Christelle, renaissance à Capbreton

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Excalibur81
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Christelle, renaissance à Capbreton

Message par Excalibur81 »

Pour célébrer mon arrivé sur ce forum je vous propose une histoire que j'ai écrite il y a un an environ.
Voici le début, si elle plait je vous proposerai la suite.

Le départ

- Han, han. Putain t’es trop bonne.

Vincent fait des va-et-vient avec le plus d’amplitude qu’il peut. Il sent qu’il va bientôt jouir. Christelle est sous lui, sur le dos. Elle regarde son homme, inexpressive. Il a beau trimer du mieux possible, elle ne ressent rien. Cela fait maintenant plusieurs années que Vincent est incapable de la faire jouir. Vincent accélère sa cadence. Il éjacule dans le corps sa compagne.

- Ouah, c’était bon. Tu as aimé ?
- Comment veux-tu que j’ai aimé ? Tu as vu la taille de ton sexe ? Même un bachelier serait plus gros que toi.

Vincent est peiné par la réponse de sa compagne. Il sait qu’elle voudrait qu’il est un sexe bien plus gros, il a déjà pensé à une opération, mais le coût et l’appréhension l’ont toujours bloqué. Christelle se lève et part se nettoyer. De retour dans la chambre, la femme se prépare sous l’oeil attentif de son compagnon. La quarantaine à peine dépassée, Christelle reste une jolie femme qui ne laisse pas indifférent les hommes qu’elle croise. Son teint clair contraste avec ses cheveux brun coupés court et ses yeux marrons, surlignés par des ridules en pattes d’oie au coin de l'œil ajoutent une part d’expérience à son charme naturel. Rien qu’en la regardant le petit sexe de Vincent recommence à bander. Son petit short moulant et son t-shirt de running très prêt du corps ne cachent rien des jolies formes de la petite brune d’un mètre soixante. Sa poitrine ronde, un joli quatre-vingt-dix bonnet B, est parfaitement maintenue par une brassière de sport. Ses jambes, longues et fines, parfaitement épilées sont une véritable tentation pour quiconque la croise. Malgré les remarques désobligeantes de sa compagne sur la taille de son sexe, Vincent se dit qu’il a de la chance de l’avoir elle, toujours aussi sexy qu’au premier jour de leur rencontre, elle, qui aime entretenir son corps et le mettre en valeur.

Dans le parc voisin de leur appartement, Christelle court. Nombreux sont les hommes qui la suivent du regard quand elle les croise provoquant l'ire de leur moitié. Christelle reste impassible et continue sa course. Puis elle entend des pas derrière elle. Un autre coureur qui va la dépasser se dit-elle. Pourtant, non, la foulée de son suiveur se cale à la sienne. Sans même se retourner, elle sent le regard de l’homme sur ses fesses, ses jambes, sa taille. Elle aime se sentir désirée. L’homme derrière elle regarde sans vergogne ce cul moulé dans le short en lycra. Il sourit en voyant les fesses ronde et ferme de la petite brune, imaginant déjà son sexe la transpercer. Il bande, heureusement que son bermuda de sport est large, personne ne peut voir son excitation.

A la fin de son tour de parc, Christelle s’arrête près d’une barrière en bois. Elle croise le regard de son suiveur qui lui sourit en continuant sa route avant d’accélérer sa foulée. La brune commence ses étirements. Face à elle, un jeune homme, entre vingt-cinq et trente ans, s’installe lui aussi pour commencer les exercices qui lui éviteront les courbatures demain. A chaque fois que Christelle se penche, il a une vue imprenable sur l’encolure du t-shirt qui dévoile la poitrine ferme de la femme. Le jeune cadre dynamique se régale de cette vue. Rien qu’avec elle, il ne regrette pas sa journée. Il enregistre les images sur lesquelles il se masturbera ce soir quand il sera seul dans son lit.

De retour chez elle, Christelle prépare ses affaires et celles de sa fille. Ce soir à la sortie des classes, elle prend sa voiture direction la côte basque pour un long week-end de mai sur la plage. Vincent restera à l’appartement. Elle ne lui a même pas proposé de venir. De toute façon il a du bricolage à faire, le carrelage autour de l’évier de la cuisine doit être arrangé pour la pose des nouveaux meubles. Les valises prêtes, Catherine charge sa mini cooper verte. Elle récupère Léa puis direction l’A10 pour ce long week-end de Pentecôte.

A vingt-et-une heure trente, Christelle s’arrête sur une aire de l’autoroute pour remettre du carburant. Il fait chaud en ce début juin, heureusement qu’elle a opté pour une petite jupe de randonnée beige qui lui arrive juste au-dessus des genoux et d’un chemisier blanc dont elle a laisser les deux premier boutons ouverts. Elle profite du moment pour manger avec sa fille dans le fast-food mitoyen à la station service. Quand elle paye à la caisse, le serveur est sous le charme de ce sourire et par la vue du décolleté. Alors qu’elles mangent en discutant de leur week-end , un quinquagénaire en surpoids s'installe à la table voisine.

- Bonsoir, belle soirée.
- Merci, oui.
- Il fait chaud, je suis en sueur. Je dois descendre à Bayonne pour affaires.
- Nous, nous nous arrêtons à Capbreton, je passe le week-end avec ma fille.
- Elle est très jolie comme ça maman. Vous y êtes déjà allé ?
- Non c’est la première fois.
- Vous verrez, c’est très joli.

