
Au commencement était la femme ...
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Re: Au commencement était la femme ...
Raaaaaahhhhh 

Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Au commencement était la femme ...
7 - “Lève la tête ! »
Elle obéit instinctivement … sans se poser de questions. Elle ne réfléchissait plus, elle n’y arrivait plus … son cerveau n’était plus en état, ses fesses étaient douloureuses, elle était aveugle et menottée, face contre terre, une ceinture autour du cou en forme de collier et de laisse.
Il tirait sur sa ceinture pour la forcer à relever la tête …
« Plus vite ! » et elle prit de nouveau une claque pour qu’elle se dépêche !
Elle leva rapidement la tête, à la fois fière d’elle et fière de se donner à Lui.
Sa main caressa encore une fois son visage sans bruits. Il parlait peu, seulement pour donner des ordres mais elle sentait qu’Il souriait, qu’Il appréciait ce moment avec elle.
Ses mains firent glisser son string le long des cuisses, lui ôtèrent ce qu’il lui restait de dignité, de pudeur. Son sexe était toujours sous l’effet du vibro, elle ne savait pas trop comment il pouvait tenir en place tellement elle était trempée.
Il passa derrière elle, et libéra ses mains …
« Enlève ton haut, je veux voir tes seins ! »
Elle lui avait parlé de ses seins, qu’elle aimait entretenir sa poitrine, que c’était une partie de son corps qu’elle trouvait belle … Elle l’avait un peu allumé, aguiché avec ça … et aujourd’hui il lui fallait lui prouver ses dires.
Elle commença doucement à retirer son haut, ses yeux toujours bandés et essaya du mieux qu’elle put, sans paraitre gauche, d’ôter son petit haut qui laissait entre apercevoir son décolleté.
Elle sentit ses mains, douces, sur les siennes qui voulaient certainement l’aider … Ni impatientes, ni malhabiles, elles bloquèrent ses mains …
Chloé ne savait pas ce qu’elle devait faire …elle attendait l’ordre, la voix ou un signe …
Soudain, elle sentit un contact glacial contre son cou, le long de sa nuque.
« Ne bouge surtout pas ! » dit-il avec une grosse voix qui la laissa immobile.
Le contact glacial se déplaça le long de sa peau, elle cherchait ce que pouvait être cet objet qui était à la fois froid, dur et qui nécessitait une attention extrême de sa part …
Elle sentait son souffle, elle savait qu’il était à la fois très excité mais très concentré …
Une main releva son haut dans le dos, à mi-hauteur. Elle senti de nouveau cet objet, dur et froid contre son dos, puis d’un coup son soutien-gorge se détendit …
Elle comprit immédiatement : il jouait avec la lame d’un couteau sur son corps et venait de trancher son soutien-gorge !
Il s’en rendit compte qu’elle avait compris car Il la vit, de tout son corps, se tendre.
« Ne bouge surtout pas ! Je ne veux pas te blesser ! »
Il attrapa le devant de son haut, d’une main et de l’autre, entendit le bruit d’un tissu qui se fait couper. Même manipulation de l’autre côté.
Il remit son haut en place, et elle sentit bien que désormais, il y avait 2 trous béants dans lesquels s’engouffraient ses seins.
La lame toucha l’intérieur de ses seins, et à l’aide de son couteau, il fit glisser le long de sa poitrine son soutien-gorge.
Elle se trouvait désormais seins nus, passés à travers 2 trous de son petit haut.
Intérieurement, elle comprit pourquoi il lui avait demandé de pendre des affaires de rechange. Ses vêtements n’avaient pas une grande valeur ni sentimentale, ni financière, car il lui avait dit de prendre des vêtements passe-partout pour prendre les transports.
