Je vous demandais 'encore' ?
De vos coups qui me dévorent...
Je vous suppliais 'plus fort' ?
De cette douleur que vous me donnez...
Je vous glissais du bout des lèvres..?
'Faîtes-moi mal...très mal...'
Je vous défiais du regard ?
Pour y chercher votre fermeté..
Pour y trouver votre sadisme...
Je réclamais vos sévices ?
De tant d'intensité dans ces délices...
Petite chienne à genoux...
Juste pour que vous en disposiez...
De notre plaisant jeu...si particulier...
Comme la légèreté d'une libellule sur la paume de ma main,
caressant ma peau de ses ailes diaphanes.
Insecte posé là, aussi fragile que moi, entre les mains de mon maitre.
Il se laisse rafraichir par le souffle de ma bouche sur son corps si fragile.
Je m'imagine le vent de la badine, lorsqu'elle virevolte autour de moi. N'effleurant juste que mon imagination, comme le simple courant d'air que j'insuffle a cette merveille de la nature.
Toi si fragile dans ma main, un simple mouvement d'aile et tu pourrais fuir. Comme moi tout contre lui, il me suffirait d'un mot pour reprendre mon envol.
Libellule est tu prisonnière des effluves de mon souffle ainsi que la caresse de mon doigt sur l'arc-en-ciel de tes ailes ?
Tout comme je le suis de son souffle dans mon cou. De ses mots dans le creux de mon oreille, lorsqu'au fond de mes entrailles, il me dévore et me fais jouir.
L’horizon s’ouvre devant toi mais, comme dans un cocoon tu te complais dans le creux de ma paume, protégé par la chaleur de mon plaisir à t'admirer.
Et moi lui appartenir, être comme toi dans le creux de sa main... Écouter les autres m'appeler mais, ne désirer que lui, ne désirer que sa voix.
Petite libellule, la liberté ne commence telle pas dans les yeux de la personne qui nous est chère ?
Pour chaque caresse que je te donne, tes pattes s'affolent sur ma peau.
Moi ce sont mes sens lorsqu’il s'approche.
Comme une certitude pour mon corps, moi timide et maladroite, pour lui, pour son plaisir je deviens sa putain a son seul service.
Quelle drôle d'idée va-tu me dire. Toi qui d'un battement d'aile trouve un partenaire et t’y attache pour une seule représentation.
Mais, moi je ne peu plus concevoir de m'envoler pour une danse éphémère.
Je désire ses morsures, qui me rappellent que je vie. Ses fessées et punitions quand je le taquine trop.
Le plaisir qu'il me donne lorsque entravé je ne suis qu'en son pouvoir.
Oh petite merveille entre mes mains. Sais tu le plaisir qu'il me donne lorsqu’à ses genoux il me dirige sur sa lance dressée ? Que ma bouche profite de cet instant qui n'est qu'à nous ?
Que je le sens ce raidir et gémir, ses mains dans mes cheveux accrocher comme a un port d'attache.
Te dire aussi lorsqu'il me renverse sur le lit Et que sa langue t'elle un serpent. Taquinant, s'enroulant autour de mon bourgeon.
Cherchant le miel qui s'y cache et qu'il trouvera dés la floraison de ma fleur.
Vole petite libellule, vole le rejoindre et raconte lui ce que je t'ai soufflé.
Non ! Dit lui ses simples mots. Chante-lui doucement dans le creux de l'oreille.
Ecoute, toi son maitre, ce que le vent m’a chanté.
Cette femme est à toi. Pour toi, elle veut être ta putain, ta soumise. Etre à toi, rien qu'à toi. Son corps son âme, son cœur t'appartienne.
Il est temps maintenant !
Comme un parfum de liberté,
la soumission éveille l'âme de mon corps.
Un souffle de vie sur ma peau endormie.
Mon cœur palpite sous les pulsions du plaisir.
Les chaines de fer entourant mon corps,
ne sont que fleurs sur ma peau.
Les chaines qui entouraient mon esprit,
Elles, n’étaient que douleurs, que larmes sur mon avenir.
Peu importe, ceux qui ne comprennent pas.
Une soumise est libre de son corps et de son esprit.
Il faut le vivre pour le comprendre.
La seule chaine qui la relit à son maitre,
est le plaisir qu'ils ressentent ensemble.
Chaque maillon que l'on touche est une part de la femme qui s'éveille,
comme un puzzle qui prend forme.
Que l'on soit soumise ou pas,
il y a en nous, pureté, frivolité, passion, folie, envie, rage, désespoir, chatte, tigresse, chienne, putain, salope.
Certains aspects restent cachés,
comme une décadence qu'il ne faut jamais montrer.
Femme cache toi, écoute les conseils !
Ne suffit-il pas simplement de vivre l'instant présent,
comme une bouffée d'oxygène.
