
Si belles, si sœurs
En ligne
-
- Administrateur
- Messages : 67863
- Inscription : 12 mars 2011, 16:03
- A remercié : 3671 times
- A été remercié : 4800 times
- Contact :
Re: Si belles, si sœurs
Okay 

Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
En ligne
-
- Administrateur
- Messages : 67863
- Inscription : 12 mars 2011, 16:03
- A remercié : 3671 times
- A été remercié : 4800 times
- Contact :
Re: Si belles, si sœurs
Bah, tu ne postes plus sur le Bikestoscope, je me pose des questions 
Sinon, tu postes la suite ?

Sinon, tu postes la suite ?

Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Si belles, si sœurs
Raison que je t'expliquerais en MP.Bikette a écrit :Bah, tu ne postes plus sur le Bikestoscope, je me pose des questions
Bikette a écrit : Sinon, tu postes la suite ?
Jak67 a écrit :
une autre que la boss qui demande, je poste.![]()
En ligne
-
- Administrateur
- Messages : 67863
- Inscription : 12 mars 2011, 16:03
- A remercié : 3671 times
- A été remercié : 4800 times
- Contact :
Re: Si belles, si sœurs
Je pense savoir 
Sinon, tu postes la suite ?


Sinon, tu postes la suite ?



Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Si belles, si sœurs
Ah, étonnant.Bikette a écrit :Je pense savoir
Sinon, tu postes la suite ?
![]()

je ne suis pas certain de la teneur de mon MP.
une autre que la boss qui demande, je poste.

En ligne
-
- Administrateur
- Messages : 67863
- Inscription : 12 mars 2011, 16:03
- A remercié : 3671 times
- A été remercié : 4800 times
- Contact :
Re: Si belles, si sœurs

Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Si belles, si sœurs
Yuna a écrit :pas la peine de mettre aussi gros jak.. j'ai déjà des lunettes....









