Obsession de son être,
Obsession de son corps,
Son désir la consume,
Toute son âme le réclame
Comme si il était son oxygène.
Elle se tourne et retourne,
Essaies de trouver le sommeil,
Et d’oublier la souillure de son entre cuisse.
Elle coule, petite chienne pantelante,
Elle ruissèle, petite putain en manque.
Ses tétons dardés sont prêt a exploser,
Elle imagine les pinces les compressant,
Ses dents les mordant,
Ses doigts les triturant.
Elle halète, gémit, couine presque,
Brûlante de l’intérieur,
Dévorée par ses envies.
Elle attends tapie sous sa couette
Qu’il lui dise : viens me chercher je suis devant ta porte
Cedille92 a écrit :Obsession de son être,
Obsession de son corps,
Son désir la consume,
Toute son âme le réclame
Comme si il était son oxygène.
Elle se tourne et retourne,
Essaies de trouver le sommeil,
Et d’oublier la souillure de son entre cuisse.
Elle coule, petite chienne pantelante,
Elle ruissèle, petite putain en manque.
Ses tétons dardés sont prêt a exploser,
Elle imagine les pinces les compressant,
Ses dents les mordant,
Ses doigts les triturant.
Elle halète, gémit, couine presque,
Brûlante de l’intérieur,
Dévorée par ses envies.
Elle attends tapie sous sa couette
Qu’il lui dise : viens me chercher je suis devant ta porte
hummmm :cinglé: mais attention au loup derrière la porte.... Il pourrais croquer le ptit chaperon rouge
Endormis tout contre lui
Mon esprit court dans la nuit
Endormis tout contre lui
J'entends susurré le loup
Je courts dans la nuit noire
Un bruit me suit
Je courts dans la nuit noire
Le vent effleure ma vie
Les branches griffe ma peau
Je frotte la douleur cuisante
Les branches griffe ma peau
Mon corps brule de ses marques
Je marche sur un brasier
Et mon corps s'enflamme
Je marche sur un brasier
Que reste-t-il de mon âme
Le loup est près de moi
Et montre les dents
Le loup est près de moi
Ses yeux brille de mille feux
Mon corps frémis devant lui
Mais je ne peux fuir
Mon corps frémis devant lui
Vas-t-il me dévorer
A pas de loup, il approche
Je recule, cachant mon effrois
A pas de loup, il approche
A genoux je cache mon visage
Attendre que sa langue me déguste
Sentir son souffle sur ma nuque
Attendre que sa langue me déguste
Son museau effleure ma croupe
Que cherche-t-il à me tourner autour ?
Je suis comme ficelée à son bon vouloir
Que cherche-t-il à me tourner autour ?
Ne sens-t-il pas la chaine qui me retient
De sa patte il me pousse
Je me laisse tomber sur le côté
De sa patte il me pousse
Je le vois au-dessus de moi
Lueur étrange dans son regard
Je baisse les yeux dans mon angoisse
Lueur étrange dans son regard
Mes jambes ce serre protégeant ma chatte
Je m'imagine loin de lui
Ses dents jouent avec mes seins
Je m'imagine loin de lui
Mes pointes se dresse devant lui
Suis je folle ? Le loup m'excite
Sa langue cherche mes arômes
Suis je folle ? Le loup m'excite
Je coule sur les feuilles épars
Son organe charnu me lèche et me pourlèche
J'ouvre encore plus mes cuisses sous ses caresses
Son organe charnu me lèche et me pourlèche
Je soulève mon bassin pour qui me dévore
Morsure dans mon corps
Esse mon sang qui s'enfuit ?
Morsure dans mon corps
vais-je mourir aujourd'hui ?
Le loup me dévore de l'intérieur
Mon souffle s'accélère de surprise
Le loup me dévore de l'intérieur
J'ai l'impression que je vais jouir esse possible ?