Tout en discutant, l’homme a du mal à empêcher son regard de s’attarder sur le bas des cuisses dévoilées par la jupe légèrement remonté de la femme, ainsi que par la forme de la poitrine ferme qu’il devine dessous le chemisier blanc.

Alors que Christelle a repris la route et roule à vive allure vers la cité balnéaire, l’homme d’affaires astique son sexe dans la voiture en repensant à la belle brune, lui faisant oublier pour un instant sa dernière dispute avec sa femme. Le mini cooper verte s’arrête à l’appart-hôtel de la plage. La jeune veilleuse de nuit présente l’appartement loué pour ces trois nuits. un petit séjour, avec cuisine intégrée, ouvert sur un terrasse avec vue sur l’océan juxtaposé à deux chambres, l’une avec deux lits jumeaux où dormira Léa, et l’autre pourvue d’un lit double par la mère de famille. Les papiers réglés, les valises vidées, sa fille couchée, Christelle peut enfin s’allonger sur le lit pour se détendre. De son téléphone elle envoie un message à Vincent pour lui dire qu’elles sont bien arrivées et qu’elles vont dormir avant de profiter du long week-end. Christelle coupe le son du téléphone.

La brune repense à son premier amant, le père de sa fille. Elle le compare avec Vincent. Dommage qu’il soit autant portée sur la bouteille, au lit c’était un champion et son sexe, quel sexe ! Rien à voir avec la taille ridicule de Vincent. Au moins lui il savait la faire monter au septième ciel. Elle l’avait quitté, il y a sept ans déjà, un soir qu’il avait trop bu. Il l’avait giflée comme jamais il ne l’avait fait. Elle en était tombée par terre. Sa décision a été prise instantanément. Elle a téléphoné à son père pour qu’il vienne la chercher. Elle devait protéger sa fille. Le soir même, elle avait fait constater ses blessures au commissariat, ce qui lui a permis d’avoir la garde exclusive de sa fille lors du divorce. Ensuite elle a rencontré Vincent, grand bien bâti. Elle savait qu’il pourrait les protéger. Seul bémol, au lit il n’a jamais pu l’emmener au paradis.

Christelle repense à son premier amour. Sa main glisse entre ses cuisses. Qu’il était endurant, et son sexe énorme qui l’emplissait. Quel régal ! son autre main caresse sa poitrine. Ses tétons se dardent sous ses doigts. Elle se remémore ce sexe qui glissait en elle, lui procurant des sensations divine. Son intimité s’humidifie sous ses doigts qui s'aventurent peu à peu en elle. Elle halète, respire plus fort. Qu’il était bon au lit quand il rentrait toute sa longueur en elle. Elle gémit à ces idées et sous ses propres caresses. Qu’elle voudrait que Vincent lui procure autant de sensations. Son corps se cabre. Le plaisir monte. Que c’est bon de ressentir autant de plaisirs. Elle continue ses caresses. Son corps tressaille. La jouissance lui arrache un cri. Elle se cabre avant de retomber en sueur sur le lit.
Mikaellla
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Re: Christelle, renaissance à Capbreton

Message par Mikaellla »

Voir ci-dessous
Dernière modification par Mikaellla le 08 janvier 2025, 16:19, modifié 1 fois.
Je m'aime bien.. tellement que j'adorerais me niquer

Allumeuse moi ? .... Non, je suis formelle et j'insiste, NON !

j'ose même pas imaginer ce que vous faites en regardant mes photos ... ça me met mal à l'aise rien que d'y penser
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Re: Christelle, renaissance à Capbreton

Message par Mikaellla »

Mikaellla a écrit : 08 janvier 2025, 16:16 ça sent le vécu
entre nous, tu es Vincent, le jeune homme, le serveur ou le quinqua ?
Je m'aime bien.. tellement que j'adorerais me niquer

Allumeuse moi ? .... Non, je suis formelle et j'insiste, NON !

j'ose même pas imaginer ce que vous faites en regardant mes photos ... ça me met mal à l'aise rien que d'y penser
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Re: Christelle, renaissance à Capbreton

Message par Mikaellla »

voir ci-dessus
Je m'aime bien.. tellement que j'adorerais me niquer

Allumeuse moi ? .... Non, je suis formelle et j'insiste, NON !

j'ose même pas imaginer ce que vous faites en regardant mes photos ... ça me met mal à l'aise rien que d'y penser
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Re: Christelle, renaissance à Capbreton

Message par Excalibur81 »

Mikaellla a écrit : 08 janvier 2025, 16:19
Non c'est une histoire inventée. Juste un lecteur m'avait donné la situation de départ.
Dernière modification par Excalibur81 le 08 janvier 2025, 19:33, modifié 1 fois.
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Re: Christelle, renaissance à Capbreton

Message par Biquette »

Sympa ce premier texte :chaud:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Excalibur81
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Re: Christelle, renaissance à Capbreton

Message par Excalibur81 »

Biquette a écrit : 08 janvier 2025, 19:14 Sympa ce premier texte :chaud:
Merci.

Je vous propose la suite.