Il jouait désormais avec la pointe de son couteau sur sa poitrine, surs ses seins, titillait ses tétons. Il appuyait de temps en temps pour qu’elle sente le petit pic pénétrer sa chair mais pas plus. Il s’agissait plus d’une excitation des terminaisons nerveuses qui la rendait dingue car elle ne savait jamais où il appuyait.
« Tu m’as nargué tout ce temps à me parler de ta poitrine, maintenant je peux en disposer à loisir ! »
Le contact dur et froid stoppa et ce fut tout le contraire : doux, humide et tendre. Il embrassait ses seins, léchait sa poitrine, titillait avec sa langue ses tétons complètement pointés d’excitation.
Il jouait avec le chaud/froid, il jouait avec elle, ça la rendait dingue …
Une douleur au niveau du téton la fit sortir de ses rêves. Il avait attrapé avec ses dents un de ses tétons et mordait dedans. Ni trop fort, ni doucement, il l’avait pris en bouche et commençait à tirer dessus pendant que son autre téton était pris en main par sa main … ses 2 tétons étaient désormais tiraillés, tirés et tordus.
Chloé endurait en souffrance, elle savait que ce n’était que des prémices, Il lui avait parlé de pinces, de chaines à seins … Même si cette idée l’effrayait et l’excitait en même temps, elle n’était pas à l’aise en ce moment avec cette idée et elle savait qu’Il tiendrait parole.
Il passa de nouveau sa lame sous ce qu’il lui restait de vêtements et la fit remonter du nombril jusqu’au cou pour définitivement libérer sa poitrine de ce bout de tissu.
« Enlève ta jupe ! »
Elle s’attendait à ce qu’elle subisse le même sort mais non, Il n’en fit rien.
Elle était désormais seins nus, en bas, un bandeau sur les yeux et toujours ce vibro qui s’activait dans son sexe.
Elle obéit instinctivement … sans se poser de questions. Elle ne réfléchissait plus, elle n’y arrivait plus … son cerveau n’était plus en état, ses fesses étaient douloureuses, elle était aveugle et menottée, face contre terre, une ceinture autour du cou en forme de collier et de laisse.
Il tirait sur sa ceinture pour la forcer à relever la tête …
« Plus vite ! » et elle prit de nouveau une claque pour qu’elle se dépêche !
Elle leva rapidement la tête, à la fois fière d’elle et fière de se donner à Lui.
Sa main caressa encore une fois son visage sans bruits. Il parlait peu, seulement pour donner des ordres mais elle sentait qu’Il souriait, qu’Il appréciait ce moment avec elle.
Ses mains firent glisser son string le long des cuisses, lui ôtèrent ce qu’il lui restait de dignité, de pudeur. Son sexe était toujours sous l’effet du vibro, elle ne savait pas trop comment il pouvait tenir en place tellement elle était trempée.
Il passa derrière elle, et libéra ses mains …
« Enlève ton haut, je veux voir tes seins ! »
Elle lui avait parlé de ses seins, qu’elle aimait entretenir sa poitrine, que c’était une partie de son corps qu’elle trouvait belle … Elle l’avait un peu allumé, aguiché avec ça … et aujourd’hui il lui fallait lui prouver ses dires.
Elle commença doucement à retirer son haut, ses yeux toujours bandés et essaya du mieux qu’elle put, sans paraitre gauche, d’ôter son petit haut qui laissait entre apercevoir son décolleté.
Elle sentit ses mains, douces, sur les siennes qui voulaient certainement l’aider … Ni impatientes, ni malhabiles, elles bloquèrent ses mains …
Chloé ne savait pas ce qu’elle devait faire …elle attendait l’ordre, la voix ou un signe …