Je le vois se pencher sur moi
Ouvrant sa gueule dans un râle
Je le vois se pencher sur moi
Je crois que cette fois je suis à lui
Encore ce bruit qui revient
Je cherche autour de moi
Encore ce bruit qui revient
Viens-t-on à mon secours
Et comme un voile qui se lève
Sur mon esprit embrumé
Et comme un voile qui se lève
J'entends sa voix qui m'appelle
Marie réveille toi
Lorsque j'ai commencée à te caresse
Marie réveille toi
Tu as crié au loup
Je le vois pencher sur moi
C'est yeux dans les miens
Je le vois pencher sur moi
Mon loup est bien mon maitre
Dernière modification par Supprimé le 08 juin 2011, 11:17, modifié 1 fois.
Il m'appelle, je rapplique illico.
Je ne peux pas faire autrement, je suis sienne, je suis chienne.
Même si des fois je voudrais ne pas lui céder, je ne sais pas pourquoi mais je ne peux pas m'en empêcher, et il le sait.
Honte...
Sms, "je mets un porno, tu rentres tu te mets à l'aise, jte rejoins quand je sors de la douche"
Je voudrais lui répondre que j'en ai pas envie, pas comme ça, pas ici.
Honte...
Un simple ok en guise de réponse et quelques minutes plus tard j'entre chez lui, sans frapper et je referme à clé.
Honte ...
Je regarde, effectivement il se douche, effectivement le film porno est en route. J'obeis encore et toujours, je laisse ma robe mais enlève tous mes dessous je suis moitié nue, allongée sur son canapé et je me caresse...
Honte ...
Non ça il ne me l'a pas demandé, il a l'air surpris de me voir le faire, "tu as déjà commencé, et bien t'es vraiment une salope" il me "punit" en me pinçant le clitoris , les lèvres, et me pénètre brutalement de ses doigts. Je mouille.
Honte ...
Il stoppe, et se place à mes côtés, il m'embrasse sauvagement, mordant mes lèvres , il me bloque les bras je ne peux rien faire, il me pince les étons tout en m'embrassant. Je cède encore, je suis trempée.
Honte...
Il m'ordonne de le branler avec mes pieds je le fais , il m'ordonne de lui lécher l'anus, je le fais il a l'air d'aimer, me maintient la tête tout en me prenant le minou d'un de mes sextoy.Il me branle , je jouis, honte encore j'en ai mis partout.
Honte....
Il me pousse sur le canapé, je regarde l'écran je vois un mr "manger" madame. Je lui ordonne de faire pareil à mon tour de m'imposer. il feinte de ne pas comprendre, je lui tiens les couilles ... il cède. Il me lèche avidement. Je jouis, en lui maintenant la tête pour ne pas qu'il bouge.
Je n'ai plus honte...
Il se redresse et me prend , les jambes maintenues en l'air, trois coups de rein je jouis à nouveau, il est fier, je le fixe du regard, il me dit qu'il va jouir, je ferme les yeux, il m'ordonne de les ouvrir, me tient la gorge et se met à jouir violemment en me traitant de salope...
Ce sentiment de honte n'est plus, je suis ... repue.
(juste... Il te pousse sur le canapé, et tu lui tiens les couilles l'obligeant à venir te lécher... hum... Il est à l’envers ? Tu as le bras super long ? Où il y a une configuration que je ne comprends pas en 3D ? Simple curiosité, des fois comme ça, on sait jamais, ça peut servir... :-) )
(juste... Il te pousse sur le canapé, et tu lui tiens les couilles l'obligeant à venir te lécher... hum... Il est à l’envers ? Tu as le bras super long ? Où il y a une configuration que je ne comprends pas en 3D ? Simple curiosité, des fois comme ça, on sait jamais, ça peut servir... :-) )
Vintage a écrit :Si tu es allongée sur le coté, en long sur le canapé, et lui à genoux assez près, côté tête, alors là, je vois, ça le fait. :-) :caché:
Il m'appelle, je rapplique illico.
Je ne peux pas faire autrement, je suis sienne, je suis chienne.
Même si des fois je voudrais ne pas lui céder, je ne sais pas pourquoi mais je ne peux pas m'en empêcher, et il le sait.
