Propos de Sabine ma femme Propos de Magalie ma belle sœur Propos de Jacques (moi) Mes pensées,
11) La situation commence à devenir scabreuse, je dits n’importe quoi pour m’en sortir.
Pour l’instant on en reste là, et puis tu es mineur. -.-
C’est vrai que ma femme est fatiguée et que depuis l’accouchement sa libido est plutôt terne. Du côté sexe ce n’est pas la gloire à la maison, je dirais que les drapeaux sont en berne.
Et la j’ai une gamine qui s’offre à moi.
Je voie ses yeux qui me demandent, me supplient de la reprendre dans mes bras, de l’embrasser, elle n’attend que ça.
Elle a l’air peiné, non déçu de ma réaction.
Et me retrancher sur le fait qu’elle est mineure, c’est n’importe quoi, c’est petit, mesquin, indigne d’elle, de ce qu’elle est prête à sacrifier pour moi.
Je suis un fieffé con. Je n’ose pas, je n’ai pas les couilles de lui dire qu’il faudrait s’arrêter, ne pas aller plus loin.
Moi je la laisse tomber dans mes bras. Je ne suis qu’un mec, un simple mec que ses roubignolles commandent.
Je veux me relever, elle est toujours sur mes genoux. Elle me regarde droit dans les yeux. Elle ne dit rien. Je me redresse, et me lève, ses jambes m’enserrent et se bloquent dans mon dos. Mes deux mains se positionnent sous ses fesses nues. Elle pose sa tête sur mon épaule. Ne bouge plus. Je sens son pubis contre mon sexe qui est prés à exploser, tellement il est à l’étroit dans le jeans.
Qu’est ce que je fais, mais dans quel guêpier je me suis mis. Elle est collée à moi, elle sent que je bande, et elle doit bien comprendre que c’est elle qui me fait cet effet.
Faut que t’arrête ce qui se passe, tu dérapes, c’est à toi de faire ce qu’il faut. Faut pas la brusquer vas y en douceur. Ne lui fait pas de peine. De toute façon tu ne fait que la décevoir, tu ne la mérites pas.
Je me retourne, m’agenouille et la pose sur la chaise. Elle me regarde tristement, et descends ses jambes et ses bras. Je m’écarte.
Je vais prendre ma douche, demain départ à 8 h et je t’emmène.
Pour ?
Surprise.
Bon si on sort demain, je doits finir mon épilation.
Je rentre dans la salle de bain, me déshabille, et entre direct dans la douche sans avoir écouté ca qu’elle a dit, plongé que je suis dans mes pensés.
Repensant à ce qui vient de se passer je me retrouve avec une érection d’enfer.
Ne me retenant pas, je commence à me caresser, et je ne peux m’empêcher de m’imaginer, ce jeune corps, cette poitrine, ces tétons, que j’ai sentis contre mon torse nu. Cette fleur, sa fleur qu’elle veut m’offrir. Son corps contre moi, son pubis contre mon sexe. Je me masturbe d’une poigne vigoureuse, m’imaginant Magalie dans la douche avec moi, ses seins contre moi, son ventre devant mes yeux.
Je me lave, en pensant nostalgiquement à cette petite puce qui s’offre à moi.
Je sors de la douche, et tombe sur Magalie assise en tailleur par terre sur une serviette, face à la douche en train de finir s’épiler les jambes, aussi nue que la première fois que je l’ai surprise.
Ca fait du bien?
Je rougis comme un gamin pris en faute.
Du bien?
Oui la douche.
Tu es tout mimi quand tu rougis.
Je ne parle pas de ce que tu faisais sous la douche.
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12)
Je rougis comme un gamin pris en faute.
Du bien?
Oui la douche.
Tu es tout mimi quand tu rougis.
Je ne parle pas de ce que tu faisais sous la douche. -.-
Elle se relève et vient se mettre devant moi. Elle est à peine à 50 cm.
Tu sais je ne suis pas aussi choqué que je le pensais de voir un homme nu, peut être parce que c’est toi. Juste que ton sexe à l’air énorme, et je me demande comment il peut rentrer dans un si petit minou ?
Devant ce brin de femme qui se cherche, mon sexe s’est redressé, et pointe fièrement face à Magalie. Je commence à ressentir une certaine chaleur, au bout de mon gland qui comme à chaque fois que je bande aussi fort doit apparaitre.
