Stratégie [hétéro]
Publié : 09 mars 2021, 10:26
« … Une bonne douzaine de brunes, blondes, blacks… Elles étaient toute belles, toutes célibataires, séparées ou divorcées, toutes radieuses, souriantes et affriolantes, habillées des plus belles robes du moment des plus grands couturiers. Tout comme Sylvia. Mais contrairement à elle, elles étaient riches, parfois célèbres et connaissaient et tournoyaient toutes autour de Daniel.
Daniel avait l’habitude lors des nombreuses fêtes et galas de promotion ou de charité, de cette espèce de coure féminine puisqu’il était l’un des plus riche (et séduisant) célibataire de ce groupe de gens fortunés et /ou célèbres de Beverly Hills.
Mais Sylvia le voulait et l’aurait… C’était prévu! Mais si elle faisait comme toutes les autres, se serait peine perdue: aurait-elle l’occasion de lui parler ? Et si oui de quoi ? Ses troisièmes rôles dans deux films que personne n’a regardé? Du nombre, déjà peu conséquents à l’époque de ses followers qui diminuaient chaque jour? Non, il lui fallait un autre plan d’attaque…
Et si Sylvia ne faisait pas comme ses concurrentes, elle agirait comme sa proie : en très peu de temps elle attira tous les mâles célibataires et les laissait s’agglutiner autour d’elle de façon assez provocante et intéressée pour les garder autour d’elle mais inaccessible afin de laisser le champ libre à Daniel.
Et la première phase fonctionna : Daniel, remarqua ce petit groupe inversé au sien et le regard de cette inconnue qui croisait le sien de plus en plus fréquemment… Pensant qu’il agissait de son propre chef, il délaissa, non sans s’excuser, ses groupies un instant comme il avait l’habitude de faire pour discuter avec l’un ou l’autre invité; mais cette fois pour faire la connaissance de cette séduisante femme qu’il ne connaissait pas encore.
Il dit bonjour à quelques prétendants de la belle quand enfin l’un d’eux la lui présenta :
- Tu connais Sylvia, Dan ? On ne parle que d’elle à Hollywood. (sic)
- En fait très peu, je ne me souvenais même plus l’avoir invitée. Dit-il en la regardant.
- C’est mon agent qui m’a demandé de venir mais je ne l’ai pas encore vue… Au fait, bon anniversaire »
Et c’est là qu’elle lui tendit la deuxième phase de son piège, sous la forme d’une petite boite emballée de papier violet satiné.
- Il ne fallait pas : mon anniversaire n’est qu’un prétexte à mon association caritative qui aide les enfants précarisés à obtenir une bourse. Dois-je… ?
- L’un n’empêche pas l’autre, l’interrompit-elle avec un sourire à peine contenu. D’ailleurs mettez-le dans votre poche, vous l’ouvrirez quand vous serez tranquille après cette superbe soirée ou demain tranquillement… En attendant je pense que vos fans vous réclament !
- Oui je préfère éviter tout scandale, plaisanta-t-il avant de s’exécuter.
Et la soirée continua agréablement. Leurs échanges de regards continuaient fréquemment. Puis Sylvia disparut peu avant que les premiers invités commencent à s’éclipser également. Et peu à peu la soirée prit fin. En bon hôte, Daniel remercia chaque membre du personnel et donna ses dernières recommandations à son assistant avant de monter dans sa chambre… Seul.
Avant même de se déshabiller, il ouvrit le cadeau de Sylvia avec une certaine impatience pas totalement récompensée: à l’intérieur se trouvait une autre boite et une inscription disant « à ouvrir qu’en face de moi. S. » et le numéro de portable de l’instigatrice.
Deuxième phase conclue, place à la troisième : Daniel appela Lindsay quelques jours plus tard et ils convinrent d’un rendez-vous dans un petit restaurant à la mode.