Re: Si belles, si sœurs
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Mes propos Jacques
Mes pensées,
22)
Avec tout çà on n’a pas ce que pourquoi on est rentré dans le magasin.
Un joli sourire malicieux s’affiche sur ses lèvres.
Nous sortons du « Centre Halles » et marchons sans but
-.-
Nous passons devant un magasin de lingerie qui me semble t’il vient d’ouvrir, des nuisettes plus sexy les unes que les autres sont exposées. Magalie s’arrête.
C’est beau ce qui est en vitrine. T’en pense quoi ?
Il est vrai que certains modèles sont totalement affriolants. On va regarder si quelques choses te plait.
Nous entrons, des cartons trainent de-ci, de-là.
« Excusez ce désordre », dit une voix qui sort de derrière les cartons.
Tiens cette voix me dit quelque chose.
La voix apparait et je reconnais Hélène une de mes ex. De bien avant que je sorte avec ma femme. Tout l’opposer de la puce, grande, petite poitrine, complètement extravertie, à la limite de la provocation perpétuelle.
Elle regarde Magalie, me regarde, se fige. « Mais c’est toi Jacques » ?
Oui.
Elle se jette à mon cou et m’embrasse sur les joues. Surpris je la repousse.
Tu as ouvert une boutique ?
« C’est la quatrième, ça marche bien ».
Je faits les présentations
Magalie ma belle sœur, Hélène une amie de longue date.
« Amie rétorque Hélène, disons une ex petite amie ».
Je voie Magalie se contracter. Aille sa coince. Elle ne va quand même pas être jalouse ma petite puce.
Faut que tu te rendes compte ma chérie, tiens j’ai pensé « ma chérie » !
Tu rentre dans le monde des femmes, et là c’est une bataille, une bataille, pour faire ta place de femme, face à des prédatrices.
Et en même temps j’ai un passé, un vécu. Purée, je suis en train de me justifier, pas à la puce, mais à moi-même, t’es mordu mec, t’es fichu.
Je continue ma discussion avec Hélène. D’un œil je regarde, Magalie, elle ronge son frein, je la voie se triturer les doigts.
Ma belle sœur part en vacances pour retrouver son chéri, elle a vue des nuisettes en vitrine qui lui plaisent, tu regarde avec elle ?
« D’accord » réponds Hélène d’une voix chaude.
Je me tourne vers Magalie. Mes yeux se font langoureux, elle a l’air de comprendre qu’elle n’a rien à craindre, que c’est elle qui compte à mes yeux, et personne d’autre.
Elle est tellement jeune, c’est à moi de lui faire comprendre qu’il faut qu’elle soit plus sur d’elle, qu’elle soit femme, qu’elle s’affirme en tant que femme.
Fait lui confiance elle a toujours eut bon gout, je pars faire des courses, et chercher la voiture, je te prends au passage dans 1 heure.
Je plonge ma main dans la poche, et lui glisse dans la main une liasse de billets.
Voila de quoi régler.
Je l’embrasse tendrement sur la joue sans lui laisser le temps de me répondre, je sors du magasin.
Bon je les laisse toutes les deux. Je pense qu’elle s’en sortira ma puce. De toute façon ça fait un bout Hélène, j’y pensais même plus.
Chemin faisant, je passe devant un chinois, qui fait traiteur. Tiens ça fait longtemps, j’entre et choisi ce qu’il faut pour le repas du soir.
J’arrive chez Sonia Rykiel, je rentre, la vendeuse se précipite et me tends les paquets que j’ai déjà réglés.
Je prends les paquets, et elle me souhaite une bonne soirée, avec un sourire nostalgique au bord des lèvres.
Je vais à la voiture, mets tous les paquets dans le coffre, et roule lentement vers le magasin d’Hélène. Magalie m’attends sur le pas de la porte, radieuse avec plusieurs sacs à la main.
Elle monte dans la voiture pose les sacs sur le siège arrière, se tourne vers moi.
Je pense que ça va te plaire.
Ah et tu as acheté quoi ?
Surprise.
Humm sa promet, Elle aime me faire languir, j’ai l’impression de me retrouver avec ma moitié. Elles se ressemblent vraiment trop les deux sœurs.
Elle est sympa Hélène mais sans plus. C’est vrai qu’elle a bon gout. Déjà elle est sortie avec toi. Elle m’a montrée des nuisettes plus belles les unes que les autres.
Elle m’a envoyée quelques sous entendus te concernant. J’ai essayé de ne pas réagir.
