Propos de Sabine ma femme Propos de Magalie ma belle sœur Propos de Jacques (moi) Mes pensées,
17) De toute façon elle complexe avec sa poitrine. Elle trouve que les hommes ne la voie que pour ses seins. Tu te rends compte qu’elle a plus de poitrine que moi, je crois qu’elle fait un 95C et c’est un minimum, à 16 ans, c’est disproportionné.
-.-
Je continue, à essuyer ses cuisses, et me retrouve, avec une érection qui commence sérieusement à se voir, heureusement que je suis à genoux.
J’essuie doucement ses petits pieds, et les pose sur une serviette sèche, tout en la faisant pivoter.
Mes yeux remontent, et devant mes yeux apparait un sexe de jeune fille, de femme, adorable. Ce que j’avais vu pendant qu’elle dormait n’est rien, à côté de la vision qu’elle m’offre.
Ses poils pubiens humides, mettent en valeur ses deux grandes lèvres. Je devine ses petites lèvres qui apparaissent discrètement. Vers le haut je devine son petit bourgeon qui émerge, comme pour me rappeler qu’il est là, de ne pas l’oublier.
Ses mains se posent sur ma tête et ne bougent plus. Je lève les yeux et croise son regard. Il semble me dire vas y et en même temps une certaine peur, voir une angoisse apparait dans ses yeux.
Je me penche et simplement en écartant doucement ses grandes lèvres je dépose un baiser sur son clitoris. Je recule légèrement la tête et ma langue passe tout doucement autour, sans le toucher. Je lèche doucement, tendrement ses petites lèvres. Je sens ses mains se crisper dans mes cheveux.
Je me rapproche à nouveau, et tendrement je pince son clito qui a doublé de volume avec mes dents. Ses mains plaquent ma tête contre son sexe, et je sens tout son corps frémir, et trembler. J’aspire son clito, lèche ses petites lèvres, mordille les grandes, boit sa mouille.
Elle tremble, ses jambes fléchissent. Je passe mes mains derrière ses fesses et la soutien. Je lèche sa cyprine qui coule le long de l’intérieur de ses cuisses. Elle frissonne, tremble, et toutes les racines des poils de son pubis me montrent qu’elle la chair de poule.
J’écarte ma tête me redresse, prends sa tête entre mes mains, et dépose un petit baiser sur son front puis chacune de ses paupières et enfin sur ses lèvres qui tremblent encore.
Elle ouvre les yeux, j’y lis du bonheur. Elle va pour dire quelque chose, mais je lui pose un doigt sur les lèvres tout en faisant chutttt avec ma bouche.
J’aime prendre mon temps. Ne pas bruler les étapes. Y aller doucement. Amener la personne avec qui je suis à se donner, je n’aime pas prendre.
Je me rappelle le jour où sa sœur, après quelques mois de vie commune, m’a fait un éloge qui m’a conforté dans mon comportement avec les femmes et m’a fait le plus grand des plaisirs.
Tu es comme un horticulteur, tu t’occupe de moi comme si tu voulais faire de moi la plus belle, la plus épanouie, la plus ouverte des fleurs de ta serre.
J’espère juste qu’il n’y pas trop de fleurs autour de moi a-t-elle dit en souriant.
Je sais que tu n’es qu’un homme, il doit t’arriver ou il t’arrivera d’aller voir ailleurs, libre à toi mais je te demande une chose, ne joue jamais avec moi, et jamais dans notre lit. Tu te protèges, pas envie que tu rentres un jour en me disant, j’en ai mis une enceinte faut que j’assume ou que tu as attrapé une saloperie.
Je ne t’en reparlerais jamais, je ne te demanderais jamais rien à ce sujet.
Tu sais, tu m’as amené, à comprendre mon corps, mes réactions, mon ressenti, et rien que pour cela je ne te remercierais jamais assez.
J’espère que tu comprends ce que je ressens, ce que mon corps ressent.
Elle écarte mon doigt et pose ses lèvres sur les miennes. Je me laisse embrasser. Ce n’ai pas un baiser fougueux de gamine, mais un baiser tendre, passionné, profond.
Je m’écarte car nous sommes collés pour ne pas dire imbriquer l’un dans l’autre.
Alors que je commence à essuyer sa fabuleuse poitrine.
Et ben il n’y a pas que moi qui ressens quelque chose, dit-elle en regardant la bosse qui déforme mon jeans.
Je pose un autre tendre bisou sur chacun de ses tétons qui s’érigent sans attendre plus de sollicitude. Ses aréoles se contractent, et un début de chair de poule recommence à apparaitre.
Ben toi ce n’est pas mieux, tu vois, un simple bisou et hop droit comme des I tes tétons.
Logique, personne ne les a jamais embrassés.
Bon, c’est très agréable mais tu as vue l’heure qu’il est ?