Soudain, elle sentit un contact glacial contre son cou, le long de sa nuque.
« Ne bouge surtout pas ! » dit-il avec une grosse voix qui la laissa immobile.
Le contact glacial se déplaça le long de sa peau, elle cherchait ce que pouvait être cet objet qui était à la fois froid, dur et qui nécessitait une attention extrême de sa part …
Elle sentait son souffle, elle savait qu’il était à la fois très excité mais très concentré …
Une main releva son haut dans le dos, à mi-hauteur. Elle senti de nouveau cet objet, dur et froid contre son dos, puis d’un coup son soutien-gorge se détendit …
Elle comprit immédiatement : il jouait avec la lame d’un couteau sur son corps et venait de trancher son soutien-gorge !
Il s’en rendit compte qu’elle avait compris car Il la vit, de tout son corps, se tendre.
« Ne bouge surtout pas ! Je ne veux pas te blesser ! »
Il attrapa le devant de son haut, d’une main et de l’autre, entendit le bruit d’un tissu qui se fait couper. Même manipulation de l’autre côté.
Il remit son haut en place, et elle sentit bien que désormais, il y avait 2 trous béants dans lesquels s’engouffraient ses seins.
La lame toucha l’intérieur de ses seins, et à l’aide de son couteau, il fit glisser le long de sa poitrine son soutien-gorge.
Elle se trouvait désormais seins nus, passés à travers 2 trous de son petit haut.
Intérieurement, elle comprit pourquoi il lui avait demandé de pendre des affaires de rechange. Ses vêtements n’avaient pas une grande valeur ni sentimentale, ni financière, car il lui avait dit de prendre des vêtements passe-partout pour prendre les transports.
Il jouait désormais avec la pointe de son couteau sur sa poitrine, surs ses seins, titillait ses tétons. Il appuyait de temps en temps pour qu’elle sente le petit pic pénétrer sa chair mais pas plus. Il s’agissait plus d’une excitation des terminaisons nerveuses qui la rendait dingue car elle ne savait jamais où il appuyait.
« Tu m’as nargué tout ce temps à me parler de ta poitrine, maintenant je peux en disposer à loisir ! »
Le contact dur et froid stoppa et ce fut tout le contraire : doux, humide et tendre. Il embrassait ses seins, léchait sa poitrine, titillait avec sa langue ses tétons complètement pointés d’excitation.
Il jouait avec le chaud/froid, il jouait avec elle, ça la rendait dingue …
Une douleur au niveau du téton la fit sortir de ses rêves. Il avait attrapé avec ses dents un de ses tétons et mordait dedans. Ni trop fort, ni doucement, il l’avait pris en bouche et commençait à tirer dessus pendant que son autre téton était pris en main par sa main … ses 2 tétons étaient désormais tiraillés, tirés et tordus.
Chloé endurait en souffrance, elle savait que ce n’était que des prémices, Il lui avait parlé de pinces, de chaines à seins … Même si cette idée l’effrayait et l’excitait en même temps, elle n’était pas à l’aise en ce moment avec cette idée et elle savait qu’Il tiendrait parole.
Il passa de nouveau sa lame sous ce qu’il lui restait de vêtements et la fit remonter du nombril jusqu’au cou pour définitivement libérer sa poitrine de ce bout de tissu.
« Enlève ta jupe ! »
Elle s’attendait à ce qu’elle subisse le même sort mais non, Il n’en fit rien.
Elle était désormais seins nus, en bas, un bandeau sur les yeux et toujours ce vibro qui s’activait dans son sexe.
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Re: Au commencement était la femme ...




Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Au commencement était la femme ...
J'adore DTP
Même si bizarrement la scène de la ceinture m'a rappelé quelqu'un
Même si bizarrement la scène de la ceinture m'a rappelé quelqu'un

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T'as pas soif à force de tirer la langue comme ça Smum ?? 

Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Au commencement était la femme ...
NaaaaaanBikette a écrit :T'as pas soif à force de tirer la langue comme ça Smum ??

Re: Au commencement était la femme ...
Avec tout ce qu'elle a bu hier , je crois pas qu'elle aie soifBikette a écrit :T'as pas soif à force de tirer la langue comme ça Smum ??

Re: Au commencement était la femme ...
Tagada93 a écrit :
Avec tout ce qu'elle a bu hier , je crois pas qu'elle aie soif![]()

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Re: Au commencement était la femme ...
Il était au ski, maintenant qu'il a le cerveau bien oxygéné, la suite ne devrait pas tarder, hein DTP ? 

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Re: Au commencement était la femme ...
:siffle2:
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Re: Au commencement était la femme ...
8 - “Cambres-toi ! »
Chloé se mit à genoux, les coudes posés par terre, le bassin plaqué au sol, les fesses bien relevées. Elle sentit un mouvement d’air autour d’elle, il devait certainement se rapprocher d’elle pour mieux la visualiser, pour mieux voir son intimité. Cela l’excita fortement de se savoir observée …
“Tu es trempée, comme une chienne en chaleur!”
C’était vrai ce satané vibro la faisait mouiller, elle avait envie de l’attraper et de se faire jouir rapidement.
Sa main vint au contact de son minou, caressant son sexe glabre, s’attardant sur ses lèvres gorgées de sang et trempées de désir. Son pouce insista sur son clito, aussi tendu que ses tétons, lui arrachant des soupirs à chaque passage.
“Tu veux jouir hein ?!” Et sans lui laisser répondre, il fit des allers/retours avec son vibro dans son sexe. Chloé haletait, Chloé voulait jouir, elle sentait cette jouissance profonde et sourde qui montait de ses entrailles, elle savait qu’elle allait exploser s’il continuait comme ca …
Et comme s’Il lisait dans ses pensées, dans son âme même, elle sentit son sexe abandonné, vide, plus rempli par son objet de torture, de jouissance.
“Suces!” Et Il lui tendit son vibro plein de sa mouille à la bouche. Elle suçait, léchait, sentant ses sécrétions intimes, lui faisant un show, lui montrant ce qu’elle lui ferait si elle avait sa queue en bouche. Elle se sentait à la fois salope, à la fois belle. Ce qui était sur c’est qu’elle aimait, elle aimait ce qu’il lui faisait faire et être à sa merci.
Sa main passa de nouveau sur son sexe trempé, ramenant de la mouille de son sexe à l’entrée de son petit trou. Elle savait qu’Il aimait ca, que son joli petit cul (comme Il disait) l’attirait. Elle n’avait jamais tenté et lui en avait parlé qu’elle aimerait mais elle ne se sentait pas prête.
Comme si une fois de plus, Il lisait ses pensées, un de ses doigts s’aventura à l’intérieur … presque délicatement. Elle était tellement lubrifiée que ses fesses aspirèrent presque son doigt, son cul était gourmand et cette sensation de se sentir remplie par derrière n’était pas désagréable après tout et surtout pas douloureuse contrairement à ce qu’elle redoutait.
Il avait le don de briser ses résistances naturelles, de lui en faire vouloir encore plus … Quand le 2° doigt s’insinua en elle, cela força un peu, écartant et tiraillant les chairs de son anus tendre, vierge de toute pénétration. Alors qu’elle avait toujours son vibro en bouche, Il vint chuchoter à son oreille : “Ne t’inquiète pas, je veux juste que tu te sentes remplie. Je n’irai pas plus loin sauf si tu me supplies de t’enculer!”
Le mot la fit rougir, elle en avait envie mais ne savait pas trop … Est-ce que le blocage venait de son éducation, de sa peur d’avoir mal ou le fait de se sentir salope … Toujours est-il qu’elle avait envie de se sentir prise par derrière … elle sentait que ca lui plairait.
Sa main retira son joujou de la bouche, la laissant béante tout comme son sexe. Le seul endroit où elle était remplie était son cul, son antre rempli par ses 2 doigts.