Est-ce la chaleur de son corps que je ressens, elle est si proche de moi, je ne suis quand même pas en contact avec elle. Ou est ce moi qui suis chaud de voir ce corps magnifique, qui s’offre pour ainsi dire à moi.
On est dans les yeux l’un de l’autre, quand j’entrevoie sa main se relever. Je l’arrête, et dit :
Je ne veux pas d’embrouille, avec ta sœur, et comme je te l’ai déjà dit tu es mineur
Mineur pour voter, mais j’ai la majorité sexuelle dit elle en rigolant, la loi du 4 août 1982 a ramené à 15 ans l’âge ou un mineur peut librement avoir un acte sexuel avec un adulte. Sa sert d’être chez son beau-frère préféré, qui a toujours un pc d’allumer avec le logiciel du code civil d’installé.
Heureusement que, l’on est en 1983. A croire qu’ils ont pensé à moi en changeant la loi.
Tu as regardé quand dans l’ordinateur ? Qui t’as autorisé à l’utiliser ?
Ce matin après ton départ. Je voulais vérifier un texte pour mon apprentissage, et je suis tombé sur ce texte de loi.
Lors d’un de mes passages, ma sœur m’a appris à m’en servir, et m’a montrer le logiciel du code civil. Je sais que je ne t’ai pas demandé. Mais je pensais que comme ma sœur, me l’avait autorisé, je pouvais.
Arff j’espère qu’elle n’a regardée que cela, il y a le kamasoutra illustré, et d’autre chose du genre, mais ouf c’est vrai pour cette partie de l’ordi, il y a un code d’accès, que ma femme connait. Elle ne lui a quand même pas montrée ?
Elle à l’air toute penaude de ma réflexion. Elle se rapproche de moi comme pour me prendre dans ses bras, pour se faire pardonner.
Elle pose sa tête sur mon épaule, ses tétons sont contre mon torse. Je sens ma virilité qui, sans que je le réalise, a repris toute sa vigueur se retrouver entre ses cuisses, au contact de son pubis.
Je l’écarte.
Si elle continue je ne vais plus maitriser quoi que ce soit. Et sa sera le cirque pour ne pas dire la merde.
Elle rit, comme pour se donner une contenance. Sa poitrine se trémousse devant mes yeux, ses tétons me narguent, droit comme des I. C’est moi maintenant qui doit retenir ma main. J’ai l’impression qu’un aimant les attire vers eux.
Bon sa suffit, il est 23 heures, fini ton épilation, et dodo.
Je rejoins mon lit, et ne peut m’empêcher de m’imaginer ce jeune corps. Je caresse mon sexe. Je n’ai pas débandé depuis la salle de bain.
Je voie Magalie devant moi, nue, ses seins pointant fièrement face à moi. Je m’imagine sa main me caresser.
Si elle vient en vacances, on va être tous être nus les trois quarts du temps, et en plus ma moitié qui traine des pieds pour avoir des rapports, elle qui se jette à ma tête, ça va être hard.
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13) Je voie Magalie devant moi, nue, ses seins pointant fièrement face à moi. Je m’imagine sa main me caresser.
Si elle vient en vacances, on va être tous être nus les trois quarts du temps, et en plus ma moitié qui traine des pieds pour avoir des rapports, elle qui se jette à ma tête, ça va être hard. -.-
Je suis en train de ma masturbais vigoureusement, quand j’entends Magalie se coucher.
Bonsoir, dort bien
Toi aussi la puce
Mon dieu qu’elle a une voix chaude, comme si elle savait ce que je suis en train de faire. De toute façon elle doit s’en douter, elle m’a surpris sous la douche.
Ca me donne un coup de fouet, de l’entendre. Je jouis instantanément. Je m’endors la tête pleine de rêves, plus cochon les uns que les autres.
Le matin comme à mon habitude, je me lève à 6h30, et me rends dans la cuisine pour préparer discrètement le petit dej.
Je n’ai pas envie que Magalie se réveille et entre à nouveau dans la salle de bain pendant que je prends ma douche. J’ai envie de ma paix…
Mais quel hypocrite je suis, si elle me rejoint sous la douche, que ferais-je? Je sais que je ne pourrais pas résister longtemps au supplice de tantale que je subi en ce moment, qu’elle me fait subir, avec mon accord tacite, bien que je refuse de me l’avouer.