Cours de surf

Le cri rauque des mouettes la réveille. A côté d’elle Léa est allongée. Tôt ce matin avant que sa mère se réveille, elle est venue se glisser sous les draps en attendant le déjeuner, puis s’est endormie contre sa mère. La petite fille dort. Christelle se lève doucement pour ne pas la réveiller. Elle prépare un déjeuner avec quelques tartines de beurre et de confiture ainsi que des céréales. Le café passe à la machine tandis qu’elle respire l’air frais sur la terrasse. L’odeur iodée la vivifie. Peu de temps après Léa se réveille. La mère et la fille déjeunent ensemble.

- Tu vas m’inscrire au surf, maman ?
- Oui, on va regarder ça ce matin. N'oublie pas de mettre ton maillot sous tes vêtements on ira à la plage et si l’eau est bonne on se baignera.
- Oh oui !

La toilette faite, Christelle et sa fille marchent dans le village en bordure de la plage. La brune est habillée d’un petit short en jean et d’un crop top vert laissant son nombril à l’air ce qui ne laisse pas les hommes qui la croisent indifférents. A proximité du port, un bungalow indique “cours de surf”. La mère et la fille entrent.

- Bonjour, ce serait pour des cours de surfs.
- Pour votre fille, vous, ou toutes les deux ?
- Ma fille, vous pensez que je peux moi aussi ? Je n’en ai jamais fait.
- Bien sûr que vous pouvez. Regarder, voici les tarifs, J’ai de la place disponible pour dix-sept heure.

Le moniteur de surf, un homme aux cheveux blonds, longs qui lui arrivent aux épaules, de trente-cinq ans, rasé de près, ne peut s’empêcher de sourire à la jolie maman. Christelle n’est d'ailleurs pas indifférente au charme indéniable du jeune homme. Sous le t-shirt moulant elle peut deviner les pectoraux bien dessinés du professeur, et son teint hâlé lui donne un air exotique qu’elle apprécie tout particulièrement. Quand elle sort de la petite boutique, ce dernier ne peut que regarder ces jolies fesses moulées dans ce short si court qu’il atteint les limites de la décence. Il a hâte de la revoir cet après-midi.

La journée continue sur la plage. Christelle alterne entre bronzage et baignade sans quitter Léa des yeux. Juste une petite pause à midi pour acheter un hot-dog. En ce milieu d'après-midi, mère et fille sont allongées sur leur serviette et en profitent pour préparer leur peau au soleil de cet été. Christelle badigeonne sa fille de crème solaire avant de prendre soin de la sienne. Elle passe sa main délicate sur toute les parties de son corps n'omettant ni sa poitrine, ni ses fesses. A quelques pas de là, un groupe de jeunes étudiants profitent du spectacle, chacun s’imaginant remplacer les mains de la mère de famille. Quand la belle brune s’allonge sur la serviette, ils ne peuvent quitter le cul rond, parfait, de la quadragénaire.

Un peu avant dix-sept heure, Christelle et Léa quittent la plage pour aller à leur cours de surf. Le moniteur les attend. Six autres personnes sont là. La distribution des combinaisons commence, suivie de celles des planches de surf. Le moniteur est ravi. La combinaison suit les courbes de Christelle à la perfection. Pendant une heure, le moniteur explique à ses élèves les béabas du surf. Comment prendre une vague, monter à genoux sur la planche. Il a une attention toute particulière pour la beauté brune. Son sexe se raidit, heureusement la fraicheur de l’eau réduit la bosse qui se forme dans la combinaison. Le cours terminé, chacun repose sa planche, rend sa combinaison.

- Merci, nous pouvons revenir demain ?
- Bien sûr je vais vous faire un prix.
- C’est gentil. Vous savez où nous pouvons manger toutes les deux ?
- Il y a le Nautilus au bout du port. C’est sympa, le patron est un ami. J’y vais dès que j’ai fini de ranger. Si vous voulez, je vous accompagne.
- Merci, c’est trop aimable, vous savez on ne connaît pas ici, c’est la première fois que l’on vient.
- Appelez moi Marc.
- Christelle et Léa. Nous allons nous changer et nous revenons.

Marc est très heureux, il ne pensait pas qu’une femme si belle puisse accepter de l’accompagner au restaurant. Il s’affaire à sa besogne afin de ne pas faire languir ses deux invités d’un soir.

Quelques dizaines de minutes plus tard, Christelle est avec sa fille au bureau de l’école de surf. Pour la soirée, elle a revêtu une petite robe d’été à imprimé floral, dos nu, tenu juste par de fine bande de ruban de quelques millimètres. Le tissu masquant sa poitrine indique clairement qu’elle ne porte aucun soutien-gorge dessous. Les trois compagnons marchent d’un pas décidé vers le restaurant.

- Bonjour Tom !
- Salut Marc, ça fait plaisir de te voir. La journée a été bonne ?
- Oui pas mal pour un début de saison. Tiens, voici Christelle et Léa, tu as une table sympa à nous proposer ?
- Oui tu peux prendre la treize en terrasse. Il n’y a personne et vous aurez vu sur la mer.
- Merci.