Honte...
Sms, "je mets un porno, tu rentres tu te mets à l'aise, jte rejoins quand je sors de la douche"
Je voudrais lui répondre que j'en ai pas envie, pas comme ça, pas ici.
Honte...
Un simple ok en guise de réponse et quelques minutes plus tard j'entre chez lui, sans frapper et je referme à clé.
Honte ...
Je regarde, effectivement il se douche, effectivement le film porno est en route. J'obeis encore et toujours, je laisse ma robe mais enlève tous mes dessous je suis moitié nue, allongée sur son canapé et je me caresse...
Honte ...
Non ça il ne me l'a pas demandé, il a l'air surpris de me voir le faire, "tu as déjà commencé, et bien t'es vraiment une salope" il me "punit" en me pinçant le clitoris , les lèvres, et me pénètre brutalement de ses doigts. Je mouille.
Honte ...
Il stoppe, et se place à mes côtés, il m'embrasse sauvagement, mordant mes lèvres , il me bloque les bras je ne peux rien faire, il me pince les étons tout en m'embrassant. Je cède encore, je suis trempée.
Honte...
Il m'ordonne de le branler avec mes pieds je le fais , il m'ordonne de lui lécher l'anus, je le fais il a l'air d'aimer, me maintient la tête tout en me prenant le minou d'un de mes sextoy.Il me branle , je jouis, honte encore j'en ai mis partout.
Honte....
Il me pousse sur le canapé, je regarde l'écran je vois un mr "manger" madame. Je lui ordonne de faire pareil à mon tour de m'imposer. il feinte de ne pas comprendre, je lui tiens les couilles ... il cède. Il me lèche avidement. Je jouis, en lui maintenant la tête pour ne pas qu'il bouge.
Je n'ai plus honte...
Il se redresse et me prend , les jambes maintenues en l'air, trois coups de rein je jouis à nouveau, il est fier, je le fixe du regard, il me dit qu'il va jouir, je ferme les yeux, il m'ordonne de les ouvrir, me tient la gorge et se met à jouir violemment en me traitant de salope...
Ce sentiment de honte n'est plus, je suis ... repue.
Et je sors, courant dans le chemin escarpé de la colline aux genêts, la vielle cabane est à environ un kilomètre de la Bodega. Quand nous étions petits, les gardians nous préparaient des crêpes et nous allions les manger dans la colline, je me doutais qu'il serait là-bas, lorsque nous avions un chagrin, toujours nous nous retrouvions à cet endroit, plein de souvenir heureux et nous repartions consolés et prêts à nouveau à se battre, contre tous ces gens qui avaient peur de nous, les bohémiens...
"Tony, Tony, où es-tu Tony ? Réponds-moi, bon sang
répond, c'est moi Esméralda"
Je ne le voyais pas, il ne répondait pas, pourtant j'étais bien devant la cabane, alors où est-il ?
Tout d'un coup j'entends des gémissements, je les suis, le voilà, face contre terre, secoué de longs sanglots, ça me faisait un drôle d'effet de voir un homme aussi puissant que Tony pleurer comme un enfant.
Je m'assieds tout contre lui, prends sa tête et la pose sur mon jupon, lui caresse doucement les cheveux.
"Esméralda, elle m'a quitté, tu te rends compte ? Elle est partie, elle ne veut plus me voir !" me dit-il entrecoupé de larmes.
"Je sais, pleure, cela ira mieux après mais tu l'as cherché aussi, faut voir les choses comme elles sont, excuse-moi de te dire ça, mais bon, si tu l'aimais autant, peut être que..."
Je n'ai pas eu le temps de finir qu'il m'embrasse avidement.
"Non, mais ça ne va pas Tony !"
"Je t'en prie ma belle, laisse-moi seulement t'embrasser, console-moi un peu, un baiser pour oublier rien qu'un instant, je ne veux rien d'autre."