Elle est curieuse, elle a essayée de savoir comment ça se passé ton couple, elle était étonnée que tu m’emmène pour acheter des nuisettes. Elle m’a dit ce n’est pas le rôle d’un beau-frère, mais celui d’un amoureux. Je lui ai répondu, que c’est pour cela que tu m’avais laissé seule.
J’ai l’impression que tu l’as marqué. Elle m’a beaucoup parlé de toi, je me demande si tu ne lui manques pas, pour ne pas dire je crois qu’elle est encore amoureuse de toi.
Et toi t’es encore amoureux d’elle?
Comme la conversation risque de devenir, un peut tendue, je me gare sur un emplacement de parking libre.
Elle a était un épisode de ma vie, je l’ai amené à rompre. Pour moi c’est fini.
Pas même un petit pincement au cœur en la revoyant ?
Je la revoie pour la première fois depuis notre rupture, je ne ressens rien pour elle.
Au faites, avant que je te laisse seule avec elle, tu avais l’air contrariée.
Elle me regarde un peut gêner.
Tu as remarqué.
Oui j’étais contrarié, de vous imaginez à une époque tous les deux ensemble.
Et en plus tu m’as plantée avec elle. Au départ j’avais envie de partir. Puis je me suis dis, il te teste. Il a compris que tu es jalouse.
Dis toi ma puce que j’ai confiance en toi, et toi tu dois aussi avoir confiance en toi, en moi, mais surtout en toi.
La jalousie ne sert qu’à détruire les personnes, à détruire l’amour. C’est une maladie, qui détruit tout ce qu’elle touche.
Pour oser me dire, ce que tu m’as dit, il faut que tu sois courageuse, volontaire, que tu assumes.
Si je t’ai laissé avec elle, c’est que j’étais certain, que tu arriverais à t’en sortir seule. Et tu m’en donne la preuve par la réponse que tu lui as faite.
« Ce n’est pas le rôle d’un beau-frère, mais celui d’un amoureux. C’est pour cela qu’il m’a laissé seule. »
Tu n’as aucune question à te poser, sur moi, sur nous deux. J’assume ma relation avec toi. Je ne joue pas avec toi.
Je lui caresse la joue avec le dos de ma main, elle la prend dans sa main, la porte à ses lèvres en me regardant, l’embrasse, et pose la paume de ma main sur sa joue. Des larmes perlent aux coins de ses yeux.
Je t’aime, et maintenant je sais que toi aussi.
Je me penche et l’embrasse doucement sur ses lèvres. Ses larmes donnent un gout salé à notre baiser.
Nous reprenons la route de la maison. A un feu rouge sa main posée sur ma cuisse, se crispe. Son regard me transperce.
Je vie un compte des milles et une nuit.
L’homme que j’aime depuis des années est à côté de moi. Je suis certaine qu’il m’aime. Il vient de m’acheter des vêtements magnifiques.
C’est vrai ou bien est ce que je dors, et je suis entrain de rêver.
Je me penche et l’embrasse en lui pinçant délicatement un téton.
Voilà tu es bel et bien réveillé.
Elle se penche et m’embrasse, sa langue s’enroule, autour de la mienne dans un méli-mélo des plus enjôleurs.
Un coup de klaxon me sort de ma torpeur, le feu est passé au vert, le véhicule derrière nous s’impatiente.
Je redémarre, Sa main se pose plus haut sur ma cuisse. Ses doigts sont sur la bosse qui est apparu depuis un moment. Je redescends sa main vers mon genou.
Je n’ais pas envie d’avoir un accident.
Elle sourit, sa main reste gentiment sur ma cuisse.
Mais quel hypocrite je suis, j’adore sentir sa main sur ma cuisse, ses doigts qui se posent sur mon sexe, comme pour me dire, il est à moi, tu es à moi.
Ca va trop vite, elle va trop vite.
Mais avec tout ce qu’elle t’a dit, ce qui s’est déjà passé c’est logique.
Je l’adore cette puce, cette femme qui se découvre, s’affirme avec la maladresse de sa jeunesse, cette femme dans le devenir.
Nous arrivons à la maison, je rentre la voiture dans le double garage. Je sorts les paquets de la voiture, Magalie prends les siens, elle se retourne m’embrasse. Je sens sa main qui me glisse quelque chose dans ma poche arrière du jeans. Elle en profite pour me passer la main sur les fesses. Elle sourit, m’embrasse légèrement comme un papillon qui se pose délicatement sur une fleur.
J’ai mis le reste de l’argent et la facture dans ta poche. Au faite elle m’a fait une remise sur le prix.
J’ai enlevé le détail des articles tu ne le sauras pas encore.
Ce soir peut-être, si tu es gentil.
Elle a un sourire espiègle, qui en dit long.
Propos de Magalie ma belle sœur
Mes propos Jacques
Mes pensées,
