L'enveloppe
Publié : 19 janvier 2012, 17:58
Partie 1
Elle ouvre la boîte aux lettres, récupère vaguement le courrier et monte à pieds les 5 étages. L'ascenceur, c'est uniquement lorsqu'elle est chargée, cela la fait sourire...elle monte toujours plus vite que Lui.
Arrivée dans l'appartement, elle range son manteau et son sac puis regarde distraitement le courrier...la banque..de la publicité...et tiens...une enveloppe qui lui est adressée...mais juste son nom...celui qu'Il utilise...
Elle frémit et se dépêche de l'ouvrir...quelques lignes...
'Ce soir, nous recevons deux amis.
Je te laisse le choix du menu.
Tu nous attendras à genous près de la porte d'entrée, ta tenue se trouve dans une housse noire dans l'armoire'
Elle se précipite dans la chambre, curieuse comme elle est, pour voir ce qu'elle doit mettre. Elle ouvre la porte et trouve la housse noire, un papier y est scotché. Elle le lit 'Ne regarde pas avant de t'habiller, ma chienne'.
Elle soupire de frustration, mais se reprend vite il est déjà 17h30 et elle ne sait pas encore à quelle heure il a prévu d'arriver.
Dans la cuisine elle regarde les possibités pour le diner et se décide finalement à aller chercher quelques assortiments.
19h00, le japonais est rangé dans le frigo, les petits fours placés sur la table du salon, tout est en place. Elle se faufile dans la salle de bain, prendre une bonne douche chaude, elle se dépêche tout de même pour être là où il lui a dit quand ils arriveront.
Elle se sèche, se parfume, se maquille et se dirige vers la chambre pour enfin découvrir sa tenue. Défaisant la fermeture éclair de la housse, elle y découvre une longue robe noire de satin. Cela l'étonne un peu, d'habitude c'est court, très court. Elle sourit la robe a l'air bien plus complexe à enfiler. Le tissus est fluide et doux entre ses mains, elle se met devant le miroir et tente un premier essai.
La robe lui déclenche des frissons à glisser sur sa peau, elle est légère, mais elle s'aperçoit qu'il manque quelque chose qui est resté dans la housse, un serre taille haut.
Elle reprend donc, entre le tissus, les rubans et le corset, elle finit par trouver. Le serre-taille maintient le tissus de la robe, fendue jusqu'à la lisière de celui-ci, le tissu remonte sous le corset recouvrant la poitrine, un ruban noué derrière le cou maintient la robe...Elle s'observe devant le miroir, la robe lui va bien...comme à chaque fois qu'il choisit...puis enfile ses bas et escarpin....et enfin elle met son collier, celui qu'elle ne porte qu'exceptionnellement..
Elle reconnaît le son du déclic de la poignée, elle se précipite dans le couloir mais il est déjà entré et l'observe. Elle a ralenti et détecte le changement dans son regard. Elle n'était pas là où il l'attendait...
- Je suis désolée Maî...
La gifle la fait taire. Il lui saisit le menton, ne dit mot mais son regard est suffisamment expressif.
Sa joue lui brûle encore, alors qu'elle installe leurs invités dans le salon. Elle les connaît mais ne laisse transparaître sa joie de les revoir, n'ayant pas encore eu un mot de son Maître.
Pierre s'assoit donc sur le canapé et Amélie se faufile à ses pieds tout en lui souriant. Elle aussi est heureuse de la revoir.
Elle ouvre la boîte aux lettres, récupère vaguement le courrier et monte à pieds les 5 étages. L'ascenceur, c'est uniquement lorsqu'elle est chargée, cela la fait sourire...elle monte toujours plus vite que Lui.
Arrivée dans l'appartement, elle range son manteau et son sac puis regarde distraitement le courrier...la banque..de la publicité...et tiens...une enveloppe qui lui est adressée...mais juste son nom...celui qu'Il utilise...
Elle frémit et se dépêche de l'ouvrir...quelques lignes...
'Ce soir, nous recevons deux amis.
Je te laisse le choix du menu.
Tu nous attendras à genous près de la porte d'entrée, ta tenue se trouve dans une housse noire dans l'armoire'
Elle se précipite dans la chambre, curieuse comme elle est, pour voir ce qu'elle doit mettre. Elle ouvre la porte et trouve la housse noire, un papier y est scotché. Elle le lit 'Ne regarde pas avant de t'habiller, ma chienne'.
Elle soupire de frustration, mais se reprend vite il est déjà 17h30 et elle ne sait pas encore à quelle heure il a prévu d'arriver.
Dans la cuisine elle regarde les possibités pour le diner et se décide finalement à aller chercher quelques assortiments.
19h00, le japonais est rangé dans le frigo, les petits fours placés sur la table du salon, tout est en place. Elle se faufile dans la salle de bain, prendre une bonne douche chaude, elle se dépêche tout de même pour être là où il lui a dit quand ils arriveront.
Elle se sèche, se parfume, se maquille et se dirige vers la chambre pour enfin découvrir sa tenue. Défaisant la fermeture éclair de la housse, elle y découvre une longue robe noire de satin. Cela l'étonne un peu, d'habitude c'est court, très court. Elle sourit la robe a l'air bien plus complexe à enfiler. Le tissus est fluide et doux entre ses mains, elle se met devant le miroir et tente un premier essai.
La robe lui déclenche des frissons à glisser sur sa peau, elle est légère, mais elle s'aperçoit qu'il manque quelque chose qui est resté dans la housse, un serre taille haut.
Elle reprend donc, entre le tissus, les rubans et le corset, elle finit par trouver. Le serre-taille maintient le tissus de la robe, fendue jusqu'à la lisière de celui-ci, le tissu remonte sous le corset recouvrant la poitrine, un ruban noué derrière le cou maintient la robe...Elle s'observe devant le miroir, la robe lui va bien...comme à chaque fois qu'il choisit...puis enfile ses bas et escarpin....et enfin elle met son collier, celui qu'elle ne porte qu'exceptionnellement..
Elle reconnaît le son du déclic de la poignée, elle se précipite dans le couloir mais il est déjà entré et l'observe. Elle a ralenti et détecte le changement dans son regard. Elle n'était pas là où il l'attendait...
- Je suis désolée Maî...
La gifle la fait taire. Il lui saisit le menton, ne dit mot mais son regard est suffisamment expressif.
Sa joue lui brûle encore, alors qu'elle installe leurs invités dans le salon. Elle les connaît mais ne laisse transparaître sa joie de les revoir, n'ayant pas encore eu un mot de son Maître.
Pierre s'assoit donc sur le canapé et Amélie se faufile à ses pieds tout en lui souriant. Elle aussi est heureuse de la revoir.