Vue ce qui s’est passé hier soir, heureusement qu’elle n’est pas venue me souhaiter bonne nuit, elle serait restée dans mon lit. Je n’aurais pas put, pas su, pas voulu résister.
Je sors de la cuisine, après avoir bu un café. Un café de la veille, c’est celui que je préfère le matin pour me réveiller, me remettre mon cerveau en place. Il est infâme à boire, mais j’adore.
Je passe prés de Magalie qui dort profondément, ou en donne l’illusion. Elle est sur le dos, le drap ne la couvre pour ainsi dire pas.
Elle est nue, une main posée sur son pubis. Les rayons du soleil naissant, caressent sa somptueuse poitrine, comme des mains invisibles. Des reflets, dorés, s’égarent sur ses poils pubiens. J’ai l’impression que ses grandes lèvres du fait des reflets du soleil prennent vie.
Bon dieu mais quelle poitrine elle a. Je me retiens d’y poser les mains. Et cette main qui traine comme hasard sur son pubis, elle s’est caressée ? En pensant à moi.
Grrrr je me faits des films, faut te calmer, d’accord elle a un corps de femme, que beaucoup de femmes aimeraient avoir, mais c’est toi l’adulte, sa suffit.
N’empêche qu’elle évolue vite. Hier il lui faut un tee-shirt, aujourd’hui elle dort nue.
Wouahhh heureusement que ma moitié n’est pas là, elle ne reconnaitrait pas sa sœur, et moi si elle était là j’aurais fait quoi, je ferais quoi maintenant, grand couillon que je suis.
Entre ma femme qui ne veut plus en ce moment, et cette petite qui me veut.
Je repositionne délicatement le drap sur elle.
Bon sang que j’aimerais être à la place de ce drap. L’envelopper de mes bras, la caresser de mes mains, épouser ses formes voluptueuses, comme le fait le drap.
Je prends tranquillement ma douche en essayant de pas trop pensé à ce jeune corps allongé si prés de moi.
Je sorts après m’être habillé, je trouve Magalie qui a enfilé mon tee-shirt accoudée au rebord de la fenêtre, l’air absent. Les volets sont partiellement ouverts, pour ne pas faire entrer trop de lumière dans la pièce.
Je m’approche, lui embrasse les cheveux.
Bonjour ma petite puce, bien dormi ?
Oui comme un gros bébé et une gamine que je suis. Ah aujourd’hui je suis ta petite puce ? Il y a du progrès.
Houlà elle fait la gueule. Logique elle s’offre pour ainsi dire à toi et tu l’envoie bouler avec des excuses à la con.
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14) Oui comme un gros bébé et une gamine que je suis. Ah aujourd’hui je suis ta petite puce ? Il y a du progrès.
Houlà elle fait la gueule. Logique elle s’offre pour ainsi dire à toi et tu l’envoie bouler avec des excuses à la con.
-.-
Viens prendre ton petit dej, on part dans 1h30.
Nous rentrons dans la cuisine ou une agréable odeur de café nous accueille.
Elle est songeuse la petite.
Elle boit son café, sans dire mot, et ressort.
Elle est de nouveau, accouder au rebord de la fenêtre songeuse.
Que se passe-t-il ?
Rien pas envie de parler, je me pause des questions, et pi t’es pas le seul qui peut être de mauvaise humeur le matin.
Je n’y comprends rien, je ne comprends pas, je pige rien aux hommes. Ras le bol. Faites chier les mecs.
Arf, elle a la hargne la puce. Pas à prendre avec des pincettes. Bon sa ne va pas arranger les choses, mais faut que je lui parle de ses notes.
Au faite ta sœur m’a dit que tes résultats scolaires sont bof pour ne pas dire cata.
En même temps que je m’adresse à elle, elle se positionne de façon provocante, jambes légèrement écartées et dos cambré au maximum.
Le tee-shirt s’arrête au ras de ses fesses, et pend à l’avant. Je devine ses poils pubiens, et plus haut sa magnifique poitrine du fait contre jour se voie comme si elle était nue. Est-elle inconsciente de la situation ou est-ce de la provocation ?
Je n'ose pas faire la moindre remarque. Je ne peux détourner mon regard de ces superbes fesses. Quel cul elle a! Planté à trois mètres derrière elle, mon regard est accroché, comme verrouillé à ses fesses.