Il retira délicatement ses doigts d’elle, et il vint masser ses fesses, presque tendrement. Elle fut surprise de cette délicate attention mais rapidement se laissa envahir par cette douce sensation. Il vint aussi masser son dos, le bas de ses reins. Elle gémissait comme une petite chatte en chaleur, elle prenait beaucoup de plaisir à ce petit moment de répit, de pause, même si tous ses sens étaient en éveil, même si son envie de jouir grondait dans son bas-ventre.
Ses mains soudain quittèrent son dos, ses fesses. Elle se sentit seule, presque abandonnée, la vue toujours brouillée par ce bandeau.
« Tu as pris ton CD ? »
« Oui Monsieur ! »
Il lui avait demandé de ramener un CD avec ses morceaux préférées, avec la séquence suivante : musique douce/calme, musique rythmée puis musique douce/calme.
Le bruit d’un briquet et d’une flamme se fit entendre. Il se leva et alla fouiller dans son sac à main et trouva son CD. Le 1° morceau se mit en marche doucement, musique plutôt douce et calme effectivement, ce qui détendit Chloé. C’était un de ses airs préférés … Elle avait envie de se lever, de danser un slow lovée contre lui dans cette tenue …Une odeur de paraffine envahit ses narines, Il avait allumé des bougies, la mise en scène était à son maximum. Elle attendait qu’il lui enlève ce bandeau pour qu’elle puisse profiter de ce moment, mais Il n’avait pas l’air décidé …
« Avance ! »
Alors que la musique s’égrenait, elle avança, toujours à 4 pattes et ses mains et genoux tombèrent sur une serviette. En plus, il était délicat et attentionné avec elle. Elle appréciait vraiment.
« Tends tes 2 mains ! » Elle obéit instinctivement, sans réfléchir, et il l’attacha au pied de la table.
Elle sentit une fois de plus son anus fouillé, écarté, tiraillé et ce coup-ci sans management, sans douceur. Heureusement qu’elle était encore bien excitée, mais elle aimait bien son côté inquisiteur. Elle se sentit soudain remplie ! Il venait de lui insérer un plug dedans …. Et il rentrait tout seul. Chloé ne se serait jamais crue capable de se donner autant, mais elle se sentait bien là, son cul tendu et dilaté par ce sextoy. Il mit en marche la fonction vibro et ce fut des ondes de plaisir qui parcoururent toute l’échine de Chloé. Elle allait jouir, elle allait jouir par le cul, et cela lui semblait inconcevable … Son esprit ne pouvait concevoir ca, mais son corps lui montrait bien que c’était possible. Elle reprit ses esprits, et arriva à se contrôler, malgré ces ondes de plaisir dans ses fesses.
Chloé sentit les mains de son bourreau sur son bandeau … Enfin elle allait retrouver la vue, enfin elle allait le voir, voir son beau sourire sadique. Le masque tomba, et elle se vit attachée au pied de la lourde table massive, son bourreau une bougie en mains.
Soudain, en un éclair, elle comprit, elle comprit que non Il n’était pas en train de créer une ambiance, ni qu’il protégeait ses genoux. Ce salaud ne pensait qu’à son parquet et la bougie allait se déposer sur son corps à elle !
Une expression de terreur se lit dans ses yeux, elle paniquait et lui souriait …
Il s’approcha d’elle et fit tomber d’assez haut les premières gouttes de cire liquide sur son dos. Sensation bizarre de brulure, de chaleur qui doucement se diffuse. Ce n’était pas si désagréable que ca au final …Il prit sa bougie et l’aspergea du dos aux fesses, de plus ou moins haut, s’essayant à un travail artistique sur son dos. Il changea de bougie, couleurs différentes, et elle sentait de plus en plus son dos se cristalliser, se recouvrir d’une carapace de cire. Il fit couler le long de son sillon, alors que les vibrations lui remplissaient le cul, douce sensation de se sentir à la fois bouillante de l’intérieur et brulante à l’extérieur. Il s’aventurait du haut des épaules, en descendant sur son dos, ses fesses. Il la fit se tourner et mis de la cire sur son ventre, ses seins, son sexe … Elle était presque recouverte, elle prenait du plaisir à sentir cette douce brulure, cette sensation inconnue pour elle et de voir ce travail de cire mouchetée et colorée sur son corps.
« Tu es belle ! »
« Merci Monsieur ! »
Chloé se mit à genoux, les coudes posés par terre, le bassin plaqué au sol, les fesses bien relevées. Elle sentit un mouvement d’air autour d’elle, il devait certainement se rapprocher d’elle pour mieux la visualiser, pour mieux voir son intimité. Cela l’excita fortement de se savoir observée …