22)
Avec tout çà on n’a pas ce que pourquoi on est rentré dans le magasin.
Un joli sourire malicieux s’affiche sur ses lèvres.
Nous sortons du « Centre Halles » et marchons sans but
-.-
Nous passons devant un magasin de lingerie qui me semble t’il vient d’ouvrir, des nuisettes plus sexy les unes que les autres sont exposées. Magalie s’arrête.
C’est beau ce qui est en vitrine. T’en pense quoi ?
Il est vrai que certains modèles sont totalement affriolants. On va regarder si quelques choses te plait.
Nous entrons, des cartons trainent de-ci, de-là.
« Excusez ce désordre », dit une voix qui sort de derrière les cartons.
Tiens cette voix me dit quelque chose.
La voix apparait et je reconnais Hélène une de mes ex. De bien avant que je sorte avec ma femme. Tout l’opposer de la puce, grande, petite poitrine, complètement extravertie, à la limite de la provocation perpétuelle.
Elle regarde Magalie, me regarde, se fige. « Mais c’est toi Jacques » ?
Oui.
Elle se jette à mon cou et m’embrasse sur les joues. Surpris je la repousse.
Tu as ouvert une boutique ?
« C’est la quatrième, ça marche bien ».
Je faits les présentations
Magalie ma belle sœur, Hélène une amie de longue date.
« Amie rétorque Hélène, disons une ex petite amie ».
Je voie Magalie se contracter. Aille sa coince. Elle ne va quand même pas être jalouse ma petite puce.
Faut que tu te rendes compte ma chérie, tiens j’ai pensé « ma chérie » !
Tu rentre dans le monde des femmes, et là c’est une bataille, une bataille, pour faire ta place de femme, face à des prédatrices.
Et en même temps j’ai un passé, un vécu. Purée, je suis en train de me justifier, pas à la puce, mais à moi-même, t’es mordu mec, t’es fichu.
Je continue ma discussion avec Hélène. D’un œil je regarde, Magalie, elle ronge son frein, je la voie se triturer les doigts.
Ma belle sœur part en vacances pour retrouver son chéri, elle a vue des nuisettes en vitrine qui lui plaisent, tu regarde avec elle ?
« D’accord » réponds Hélène d’une voix chaude.
Je me tourne vers Magalie. Mes yeux se font langoureux, elle a l’air de comprendre qu’elle n’a rien à craindre, que c’est elle qui compte à mes yeux, et personne d’autre.
Elle est tellement jeune, c’est à moi de lui faire comprendre qu’il faut qu’elle soit plus sur d’elle, qu’elle soit femme, qu’elle s’affirme en tant que femme.
Fait lui confiance elle a toujours eut bon gout, je pars faire des courses, et chercher la voiture, je te prends au passage dans 1 heure.
Je plonge ma main dans la poche, et lui glisse dans la main une liasse de billets.
Voila de quoi régler.
Je l’embrasse tendrement sur la joue sans lui laisser le temps de me répondre, je sors du magasin.
Bon je les laisse toutes les deux. Je pense qu’elle s’en sortira ma puce. De toute façon ça fait un bout Hélène, j’y pensais même plus.
Chemin faisant, je passe devant un chinois, qui fait traiteur. Tiens ça fait longtemps, j’entre et choisi ce qu’il faut pour le repas du soir.
J’arrive chez Sonia Rykiel, je rentre, la vendeuse se précipite et me tends les paquets que j’ai déjà réglés.
Je prends les paquets, et elle me souhaite une bonne soirée, avec un sourire nostalgique au bord des lèvres.
Je vais à la voiture, mets tous les paquets dans le coffre, et roule lentement vers le magasin d’Hélène. Magalie m’attends sur le pas de la porte, radieuse avec plusieurs sacs à la main.
Elle monte dans la voiture pose les sacs sur le siège arrière, se tourne vers moi.
Je pense que ça va te plaire.
Ah et tu as acheté quoi ?
Surprise.
Humm sa promet, Elle aime me faire languir, j’ai l’impression de me retrouver avec ma moitié. Elles se ressemblent vraiment trop les deux sœurs.
Elle est sympa Hélène mais sans plus. C’est vrai qu’elle a bon gout. Déjà elle est sortie avec toi. Elle m’a montrée des nuisettes plus belles les unes que les autres.
Elle m’a envoyée quelques sous entendus te concernant. J’ai essayé de ne pas réagir.
Elle est curieuse, elle a essayée de savoir comment ça se passé ton couple, elle était étonnée que tu m’emmène pour acheter des nuisettes. Elle m’a dit ce n’est pas le rôle d’un beau-frère, mais celui d’un amoureux. Je lui ai répondu, que c’est pour cela que tu m’avais laissé seule.