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18)
Bon, c’est très agréable mais tu as vue l’heure qu’il est ?
On aurait dut partir à 8h30 il est 9h45.
On ne va jamais y arriver. -.-
Elle fini de s’habiller, et nous partons.
Je me dirige, vers la voiture, elle me regarde.
Il fait beau, tu ne prends pas la décapotable ?
Non, on va en ville on prend la coccinelle, cette voiture est super en ville, on se faufile partout. Se sera plus simple pour se garer.
Nous partons, et je voie assis à côté de moi une personne que je ne connais pas. Magalie est comme transformée, tout simplement, la jeune fille mignonne, et réservée a disparue. Maintenant j’ai l’impression d’avoir une femme à part entière à côté de moi, une femme avec des désirs, des envies, et ça me fait même peur.
Pendant tout le trajet nous devisons gentiment de tout et de rien. Elle a posée sa main sur ma cuisse. Comme un signe de propriété qui veut dire « Tu es à moi »
Je sens la fraicheur de sa main à travers mon jeans, c’est agréable.
Quand à moi j’essaie de me concentrer sur la conduite, tout en posant, quand la conduite me le permet une main sur son genou.
Nous arrivons en centre-ville, et cherche une place pour me garer.
On va où me redemande t’elle pour la ixième fois.
Je ne te le dirais pas, attends et j’espère que cela te plaira, ta sœur et moi sommes presque certain que tu seras contente.
On se gare dans une petite rue, non loin de la rue de la mésange. Nous sortons de la voiture et logiquement elle se colle à moi. Je m’écarte et lui prends la main comme deux amoureux.
Nous arrivons prés du magasin Sonia Rykiel. Je lâche sa main, pour allumer une cigarette. Elle passe devant une des vitrines, s’arrête, se retourne. Je voie son regard se poser sur un petit ensemble exposé. J’arrive à ce moment.
C’est le même que celui de ma sœur, il est super, j’adore quand elle le porte.
Je la regarde étonné.
Je ne pensais pas que tu aimerais ce style.
Viens on va voir si quelque chose te plais dans le magasin.
Je jette ma cigarette, et on entre, une vendeuse se précipite, en nous demandant ce que voudrions.
Je regarde Magalie Droit dans les yeux et lui dit :
C’est la surprise tu choisi ce que tu veux, c’est pour que tu ais ce qu’il faut pour les vacances, de notre part à tous les deux, ta sœur et moi.
Elle me regarde, et là je suis scotché.
C’est gentil mais tu sais, ici, ça coute cher.
Elle m’embrasse sur la joue.
Je me retourne vers la vendeuse qui a l’air désappointé et lui dit :
Ne tenez pas compte de ce qu’elle a dit, et faites pour le mieux. Puis je téléphoner ?
« Pas de soucis monsieur, suivait moi » Elle me montre le téléphone, et attends.
Allez-y je vous rejoints dés que j’ai fini.
J’appelle ma moitié.
Vous êtes où ?
Chez Rykiel.
Bien, elle a vue quelque chose qui lui plait ?
En vitrine il y a ton petit ensemble robe résille et la veste. Elle trouve qu’il te va à ravir.
Sa serait marrant que tu lui achète le même. Je t’imagine rentrant dans le restaurant du Golf avec au bras les deux sœurs habillées des mêmes robes. Il va péter un câble le Mario.
Si ça lui plait pas de soucis pour moi.
Et pour ses notes ?
Arghhh, la question qui dérange.
Je lui ai dit que si l’année prochaine, elle avait une note sous la moyenne, elle retournerait chez maman, ou on la met en pension.
Waouh t’es prés à faire des frais pour elle. Bien, rappelle-moi quand vous rentrez.
Mais quel menteur, je faits, plus ça va, plus je m’enfonce.
Ben comme je me disais sa va être chaud les vacances, Mario mon copain qui est chef de salle du restaurant où nous allons en vacances. Il ne va pas manquer de se, de me poser des questions ce dragueur invétéré.
J’imagine sa tête quand il me verra rentrer avec les deux sœurs habillées de mêmes ensembles, des mêmes robes.
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19) Ben comme je me disais sa va être chaud les vacances, Mario mon copain qui est chef de salle du restaurant où nous allons en vacances. Il ne va pas manquer de se, de me poser des questions ce dragueur invétéré.
J’imagine sa tête quand il me verra rentrer avec les deux sœurs habillées des mêmes ensembles, des mêmes robes. -.-
Je cherche la vendeuse et Magalie. J’entends leur voix et me dirige vers l’endroit d’où elles proviennent. Tout en rigolant intérieurement.
Je voir Magalie assise en train de discuter avec la vendeuse. Très discrètement je me rapproche, j’entends la petite puce dire :
C’est magnifique, tout ce que vous m’avez montré est magnifique, mais je ne sais pas, je préfère l’attendre. Il a très bon gout et je m’en remets à son choix.
