
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Suzanne
Propos de Charlotte
Propos de Lucie
Propos de Louise
13)
Elle est out, groggy, ma moitié. J’appelle sa mère, maman. Il y encore deux jours nous nous serions gentiment étripés avec des couteaux rouillés, pour être certain que l’un de nous deux y reste.
Là, nous sommes d’une gentillesse rare l’un vis-à-vis de l’autre. Elle ne comprend plus rien. Il est vrai que moi depuis hier j’ai arrêté de chercher à comprendre. J’y vais au feeling, au pif, à l’intuition.
Il est tard on mange dans 2 heures.
Ce n’est pas un café et un croissant qui vont te couper la faim, et te faire grossir.
-/-
Elle me regarde bougon, rapproche sa chaise et se sert un café, prends un croissant et commence à le manger avec appétit. Tout en mangeant, je la voie me regarder discrètement avec un petit sourire. Elle à l’air de me dire, attends toi tu me le paieras, tu m’obliges, tu vas voire de quel bois je me chauffe. Et en même temps ses yeux me dévorent comme si j’étais le croissant qu’elle est en train de mordre à pleine dents.
Ma belle-mère me regarde.
Je croîts que tu as raison Jacques.
Depuis hier je t’observe, j’ai remarqué que tu sais te faire obéir, sans élevé le ton, sans crier. Cela la changera de son père.
Tu dis une fois les choses et Magalie fait ce que tu lui as demandé.
Moi je dois m’énervée, elle fait ce qu’elle veut. Un homme manque ici.
Un regard parfois te suffit, pour qu’elle fasse ce qu’il faut. Au moins chez vous elle ne fera pas n’importe quoi. Et je sais que vous la surveillerait comme il faut.
Je règle les dernières modalités avec ta femme demain et c’est d’accord, elle ira habiter chez vous pour la rentrée scolaire. De toute façon, vous avez plus que la place nécessaire, dans cette grande maison.
Magalie tu n’oublieras pas que tu as une maman.
Magalie se lève les yeux trempé, elle pleure come une madeleine.
Maman tu es formidable, t’es super. Bien sur que je ne t’oublierais pas j’ai une maman, toi.
Je te promets, comme je l’ai promis à Jacques et à Sabine, de travailler comme une folle. Tu seras fière de moi. Tu verras. Je te le promets.
Bon si ça ne vous dérange pas je voudrais que mon homme puisse s’habiller.
Sa suffit, je crois voir le roi et sa cour, pour ne pas dire sa basse cour.
Bon le poulailler dehors.
Tout le monde éclate de rire. Belle maman et Magalie quitte la pièce en fermant la porte.
Alors toi tu me scie. En 5 minutes tu règles tout, ça fait deux jours que je rame, négocie, et toi pfft tu dis deux mots et c’est bon.
A quoi sa sert d’être marié, si je ne sers pas, si je ne t’aide pas dans les moments sensibles, dans les moments tendus. Pourquoi tu crois que je me suis dis qu’il fallait monter.
Euh enfin il y avait aussi une autre raison.
Coquin, je connais ton autre raison, je crois bien que dans les deux cas tu as eut raison. Tant pour que l’on se retrouve, que pour me prêter main forte.
Quoi qu’il arrive, qu’il se passe je ne regrette pas d’être avec toi.
Bon ton altesse tu bouge ton popotin. Tu as vue l’heure.
Je me lève sous les yeux énamourés de ma moitié. La prends dans mes bras, l’embrasse tendrement. Je la sens fondre dans mes bras. Elle se colle à moi, je sens à travers sa robe, son pubis qui se frotte contre mon sexe nu et roide. Nous ne sommes qu’à deux doigts de plonger dans le lit.
Toujours à penser à la bagatelle toi, tu as vue dans quel état tu es.
Elle caresse doucement mon sexe, ses yeux me disent qu’elle en meurt d’envie. Tout comme moi d’ailleurs.
Tu m’allumes, tu me chauffes, et après c’est de ma faute. T’es aussi coquine que moi. Dis-moi que tu n’aimes pas, que tu n’en as pas envie.
Tu le sais bien, que j’aime quand tu me prends. Maintenant encore plus qu’avant. Mais là, sous la douche, va te calmer un peux. On ne va jamais y arriver.
Je quitte ses bras si accueillant, et fonce vers la salle de bain. Je faits demi-tour.
Tu mets quoi toi pour le resto ? Qu’en penses-tu si la puce met l’ensemble pantalon et top noir ?
Bonne idée. Elle va être magnifique avec, et maman, comprendra que ce n’est plus un bébé.