Au restaurant, Lindsay arriva un peu en retard (comme il se doit) vêtue d’une robe de cocktail dos nu en satin violet comme le paquet de l’emballage ; les banalités d’usages eurent lieu. Pendant l’apéritif, Daniel sorti la petite boite en ventant Lindsay d’être douée pour le suspens mais elle lui proposa de le déposer sur sa table et de ne plus en parler avant la fin du dessert. Le repas fut très agréable : Lindsay, sachant probablement que Daniel n’aimait pas parler de ses affaires, n’en a pas fait mention, posait des questions sur ses voyages, lui dit qu’elle ne voulait pas rester actrice toute sa vie et qu’elle avait d’autres projets… Bref une conversation telle qu’un homme et une femme apprécient lors d’un rendez-vous, avec beaucoup de regards, d’anecdotes, de rires et même de petits effleurements de mains…
Vint enfin la fin du dessert quand Lindsay, tout en demandant l’addition, proposa enfin à Daniel d’ouvrir le cadeau qui le préoccupait depuis quelques jours : c’était juste une petite lettre pliée et fermée en bas. Il lut :
« Daniel, vous avez deux possibilités : soit me laisser payer l’addition et nous dire au revoir, soit m’emmener chez vous pour utiliser ceci sans aucune promesse de lendemain si ce n’est le respect et le souvenir d’un moment très agréable. »
Il détacha le bas de la feuille et découvrit un préservatif dans son emballage violet.
Daniel était loin de se douter à cela. Bien sûr beaucoup de femmes l’avaient courtisé de nombreuses façons, la plupart du temps pour sa fortune plus que son physique pourtant agréable mais là c’était une première en termes d’originalité.
Ils se dévisagèrent tous les deux un long moment, le plus long moment sans paroles de la soirée. La boite du cadeau d’un côté de la table et celle de l’addition de l’autre. Daniel sans un mot mit son doigt sur celle de l’addition et… la prit pour y déposer quelques billets. Tout en mettant le cadeau dans la poche de sa chemise.
« Je passerai demain matin pour reprendre ma voiture dit Lindsay au serveur sans quitter Daniel du regard …»
Dans la voiture l’ambiance était un peu plus timide et le trajet estimé à 28 minutes risquait de plomber quelque peu l’ambiance… Ce serait sans compter sur Sylvia :
- C’est une boite manuelle ? Demanda-t-elle
- Heu… oui répondit Daniel
- Dans ce cas votre main droite serait plus utile pour nous détendre…
Pour lier les mots aux actes, Sylvia prit imperceptiblement la main de Daniel pour la poser à l’intérieur de sa cuisse en remontant sa robe. Le conducteur se montrant un peu timide, la passagère lui guida sa main de plus en plus haut jusqu’à son entre-jambes. Daniel savait depuis le restaurant que Sylvia n’avait pas de soutien-gorge, il sut maintenant encore plus agréablement qu’elle ne portait en fait aucun sous-vêtement…
De sa main droite, Sylvia inclina un peu son siège ; de sa main gauche elle guidait le majeur de son conducteur directement dans son vagin où Daniel constata que malgré l’absence de sous-vêtements, sa passagère n’avait pas froid du tout. Au contraire, elle était chaude et humide à souhait!
Sylvia sorti le majeur de Daniel, maintenant bien humide, de son antre pour le guider entre ses petites et grandes lèvres… Elle lui fit parcourir tout le tour, lentement, de haut en bas puis remonta pour qu’il puisse distinguer un clitoris bien sorti de sa tanière…
Elle continua quelques instants à l’aider à se stimuler puis laissa Daniel explorer les lieux à sa guise encouragé par quelques gémissements…
Daniel apprit bientôt que sa passagère était gauchère, si ce n’était le cas, elle était très habille pour déboutonner le pantalon du conducteur, se faufiler dans son boxer et aider une verge à mieux se positionner pour se présenter bien droite…
Habillement, Sylvia pencha la tête sous le bras droit de Daniel pour lui offrir sa bouche… Elle passa sa langue si lentement dans la fente du gland que ça parut une douce éternité pour un Daniel qui ne s’attendait vraiment pas à tant d’audace. Elle sentit que Daniel, malgré sa circoncision, était assez sensible du gland. Elle l’aspira quelque fois et frotta le gland contre son palais de plus en plus rapidement… L’homme se raidit tout comme sa verge, avait quitté sa main de l’antre de sa calineuse pour s’agripper au volant. Sylvia en profita pour s’agenouiller sur son siège et masturber le membre avec sa bouche. De plus en plus loin et surtout de plus en plus vite…
Elle sentit les tremblements annonciateurs d’une éjaculation imminente et s’aida de sa main pour l’encourager… Le sperme envahit sa bouche, elle avala une partie pour éviter toute fuite et fit un murmure de régalement. Elle redressa légèrement sa tête pour délaisser sa proie de sa bouche qu’elle frotta de sa main droite avant de se rassoir, jambes écartées pour s’occuper un peu d’elle en se frottant entre ses lèvres du bas.