Ne voulant pas passer des heures dans ce magasin je me décide à intervenir. Je m’approche.
Alors tu as choisi la puce ?
A ce que j’entends tu ne te décides pas.
Vas y montre moi ce que tu as déjà vue et qui te plait.
J’ai vue tellement de belles choses, que je ne sais pas quoi choisir.
Vas y essaie et montre moi. Elle part dans les cabines d’essayage, et ressort avec une robe bustier du plus bel effet.
La vendeuse me regarde.
« Qu’en pensez-vous? Je trouve que cette robe lui va à ravir, juste que ce genre de robe se porte sans Soutien gorge ».
Je voie Magalie faire demi-tour, foncer dans la cabine d’essayage. Elle en ressort au bout de deux minutes et en faisant une pirouette du plus belle effet dit :
C’est vrai c’est mieux.
Elle a enlevé son soutien-gorge. La robe met merveilleusement en valeur sa poitrine, si généreuse.
Je la revoie la veille lorsqu’elle a fait de même lors du repas.
J’imagine ses seins jaillirent de la robe comme de derrière le tablier qui d’ailleurs vient de ce magasin.
La vendeuse se retourne et avant qu’elle ne dise quoi que ce soit, j’acquiesce d’un hochement de tête. Je me tourne vers ma petite puce.
Bronzée tu seras magnifique dans cette robe.
Magalie me regarde les yeux grands ouverts de surprise.
Je lui souris et dit à la vendeuse de voir avec elle pour chaque moment de la journée.
Elle tend quelques robes et ensembles à Magalie qui se dirige les bras chargés vers les cabines.
Pendant qu’elle se change, je me dirige vers la vendeuse et discrètement, pour que la petite puce ne nous entende pas.
La robe grésille dans la vitrine avec la veste assortie vous emballez la taille qui lui correspond dans un paquet cadeau, sans rien lui dire. Je règlerais en sortant.
La vendeuse me regarde et je lis dans son regard une certaine jalousie.
Tiens en voila une qui voudrait être à la place de Magalie. Mais que veux tu, toi tu n’as pas son charme, son innocence, sa joie de tous les moments. Plus simplement tu n’as pas sa classe.
Et pour les chaussures elle a ce qu’il faut ? Elle est en basket, ça ne va pas avec ce qu’elle a essayée.
Vous regardez avec elle pour les chaussures et des sous-vêtements. Quelque chose de soft rien de vulgaire ou d’aguicheur.
C’est vrai, les chaussures. Moi qui vais rarement faire les achats avec ma moitié.
Je suis là en train de choisir, d’habiller la petite puce, comme si elle venait de naitre, des sous vêtements aux chaussures.
C’est vrai elle vient de naître à mes yeux. La jeune fille que je ne voyais que comme une gamine est une femme, une femme splendide. Je me prends un sacré coup de pied aux fesses. La réalité m’explose aux yeux. Mais mon dieu que c’est bon.
Mais fait attention Jacques, ton épouse se retrouvera d’office dans la salle de bain, avec sa sœur. Alors mini culotte ou d’autre chose de ce genre. Pas question, ce n’est pas le moment qu’elle s’interroge sur ce qui se passe entre vous deux, qu’elle se fasse un film. Film bien réel j’en conviens.
Je sorts fumer une cigarette pour me détendre. Après 2 heures d’essayage, son choix, notre choix se porte sur plusieurs vêtements. J’arrive à la caisse pour régler.
J’ouvre ma sacoche, zut j’ai oublié les espèces à la maison.
Aie mon nom qui est sur ma CB. Ma femme a un compte dans cette boutique.
Il est vrai, sous son nom de jeune fille. Ouf la vendeuse se serait posé des questions pour la robe grésille, et même si ma moitié et d’accord pas envie que sa jase.
Surtout que la femme de mon associé achète ici aussi ses vêtements. Et comme c’est une amie de la patronne du magasin et en plus elle est une sacré garce, elle raconterai n’importe quoi.
Je règle la facture.
Nous avons encore des courses à faire, je laisse tout nous revenons vers 17h.
Pas de soucis monsieur, nous fermons à 19h30 le vendredi.
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20)
Je règle.
Nous avons encore des courses à faire, je laisse tout nous revenons vers 17h.
Pas de soucis monsieur, nous fermons à 19h30 le vendredi.
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Avec tous ces événements j’avais oublié que nous étions vendredi, et tous les vendredis après midi je vais au sauna me détendre. Et bien pour aujourd’hui c’est fichu.
Mais j’y gagne au change. Oh que oui j’y gagne.
