Fenêtre sur Claire.
Publié : 02 avril 2013, 16:14
Elle portait un pull blanc en grosses mailles, et une pauvre culotte en coton. Elle s’agitait dans son petit studio d’étudiante, chantant des idioties en anglais et des romances en français, ne parvenant jamais à interrompre le gazouillis jovial des oiseaux qui arrivait de la fenêtre ouverte sur la cour. Elle se trouvait belle quand elle croisait son grand miroir. Elle n’avait pas tord. Une fois, elle vérifia que je ne la guettais de la fenêtre d’en face et se plaça devant son image. Elle souleva son pull et regarda ses jolis seins en souriant.
La veille, elle avait été prise par deux gaillards dans sa petite chambre. Deux jeunes de son âge en même temps. Elle laissait toujours ses volets ouverts, et je pensais même qu’elle le faisait pour moi. Je m’étais caressé en la regardant subir les assauts vigoureux des mâles. L’un couché sous elle léchait ses seins en la prenant, l’autre, agrippé à ses hanches devait l’enculer avec force. Elle criait et tout l’immeuble entendait sa jouissance. Je ne devais pas être le seul à profiter de ce charmant spectacle.
Maintenant, elle caressait ses seins, ses tétons se dressaient joliment. Elle se rendit dans sa chambre et s’allongea sur son lit. Elle plaça un oreiller sous sa tête et écarta ses cuisses. Je me cachai derrière ma fenêtre pour ne pas être vu.
Je la voyais toute entière, allongée, une main sous son pull, l’autre en bas de son ventre. Elle se caressait du bout de ses doigts fins. Je ne voyais pas son sexe caché par sa cuisse, mais je l’imaginais. Ses poils bruns comme ses beaux cheveux, ses lèvres fines, son clitoris gracieux… Elle se mordit les lèvres et intensifia ses caresses. Sa culotte devenant superflue, elle la jeta du bout du pied. Elle avait à présent les deux mains entre ses cuisses et regardait intensément son sexe.
Elle se caressa plus intensément, ses gestes ayant la cadence d’une verge pénétrante.
Elle jouit, en silence. Cambrée.
Puis s’affaissa, se tourna sur le côté, ses yeux fermés par le plaisir s’ouvrirent et me fixèrent. Dans ma fièvre de voyeur, insensiblement, je m’étais déplacé derrière ma fenêtre, face à elle. Et je jouis dans ma main sous son regard qui me défiait.
La veille, elle avait été prise par deux gaillards dans sa petite chambre. Deux jeunes de son âge en même temps. Elle laissait toujours ses volets ouverts, et je pensais même qu’elle le faisait pour moi. Je m’étais caressé en la regardant subir les assauts vigoureux des mâles. L’un couché sous elle léchait ses seins en la prenant, l’autre, agrippé à ses hanches devait l’enculer avec force. Elle criait et tout l’immeuble entendait sa jouissance. Je ne devais pas être le seul à profiter de ce charmant spectacle.
Maintenant, elle caressait ses seins, ses tétons se dressaient joliment. Elle se rendit dans sa chambre et s’allongea sur son lit. Elle plaça un oreiller sous sa tête et écarta ses cuisses. Je me cachai derrière ma fenêtre pour ne pas être vu.
Je la voyais toute entière, allongée, une main sous son pull, l’autre en bas de son ventre. Elle se caressait du bout de ses doigts fins. Je ne voyais pas son sexe caché par sa cuisse, mais je l’imaginais. Ses poils bruns comme ses beaux cheveux, ses lèvres fines, son clitoris gracieux… Elle se mordit les lèvres et intensifia ses caresses. Sa culotte devenant superflue, elle la jeta du bout du pied. Elle avait à présent les deux mains entre ses cuisses et regardait intensément son sexe.
Elle se caressa plus intensément, ses gestes ayant la cadence d’une verge pénétrante.
Elle jouit, en silence. Cambrée.
Puis s’affaissa, se tourna sur le côté, ses yeux fermés par le plaisir s’ouvrirent et me fixèrent. Dans ma fièvre de voyeur, insensiblement, je m’étais déplacé derrière ma fenêtre, face à elle. Et je jouis dans ma main sous son regard qui me défiait.