Je le regardais, il me faisait tant de peine, il était si beau aussi mon tendre ami, ses yeux aussi noirs que la nuit, brillaient des larmes qu'ils contenaient, la douceur de ses cheveux qui bouclaient sous mes doigts, se menton volontaire et la beauté de ce visage sauvage en faisait un homme à la beauté extraordinaire... On comprend que toutes les femmes en étaient folles et lui souvent se laissait tenter par toutes ces flatteries que lui prodiguaientt toutes ces écervelées. Alors, moi qui l'aimais si tendrement, je ne pouvais lui refuser, rien qu'un baiser après tout...
"D'accord !" lui dis-je.
Je l'embrasse doucement, lui me prit dans ses bras et je me trouvais du coup sous lui, prisonnière de ses envies, sa langue creusait ma bouche, je ne trouvais pas ça très agréable, il est trop brutal.
Je lui prends la tête, le regarde.
"Doucement Tony, doucement !"
Et c'est moi qui pris la chose en main, je l'embrasse tendrement, sa langue suit la mienne, il m'impose ensuite son rythme, elle se fait avide de moi, me cherche, me mange, je manque de souffle, il me dévore mais j'aime ça, cette douce violence que nos langues se procurent, m'ensorcelle, je me sens toute chose dans ses bras, même si aucun sentiment ne me liait à lui à part la grande amitié que je ressens, je ne pouvais m'extirper de ses bras.
Mes mains descendent vers ses fesses, elles sont extrêmement musclées, lui se serre contre mon pubis. Il descend ses mains le long de mon dos, traçant de son doigt le sillon de ma colonne. j'étais parcourue de milliers de frissons. Il avait quitté ma bouche et ses lèvres parcourraient ma gorge, je soupirais de plaisir, je ne pouvais me retenir de le serrer encore plus fort contre moi, comme si j'avais peur qu'il ne change d'idée, que les remords le prennent, j'étais bien contre ce corps musclé qui me désirait autant.
Ses mains avaient fini leur chemin pour s'arrêter sur mon jupon, il le soulève, passe sa main sous la dentelle de ma petite culotte et s'approprie ma chatte un sourire conquérant accroché à ses lèvres et là, dans les genêts de notre enfance, nous nous retrouvions nus à nous contempler. Il s'approcha, me prit par la taille, ses mains couraient le long de mon corps, ses baisers me parcouraient, je gémissais sous ses mains expertes, son sexe était déjà bien raide, je ne pus que le prendre à pleine main, même les deux étaient nécessaires, je n'en revenais pas, un beau spécimen mon copain...
Je le titillais doucement du bout de la langue, décalotté, son gland qui brillait sous la lune, nos yeux se croisèrent et je sus qu'il n'y aurait pas de retour en arrière, nous avions déjà été trop loin pour nous arrêter, je le pris de ce fait dans ma bouche entièrement, laissant parcourir ma langue sur toute la longueur de son sexe si imposant, me retirait en l'aspirant le plus fort que je pouvais et il en gémissait de plaisir, je sentais les soubresauts de son envie de plus en plus fréquent à chaque baiser de ma langue, de ma bouche, il se cambrait pour ne pas jouir dès maintenant.
Il me releva, sans dire un mot pour ne pas casser ce moment de folie, ce moment de plaisir interdit, ce moment de béatitude que nous étions en trains de vivre, de laisser notre envie se consumer, ne pas l'éteindre maintenant, la laisser s'enflammer, nous brûler, quitte à le regretter plus tard, mais pour l'instant nous ne pensions pas à demain, mais à nous, ici dans la fraicheur de la nuit, le doux souffle de la mer qui s'amuse contre notre peau, qui essayait de se glisser entre nous, mais que rien ne pouvait séparer...
Ses doigts entraient en moi, comme s'ils avaient toujours connu le chemin, il s'amusait d'un doigt à torturé mon petit bouton qui lui recherchait de plus en plus le contact de ce corps étranger qui avait pris possession de ma caverne, la morsure de sa bouche sur mes seins laissait des traces bien visibles, mais c'était tellement bon, oh que mon tendre ami savait si bien si prendre, il me rendait folle, je voulais qu'il continue de me torturer de ses mains si fermes et si douces à la fois, pas un centimètre de ma peau lui était inconnue.