Au sauna, la presque totalité des personnes ne vient que pour s’envoyer en l’air. Elles ont autant l’âme naturiste que moi à être curé. Et quand tu regarde bien, la majorité est nettement plus veilles que moi, et que ma petite puce.
Nous sortons avec Magalie, qui me regarde d’une manière si intense que je me demande si elle va me sauter au cou, ou s’effondrer dans la rue.
Elle me dit d’une toute petite voix :
T’es malade, j’ai vue les étiquettes, il y en a pour une fortune.
Je n’oserai jamais portés ces habits, j’aurais trop peur de les abimer.
Arrête, je n’ais fait qu’obéir à ta sœur. Tu crois que ta sœur ne s’en doute pas ? Qu’elle ne te connait pas ?
Mais quel hypocrite je faits, j’ai apprécié ces essayages, et m’imaginer avec elle en vacances. Dans ces habits magnifique, entrer dans le restaurant du Golf avec au bras les deux sœurs, ses deux femmes magnifiques, plus belles l’une que l’autre, habillées des mêmes robes des mêmes ensembles. Je jubile.
T’es pire qu’un vrai coq, plus macho qu’un italien.
Ce n’est pas parce que quelque chose commence à se passer entre nous que j’essaie de te faire plaisir, de t’en mettre plein la vue. Dis-toi bien une chose. Je gagne très bien ma vie je bosse assez dur pour cela.
Ce que tu viens de choisir t’est offert par ta sœur et moi.
Maintenant on va choisir pour nous deux. Juste une chose, évite de te promener à la maison avec, ta sœur n’est pas suspicieuse, mais elle finira par se poser des questions, et ça je ne le veux pas.
On se dirige vers le « Centre Halles » qui n’est pas éloigné. Nous nous arrêtons pour grignoter un morceau rapidement.
Assis face à face, je la voie qui me mange des yeux. Je sens sa jambe se frotter contre les miennes.
Elle a enlevé une chaussure et je sens son petit pied remonter doucement entre mes jambes. S’immiscer entre mes cuisses. Ses orteils se pose sur mon sexe qui est à l’étroit dans le boxer, ils se frottent et pianotent sur mon sexe. Elle sourit.
Tu as l’air d’aimer, vue ce que je sens au bout de mes orteils.
Je sers mes cuisses pour emprisonner son pied. Elle a l’air heureuse, bien dans sa peau.
Je voie deux jeunes de son âge s’arrêter. Ils la regardent, se dirigent vers nous.
Magalie Remarque que mon regard est fixé derrière elle. J’ouvre et referme mes cuisses, et je sens son pied quitter mon entre jambe.
Ils arrivent à notre table. « Magalie demande l’un d’eux »?
Elle se retourne, se lève et embrasse les deux garçons sur les joues. Elle fait les présentations, mon beau-frère, deux copains de classe.
Ils veulent s’installer à notre table. Elle les arrête, les regarde droit dans les yeux.
Veuillez m’excuser les gars, là on parle de mon avenir, de mon futur, de mon devenir.
On est en train de voir pour des stages en entreprises, alors les bêtises de lycéens s’est fini. Sans rancune. Bye.
Et elle s’assoie en leur tournant le dos.
Je suis scié par son aplomb, je ne suis pas le seul, les deux jeunes se regardent abasourdis. Je les entends dire en partant : « Ben elle a changé la petite Magalie, tu as vue comment elle nous a rembarrées. Jamais j’aurais pensé sa d’elle. Elle qui semblait si timide en classe. »
Magalie attends qu’ils se soient éloignés et va pour me dire quelque chose. Je la coupe en me penchant je l’embrasse doucement sur la joue. J’en profite au passage pour lui mordiller le lobe de l’oreille et je lui chuchote :
Elle est partie la gamine, la jeune fille, la lycéenne. J’ai une femme devant moi, une femme qui sait ce qu’elle veut, qui s’affirme qui a confiance en elle. C’est bien.
Tu sais, d’être avec toi m’a donné la force pour les envoyer promené. Il y a un des deux qui me drague depuis le début de l’année scolaire. Pour moi depuis longtemps il n’a qu’une personne qui me fait capoter, a qui je pense tout le temps. Cette personne c’est toi.
Je t’ai dit ce matin, que je ferais tout pour que tu sois fier de moi. Tu ma dit que je suis une femme, alors les gamineries s’est finies. J’essaye d’être à la hauteur de ce que tu attends de moi.
Elle me dit cela d’une voix calme, et posée.
Je n’ai plus la même personne en face de moi. Je ne la reconnais pas, elle a passé un cap, et elle m’effraie. Va falloir que tu l’assume cette puce.
ce qui est bien et mal avec des petits morceaux d'histoire.. c'est que ça nous fait monter crescendo.. et flop.. on retombe.. parce qu'on a pas la suite.. c'est frustrant... du mal à me remettre dans le bain à chaque fois..