“Tu es trempée, comme une chienne en chaleur!”
C’était vrai ce satané vibro la faisait mouiller, elle avait envie de l’attraper et de se faire jouir rapidement.
Sa main vint au contact de son minou, caressant son sexe glabre, s’attardant sur ses lèvres gorgées de sang et trempées de désir. Son pouce insista sur son clito, aussi tendu que ses tétons, lui arrachant des soupirs à chaque passage.
“Tu veux jouir hein ?!” Et sans lui laisser répondre, il fit des allers/retours avec son vibro dans son sexe. Chloé haletait, Chloé voulait jouir, elle sentait cette jouissance profonde et sourde qui montait de ses entrailles, elle savait qu’elle allait exploser s’il continuait comme ca …
Et comme s’Il lisait dans ses pensées, dans son âme même, elle sentit son sexe abandonné, vide, plus rempli par son objet de torture, de jouissance.
“Suces!” Et Il lui tendit son vibro plein de sa mouille à la bouche. Elle suçait, léchait, sentant ses sécrétions intimes, lui faisant un show, lui montrant ce qu’elle lui ferait si elle avait sa queue en bouche. Elle se sentait à la fois salope, à la fois belle. Ce qui était sur c’est qu’elle aimait, elle aimait ce qu’il lui faisait faire et être à sa merci.
Sa main passa de nouveau sur son sexe trempé, ramenant de la mouille de son sexe à l’entrée de son petit trou. Elle savait qu’Il aimait ca, que son joli petit cul (comme Il disait) l’attirait. Elle n’avait jamais tenté et lui en avait parlé qu’elle aimerait mais elle ne se sentait pas prête.
Comme si une fois de plus, Il lisait ses pensées, un de ses doigts s’aventura à l’intérieur … presque délicatement. Elle était tellement lubrifiée que ses fesses aspirèrent presque son doigt, son cul était gourmand et cette sensation de se sentir remplie par derrière n’était pas désagréable après tout et surtout pas douloureuse contrairement à ce qu’elle redoutait.
Il avait le don de briser ses résistances naturelles, de lui en faire vouloir encore plus … Quand le 2° doigt s’insinua en elle, cela força un peu, écartant et tiraillant les chairs de son anus tendre, vierge de toute pénétration. Alors qu’elle avait toujours son vibro en bouche, Il vint chuchoter à son oreille : “Ne t’inquiète pas, je veux juste que tu te sentes remplie. Je n’irai pas plus loin sauf si tu me supplies de t’enculer!”
Le mot la fit rougir, elle en avait envie mais ne savait pas trop … Est-ce que le blocage venait de son éducation, de sa peur d’avoir mal ou le fait de se sentir salope … Toujours est-il qu’elle avait envie de se sentir prise par derrière … elle sentait que ca lui plairait.
Sa main retira son joujou de la bouche, la laissant béante tout comme son sexe. Le seul endroit où elle était remplie était son cul, son antre rempli par ses 2 doigts.
Il retira délicatement ses doigts d’elle, et il vint masser ses fesses, presque tendrement. Elle fut surprise de cette délicate attention mais rapidement se laissa envahir par cette douce sensation. Il vint aussi masser son dos, le bas de ses reins. Elle gémissait comme une petite chatte en chaleur, elle prenait beaucoup de plaisir à ce petit moment de répit, de pause, même si tous ses sens étaient en éveil, même si son envie de jouir grondait dans son bas-ventre.
Ses mains soudain quittèrent son dos, ses fesses. Elle se sentit seule, presque abandonnée, la vue toujours brouillée par ce bandeau.
« Tu as pris ton CD ? »
« Oui Monsieur ! »
Il lui avait demandé de ramener un CD avec ses morceaux préférées, avec la séquence suivante : musique douce/calme, musique rythmée puis musique douce/calme.
Le bruit d’un briquet et d’une flamme se fit entendre. Il se leva et alla fouiller dans son sac à main et trouva son CD. Le 1° morceau se mit en marche doucement, musique plutôt douce et calme effectivement, ce qui détendit Chloé. C’était un de ses airs préférés … Elle avait envie de se lever, de danser un slow lovée contre lui dans cette tenue …Une odeur de paraffine envahit ses narines, Il avait allumé des bougies, la mise en scène était à son maximum. Elle attendait qu’il lui enlève ce bandeau pour qu’elle puisse profiter de ce moment, mais Il n’avait pas l’air décidé …
« Avance ! »