Le timing était parfait : quand le portail de la propriété de Daniel s’ouvrit, elle avait remis le membre affaibli et reboutonné le pantalon.
« J’espère que tu as du champagne au frais ? » dit-elle d’un ton satisfait…
La seconde partie sera beaucoup moins calme,,,
Daniel avait l’habitude lors des nombreuses fêtes et galas de promotion ou de charité, de cette espèce de coure féminine puisqu’il était l’un des plus riche (et séduisant) célibataire de ce groupe de gens fortunés et /ou célèbres de Beverly Hills.
Mais Sylvia le voulait et l’aurait… C’était prévu! Mais si elle faisait comme toutes les autres, se serait peine perdue: aurait-elle l’occasion de lui parler ? Et si oui de quoi ? Ses troisièmes rôles dans deux films que personne n’a regardé? Du nombre, déjà peu conséquents à l’époque de ses followers qui diminuaient chaque jour? Non, il lui fallait un autre plan d’attaque…
Et si Sylvia ne faisait pas comme ses concurrentes, elle agirait comme sa proie : en très peu de temps elle attira tous les mâles célibataires et les laissait s’agglutiner autour d’elle de façon assez provocante et intéressée pour les garder autour d’elle mais inaccessible afin de laisser le champ libre à Daniel.
Et la première phase fonctionna : Daniel, remarqua ce petit groupe inversé au sien et le regard de cette inconnue qui croisait le sien de plus en plus fréquemment… Pensant qu’il agissait de son propre chef, il délaissa, non sans s’excuser, ses groupies un instant comme il avait l’habitude de faire pour discuter avec l’un ou l’autre invité; mais cette fois pour faire la connaissance de cette séduisante femme qu’il ne connaissait pas encore.
Il dit bonjour à quelques prétendants de la belle quand enfin l’un d’eux la lui présenta :
- Tu connais Sylvia, Dan ? On ne parle que d’elle à Hollywood. (sic)
- En fait très peu, je ne me souvenais même plus l’avoir invitée. Dit-il en la regardant.
- C’est mon agent qui m’a demandé de venir mais je ne l’ai pas encore vue… Au fait, bon anniversaire »
Et c’est là qu’elle lui tendit la deuxième phase de son piège, sous la forme d’une petite boite emballée de papier violet satiné.
- Il ne fallait pas : mon anniversaire n’est qu’un prétexte à mon association caritative qui aide les enfants précarisés à obtenir une bourse. Dois-je… ?
- L’un n’empêche pas l’autre, l’interrompit-elle avec un sourire à peine contenu. D’ailleurs mettez-le dans votre poche, vous l’ouvrirez quand vous serez tranquille après cette superbe soirée ou demain tranquillement… En attendant je pense que vos fans vous réclament !
- Oui je préfère éviter tout scandale, plaisanta-t-il avant de s’exécuter.
Et la soirée continua agréablement. Leurs échanges de regards continuaient fréquemment. Puis Sylvia disparut peu avant que les premiers invités commencent à s’éclipser également. Et peu à peu la soirée prit fin. En bon hôte, Daniel remercia chaque membre du personnel et donna ses dernières recommandations à son assistant avant de monter dans sa chambre… Seul.
Avant même de se déshabiller, il ouvrit le cadeau de Sylvia avec une certaine impatience pas totalement récompensée: à l’intérieur se trouvait une autre boite et une inscription disant « à ouvrir qu’en face de moi. S. » et le numéro de portable de l’instigatrice.
Deuxième phase conclue, place à la troisième : Daniel appela Lindsay quelques jours plus tard et ils convinrent d’un rendez-vous dans un petit restaurant à la mode.
Au restaurant, Lindsay arriva un peu en retard (comme il se doit) vêtue d’une robe de cocktail dos nu en satin violet comme le paquet de l’emballage ; les banalités d’usages eurent lieu. Pendant l’apéritif, Daniel sorti la petite boite en ventant Lindsay d’être douée pour le suspens mais elle lui proposa de le déposer sur sa table et de ne plus en parler avant la fin du dessert. Le repas fut très agréable : Lindsay, sachant probablement que Daniel n’aimait pas parler de ses affaires, n’en a pas fait mention, posait des questions sur ses voyages, lui dit qu’elle ne voulait pas rester actrice toute sa vie et qu’elle avait d’autres projets… Bref une conversation telle qu’un homme et une femme apprécient lors d’un rendez-vous, avec beaucoup de regards, d’anecdotes, de rires et même de petits effleurements de mains…
Vint enfin la fin du dessert quand Lindsay, tout en demandant l’addition, proposa enfin à Daniel d’ouvrir le cadeau qui le préoccupait depuis quelques jours : c’était juste une petite lettre pliée et fermée en bas. Il lut :
« Daniel, vous avez deux possibilités : soit me laisser payer l’addition et nous dire au revoir, soit m’emmener chez vous pour utiliser ceci sans aucune promesse de lendemain si ce n’est le respect et le souvenir d’un moment très agréable. »
Il détacha le bas de la feuille et découvrit un préservatif dans son emballage violet.