J’ai l’impression que tu l’as marqué. Elle m’a beaucoup parlé de toi, je me demande si tu ne lui manques pas, pour ne pas dire je crois qu’elle est encore amoureuse de toi.
Et toi t’es encore amoureux d’elle?
Comme la conversation risque de devenir, un peut tendue, je me gare sur un emplacement de parking libre.
Elle a était un épisode de ma vie, je l’ai amené à rompre. Pour moi c’est fini.
Pas même un petit pincement au cœur en la revoyant ?
Je la revoie pour la première fois depuis notre rupture, je ne ressens rien pour elle.
Au faites, avant que je te laisse seule avec elle, tu avais l’air contrariée.
Elle me regarde un peut gêner.
Tu as remarqué.
Oui j’étais contrarié, de vous imaginez à une époque tous les deux ensemble.
Et en plus tu m’as plantée avec elle. Au départ j’avais envie de partir. Puis je me suis dis, il te teste. Il a compris que tu es jalouse.
Dis toi ma puce que j’ai confiance en toi, et toi tu dois aussi avoir confiance en toi, en moi, mais surtout en toi.
La jalousie ne sert qu’à détruire les personnes, à détruire l’amour. C’est une maladie, qui détruit tout ce qu’elle touche.
Pour oser me dire, ce que tu m’as dit, il faut que tu sois courageuse, volontaire, que tu assumes.
Si je t’ai laissé avec elle, c’est que j’étais certain, que tu arriverais à t’en sortir seule. Et tu m’en donne la preuve par la réponse que tu lui as faite.
« Ce n’est pas le rôle d’un beau-frère, mais celui d’un amoureux. C’est pour cela qu’il m’a laissé seule. »
Tu n’as aucune question à te poser, sur moi, sur nous deux. J’assume ma relation avec toi. Je ne joue pas avec toi.
Je lui caresse la joue avec le dos de ma main, elle la prend dans sa main, la porte à ses lèvres en me regardant, l’embrasse, et pose la paume de ma main sur sa joue. Des larmes perlent aux coins de ses yeux.
Je t’aime, et maintenant je sais que toi aussi.
Je me penche et l’embrasse doucement sur ses lèvres. Ses larmes donnent un gout salé à notre baiser.
Nous reprenons la route de la maison. A un feu rouge sa main posée sur ma cuisse, se crispe. Son regard me transperce.
Je vie un compte des milles et une nuit.
L’homme que j’aime depuis des années est à côté de moi. Je suis certaine qu’il m’aime. Il vient de m’acheter des vêtements magnifiques.
C’est vrai ou bien est ce que je dors, et je suis entrain de rêver.
Je me penche et l’embrasse en lui pinçant délicatement un téton.
Voilà tu es bel et bien réveillé.
Elle se penche et m’embrasse, sa langue s’enroule, autour de la mienne dans un méli-mélo des plus enjôleurs.
Un coup de klaxon me sort de ma torpeur, le feu est passé au vert, le véhicule derrière nous s’impatiente.
Je redémarre, Sa main se pose plus haut sur ma cuisse. Ses doigts sont sur la bosse qui est apparu depuis un moment. Je redescends sa main vers mon genou.
Je n’ais pas envie d’avoir un accident.
Elle sourit, sa main reste gentiment sur ma cuisse.
Mais quel hypocrite je suis, j’adore sentir sa main sur ma cuisse, ses doigts qui se posent sur mon sexe, comme pour me dire, il est à moi, tu es à moi.
Ca va trop vite, elle va trop vite.
Mais avec tout ce qu’elle t’a dit, ce qui s’est déjà passé c’est logique.
Je l’adore cette puce, cette femme qui se découvre, s’affirme avec la maladresse de sa jeunesse, cette femme dans le devenir.
Nous arrivons à la maison, je rentre la voiture dans le double garage. Je sorts les paquets de la voiture, Magalie prends les siens, elle se retourne m’embrasse. Je sens sa main qui me glisse quelque chose dans ma poche arrière du jeans. Elle en profite pour me passer la main sur les fesses. Elle sourit, m’embrasse légèrement comme un papillon qui se pose délicatement sur une fleur.
J’ai mis le reste de l’argent et la facture dans ta poche. Au faite elle m’a fait une remise sur le prix.
J’ai enlevé le détail des articles tu ne le sauras pas encore.
Ce soir peut-être, si tu es gentil.
Elle a un sourire espiègle, qui en dit long.
Re: Si belles, si sœurs
Cedille92 a écrit :Y'avait déjà des traiteurs chinois à ton époque![]()
bah les chinois dans l'ancien temps ils étaient déjà bien avancé