Tom fait un clin d'œil à Marc. Ils s’installent à la table indiquée. Elle est dans un coin de la terrasse à l'abri du léger vent marin qui a commencé à souffler. Tom apporte les cartes et prend commande des apéritifs. Christelle en profite pour le dévisager. Le patron du restaurant est du même âge que Marc, une carrure de rugbyman aux cheveux noirs coupés très court pour masquer une calvitie naissante compensée par une petite barbe bien entretenu. Un pastis pour Marc, un mojito pour Christelle et un coca pour Léa sont distribués et la commande passée. Marc raconte la création de son affaire à Christelle qui l’écoute en dévorant ses paroles. Soudain le téléphone de la femme sonne.

- Allo ? … Oui c’est moi. Je suis au restaurant … Ca c’est bien passé …

Alors que Christelle est au téléphone, Marc plaisante avec Léa.

- Excuse-moi, mon mec.
- Tout va bien ?
- Oui, il est juste chiant et lourd ! Bon, reprenons.

Marc est un peu attristé en apprenant que Christelle est en couple. Mais la façon dont elle boit ses paroles lui dit qu’il a toutes ses chances. Marc à l’habitude des mères parisiennes esseulées loin de leur conjoint. Il est sûr de ses charmes et compte bien ne pas passer la nuit seul. La conversation reprend. Les plats arrivent. Des moules pour Marc, des crevettes pour Christelle tandis que Léa a un steack haché frites.

- C’est bon. Tu aimes ?
- Oui très bon merci de nous fait découvrir ce restaurant, en plus il est calme et la vue est magnifique. Et toi les moules sont bonnes ?
- Tu sais, j'adore les moules. Sucer leur jus c’est un délice.

Catherine rosit sous l’insinuation, et renchérit.

- Et moi les crevettes, surtout les grosses avec leur jus.
- Intéressant …

Les deux adultes se sourient. La conversation devient plus intime, chacun racontant sa jeunesse, sa famille. Il est vingt-deux heure. Léa commence à bailler et demande à sa mère de rentrer. Marc paie le repas dans son entièreté malgré les protestations de Christelle.

Dehors il fait frais avec l’air marin. Marc prête sa veste à Christelle et les raccompagne à leur appartement.

- Tu veux monter.
- Si tu insistes.

Christelle couche sa fille et rejoint Marc qui prend l’air sur la terrasse.

- Il est sympa cet appart.
- Oui, très. Tu veux un café ?
- Avec plaisir.

Christelle revient avec deux cafés. Marc la regarde. Sous la robe, les tétons de la brune ont durcis par la fraîcheur de la nuit. Son sexe gonfle légèrement devant ce spectacle. La discussion continue. Christelle faisant remarquer qu’elle a froid. Marc vient la serrer dans ses bras.

- Comme ça tu n’auras pas froid.

Christelle se love contre lui. Elle est bien et son esprit a totalement oublié Vincent. Les mains puissantes de Marc massent les épaules de la femmes. Elle minaude contre lui accentuant la pression.

- On rentre ?
- Je te suis.

Une fois à l’intérieur, Marc saisit Christelle par la taille et dépose un baiser sur sa bouche. Elle se laisse faire. La langue du moniteur pénètre la bouche de la brune qui répond en faisant danser sa langue avec celle de son amant. L’homme qui dépasse Christelle d’une tête, lui caresse le dos, les fesses. Christelle ne résiste pas et s’accroche au surfeur. Leur bouche sont solidaires. Christelle ferme les yeux. Marc relève le bas de la robe et ses mains se posent sur les fesses charnues de la brune. Il tâte la fermeté de ces chairs.

- On va dans la chambre.

Marc suit la femme. Elle retire sa robe, ne gardant son string. Marc ôte son t-shirt et baisse ses bermuda et caleçon. Christelle voit le pénis à demi érigé de l’homme. Elle sourit intérieurement il est déjà au moins deux fois plus gros que celui de Vincent quand il est au maximum de son érection. Elle se lèche les lèvres d’envie. Christelle s’approche du beau blond et pose une main sur le sexe de son amant. Celui-ci tressaille de plaisir. Elle caresse ce sexe qui grossit dans sa main. Elle sourit. Depuis tout ce temps, elle sent que ce soir elle va enfin éprouver du plaisir. Marc la pousse sur le lit. Elle est face à lui, ouverte. La bouche de Marc se place sur le fin duvet qui protège l’intimité de la brune. Il retire le string tandis que sa langue titille le clitoris et remonte sur la fente de la femme. Elle gémit. Pour la première fois depuis sept années, elle ne simule pas. Elle sent la langue de Marc écarter ses grandes lèvres pour s’inviter dans son intimité. La tête de Christelle bascule en arrière.

Les mains de Marc remontent sur les côtés pour s’attarder sur les seins ronds de la brune qui halète de plaisir. Elle sent son intimité s’humidifier. Ses seins durcissent de plaisir. La bouche de l’homme remonte par le nombril, sa langue glisse entre les deux seins de la femme avant de s’attarder sur son cou. Une main caresse la poitrine de la brune tandis que l’autre joue avec son antre d’amour. Christelle ferme ses bras dans le dos de Marc. Ses ongles pénètrent la peau du moniteur de surf. La bouche de Marc continue de monter. Elle rejoint celle de son amante.

- Prends-moi !

Marc ne se le fait pas répéter deux fois. Il prend son sexe et l’avance à l’entrée de sa partenaire.