Maintenant tous les plis et les replis la douceur la moiteur de ma peau lui appartenait aujourd'hui, il ne lui restait plus qu'à visiter mon domaine interdit, celui que je lui avais toujours refusé, celui qu'il n'aurait jamais dû espérer, celui qui ne lui était pas destiné mais aujourd'hui ne pouvait s'y refuser, il n'attendait que ça, le doux va et vient de cet homme, celui qui lui permettrait de s'ouvrir au plaisir de la chair, ce membre si chaud qui parcourait mon puits du désir, pour nous donner à tous deux le remord qui viendrait ensuite d'avoir eu du plaisir alors que nous n'étions seulement que des amis...
J'avais peur de jouir avant qu'il ne me prenne, je me retenais, le laissant faire de moi ce qu'il désirait mais mon corps ne pouvait plus retenir plus longtemps le doux miel de mon plaisir...
"Viens, prends-moi !"
Il ne se le fait pas dire deux fois, son membre impressionnant me pourfendit de toute sa puissance, mon dieu qu'elle est grosse, demain je ne pourrais pas danser il va me falloir un moment pour récupérer cette fois...
Elle me donne l'impression d'être absorbée complètement par mon vagin, il ne devait plus y avoir de place pour y mettre autre chose, je sentais contre mes parois humides le va et viens qu'il me faisait subir, la grosseur de son sexe me donnait l'impression que chacun de ses mouvements arrachait à mon corps une parcelle de mon anatomie, c'était tellement bon, je n'en pouvais plus, je l'attirais vers moi pour qu'il me prenne encore et encore... Je n'avais jamais ressenti cela auparavant, ce mélange de douceur et de force qui vous propulse dans une petite mort , oui c'est cela, lorsqu'il se fait dur, je manque de souffle, mon âme s'envole, lorsque la douceur revient le repos de mon corps me rappelle à la vie et vous voulez que la mort vous reprenne pour de nouveau vous sentir vivre...
"Tu aimes, hein tu en redemandes ma jolie ?"
"Oui !!! Tony, continue, baise-moi, encore et encore !"
Le palpitement de mon calice bâtait, bâtait de plus en plus vite de plus en plus fort, je ne pouvais le ralentir pour que ce moment dure encore, mon corps réclamait son dû, il réclamait la récompense de nos ébats, là sur le sable, parmi les odeurs de nos corps se mélangeaient ceux du genêts de notre enfance. Je sentais entre mes jambes ma jouissance qui s'échappe, la sienne suivit à l'intérieur de moi, comme un torrent en colère.
Épuisée, mais heureuse, je mis ma tête contre sa poitrine, son cœur battait à vive allure, c'était le cœur de mon ami, mon ami d'enfance que je ressentais, oui maintenant que tout était accompli, mes émotions premières revenaient au galop... Qu'avions-nous fait ?
"Merci Esméralda, merci mon amour !"
"Non pas de cela entre nous Tony, ça ne se reproduira pas, j'ai l'impression que maintenant, rien ne sera comme avant et ça me fait mal..."
Je me lève, prends mes vêtements en boule sur le sable et me précipite en pleurant vers la mer, laver le pécher que j'avais commis avec mon meilleur ami...
Douleur.....
Faîtes moi mal....
Mal à en pleurer...
Mal à en jouir....
Menez moi dans ce tourbillon....
Où le corps et l'esprit se perdent...
Sens en déroute...
Fuir les coups...
Demander encore....
Sans un mot...sans un cri...
Souffle irrél d'un plaisir qui s'insinue...
N'être que ressentis...
Envoûtée par la danse des lanières...
Vibrer sous Votre maniement....
Et couler....fondre....glisser....
Et supplier que vous me laissiez jouir sous vos coups...
Laphoenix75 a écrit :Douleur.....
Faîtes moi mal....
Mal à en pleurer...
Mal à en jouir....
Menez moi dans ce tourbillon....
Où le corps et l'esprit se perdent...