Elle tourne son visage vers moi. Consciente je suppose de l'émoi qu'elle provoque en moi, elle voie mes yeux fixés, comme rivés sur ses fesses. Elle sourit. Je m'approche d'elle.
Si tu ne te mets pas à travailler sérieusement cette année, je te donne la plus belle fessée de ta vie, et tu ne l’oublieras pas de sitôt.
Elle me regarde droit dans les yeux et lance en rigolant:
T'es pas cap, t’oseras jamais.
Je pose sans m’en rendre compte ma main droite sur ses reins. Elle me nargue de plus belle en faisant balancer sa croupe de droite à gauche. Ma main suit le mouvement. Je suis à ce moment là à quelques centimètres de son splendide corps les yeux toujours attiré par ses fesses.
Je fais une des choses les plus folles de ma vie. Ma main se détache de ses reins, et claque ses petites fesses. J'attends un long moment sa réaction qui n'arrive pas.
Ces quelques secondes d'attentes n'en finissent pas.
Je suis en proie au désarroi mais au bout d'un moment, elle met son visage dans ses bras toujours penchée à la fenêtre et cambre de plus belle ses fesses.
Elle m’offre ses fesses. Elle attend que je continue.
Je reprends ma lancée et une nouvelle fois ma main claque sur ces fesses, puis une troisième, une quatrième... Mon autre main se pose sur son dos.
Arrête toi sa va dégénérer !! Elle te provoque. Pas si fort, vas y en douceur, pas trop fort, mais je ne me contrôle plus, ne dirige plus ma main. Je ne sais plus ce que je faits.
Ses fesses viennent maintenant au devant de ma main. Pris par le jeu, sans m’en rendre compte, je fais remonter de l'autre main son tee-shirt. Elle bloque sur sa nuque. Je pose ma main, sur sa peau nue, entre les omoplates. Sa peau est moite, elle frissonne.
Je me recule légèrement tout en laissant ma main au contact de son dos. Ses seins sont totalement libres, et apparents. Les aréoles sont contractées, les tétons érigés comme si je venais de les sucer. Je bande comme un fou.
A chaque claque sur son postérieur, je laisse maintenant ma main en contact avec sa peau quelques secondes.
Au fil des minutes ses fesses ont pris des couleurs et je sens une chaleur intense s'en dégager. Elle ne dit rien, pas un mot.
Ma main gauche glisse sur son flanc, empaume un des ses seins, caresse ce téton tellement érigé que j’ai l’impression qu’il attendait cette caresse. Ma main continue à glisser sur ce corps qui s’offre.
T'as rien compris mel. Pour avoir la suite, faut lire, et surtout surtout ne rien poster... alors il va se mettre à cogiter, il va bien voir qu'on lit, puisque le compteur du nombre de lectures du topic va augmenter, mais il va se demander pourquoi on dit rien... Ca nous plaît pas? C'est trop court? Il va se ronger les ongles de dépit, d'incertitude, et il va décider de nous en foutre plein la vue avec une suite encore meilleure que la précédente.
Après trois quatre suites, tu pourras te permettre un sussucre : un petit : "ça me plaît bien, ça, même si c'est pas terminé... "
Kireseth a écrit :T'as rien compris mel. Pour avoir la suite, faut lire, et surtout surtout ne rien poster... alors il va se mettre à cogiter, il va bien voir qu'on lit, puisque le compteur du nombre de lectures du topic va augmenter, mais il va se demander pourquoi on dit rien... Ca nous plaît pas? C'est trop court? Il va se ronger les ongles de dépit, d'incertitude, et il va décider de nous en foutre plein la vue avec une suite encore meilleure que la précédente.
Après trois quatre suites, tu pourras te permettre un sussucre : un petit : "ça me plaît bien, ça, même si c'est pas terminé... "
Kireseth a écrit :T'as rien compris mel. Pour avoir la suite, faut lire, et surtout surtout ne rien poster... alors il va se mettre à cogiter, il va bien voir qu'on lit, puisque le compteur du nombre de lectures du topic va augmenter, mais il va se demander pourquoi on dit rien... Ca nous plaît pas? C'est trop court? Il va se ronger les ongles de dépit, d'incertitude, et il va décider de nous en foutre plein la vue avec une suite encore meilleure que la précédente.
Après trois quatre suites, tu pourras te permettre un sussucre : un petit : "ça me plaît bien, ça, même si c'est pas terminé... "
Pour cela que tu ne postes pas. Cogiter, non, je ne suis pas capable de cela.