Re: Si belles, si sœurs
Manue a écrit :le fantasme de pretty woman :cinglé:
Attends la suite pour penser si c'est un fantasme ou pas.
mdrrrrrr
Re: Si belles, si sœurs
Cedille92 a écrit :Y'avait déjà des traiteurs chinois à ton époque![]()
Le premier restaurant chinois à Strasbourg s'est installé en 1970, il faisait traiteur dés le départ.
ouais Paris n'a pas l'exclusivité de tout.





Laphoenix75 a écrit :
bah les chinois dans l'ancien temps ils étaient déjà bien avancé![]()
Ils étaient déjà Très fort dans bien des arts nos petits chinois.
entre autre,
dans la musculation de la « chambre de béatitude »
Re: Si belles, si sœurs
et je n'ai jamais dit le contraireJak67 a écrit :
Le premier restaurant chinois à Strasbourg s'est installé en 1970, il faisait traiteur dés le départ.
ouais Paris n'a pas l'exclusivité de tout.![]()
![]()
![]()
![]()
![]()

Jak67 a écrit :
Ils étaient déjà Très fort dans bien des arts nos petits chinois.
entre autre,
dans la musculation de la « chambre de béatitude »


Re: Si belles, si sœurs
Le keuchon des européens, est la béatitude des autres.Cedille92 a écrit : et je n'ai jamais dit le contraire![]()
pourquoi ça me semble keuchon ça
Met tes lunettes.Laphoenix75 a écrit :les réponses sont louches :siffle2:
Cedille92 a écrit :Plus que louches, ça mériterai une enquête approfondie moi je dis
Approfondir, Dalida va.
Re: Si belles, si sœurs
Jak67 a écrit :
Le keuchon des européens, est la béatitude des autres.

c'est qui Dalida?Jak67 a écrit :
Approfondir, Dalida va.
Re: Si belles, si sœurs
Cedille92 a écrit :Plus que louches, ça mériterai une enquête approfondie moi je dis
Jak67 a écrit :Approfondir, Dalida va.
Parole paroleCedille92 a écrit :![]()
c'est qui Dalida?
Dernière modification par DeLsEp9 le 28 juin 2011, 14:40, modifié 1 fois.
Re: Si belles, si sœurs
Cedille92 a écrit :Pffffff de toute façon tu peux rien faire alors
j'adore quand tu rêves tout éveillée.




