accélère sur ton corps
les marques sont là, le fouet qui file
Aller dance, dance avec mon fouet
Aller dance, dance avec moi
Aller dance, dance pour moi
Aller dance, dance mon jouet
je l'arrete, je t'en lace
de mes bras je t'embarsse
j'ai les yeux qui pleurent d'amour
amour éternel, amour pour toujours
je sens ton souffle dans mon cou
ton corps marqué qui me rend fou
Aller dance, dance avec mon fouet
Aller dance, dance avec moi
Aller dance, dance pour moi
Aller dance, dance mon jouet
Laphoenix75 a écrit :Il y a le tango...
Sensualité mêlée au plaisir...
Il y a le flamenco..
Ces claquements qui envoûtent..
Il y a tant de danses déroutantes..
Mais il y aussi des danses surprenantes...
Celles de corps à corps et d'un fouet...
Menée par son Maître...
Menée par celui qu'elle aime...
Dans leurs ombres et la lumière...
La danse s'admire et se ressent...
Ils se transcendent...
Ils s'offrent à nos yeux...
Pour notre plaisir...ou plutôt...juste le leur...
Eclipses a écrit :jamais tu n'as été plus belle ce soir là
jamais tu n'a été autant ma sirène
au bout de mon fouet tu étais mienne
tu m'as suivi prendre ce chemin là
torse nu, jupe longue serrée
sirène nangeant les bras levées
tu chantes, tu dances, tu m'ennivres
tes mouvements de hanche me rendre ivrent
Aller dance, dance avec mon fouet
Aller dance, dance avec moi
Aller dance, dance pour moi
Aller dance, dance mon jouet
mon corps et mon fouet tournent
autour de ton corps de braise
je te vois ombre japonaise
je te regarde de mes yeux dévorant
j'ai la tête qui tourne, les yeux qui brillent
j'en veux plus, encore plus fort
le rythme s'accélère sur ton corps
les marques sont là, le fouet qui file
Aller dance, dance avec mon fouet
Aller dance, dance avec moi
Aller dance, dance pour moi
Aller dance, dance mon jouet
je l'arrete, je t'en lace
de mes bras je t'embarsse
j'ai les yeux qui pleurent d'amour
amour éternel, amour pour toujours
je sens ton souffle dans mon cou
ton corps marqué qui me rend fou
Aller dance, dance avec mon fouet
Aller dance, dance avec moi
Aller dance, dance pour moi
Aller dance, dance mon jouet
Eclipses a écrit :jamais tu n'as été plus belle ce soir là
jamais tu n'a été autant ma sirène
au bout de mon fouet tu étais mienne
tu m'as suivi prendre ce chemin là
torse nu, jupe longue serrée
sirène nangeant les bras levées
tu chantes, tu dances, tu m'ennivres
tes mouvements de hanche me rendre ivrent
Aller dance, dance avec mon fouet
Aller dance, dance avec moi
Aller dance, dance pour moi
Aller dance, dance mon jouet
mon corps et mon fouet tournent
autour de ton corps de braise
je te vois ombre japonaise
je te regarde de mes yeux dévorant
j'ai la tête qui tourne, les yeux qui brillent
j'en veux plus, encore plus fort
le rythme s'accélère sur ton corps
les marques sont là, le fouet qui file
Aller dance, dance avec mon fouet
Aller dance, dance avec moi
Aller dance, dance pour moi
Aller dance, dance mon jouet
je l'arrete, je t'en lace
de mes bras je t'embarsse
j'ai les yeux qui pleurent d'amour
amour éternel, amour pour toujours
je sens ton souffle dans mon cou
ton corps marqué qui me rend fou
Aller dance, dance avec mon fouet
Aller dance, dance avec moi
Aller dance, dance pour moi
Aller dance, dance mon jouet
Au commencement, je n’étais rien.
La vie n’existait pas.
Puis, le jour s’est levé. La lumière s’est faite écrasant les ténèbres.
L’instant où il a tout bousculé je suis née.
Mes barrières, une à une, sont tombées.
De ses bras et de ses chaînes je me suis entourée,
La femme et l’esclave sont nés, plus libres que jamais.
Il m’entoure, m’enlace, me mord,
Il me fait perdre la tête, marque mon corps.
Prolongement de sa main,
Il me manipule comme un pantin.
Dansons ensemble mon Amour, mon Maître.
Fusion de nos êtres par cet objet,
Nous partons en quête d’un plaisir enivré.
Dansons ensemble mon Amour, mon Maître.
Laphoenix75 a écrit :Il y a le tango...
Sensualité mêlée au plaisir...
Il y a le flamenco..
Ces claquements qui envoûtent..
Il y a tant de danses déroutantes..
Mais il y aussi des danses surprenantes...
Celles de corps à corps et d'un fouet...
Menée par son Maître...
Menée par celui qu'elle aime...
Dans leurs ombres et la lumière...
La danse s'admire et se ressent...
Ils se transcendent...
Ils s'offrent à nos yeux...
Pour notre plaisir...ou plutôt...juste le leur...
Encore une fois merci...
Merci pour ce texte si touchant.
Il m’entoure, m’enlace, me mord,
Il me fait perdre la tête, marque mon corps.
Prolongement de sa main,
Il me manipule comme un pantin.
Dansons ensemble mon Amour, mon Maître.
Fusion de nos êtres par cet objet,
Nous partons en quête d’un plaisir enivré.
Dansons ensemble mon Amour, mon Maître.