La seule chose est, qui est d'importance,
il est possible de voir qui est sur le topic, donc si certains noms réapparaissent, c'est que cela leur fait plaisir de venir.
A moins qu'ils ne soient maso.
Ce qui est d'un commun, ici.
Mclm a écrit :
En plein dans le mille c'est une super idée ça
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15)
Au fil des minutes ses fesses ont pris des couleurs et je sens une chaleur intense s'en dégager. Elle ne dit rien, pas un mot.
Ma main gauche glisse sur son flanc, empaume un des ses seins, caresse ce téton tellement érigé que j’ai l’impression qu’il attendait cette caresse. Ma main continue à glisser sur ce corps qui s’offre.
-.-
Les doigts passent sur son ventre qui se creuse comme pour leurs indiquer le chemin.
Ils arrivent sur son mont de vénus, le caresse, se dirige vers son entre-jambe, je sens la cyprine coulé le long de ses cuisses.
Je continue pendant tout ce temps là à lui administrer machinalement la fessée de l'autre main. Je fais glisser mes doigts sur son sexe tout mouillé, mes doigts glissent sans efforts sur son clito. D'une main je sévis et de l'autre je la console.
Maintenant, elle se lâche, elle émet des râles de plaisirs. Mes doigts passent de son clito, qui est érigé comme un sexe, à l'entrée de sa vulve. J’entre doucement un doigt dans son vagin, et je bloque, je viens de sentir son hymen.
Non elle est réellement, elle est encore vierge. Elle ne m’a pas raconté de bêtise, elle n’a jamais couchée.
Elle écarte ses jambes pour faciliter l’intromission de mon doigt. Je bande tellement que j’en ai mal.
Non pas sa tu vas trop loin, arrête tu déconne grave. Tu délires complètement, tu merdes.
Elle finit par jouir, elle se retourne vers moi et m'embrasse sans retenue. Tout en l'embrassant, je continue à la caresser sans ménagement. Ses mains s’égarent sans retenue sur mon corps, je sens et ressent son impatience, comme elle doit ressentir la mienne.
Pour l’instant sa suffit, tu te calmes, elle t’allume, vous vous allumez mutuellement. Merde c’est la sœur de ta femme. Tu déconne à fond.
Elle se sert contre moi, me prends dans ses bras, ses mains se posent sur mes fesses, elle me presse, m’écrase contre elle. Je sens son pubis qui écrase mon pénis en érection. Sa tête sur mon épaule, elle m’embrasse dans le cou.
Après quelques secondes, minutes, je ne sais plus. Je ne me rends plus compte de rien, de la réalité des choses, des faits. Je me demande même ou je suis.
Elle me regarde droit dans les yeux, en me tenant la tête dans ses deux mains, et ses lèvres presque sur mes lèvres, son souffle dans mon souffle.
Promis je n’aurais pas une note sous la moyenne et je travaillerais comme une folle l’année prochaine. Pour toi que j’aime, que je veux, que je désire.
Je ne veux pas te décevoir, toi mon beau-frère préféré, que j’aime.
T’es un vrai ange, humm plutôt un démon quand tu t’y mets, j’ai jamais ressenti une telle jouissance même quand je me caresse.
Putain la déclaration, elle me le dit, elle se donne, elle s’offre.
On y est, va falloir gérer mon grand, va falloir que t’assume, que tu l’assumes cette petite puce qui t’aime.
Je la prends dans mes bras.
Tu t’habille, on y va !
Tu n’as même pas le courage de lui dire un mot gentil, après ce qu’elle a osé dire, accepter, faire. T’es une lopette Jacques.
Déjà ? On n’a pas le temps de se recoucher ?
Et où on va ?
Je te l’ai dit hier soir : surprise.
Je préfère ignorer sa demande de se recoucher, bien que l’envie me démange.
Elle me prendrait par la main, pour m’emmener dans la chambre, dans le lit, je me laisserais guider comme le veau que l’on conduit à l’abattoir. Pff tu parle d’une comparaison. T’as vraiment le cerveau empégué mec.
Hum si elle est du même acabit que celle que je viens d’avoir je me dépêche dit-elle.
Et tout naturellement, elle enlève son tee-shirt et fonce dans la salle de bain.
Machinalement, je la suis. Elle va pour entrer dans la douche quand elle voie ses fesses dans le miroir.