Re: Si belles, si sœurs
ça c'est même certains si tu vois se que je veux direJak67 a écrit :
j'adore quand tu rêves tout éveillée.![]()
![]()
![]()

Re: Si belles, si sœurs
Cedille92 a écrit : ça c'est même certains si tu vois se que je veux dire
J'attendais une autre réponse.
Ok il fait chaud.
Re: Si belles, si sœurs
fait très chaud mais ça n'empêche en rienJak67 a écrit :
J'attendais une autre réponse.
Ok il fait chaud.




Re: Si belles, si sœurs
Cedille92 a écrit : fait très chaud mais ça n'empêche en rien![]()
![]()
![]()
Enlève le pull, vue le réglage de ta clim, cela va redevenir vivable rapidement.
Re: Si belles, si sœurs
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Mes propos Jacques
Mes pensées,
23)
J’ai mis le reste d’argent et la facture dans ta poche. J’ai enlevé le détail des articles tu ne le sauras pas encore.
Ce soir peut-être, si tu es gentil.
Elle a un sourire espiègle, qui en dit long.
-.-
Nous rentrons, je dépose les plats du traiteur chinois dans le réfrigérateur, et me dirige vers ma chambre avec les achats. J’entends Magalie ouvrir le frigo, j’en profite pour cacher les deux paquets surprise. Je tiens à ce que mon épouse les lui offre.
Magalie rentre dans la chambre.
Tu as prévu du chinois pour ce soir, je ne connais pas, c’est bon d’après ma sœur.
Je me retourne avec ses achats sur des cintres, pour les ranger dans l’armoire de la chambre d’ami. Je la regarde, ma langue passe sur mes lèvres. Je repose le tout sur le lit.
Tiens montre moi ce que sa donne, ce que t’as conseillé la vendeuse de chez Sonia Rykiel, je n’ai pas tout vue dans le détail, et ici c’est mieux qu’au magasin.
Je voie ses yeux pétiller de joie. Elle a envie de montrer, de se montrer, de me faire saliver d’envie.
D’accord vas dans le salon installe toi je m’habille.
Je vais dans le salon, me sert un verre de mon whisky préféré, un Honshu, plus précisément un « Hanyu » 22 ans d’âge, et m’installe confortablement, dans un fauteuil.
Ce whisky japonais convient parfaitement à ce moment d’intimité, au plaisir que cette puce veux et va me donner.
Magalie apparait dans sa robe bustier rouge, des chaussures à talon aiguille aux pieds. Elle irradie la joie, cette robe la met divinement en valeur. Ses jambes semblent encore plus fines avec ces chaussures. Elle semble plus élancée. Je remarque qu’elle a du mal à marcher avec. Je me lève et m’approche d’elle, je la soutiens en passant une main sous son aisselle.
Je me suis permis de prendre deux paires de chaussures. Je n’ais pas de chaussures pour porter de tels vêtements.
Mais j’ai du mal avec celles-ci. Je n’ai pas l’habitude des talons aiguilles.
Son regard me dit qu’elle est paniquée.
Je n’ai jamais marché avec des talons aiguilles, j’ai voulu faire la grande et. . .
Tu as bien fait, de les choisir. Je vais te montrer comment marcher avec. Ne panique pas. C’est normal.
Mes doigts frôlent son sein. En me mettant en face d’elle je voie ses tétons se dresser. Je lui prends ses deux mains dans les miennes, lève les deux bras et recule doucement.
Tu me regardes, ne regarde pas tes pieds. Maintenant tu imagine une ligne tracé au sol, tes pieds se posent dessus à chaque pas, lentement, ne soit pas pressée.
Avec cette démarche tu te mettras en valeur. Maintenant tu te redresse, tu sors les épaules.
Tu doits être fière, fière de toi, de ta poitrine, elle est magnifique ma puce.
Je dépose un baiser tendre sur la partie visible de chacun de ses seins. Elle frissonne, sa peau devient granuleuse comme si elle avait la chair de poule. Ses tétons me donnent l’impression de vouloir transpercer le tissu de sa robe, tellement ils pointent.
Tu n’as aucune raison de complexée du fait de ta poitrine. Je sais ce que tu penses. « Les hommes voient mes seins avant de me voir, et cherchent à me connaitre à cause d’eux ».
Justement, s’ils ne voient que ta poitrine, ils ne te méritent pas.
Même s’ils trainent la langue par terre, s’ils en bavent d’envie, qu’ils se roulent à tes pieds, tu es et tu reste inaccessible, pour ce genre de personne.
J’image ce que je te dits pour que tu comprennes bien. Tu les ignore.
Pour moi, tu le sais, tu es sublime, dans ton entièreté. C’est vrai, tu as une poitrine imposante. Elle est magnifique. Si je disais le contraire, tu ne me croirais pas. J’adore la caresser, l’embrasser, sucer tes tétons, et toi aussi tu aimes quand je te le fait.
Ne t’inquiète pas, beaucoup de femmes te l’envie, seront envieuses. Tout simplement, serons jalouse de ce que tu représente. Une magnifique plante, qui peut, qui leur fera de l’ombre.
Tu es une femme, plus une gamine. Comporte-toi, agi en femme, marche comme une femme.
Dis-toi que quand tu marches les hommes doivent se retourner sur ton passage, qu’ils soient seuls, ou accompagnés. Ce n’est pas ton problème, c’est le leur.
Elle me regarde, se colle à moi, passe ses bras autour de mon cou. Ses lèvres s’approchent de mon oreille.
Tu es un démon, un démon que j’aime, ils sont à toi, je suis à toi, mon corps t’appartiens.
Personne n’est à personne, tu n’appartiens à personne.
Tu te donne. Personne ne te prend.
Personne ne te garde si tu ne le désir pas, si tu ne le veux pas.
Je sais que ce n’est pas pour ma poitrine que tu es avec moi, mais j’aime, non je voudrais à tous moments sentir ta bouche l’embrasser, tes mains la caresser.
Je crois que tu as dit les mots dont j’ai besoin, que je voulais entendre sans le savoir, qu’il fallait me dire.
Je voie un peu, un tout petit peut les choses différemment.
Sauf quand je suis avec toi.
Avec toi je suis une autre, je me laisse aller à mes envies sans penser à rien, je n’ai aucun complexe avec toi.
Ce n’est pas en une journée que tu arriveras à l’assimiler, à l’accepter. Il te faudra du temps.