Alors que la musique s’égrenait, elle avança, toujours à 4 pattes et ses mains et genoux tombèrent sur une serviette. En plus, il était délicat et attentionné avec elle. Elle appréciait vraiment.
« Tends tes 2 mains ! » Elle obéit instinctivement, sans réfléchir, et il l’attacha au pied de la table.
Elle sentit une fois de plus son anus fouillé, écarté, tiraillé et ce coup-ci sans management, sans douceur. Heureusement qu’elle était encore bien excitée, mais elle aimait bien son côté inquisiteur. Elle se sentit soudain remplie ! Il venait de lui insérer un plug dedans …. Et il rentrait tout seul. Chloé ne se serait jamais crue capable de se donner autant, mais elle se sentait bien là, son cul tendu et dilaté par ce sextoy. Il mit en marche la fonction vibro et ce fut des ondes de plaisir qui parcoururent toute l’échine de Chloé. Elle allait jouir, elle allait jouir par le cul, et cela lui semblait inconcevable … Son esprit ne pouvait concevoir ca, mais son corps lui montrait bien que c’était possible. Elle reprit ses esprits, et arriva à se contrôler, malgré ces ondes de plaisir dans ses fesses.
Chloé sentit les mains de son bourreau sur son bandeau … Enfin elle allait retrouver la vue, enfin elle allait le voir, voir son beau sourire sadique. Le masque tomba, et elle se vit attachée au pied de la lourde table massive, son bourreau une bougie en mains.
Soudain, en un éclair, elle comprit, elle comprit que non Il n’était pas en train de créer une ambiance, ni qu’il protégeait ses genoux. Ce salaud ne pensait qu’à son parquet et la bougie allait se déposer sur son corps à elle !
Une expression de terreur se lit dans ses yeux, elle paniquait et lui souriait …
Il s’approcha d’elle et fit tomber d’assez haut les premières gouttes de cire liquide sur son dos. Sensation bizarre de brulure, de chaleur qui doucement se diffuse. Ce n’était pas si désagréable que ca au final …Il prit sa bougie et l’aspergea du dos aux fesses, de plus ou moins haut, s’essayant à un travail artistique sur son dos. Il changea de bougie, couleurs différentes, et elle sentait de plus en plus son dos se cristalliser, se recouvrir d’une carapace de cire. Il fit couler le long de son sillon, alors que les vibrations lui remplissaient le cul, douce sensation de se sentir à la fois bouillante de l’intérieur et brulante à l’extérieur. Il s’aventurait du haut des épaules, en descendant sur son dos, ses fesses. Il la fit se tourner et mis de la cire sur son ventre, ses seins, son sexe … Elle était presque recouverte, elle prenait du plaisir à sentir cette douce brulure, cette sensation inconnue pour elle et de voir ce travail de cire mouchetée et colorée sur son corps.
« Tu es belle ! »
« Merci Monsieur ! »
Re: Au commencement était la femme ...
DTP c'est bien de te faire desirer mais faudrais peut etre pas t'endormir sur tes lauriers non plus 

Re: Au commencement était la femme ...
passiflore123 a écrit :DTP c'est bien de te faire desirer mais faudrais peut etre pas t'endormir sur tes lauriers non plus
Han en plus jai vu le topic remonter , j'ai cru qu'il avait posté

Re: Au commencement était la femme ...
Tagada93 a écrit :
Han en plus jai vu le topic remonter , j'ai cru qu'il avait posté





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Re: Au commencement était la femme ...
Y fait sa feignasse le DTP, ou alors, une blonde taille 36 le fatigue de trop 



Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Au commencement était la femme ...
Bikette a écrit :Y fait sa feignasse le DTP, ou alors, une blonde taille 36 le fatigue de trop
Ou il teste en réel son récit !!!

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Re: Au commencement était la femme ...
Ou le récit est la transcription du réel 

Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Au commencement était la femme ...
Bikette a écrit :Ou le récit est la transcription du réel
ok
on fait moitié moitié ?

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Re: Au commencement était la femme ...
Ca marche 

Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Au commencement était la femme ...
C'est de ta faute 

Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Au commencement était la femme ...
t'es blonde, taille 36 

Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.