Sortir de la boite la pièce manquante qui nous donnera le plaisir,
le bien être qui nous manques tant ?
Nous n'avons que notre vie,
pour cueillir notre plaisir.
Alors prenons-le comme bon nous sembles
Elles la caressent, la recouvrent, la séduisent,
Nouvelle sensation, nouvelle découverte,
Elle est dérouté, enivré, saoulée.
Les lianes de cuir l’enserrent,
Elle se tend, se cambre, s’offre à elles.
Elle les aime, elle en avait peur,
Aujourd’hui elle en veut encore.
Sentir son corps vibrer sous le cuir,
Les entendre siffler dans l’air ,
avant qu’elles ne s’abattent sur elle.
La chaleur qui se diffuse dans ses cellules,
Sa respiration s’amenuise,
Sa tête tourne, plus rien n’existe autour d’elle,
Seul, elles et eux sont présent dans son esprit.
Lui le dompteur de son âme et lui l’artiste, le chorégraphe qui les dirige
Et elles qui sont comme des milliers de mains qui s’abattent sur sa peau
Elle part, envoutée par leur danses lascives,
Son corps, son esprit sont en feu, elle se laisse dévorer,
Elle en voudrait plus mais se doit d’être raisonnable,
Auto-frustration ? Non, simplement ne pas abuser d’une telle bénédiction.
La savourer ? Oui, mais ne pas y céder et s’y noyer.
Cedille92 a écrit :Elles la caressent, la recouvrent, la séduisent,
Nouvelle sensation, nouvelle découverte,
Elle est dérouté, enivré, saoulée.
Les lianes de cuir l’enserrent,
Elle se tend, se cambre, s’offre à elles.
Elle les aime, elle en avait peur,
Aujourd’hui elle en veut encore.
Sentir son corps vibrer sous le cuir,
Les entendre siffler dans l’air ,
avant qu’elles ne s’abattent sur elle.
La chaleur qui se diffuse dans ses cellules,
Sa respiration s’amenuise,
Sa tête tourne, plus rien n’existe autour d’elle,
Seul, elles et eux sont présent dans son esprit.
Lui le dompteur de son âme et lui l’artiste, le chorégraphe qui les dirige
Et elles qui sont comme des milliers de mains qui s’abattent sur sa peau
Elle part, envoutée par leur danses lascives,
Son corps, son esprit sont en feu, elle se laisse dévorer,
Elle en voudrait plus mais se doit d’être raisonnable,
Auto-frustration ? Non, simplement ne pas abuser d’une telle bénédiction.
La savourer ? Oui, mais ne pas y céder et s’y noyer.
Merci infiniment mon Seigneur et merci V.
Magnifiquement décrit,
Quel bonheur d’être le chef d’orchestre d'un tel ressenti
Hier, je me suis rendue compte à quel point je vous aimais,
Hier, j’ai su que la vie sans vous n’était rien,
Hier, j’ai cru que mon cœur allait s’arrêter,
Hier, j’ai su que sans vous je ne voulais pas vivre,
Hier, j’ai eu tellement peur de vous perdre,
Aujourd’hui, je vous aime à en perdre la tête.
Elle a écrit :Hier, je me suis rendue compte à quel point je vous aimais,
Hier, j’ai su que la vie sans vous n’était rien,
Hier, j’ai cru que mon cœur allait s’arrêter,
Hier, j’ai su que sans vous je ne voulais pas vivre,
Hier, j’ai eu tellement peur de vous perdre,
Aujourd’hui, je vous aime à en perdre la tête.
Cedille92 a écrit :Elles la caressent, la recouvrent, la séduisent,
Nouvelle sensation, nouvelle découverte,
Elle est dérouté, enivré, saoulée.
Les lianes de cuir l’enserrent,
Elle se tend, se cambre, s’offre à elles.
Elle les aime, elle en avait peur,
Aujourd’hui elle en veut encore.
Sentir son corps vibrer sous le cuir,
Les entendre siffler dans l’air ,
avant qu’elles ne s’abattent sur elle.
La chaleur qui se diffuse dans ses cellules,
Sa respiration s’amenuise,
Sa tête tourne, plus rien n’existe autour d’elle,
Seul, elles et eux sont présent dans son esprit.
Lui le dompteur de son âme et lui l’artiste, le chorégraphe qui les dirige
Et elles qui sont comme des milliers de mains qui s’abattent sur sa peau
Elle part, envoutée par leur danses lascives,
Son corps, son esprit sont en feu, elle se laisse dévorer,
Elle en voudrait plus mais se doit d’être raisonnable,
Auto-frustration ? Non, simplement ne pas abuser d’une telle bénédiction.
La savourer ? Oui, mais ne pas y céder et s’y noyer.
Merci infiniment mon Seigneur et merci V.
Tu étais très belle à regarder.