- Oui vas-y. Mmmh, tu es gros. continue …

Le blond s’enfonce doucement dans l'intimité de la brune qui grimace. Cela fait si longtemps qu’elle n’a pas connu un membre aussi viril. Elle accélère sa respiration pour ne pas ressentir de douleur. Marc à l’habitude avec les mères de famille qui s’offrent à lui depuis tant d’été. Il y va lentement mais sûrement. Christelle halète.

- C’est bon, vas-y plus fort !

Surpris que cette femme arrive a encaisser son sexe, il continue. Il entre entier provoquant un cri de jouissance mêlé d’une légère douleur passagère. Marc commence ses va-et-vient. Christelle ne peut se retenir. Elle laisse échapper des cris de plaisir qu’elle tente d'étouffer du mieux qu’elle peut. L’homme la secoue, l’utilise comme une poupée. La femme a les yeux fermés, sa tête se balance de tous côté. Le plaisir est trop grand, elle crie sa jouissance. Le surfeur lui n’a pas encore jouit. Il retourne la femme, la saisit par les hanches et force la porte de derrière.

- Non, pas là tu vas me déchirer.
- Tu vas apprécier, ne t’inquiète pas.

Marc la pénètre sans préparation. Christelle émet un cri de douleur avant de ressentir le sexe emplir entièrement ses entrailles. L’homme recommence ses va-et-vient. La plaisir remplace rapidement la douleur. Christelle jouit une nouvelle fois. Cela faisait si longtemps qu’un homme ne l’avait sodomisée. Elle veut contenir son plaisir tandis que Marc accélère ses coups de butoir contre les fesses de la brune. Elle crie, elle jouit. sa tête retombe sur le lit. Marc le retourne à nouveau. Au bord de la jouissance, il se masturbe face à son amante. Le sourire angélique de Christelle finit d’exciter l’homme qui jouit à son tour, de puissant jet maculant le visage et la poitrine de la femme. Marc évacue ses derniers centilitre dans un râle rauque. Il approche son sexe de la bouche de Christelle.

- Nettoie-le, salope.

L’insulte excite la femme qui met le sexe en bouche et s’applique à bien retirer toute trace de semence. Elle avale le tout avec appétit. Les deux amants s’endorment alors côte-à-côte.
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Re: Christelle, renaissance à Capbreton

Message par Excalibur81 »

Bon malgré l'absence de réaction je mets la suite :

Feu d’artifice

Le bruit des vagues chante par la fenêtre ouverte. Christelle ouvre les yeux. A ses côtés Léa est là, encore un matin où elle est venue sans un bruit s’allonger à côté de sa mère pour finir sa nuit. Par contre, pas de trace de Marc,il est parti sans dire un mot. Christelle sourit à sa fille qui ouvre les yeux.

- Tu as faim ? Allons déjeuner.
- On va faire quoi aujourd’hui ?
- On va aller voir la dune du Pilat.
- C’est quoi ?
- Une immense colline de sable à côté de la mer. Et ce soir on refait du surf.
- Avec Marc ?
- Oui.
- Oh super ! je l’aime beaucoup, il est très gentil.

Christelle sourit. Oui, il est très gentil, et surtout quel coup au lit. Cela faisait si longtemps qu’elle n’avait pas ressenti cela, la domination d’un homme viril près à lui faire subir tout ce qu’il souhaitait. Elle se surprend à aimer ce sentiment, d’être la poupée d’un homme puissant qui la soumet pour lui faire découvrir ses plus vils désirs.

Le repas terminé, la douche prise, elle choisit une petite jupe étroite en jean qui lui arrive à mi-cuisse. et d’un petit t-shirt blanc serré à l’effigie de Mimi qu’elle a acheté l’été dernier à disneyland. Elle hésite devant ses soutien-gorges, mais l’excitation de la nuit dernière n’est pas encore totalement retombée. C'est donc la poitrine libre qu’elle portera le t-shirt.

Elle descend par l’accueil avec Léa pour prendre sa mini cooper dans le parking de l’établissement. Quand elle passe devant le poste de l’accueil, le jeune étudiant qui travaille ce matin pour payer ses études ne peut s’empêcher de regarder les seins libres de toutes entraves de la mère de famille se balancer au rythme de ses pas.

Christelle se gare sur l’immense parking du site touristique. Quand elle sort de sa voiture, un père de famille ne peut s’empêcher de la suivre du regard. Il regarde les cuisses parfaitement galber de la brune tandis que sa femme crie sur leurs enfants qui ne veulent pas lui obéir. Christelle et Léa passent devant les cabanes à touristes et commencent à gravir l’escalier de fer pour effectuer l’ascension de la dune. Elle sent derrière elle deux paires d’yeux qui cherchent à connaître la couleur de sa culotte. Elle se retourne et voit deux étudiants tout juste majeurs qui rougissent de s’être fait prendre. Léa est fatiguée mais continue courageusement la montée sous les encouragements de sa mère. Arrivées en haut, elles s’assoient sur le sable chaud et regardent au loin les bateaux qui se perdent à l’horizon. Le ciel est d’un bleu limpide, pas un nuage. La mer scintille sous le soleil. Le spectacle est magnifique. Le souffle repris, Léa court, tombe et se roule dans le sable fin sous les rires de sa mère qui la prend en photo pour l’envoyer à ses parents et sa petite sœur.