Je vais mettre ma robe bleue.
je la voie songeuse.
En réfléchissant, faut que je regarde si j’ai emmené ce qu’il faut, pour ne pas trancher avec Magalie, pour être en accord avec ce qu’elle porte.
J’ai envie que mon homme soit fier, avec les deux puces aux bras.
Je lui dis d’aller le chercher en allant à la douche.
Ma femme me regarde et tend le doigt.
Avec ton truc à l’air ? D’accord il est presque présentable, elle l’a vue de prés, et plus glorieux que maintenant, mais n’exagère pas quand même.
Elle s’approche m’embrasse.
Je vais finir par me poser des questions sur vous deux mon cœur, je vous trouve très complice, peut être même trop complice.
L’essentiel, c’est qu’elle soit bien sans sa peau. Depuis qu’elle est venue à la maison, qu’elle y a dormi, je la trouve vraiment bien dans sa tête. Elle a l’air enfin de ne plus être complexée.
Je ne sais pas ce que tu lui as dit, ou ce que tu lui a fait. Cela m’importe peut, elle est radieuse, elle s’assume, elle assume, et pour moi c’est tout ce qui compte.
Elle me regarde avec son petit regard en coin, qui veut dire tant de chose et rien du tout. Sa main claque doucement sur mes fesses.
Allez sous la douche, dépêche-toi. Je voie ça avec Magalie.
Ok je me douche, je rigole en sortant de la chambre.
Je le savais, elle a tout compris, logique, c’est tellement flagrant. Autant la petite puce que moi. C’est vrai que l’on est plus complice qu’avant, mais pas autant que ça quand même. Enfin, comme toutes les femmes, le sixième sens féminin. On ne peut rien faire contre ça, nous pauvres hommes.
Je trouve quand même bizarre qu’elle le prenne si bien. Elle a l’air d’attacher autant d’importance à notre couple, qu’au bien être de Magalie.
Je rentre dans la douche, fait couler l’eau très chaude, des images sous la douche m’assaillent, la petite puce, ma femme, la petite puce qui nous regarde sa sœur et moi. Je commence à me masturber, je sens une autre main, qui vient supplanter ma main. Je me retourne, Sabine vient d’entrer dans la douche. Elle me regarde, souri. Elle me caresse doucement, tendrement.
Sa faisait longtemps que je ne t’avais pas vue te masturber, plus simplement sa fait longtemps que l’on avait plus aucune complicité.
Je n’avais plus envie, rien, Waterloo morne plaine. Tu n’y es pour rien, ça vient de moi.
Il est vrai que ces derniers temps je te fuyais, je pense, sans le savoir. Je suis content, que l’on se retrouve, que nos corps se retrouvent.
Ma main s’est posée sur son pubis. Elle y retrouve une de ses mains. Je souris elle est en train de se caresser. Ma main glisse sous la sienne pour essayer de m’emparer de son petit bouton, de le caresser.
Elle bloque ma main. Elle dirige ma main vers ses petites lèvres, guide mon majeur et mon index en elle. Elle continue à martyriser son clito. Elle le pince, le tourne, ses yeux sont presque révulsés.
Elle est partie pour se faire jouir, comme elle aime, comme elle a toujours aimée le faire avant. Une jouissance rapide, fulgurante qui la laisse toujours complètement vidée. Je la masturbe rapidement, j’essaie de calquer mes mouvements sur les siens.
D’un seul coup mes doigts se retrouvent captifs. Elle serre tellement, qu’il m’est impossible de bouger mes doigts. Je me penche, et tête un de ses seins. Surprise ! Le lait maternel de mon épouse m’arrive dans la bouche.
Moi qui est horreur du lait je vais pour le recracher, je regarde mon épouse et déglutit d’une manière ostensible.
Je ne recracherais jamais un liquide qui vient de toi, j’aime trop tes odeurs, tes saveurs.
Elle ne m’entend pas. Elle n’est pas là, elle est déjà en train de partir dans sa jouissance. Je la sens glisser dans mon bras. Ma main quitte, son pubis pour la rattraper. En même temps que mes doigts quittent son fourreau toujours aussi étroit, je l’entends gémir. Une plainte discrète, comme si elle voulait garder son plaisir en elle, comme si mes doigts lui manquaient déjà.
Je la maintiens contre moi, elle pose sa tête sur mon épaule.
Mon dieu que c’est bon. Que ça fait du bien.
Je règle l’eau sur plus froid, il faut que l’on se réveille, qu’on se bouge, on ne va jamais y arriver.
Elle me regarde.