Cedille92 a écrit :Ordonnez moi et je m'exécute
Offerte et pantelante comme la dernier des putes
Faites de moi se que vous voudrez
Faites de moi votre objet
Le moindre de vos soupirs et je suis en osmose
Un seul mot de vous et je deviens votre choses
Dans la perversion, continuez de me mener
Dans le vice, je me roulerai sans possible arrêt
À votre voix je ne fais qu'obéir
À vos gestes je ne peut que fléchir
Je suis à vous tant que vous le désirerez
Votre putain pour l'éternité
Elle a écrit :Renaissance,
Au commencement, je n’étais rien.
La vie n’existait pas.
Puis, le jour s’est levé. La lumière s’est faite écrasant les ténèbres.
L’instant où il a tout bousculé je suis née.
Mes barrières, une à une, sont tombées.
De ses bras et de ses chaînes je me suis entourée,
La femme et l’esclave sont nés, plus libres que jamais.
Aucune lumière, aucune vie sans lui.
Elle a écrit :Le fouet,
Il m’entoure, m’enlace, me mord,
Il me fait perdre la tête, marque mon corps.
Prolongement de sa main,
Il me manipule comme un pantin.
Dansons ensemble mon Amour, mon Maître.
Fusion de nos êtres par cet objet,
Nous partons en quête d’un plaisir enivré.
Dansons ensemble mon Amour, mon Maître.
Eclipses a écrit :jamais tu n'as été plus belle ce soir là
jamais tu n'a été autant ma sirène
au bout de mon fouet tu étais mienne
tu m'as suivi prendre ce chemin là
torse nu, jupe longue serrée
sirène nangeant les bras levées
tu chantes, tu dances, tu m'ennivres
tes mouvements de hanche me rendent ivre
Aller dance, dance avec mon fouet
Aller dance, dance avec moi
Aller dance, dance pour moi
Aller dance, dance mon jouet
mon corps et mon fouet tournent
autour de ton corps de braise
je te vois ombre japonaise
je te regarde de mes yeux dévorant
j'ai la tête qui tourne, les yeux qui brillent
j'en veux plus, encore plus fort
le rythme s'accélère sur ton corps
les marques sont là, le fouet qui file
Aller dance, dance avec mon fouet
Aller dance, dance avec moi
Aller dance, dance pour moi
Aller dance, dance mon jouet
je l'arrete, je t'en lace
de mes bras je t'embarsse
j'ai les yeux qui pleurent d'amour
amour éternel, amour pour toujours
je sens ton souffle dans mon cou
ton corps marqué qui me rend fou
Aller dance, dance avec mon fouet
Aller dance, dance avec moi
Aller dance, dance pour moi
Aller dance, dance mon jouet
Elle a écrit :Renaissance,
Au commencement, je n’étais rien.
La vie n’existait pas.
Puis, le jour s’est levé. La lumière s’est faite écrasant les ténèbres.
L’instant où il a tout bousculé je suis née.
Mes barrières, une à une, sont tombées.
De ses bras et de ses chaînes je me suis entourée,
La femme et l’esclave sont nés, plus libres que jamais.
Aucune lumière, aucune vie sans lui.
c'est beau cet amour
Elle a écrit :Le fouet,
Il m’entoure, m’enlace, me mord,
Il me fait perdre la tête, marque mon corps.
Prolongement de sa main,
Il me manipule comme un pantin.
Dansons ensemble mon Amour, mon Maître.
Fusion de nos êtres par cet objet,
Nous partons en quête d’un plaisir enivré.
Dansons ensemble mon Amour, mon Maître.
j'ai des larmes plein les yeux, ma vue se trouble
ma gorge se noue de cette émotion merveilleuse
mon coeur bat plus fort de cet amour infini
ma vie est plus belle depuis ta naissance
Eclipses a écrit :j'ai des larmes plein les yeux, ma vue se trouble
ma gorge se noue de cette émotion merveilleuse
mon coeur bat plus fort de cet amour infini
ma vie est plus belle depuis ta naissance
Eclipses a écrit :j'ai des larmes plein les yeux, ma vue se trouble
ma gorge se noue de cette émotion merveilleuse
mon coeur bat plus fort de cet amour infini
ma vie est plus belle depuis ta naissance
Une gifle qui tombe...
Ou plusieurs comme la pluie...
Le souffle haletant...
Le corps brûlant...
Elle le regarde..
À sa merci..
Il sourit...amusé...
Il se délecte...sadique...
Sa bouche vient effleurer ses tétons..
Pointant sous la caresse...
Les crocs se referment..
Il savoure...il la dévore lentement...
Savourant cette chair quelle lui offre...
Parfois ondulante...fuyante...
Mais tellement coulante...
Elle n'a qu'une envie...
Elle voudrait juste qu'il la prenne...
Mais plus loin il l'entraîne...
Elle le voudrait au fond de sa gorge...
Mais ailleurs il la mène...
Elle se tord...Elle gémit..
Son regard s'assombrit..
Il défait sa ceinture...
Lui ordonne de lui offrir ses fesses...
Qu'il fait rougir de son cuir...
Il aime la voir ainsi...
Onduler sous la douleur qu'il lui donne...
Réclamer la brûlure de ses coups...
Toujours plus fort...
Encore et encore...
Pour s'abandonner à lui...
Dans ses larmes de plaisir et de dévotion..
Juste pour son Maître qu'elle aime...
merci 
c'est surtout merci à vous deux pour cette inspiration 
c'est beau cet amour 
vous m'émotionnez trop tout les deux 