Il est midi passé, l’heure de redescendre. Christelle et sa fille décident de manger dans une cabane du site. Un SMS arrive, une photo de la cuisine, Vincent a fini de décoller les vieux carreaux. Elle lui répond qu’il a fait un bon boulot. Pour le dessert, une glace pour chacune, il fait déjà chaud ce dimanche de Pentecôte. Le regard du serveur s’attarde sur la poitrine de la brune avant de repartir chercher la commande du client suivant.

Il est temps de repartir à Capbreton. Elles passent l’après-midi entre bronzage et baignade, la mère de famille étant l’attention de la plupart des hommes de la plage de dix-huit à soixante-dix ans. L’heure du cours de surf arrive. Elles rejoignent Marc, enfilent leur combinaison et prennent leur planche.

- Tu es parti sans me dire un mot ce matin. J’ai fait quelque chose qui t’a déplu ?
- Oh non, mais je ne voulais pas vous réveiller et comme je devais arriver tôt pour préparer le matériel je vous ai laissé dormir.
- Je te revois ce soir ?
- Avec plaisir.

Comme hier, Christelle retient toute l'attention de Marc. Léa se débrouille bien. Elle arrive à se relever debout sur la planche même si quelques secondes après elle tombe dans l’eau. Pendant ce temps, sa mère en est toujours à tenter de prendre les vagues, allongée sur la planche. Le cours se termine. Le groupe dépose le matériel et se change.

- Nous allons nous changer. On te retrouve ici comme hier ?
- Oui, mais tu sais tu es toute jolie avec cette jupe. Si tu mettais en plus ton petit haut vert d’hier tu serais magnifique.
- Ca te ferait plaisir ?
- Oh oui !

Sans bien savoir pourquoi, Christelle s’exécute au désir de son amant. Elle souhaite revivre une nuit comme hier. Elle sait que c’est son dernier soir et elle compte bien en profiter. Quand elle revient, les yeux de Marc semblent sortir de leur orbite.

- Tu es magnifique, vraiment. Tous les hommes vont te vouloir.
- Ce n’est pas grave, tu es là pour me protéger.
- On retourne au Nautilus, Tom nous invite ce soir.
- C’est vrai ?
- Il faut croire que tu lui as fait bonne impression.

Les deux amants rient. Comme hier, le patron a prévu une table sur la terrasse. Mais cette fois, un quatrième couvert est installé. Il mange avec eux. Il a prévu un magret de canard au fruit rouge. Un délice. Un madiran accompagne le plat. Les trois adultes se régalent tandis que Léa a choisi des nuggets avec des frites. Il est dix heures, Léa est fatiguée, elle veut rentrer.

- Il y a un feu d’artifice ce soir. Vous ne voulez pas le voir ?
- Léa est fatiguée, je dois rentrer.
- Couche-la et rejoins-nous. Si elle dort elle ne craint rien. Ton hôtel est sécurisé et en cas de problème le personnel peut t’appeler.
- Oui d’accord.

En moins de dix minutes, Christelle a fait l’aller-retour. Elle retrouve les deux hommes devant le restaurant. Tous les trois partent vers la jetée. Il y a déjà foule. Ils ne sont pas arrivés que les premières explosions retentissent illuminant le ciel de mille couleurs. Les trois compères applaudissent et crient leur joie. Le feux d’artifice se termine par une salve de fusées multi-couleurs sous les acclamations du public. La foule se retire peu à peu. Sur la place principale du port, une fanfare joue de la musique. Des couples dansent. Les trois bars encore ouverts tournent à plein régime pour fournir les boissons à tout le monde.

- On danse un peu ?
- D’accord, ça fait longtemps que je n’ai pas fait la fête.
- Une belle jeune femme comme toi je n’y crois pas.
- Je ne suis plus toute jeune, vous savez.
- Tu dois faire pâlir de jalousie pas mal d’étudiantes tu sais.

Alors qu’elle rougit, elle suit les deux hommes sur la place. Elle danse entre eux deux. Ils sont tous deux si proches d’elle à se déhancher. Parfois leur mains s’attardent sur ses hanches, souvent elle peut sentir la virilité de celui qui est derrière elle. Elle se trémousse au rythme de la musique. Les deux hommes la font tourner de l’un à l’autre, lui servent des verres de bière.

- J’ai besoin d’aller aux toilettes.
- Reviens vite, et si j’osais je te demanderai de me donner ta culotte en souvenir.

Christelle semble mi-choquée, mi-amusée. Mais l’alcool aidant, elle part en direction des toilettes en souriant à l’idée. De retour elle montre la culotte à Marc et la met dans la main de Tom qui s’étouffe presque avec sa gorgée de bien quand il remarque ce qu’elle vient de lui donner. Elle chuchote à l’oreille de Marc.

- Toi, tu auras le droit à plus tout à l’heure.
- Mmmh, la nuit va être longue.
- Très, mon trésor, et bien dur j’espère.

La fête continue. Les trois amis dansent sur la place. Ils font le spectacle. Christelle passe des bras de l’un aux bras de l’autre, tourne, virevolte. Elle rit, cela faisait longtemps qu’elle ne s’était pas autant amusé. Les verres d’alcool continuent de couler. Il est déjà deux heures quand la musique s'arrête. Christelle a un peu de mal à marcher droit.

- Vous me raccompagnez ?