Sens en déroute...
Fuir les coups...
Demander encore....
Sans un mot...sans un cri...
Souffle irrél d'un plaisir qui s'insinue...
N'être que ressentis...
Envoûtée par la danse des lanières...
Vibrer sous Votre maniement....
Et couler....fondre....glisser....
Et supplier que vous me laissiez jouir sous vos coups...
Laphoenix75 a écrit :Douleur.....
Faîtes moi mal....
Mal à en pleurer...
Mal à en jouir....
Menez moi dans ce tourbillon....
Où le corps et l'esprit se perdent...
Sens en déroute...
Fuir les coups...
Demander encore....
Sans un mot...sans un cri...
Souffle irrél d'un plaisir qui s'insinue...
N'être que ressentis...
Envoûtée par la danse des lanières...
Vibrer sous Votre maniement....
Et couler....fondre....glisser....
Et supplier que vous me laissiez jouir sous vos coups...
Laphoenix75 a écrit :Douleur.....
Faîtes moi mal....
Mal à en pleurer...
Mal à en jouir....
Menez moi dans ce tourbillon....
Où le corps et l'esprit se perdent...
Sens en déroute...
Fuir les coups...
Demander encore....
Sans un mot...sans un cri...
Souffle irrél d'un plaisir qui s'insinue...
N'être que ressentis...
Envoûtée par la danse des lanières...
Vibrer sous Votre maniement....
Et couler....fondre....glisser....
Et supplier que vous me laissiez jouir sous vos coups...
Laphoenix75 a écrit :Douleur.....
Faîtes moi mal....
Mal à en pleurer...
Mal à en jouir....
Menez moi dans ce tourbillon....
Où le corps et l'esprit se perdent...
Sens en déroute...
Fuir les coups...
Demander encore....
Sans un mot...sans un cri...
Souffle irrél d'un plaisir qui s'insinue...
N'être que ressentis...
Envoûtée par la danse des lanières...
Vibrer sous Votre maniement....
Et couler....fondre....glisser....
Et supplier que vous me laissiez jouir sous vos coups...
A ses pieds, couchée,
je suis bien et apaisée,
libre de m'abandonner
et de tout lui donner.
Je suis enfin moi, à ma place,
celle que je désire plus que tout,
La bonheur me transperce de partout.
"Lèches" m'ordonne t il
je m'attèle à ma tâche
je le lèche, l'embrasse, le dévore.
Mes yeux se remplissent
et s'échouent sur sa peau,
des larmes de joie,
d'être enfin aux pieds de mon Roi
Cedille92 a écrit :A ses pieds, couchée,
je suis bien et apaisée,
libre de m'abandonner
et de tout lui donner.
Je suis enfin moi, à ma place,
celle que je désire plus que tout,
La bonheur me transperce de partout.
"Lèches" m'ordonne t il
je m'attèle à ma tâche
je le lèche, l'embrasse, le dévore.
Mes yeux se remplissent
et s'échouent sur sa peau,
des larmes de joie,
d'être enfin aux pieds de mon Roi
Ma chérie je te dirais
Rhouuu ma cédille
Esclave de ton roi
Esclave de tes sens
A genoux devant lui
Attendant les ordres
Tu plies l'échine
Espérant son bon vouloir
Rhouuu ma cédille
Ton bonheur fait plaisir à voir
Même si parfois tu me fais peur
Devant ce maitre que tu appels roi
Cependant, devant ton bonheur
Je dis à ton seigneur
De bien prendre soin de toi
Car une perle il a
Cedille92 a écrit :A ses pieds, couchée,
je suis bien et apaisée,
libre de m'abandonner
et de tout lui donner.
Je suis enfin moi, à ma place,
celle que je désire plus que tout,
La bonheur me transperce de partout.
"Lèches" m'ordonne t il
je m'attèle à ma tâche
je le lèche, l'embrasse, le dévore.
Mes yeux se remplissent
et s'échouent sur sa peau,
des larmes de joie,
d'être enfin aux pieds de mon Roi