C’est simple, où que tu sois, quelque soit la personne avec qui tu es, quelque soit la façon dont tu es habillé tu doits te comporter de cette manière, comme quand tu es avec moi,.
Propos de Magalie ma belle sœur
Mes propos Jacques
Mes pensées,
23)
J’ai mis le reste d’argent et la facture dans ta poche. J’ai enlevé le détail des articles tu ne le sauras pas encore.
Ce soir peut-être, si tu es gentil.
Elle a un sourire espiègle, qui en dit long.
-.-
Nous rentrons, je dépose les plats du traiteur chinois dans le réfrigérateur, et me dirige vers ma chambre avec les achats. J’entends Magalie ouvrir le frigo, j’en profite pour cacher les deux paquets surprise. Je tiens à ce que mon épouse les lui offre.
Magalie rentre dans la chambre.
Tu as prévu du chinois pour ce soir, je ne connais pas, c’est bon d’après ma sœur.
Je me retourne avec ses achats sur des cintres, pour les ranger dans l’armoire de la chambre d’ami. Je la regarde, ma langue passe sur mes lèvres. Je repose le tout sur le lit.
Tiens montre moi ce que sa donne, ce que t’as conseillé la vendeuse de chez Sonia Rykiel, je n’ai pas tout vue dans le détail, et ici c’est mieux qu’au magasin.
Je voie ses yeux pétiller de joie. Elle a envie de montrer, de se montrer, de me faire saliver d’envie.
D’accord vas dans le salon installe toi je m’habille.
Je vais dans le salon, me sert un verre de mon whisky préféré, un Honshu, plus précisément un « Hanyu » 22 ans d’âge, et m’installe confortablement, dans un fauteuil.
Ce whisky japonais convient parfaitement à ce moment d’intimité, au plaisir que cette puce veux et va me donner.
Magalie apparait dans sa robe bustier rouge, des chaussures à talon aiguille aux pieds. Elle irradie la joie, cette robe la met divinement en valeur. Ses jambes semblent encore plus fines avec ces chaussures. Elle semble plus élancée. Je remarque qu’elle a du mal à marcher avec. Je me lève et m’approche d’elle, je la soutiens en passant une main sous son aisselle.
Je me suis permis de prendre deux paires de chaussures. Je n’ais pas de chaussures pour porter de tels vêtements.
Mais j’ai du mal avec celles-ci. Je n’ai pas l’habitude des talons aiguilles.
Son regard me dit qu’elle est paniquée.
Je n’ai jamais marché avec des talons aiguilles, j’ai voulu faire la grande et. . .
Tu as bien fait, de les choisir. Je vais te montrer comment marcher avec. Ne panique pas. C’est normal.
Mes doigts frôlent son sein. En me mettant en face d’elle je voie ses tétons se dresser. Je lui prends ses deux mains dans les miennes, lève les deux bras et recule doucement.
Tu me regardes, ne regarde pas tes pieds. Maintenant tu imagine une ligne tracé au sol, tes pieds se posent dessus à chaque pas, lentement, ne soit pas pressée.
Avec cette démarche tu te mettras en valeur. Maintenant tu te redresse, tu sors les épaules.
Tu doits être fière, fière de toi, de ta poitrine, elle est magnifique ma puce.
Je dépose un baiser tendre sur la partie visible de chacun de ses seins. Elle frissonne, sa peau devient granuleuse comme si elle avait la chair de poule. Ses tétons me donnent l’impression de vouloir transpercer le tissu de sa robe, tellement ils pointent.
Tu n’as aucune raison de complexée du fait de ta poitrine. Je sais ce que tu penses. « Les hommes voient mes seins avant de me voir, et cherchent à me connaitre à cause d’eux ».
Justement, s’ils ne voient que ta poitrine, ils ne te méritent pas.
Même s’ils trainent la langue par terre, s’ils en bavent d’envie, qu’ils se roulent à tes pieds, tu es et tu reste inaccessible, pour ce genre de personne.
J’image ce que je te dits pour que tu comprennes bien. Tu les ignore.
Pour moi, tu le sais, tu es sublime, dans ton entièreté. C’est vrai, tu as une poitrine imposante. Elle est magnifique. Si je disais le contraire, tu ne me croirais pas. J’adore la caresser, l’embrasser, sucer tes tétons, et toi aussi tu aimes quand je te le fait.
Ne t’inquiète pas, beaucoup de femmes te l’envie, seront envieuses. Tout simplement, serons jalouse de ce que tu représente. Une magnifique plante, qui peut, qui leur fera de l’ombre.
Tu es une femme, plus une gamine. Comporte-toi, agi en femme, marche comme une femme.
Dis-toi que quand tu marches les hommes doivent se retourner sur ton passage, qu’ils soient seuls, ou accompagnés. Ce n’est pas ton problème, c’est le leur.
Elle me regarde, se colle à moi, passe ses bras autour de mon cou. Ses lèvres s’approchent de mon oreille.
Tu es un démon, un démon que j’aime, ils sont à toi, je suis à toi, mon corps t’appartiens.
Personne n’est à personne, tu n’appartiens à personne.
Tu te donne. Personne ne te prend.
Personne ne te garde si tu ne le désir pas, si tu ne le veux pas.
Je sais que ce n’est pas pour ma poitrine que tu es avec moi, mais j’aime, non je voudrais à tous moments sentir ta bouche l’embrasser, tes mains la caresser.
Je crois que tu as dit les mots dont j’ai besoin, que je voulais entendre sans le savoir, qu’il fallait me dire.
Je voie un peu, un tout petit peut les choses différemment.
Sauf quand je suis avec toi.
Avec toi je suis une autre, je me laisse aller à mes envies sans penser à rien, je n’ai aucun complexe avec toi.
Ce n’est pas en une journée que tu arriveras à l’assimiler, à l’accepter. Il te faudra du temps.
C’est simple, où que tu sois, quelque soit la personne avec qui tu es, quelque soit la façon dont tu es habillé tu doits te comporter de cette manière, comme quand tu es avec moi,.
Re: Si belles, si sœurs
Manue a écrit :S'iiiiiiiiiiiiil teeeeeuuuuuuu plaiiiiiiiiiiiit
Tout lu en 1 minute.

Wouahhhhhhhhhhhh

Re: Si belles, si sœurs
Mel29440 a écrit :pas grave pour la mauvaise habitude
encore une suite stp![]()
mdrrrrrrrrrrrr
Re: Si belles, si sœurs
Manue a écrit :Ouaiiiiiiii je sais J'suis trop forte !!
Avec la langue, je le conçois,