Daniel était loin de se douter à cela. Bien sûr beaucoup de femmes l’avaient courtisé de nombreuses façons, la plupart du temps pour sa fortune plus que son physique pourtant agréable mais là c’était une première en termes d’originalité.
Ils se dévisagèrent tous les deux un long moment, le plus long moment sans paroles de la soirée. La boite du cadeau d’un côté de la table et celle de l’addition de l’autre. Daniel sans un mot mit son doigt sur celle de l’addition et… la prit pour y déposer quelques billets. Tout en mettant le cadeau dans la poche de sa chemise.
« Je passerai demain matin pour reprendre ma voiture dit Lindsay au serveur sans quitter Daniel du regard …»
Dans la voiture l’ambiance était un peu plus timide et le trajet estimé à 28 minutes risquait de plomber quelque peu l’ambiance… Ce serait sans compter sur Sylvia :
- C’est une boite manuelle ? Demanda-t-elle
- Heu… oui répondit Daniel
- Dans ce cas votre main droite serait plus utile pour nous détendre…
Pour lier les mots aux actes, Sylvia prit imperceptiblement la main de Daniel pour la poser à l’intérieur de sa cuisse en remontant sa robe. Le conducteur se montrant un peu timide, la passagère lui guida sa main de plus en plus haut jusqu’à son entre-jambes. Daniel savait depuis le restaurant que Sylvia n’avait pas de soutien-gorge, il sut maintenant encore plus agréablement qu’elle ne portait en fait aucun sous-vêtement…
De sa main droite, Sylvia inclina un peu son siège ; de sa main gauche elle guidait le majeur de son conducteur directement dans son vagin où Daniel constata que malgré l’absence de sous-vêtements, sa passagère n’avait pas froid du tout. Au contraire, elle était chaude et humide à souhait!
Sylvia sorti le majeur de Daniel, maintenant bien humide, de son antre pour le guider entre ses petites et grandes lèvres… Elle lui fit parcourir tout le tour, lentement, de haut en bas puis remonta pour qu’il puisse distinguer un clitoris bien sorti de sa tanière…
Elle continua quelques instants à l’aider à se stimuler puis laissa Daniel explorer les lieux à sa guise encouragé par quelques gémissements…
Daniel apprit bientôt que sa passagère était gauchère, si ce n’était le cas, elle était très habille pour déboutonner le pantalon du conducteur, se faufiler dans son boxer et aider une verge à mieux se positionner pour se présenter bien droite…
Habillement, Sylvia pencha la tête sous le bras droit de Daniel pour lui offrir sa bouche… Elle passa sa langue si lentement dans la fente du gland que ça parut une douce éternité pour un Daniel qui ne s’attendait vraiment pas à tant d’audace. Elle sentit que Daniel, malgré sa circoncision, était assez sensible du gland. Elle l’aspira quelque fois et frotta le gland contre son palais de plus en plus rapidement… L’homme se raidit tout comme sa verge, avait quitté sa main de l’antre de sa calineuse pour s’agripper au volant. Sylvia en profita pour s’agenouiller sur son siège et masturber le membre avec sa bouche. De plus en plus loin et surtout de plus en plus vite…
Elle sentit les tremblements annonciateurs d’une éjaculation imminente et s’aida de sa main pour l’encourager… Le sperme envahit sa bouche, elle avala une partie pour éviter toute fuite et fit un murmure de régalement. Elle redressa légèrement sa tête pour délaisser sa proie de sa bouche qu’elle frotta de sa main droite avant de se rassoir, jambes écartées pour s’occuper un peu d’elle en se frottant entre ses lèvres du bas.
Le timing était parfait : quand le portail de la propriété de Daniel s’ouvrit, elle avait remis le membre affaibli et reboutonné le pantalon.
« J’espère que tu as du champagne au frais ? » dit-elle d’un ton satisfait…
La seconde partie sera beaucoup moins calme,,,