Les deux hommes acceptent sans hésiter. Ils montent les escaliers, ouvrent les portes de l’appartement. Tout est calme. Christelle tient chaque homme par une main et les entraîne dans sa chambre. Elle embrasse Marc sur la bouche.

- Toi aussi tu veux ?

Sans attendre la réponse, elle embrasse Tom. puis elle descend ses mains entre les jambes des jeunes hommes. Une pour chacun.

- Mmmh, vous avez l’air en forme, c’est moi qui vous fait cet effet ?

Elle les pousse sur le lit, ils s'assoient. Elle s’agenouille devant eux, Tom à sa droite, Marc à sa gauche. Elle ouvre les braguettes. Les deux compères n’ont pas besoin de plus d'indications. Ils tombent leur bas. Christelle saisit chacun des membres dans sa main.

- Ouah, t’es bien membré toi aussi. J’ai gagné les gros lots !

Ses mains astiquent les deux verges tandis que sa bouche passe d’un gland à l’autre. Elle se délecte à la vue des sexes qui continuent de grossir dans ses mains; Elle pompe l’un, pompe l’autre. Elle est aux anges. Sa langue remonte sur la hampe de l’un avant que ses lèvres n’entourent celle de l’autre. Les deux hommes grognent de plaisir.

- Putain, la salope elle suce bien !
- Elle a dû faire ça toute sa vie. Mmmmh, continue …

Christelle est fière des compliments qu’elle reçoit. Une fois les sexes bien dressés et durs, elle pousse Marc pour qu’il s’allonge. Elle s’empale sans difficulté sur ce mât énorme, son antre dégoulinant de cyprine sous l’excitation. Elle commence à monter et descendre sur ce sexe qui la remplit entièrement.

- Mmmh, c’est bon, viens me donner ta bite, toi !

Tom se met à genous sur le lit et offre son sexe à la bouche de la brune.

- Quelle salope !
- Oui elle encaisse bien, C’est la première avec qui je rentre aussi facilement.
- Je veux tester moi aussi.

Tom fait rouler le couple et saisit Christelle par les hanches. La brune est à quatre pattes sur le lit. Tom la pénètre.

- Mmmh et bien serré. Elle doit pas servir souvent.
- Où son mari en a une toute petite ah ah !

Tom rentre et sort de la femme dont les seins se balancent devant les yeux de Marc. Cette vue a pour don de l’exciter. Christelle gémit son plaisir.

- A moi maintenant !
- Attends j’ai pas fini.
- Je la veux !

Marc se glisse sous Christelle qui se décroche de Tom. Marc la saisit immédiatement pour l’empaler. La femme gémit, crie sa jouissance. Ses seins caressent la poitrine du blond à chaque coup de butoir de ce dernier. Le sexe de Tom est toujours raide. Il voit les fesses de la mère de famille qui sont une invitation à être visité. Il lèche son majeur et l’introduit dans le petit trou. Christelle gémit de se sentir ainsi possédée par les deux côtés. Après un certains nombre d’aller retour dans cette anus, il décide de le remplir de son sexe.

- Aaaah ! j’ai mal …

Les yeux de Christelle se mouillent alors que le second homme la pénètre tandis que le premier continue de la pistonner.

- Tu vas voir, tu vas atteindre un plaisir comme jamais tu n’as connu.

Le sexe du brun est maintenant entrer en entier. Christelle se mord les lèvres pour ne pas crier. Elle a mal mais le plaisir de sentir les deux sexes qui glisse l’un contre l’autre chacun du côté de sa parois est immense et vaut bien quelques désagréments initiaux. Elle est remplie comme jamais. De leur côté les deux hommes éprouvent du plaisir à sentir le sexe de leur mai à travers la cloison de la brune. Les deux hommes synchronisent leur va et vient, quand l’un recule, l’autre avance, ce qui a pour effet de décupler le plaisir de Christelle qui ne peut plus retenir ses cris. Ils parviennent à l’extase ensemble. La femme jouit la première suivi de Tom et de Marc qui libère leur liqueur blanche à l’intérieur du corps de la femme.
Excalibur81
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Re: Christelle, renaissance à Capbreton

Message par Excalibur81 »

Je vous mets la fin de l'histoire.

Retour à Paris

Au petit matin, Christelle se réveille entourée de ses deux amants. Quels nuits ils ont passé ensemble. A sa gauche Tom caresse ses seins tandis que Marc caresse ses cuisses. Quel plaisir d’être ainsi choyée par deux étalons. Pour son premier trio, Christelle ne regrette rien.

- Il faut préparer le déjeuner, Léa va se réveiller.

Les deux hommes regardent la femme se lever et enfiler un t-shirt long qui s’arrête juste sous les fesses. Ils s’habillent tandis que la mère de famille sort le petit déjeuner. Ils sont tous les trois attablés à boire le café et discuter du temps quand Léa sort de sa chambre.

- Bonjour Marc, bonjour Tom.
- Tu peux leur faire la bise tu sais, il ne vont pas rester longtemps, ils ont du travail.