Wouahhhh tu y es pas allé de main morte.
Heureusement que ma sœur n’est pas là, elle se poserait des questions.
Mais je le mérite, je ne fiche rien en classe, c’est de ta faute, je n’arrête pas de penser à toi, tout le temps.
Elle rentre dans la douche, laisse la porte ouverte, ouvre légèrement l’eau et se retourne. Je me rapproche. Elle me regarde heureuse, détendue.
Maintenant, même si tu ne m’as pas fait l’amour, je sais que tu ressens quelque chose pour moi, que tu as envie de moi, que tu me désires.
J’ai une envie folle de te sentir en moi en ce moment, mais quand je repense à la taille de ton sexe, j’ai peur, sa doit faire mal, très mal.
Elle me dit cela tout en se lavant sa poitrine si voluptueuse, si orgueilleuse, qui se dresse fièrement devant mes yeux. Elle pétri ses seins, les caressent en me regardant droit dans les yeux.
Propos de Sabine ma femme Propos de Magalie ma belle sœur Propos de Jacques (moi) Mes pensées,
16)
Elle me dit cela tout en se lavant sa poitrine si voluptueuse, si orgueilleuse, qui se dresse fièrement devant mes yeux. Elle pétri ses seins, les caressent en me regardant droit dans les yeux.
-.-
J’hésite à me déshabiller, pour la rejoindre. Je prends sur moi.
Tu prends sur toi, tu résiste, mais c’est avant qu’il aurait fallu prendre sur toi, résister espèce d’âne battée.
Ses mains enduites de gel douche, s’attardent sur son pubis, ses grandes lèvres.
Tu aimes comme il est ou tu préfères épilé, ou complètement rasé?
Ta femme est complètement rasée, elle m’a dit que c’est toi qui lui avais fait et qu’elle avait adoré ce moment d’intimité.
Je la regarde étonné.
Ben vous avez de sacrés discutions les frangines quand je ne suis pas là !!
J’omets volontairement de répondre à ces angoisses physiques.
Toi tu as envie de?
Juste une chose, n’oubli pas que l’on part en vacances, ta sœur sera là, elle va se poser des questions si elle te voie avec ton sexe rasé.
Elle va te demander pourquoi et surtout pour qui, tu t’es rasée. Pas la peine d’éveiller sa curiosité.
Déjà qu’elle m’a dit que tu flashe sur moi. Pas envie qu’elle se pose des questions sur nous deux.
Elle te l’a dit ? D’accord je vais être sage, juste le maillot, on décidera tous les deux plus tard si j’en fais plus.
« On décidera tous les deux » Sa y est elle m’embarque. Elle est bien comme sa sœur. Purée elle a 12 ans de moins que moi et déjà elle est beaucoup plus loin que moi. Elle est déjà à faire des projets.
Où elle est passée la gamine d’il y a 3 ans, envolée, partie, disparue. C’est bien une femme que j’ai devant moi, et qui contrairement à moi s’assume, assume ses désirs, ses envies.
Moi pauvre idiot j’en suis à me demander comment je vais arriver à les gérer toutes les deux.
Mais qu’est ce que sa va donner, dans quel guêpier je me suis mis, bien volontairement d’ailleurs.
Pendant que je réfléchis, elle a fini de se doucher. Elle sort de la douche, et me tend une serviette, les yeux complètement énamourés :
Déjà que tu ne m’as pas rejoints sous la douche, tu me sèches s’il te plait ?
Instinctivement, je prends la serviette. Je commence à lui essuyer le dos, je descends doucement sur ces adorables fesses. Je m’agenouille, et dépose un tendre baiser, sur chaque fesse. Je la sens frissonner, elle tourne la tête.
Humm que c’est agréable de se faire embrasser les fesses de cette manière.
Elle a raison Sabine, tu es très doux.
Vivement que tu passe au côté face, dit elle avec une pointe d’humour dans la voix
Je repense à ce moment aux propos que ma moitié m’avait tenu:
J’ai l’impression qu’elle est assez prude, et je ne pense pas qu’elle a déjà vue un homme nu bien que je n’en sois pas du tout certain.
De toute façon elle complexe avec sa poitrine. Elle trouve que les hommes ne la voie que pour ses seins. Tu te rends compte qu’elle a plus de poitrine que moi, je crois qu’elle fait un 95C et c’est un minimum, à 16 ans, c’est disproportionné.