Voir le plaisir sur ton visage est toujours un moment extraordinaire.
Elle a écrit :
Hier, je me suis rendue compte à quel point je vous aimais,
Hier, j’ai su que la vie sans vous n’était rien,
Hier, j’ai cru que mon cœur allait s’arrêter,
Hier, j’ai su que sans vous je ne voulais pas vivre,
Hier, j’ai eu tellement peur de vous perdre,
Aujourd’hui, je vous aime à en perdre la tête.
Aujoud'hui, je suis fière de toi
Aujourd'hui, tu es mienne plus que jamais
Aujourd'hui, je sais que c'est toi
Aujourd'hui, je sais que je peux aller plus loin
Aujourd'hui, je t'aime plus qu' hier
Hier, tu n'étais rien
Elle a écrit :Hier, je me suis rendue compte à quel point je vous aimais,
Hier, j’ai su que la vie sans vous n’était rien,
Hier, j’ai cru que mon cœur allait s’arrêter,
Hier, j’ai su que sans vous je ne voulais pas vivre,
Hier, j’ai eu tellement peur de vous perdre,
Aujourd’hui, je vous aime à en perdre la tête.
Eclipses a écrit :
Aujoud'hui, je suis fière de toi
Aujourd'hui, tu es mienne plus que jamais
Aujourd'hui, je sais que c'est toi
Aujourd'hui, je sais que je peux aller plus loin
Aujourd'hui, je t'aime plus qu' hier
Hier, tu n'étais rien
Que vous êtes beaux et touchants tout les deux,tout cet amour
Merci de nous le faire partager
Dernière modification par Invité le 15 septembre 2011, 16:17, modifié 1 fois.
Les jours sombrent ne restent pas longtemps,
mais pour les oublier il faut du temps.
Tes amis sont là rien que pour toi.
Il ne faut pas que tu perdes la fois.
nous sommes là pour soigner ta peine
nous sommes là pour calmer ta haine
Derrière les gros nuages, il y a le soleil
Derrière tes larmes, il y a tous plein de merveilles
J'aimerai trouver les mots pour décrire mes maux
J'aimerai que les coups pleuvent pour transformer cette douleur en bonheur
J'aimerai les prendre dans mes bras et les réconforter
J'aimerai répondre par la positive a leur supplique de me voir venir
J'aimerai que le silence qui m'a envahit soit remplacé par des rires
J'aimerai revenir 10 ans en arrière quand d'un coup de langue je t'ai choisi
J'aimerai te dire qu'un compagnon fidèle tu as été toute ces années.
J'aimerai ce soir m'endormir bercée par tes ronflements
J'aimerai que le soleil traverse les nuages de ma vie
J'aimerai... Mais ce soir je peux juste dire je t'ai aimé
Le futur se conjugue maintenant au passé
Les larmes coulent, le cerveau anesthésié j'attends juste que le temps fasse son oeuvre
Il l’enroule autour de moi, doucement, sensuellement,
Je m’accroche a son regard pour ne pas me perdre.
Le trouble m’envahit, au rythme de la lanière que m’enserre,
Elle me frôle, me caresse, me happe
« ne pas décrocher de ses yeux, ne pas décrocher de ses yeux ».
Le sang dans mes veines pulsent, la première morsure m’envoute,
Je m’abandonne à la danse lascive qu’il lui imprime sur ma peau.
Ma tête tourne, ma vision se brouille, le contact visuel est rompu
Alors qu’un feu me dévore les entrailles.
Je voudrais qu’il soit plus nombreux a s’enrouler,
Sentir les morsures se démultiplier de sa main,
Sentir le venin qui traverse mes veines m’achever
Mais je ne peux pas, je ne dois pas succomber.
Des infimes marques m’embellissent déjà, surtout ne pas les accentuer
Merci infiniment mon Seigneur, et à toi Sire Eclipses
Elle tape en rythme,
La mélodie la charme,
Elle sent ses fesses chauffées,
Elle se laisse transporter,
Le feu la dévore, ses yeux se ferment,
Elle se tend, se cambre pour s’offrir,
Elle halète, elle suffoque
Les claquements s’arrêtent,
A peine le temps de reprendre son souffle
Qu’une griffe maléfique s’enfonce dans sa peau
Elle aime, en gémit, en veux plus,
Instant de déroute, instant de perte
Instant d’abandon dans les mains d’une experte.
La badine repart, tapote a un rythme effrénée
Ses gémissements s’amplifient,
Caresses, griffes et fessée se mélangent
Le ballet est parfait
Elle l’ancienne danseuse,
Découvre une chorégraphie nouvelle
Savoureuse, sensuelle, improvisée
Se tendre, se soustraire, se tendre, se soustraire
Gémir, soupirer, miauler telle la chatte en chaleur
S’abandonner comme un pantin dans les mains de l’artiste