Les deux hommes quittent Christelle avec regrets. La mère et sa fille s'habillent. Dehors des gouttes de pluie gâchent la matinée. Christelle emmène sa fille faire les boutiques de souvenirs. Léa choisit un magnet à l’effigie de Capbreton et une peluche de dauphin. Le ciel se noircit, la pluie tombe plus fort, la température est fraîche. Christelle envoie un SMS à Vincent, à cause de la météo, ils ne vont pas s’attarder longtemps ici. Il retourne rapidement à l’appartement pour mettre les valises dans la mini cooper. Pour le voyage, Christelle a enfilé un jean et un chemisier à manches longues. Elle regarde la carte de visite de Marc. Elle voit son numéro de téléphone et décide de lui envoyer un message pour lui dire qu’elle part et que grâce à lui, elle a passé le plus merveilleux week-end de sa vie. Alors que la voiture est prête, juste avant de monter, son téléphone vibre. Un message est arrivé.

> Passe au Nautilus, Tom vous prépare un sandwich pour la route, et on se dira une dernière fois au revoir.
> Je passe.

Christelle se gare devant le restaurant. Le chien de Tom se promène dans la salle. Léa se met à jouer avec lui.

- On allait pas te laisser partir ainsi. Le repas et aux cuisines, viens.
- Tu restes là, Léa.
- Oui maman. Il est gentil le chien de Tom.

Christelle suit les deux hommes. Sur la table un sac aux couleur du Nautilus l’attend.

- Si tu veux on a deux boudin pour toi en plus, plein de sauce blanche.
- Ca a l’air délicieux.

Les deux amis dézippent leur pantalon et sortent leur gros sexe sous l’œil avide de la femme. Elle s’approche tâte leur marchandise et s’agenouille devant eux.

- Dites -moi les gars, ils sont appétissants.

Sans plus attendre, Christelle astique une verge d’une main, tandis qu’elle met en bouche la seconde.

- Mmmh, tu suces comme une princesse. Il a de la chance ton mari.

Si il savait, au vue de la taille, elle ne peut en profiter et par conséquent le sexe de son compagnon ne rentre jamais dans sa bouche. Mais là, elle ne veut pas y penser. Elle veut juste profiter des dernières minutes au bord de l’océan. Sa bouche passe d’un sexe à l’autre. Sa langue titille les glands l’un après l’autre, lèche les verges sur toute leur longueur. Les souvenirs de la nuit excitent les trois amants. Les deux hommes ne tardent pas à sentir leur plaisir monter sous les coups de langue experte de Christelle. Elle continue de passer de l’un à l’autre parfois s’attardant, parfois accélérant mais toujours en regardant ses hommes dans les yeux.

- Je viens !
- Moi aussi.

Christelle ouvre la bouche et astique les deux verges côte à côte au-dessus de ses lèvres ouvertes. La sauce de Marc tombe sur sa langue suivie de près par celle de Tom. Un jet, puis deux, trois … Les deux liqueurs blanches remplissent sa bouche. Quand les dernières gouttes sont tombées, elle referme les lèvres et déglutit avec délectations.

- On avait jamais rencontré une salope comme toi. Quand tu reviens, fais nous signe.

Christelle se relève satisfaite du travail accompli. Elle rejoint sa fille dans la grande salle.

- Tu as vu maman, il m’obéit bien. Regarde je lui “couché”, “assis”.

Le chien obéit sous l’œil amusé des trois adultes.

- C’est bien ma fille.
- Dis maman on reviendra, dis on reviendra ?
- C’est fort possible.

Les deux hommes sourient à la réponse de la mère. Ils ont déjà hâte de pouvoir passer une nouvelle nuit avec elle, tous les trois.

Christelle et Léa remontent dans la voiture. La mini cooper accélère. Elle prend la direction de Paris. Sur l’autoroute le paysage défile à vive allure. Dans la tête de Christelle, le souvenir de ces deux jours défile. Un sourire béat illumine son visage.

A la station service, quand elle fait le plein, l’homme assis au volant derrière elle admire ses courbes. Dans sa voiture il a sorti son sexe et se masturbe en regardant les fesses de la brune moulées dans ce jean transformé en une seconde peau. Quel dommage que le plein soit si vite fait, il était sur le point d’éjaculer. Il voudrait continuer mais déjà derrière lui une voiture klaxonne, pressée de retrouver la pollution de la capitale.

Le trajet se termine sans encombre. Léa s’est endormie. Christelle pense toujours à ses amants. Elle est décidée, elle recommencera. C’est une nouvelle Christelle qui rentre dans la capitale.

Dans l’appartement Vincent montre le travail effectué. Il a vraiment bien travaillé. Un artisan n’aurait pas mieux fait. La nouvelle fayence est parfaitement ajustée à l’ancienne. Christelle chante en préparant le repas. Puis elle part se coucher avec son compagnon.

- Tu as l’air heureuse. Tu as passé un bon week-end ?
- Très bon si tu savais. Ca m’a rappelé ma jeunesse.
- Cool, et je t’ai manqué ?

Vincent est nu sur le lit. Christelle regard ce sexe, encore plus petit que les crevettes qu’elle a savouré samedi soir. Vraiment il faut qu’elle trouve un sexe adapté à ses besoins. Elle se promet que ce sera sa nouvelle quête dès demain.

- Tu as vu ton kiki ? Comment il aurait pu me manquer ?

La nuit commence, la nouvelle Christelle est là, et elle compte bien profiter de son nouveau talent, mais ça c’est une autre histoire.
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