
Secret de famille
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oh putain, c'est Smum qui va gueuler demain en voyant le ménage qu'elle a à faire ici et sur exhib
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Re: Secret de famille
garceYuna a écrit :non ya moi... mais je veux pas lui dire...

oh putain, c'est Smum qui va gueuler demain en voyant le ménage qu'elle a à faire ici et sur exhib

Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Secret de famille
J'crois pas non, elle va pas être contente du tout, du tout 

Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Secret de famille
Bikette a écrit : garce
oh putain, c'est Smum qui va gueuler demain en voyant le ménage qu'elle a à faire ici et sur exhib
quel ménage?
Re: Secret de famille
Yuna a écrit :non ya moi... mais je veux pas lui dire...
Défait le lacet de ton corset et
lâche toi.....................
Re: Secret de famille
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Suzanne Ma belle mère
Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte
34)
Elle me regarde, amusée et surprise. Elle m’explique les différentes choses concernant sa voiture, et descend. Nous nous dirigeons vers la dangel, où Lucie et Sabine rigolent comme pas possible. Charlotte ouvre la porte passager.
Ce n’est pas tout, mais le boulot nous attend, alors les deux fofolles, on se calme.
Sabine sort fait la bise à Charlotte qui s’installe. Nous les regardons partir. Je retourne installer le siège enfant. Sabine me regarde en souriant.
Ma tante a complètement craquée sur toi, elle n’en démords pas, fait attention, si tu te retrouves seul avec elle, je ne répond de rien.
-/-
C’est ce qui vous faisait rire toutes les deux, quand on est arrivé avec Charlotte. C’est charmant, ma femme qui me jette dans les griffes de sa tante.
Non, mais elle fantasmait sur toi, en s’imaginant à voix haute comment cela aurait put se passer dans la cave, si Magalie n’avait était là.
Il faudra d’ailleurs que je la remercie, elle n’avait pas tord en pensant à Lucie. J’ai quand même était ingrate avec elle, Magalie avait vue juste dans son jeu, ce qui n’est pas mon cas. Ma petite sœur m’étonnera toujours.
De toute manière je persiste et signe, ce sera non, pas question qu’il se passe quoi que ce soit avec Lucie.
Je pense qu’elle l’a compris, c’est pour cela que l’on rigolait, quand elle me racontait ce qu’elle aurait fait, tout en me disant qu’elle n’aurait jamais osée faire le premier pas.
Ayant fini de fixer le siège, nous nous dirigeons vers les rires, et les cris que nous entendons. Magalie et Louise se chamaillent, Suzanne, pleure de rire. Nous nous approchons, et nous asseyons de part et d’autre de Suzanne.
Elles ne sont pas possible. J’ai vraiment l’impression de voir deux sœurs jumelles. Elles savent tout l’une de l’autre, là elles se chamaillent pour une histoire d’amoureux au collège, que l’une aurait piqué à l’autre.
J’en apprends de belles depuis tout à l’heure sur les jumelles. Elles n’arrêtent pas. J’en ai plus apprise sur les aventures amoureuses de ta sœur ici, quand 16 ans à la maison.
On y va, dans vingt minutes, avant que cela ne se rafraichisse trop ?
Suzanne fait oui de la tête. Tout en continuant de jouer avec son petit fils. Je me lève pour aller voir les deux « sœurs jumelles », avant que je n’ai compris ce qui se passe, les deux me sautent dessus, et je me retrouve au sol, les quatre fers en l’air, les deux « sœur jumelles » assises sur mon torse.
On lui fait à ce bourreau des cœurs, a ce seul mâle de la famille, qui perturbe ma grand-mère.
Rien, il est très confortable, on reste assissent sur lui. Il n’y a pas de rivière, pour l’arroser, ou le jeter dedans.
Je regarde Sabine et Suzanne, les deux rigolent, à en pleurer.
J’attrape les deux puces, les faits tomber, et me retrouve à califourchon sur Louise, et Magalie sous le bras. Louise me regarde, ses yeux semblent paniqués. Je lâche Magalie, me relève, tend la main à Louise, qui l’attrape et tire pour se relever. Elle me souri, me fait la bise.
Mauvais souvenir avec un couillon, J’aurais mieux fait d’écouter maman à l’époque, mais quelle conne je suis.
Bon le poulailler on y va.
Mon chéri le poulailler de ce matin s’est sérieusement agrandi, va falloir que je te surveille. Je regarde Suzanne, elle rigole. Elle dépose le petit dans la poussette.
Suzanne pousse doucement la poussette aidée de Sabine. Je regarde la grand-mère et Sabine, elles ont l’air heureux, surtout Suzanne. Elle rayonne, je ne l’ai jamais vue aussi bien dans sa peau, aussi décontractée. Magalie, et Louise, se positionne de chaque côté, en passant sous mes bras qui se retrouvent sur leurs épaules.
Comment va le bourreau des cœurs ? On se sent comment de troubler une gentille mamie ?
Oui c’est vrai tu n’as pas honte à ton âge, de draguer une mamie ? C’est honteux, on va appeler la S.P.A.
Suzanne et Sabine qui les écoutent, rigolent.
C’est quoi la S.P.A. ?
Tu ne connais pas la S.P.A., maman, mais il faut que je te donne leur numéro. C’est la Société Protectrice des Ancêtres.
Je vois Magalie et Louise qui partent en courant tout en rigolant comme deux gamines.
Suzanne, est obligé de s’arrêter tant elle ri de bon cœur.
Elles ne sont pas possibles toutes les deux. Mais je suis contente que cela se passe de cette manière. On était angoissée avec Charlotte et Lucie, ne sachant pas comment vous le prendriez.
Nous arrivons à la voiture, Magalie et Louise sont déjà à bord.
Sabine installe le petit, pendant que je plie la poussette, et la range dans le coffre du Land Rover. Sabine est en train d’aider sa mère a s’installer sur le siège avant quand je reviens du coffre de la voiture. Sabine s’installe à l’arrière, nous prenons doucement la route pour rentrer au restaurant.
Vous avez discuté de quoi en venant avec la maman de ma chipie de sœur qui est à côté de moi.
De papy, et de la vie de la maman de la chipie, on en parlera ce soir à la maison.
Je voie Louise dans le rétro, qui fait la tête, et qui rigole en même temps. Nous arrivons au restaurant, le voyage s’est passé agréablement. Les jumelles descendent pour ouvrir le portail. Je rentre la voiture dans la cour. Je descends et aide Suzanne à faire de même. Les jumelles ferment le portail, vont pour rentrer. J’en profite pour sortir le siège vide du fils, celui étant déjà dans les bras de sa mère.
Louise, Magalie, le garage ne s’ouvre pas tout seul !!!
Propos de Magalie ma belle sœur
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Propos de Suzanne Ma belle mère
Propos de Charlotte
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Propos de Louise petite fille de Charlotte
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Elle me regarde, amusée et surprise. Elle m’explique les différentes choses concernant sa voiture, et descend. Nous nous dirigeons vers la dangel, où Lucie et Sabine rigolent comme pas possible. Charlotte ouvre la porte passager.
Ce n’est pas tout, mais le boulot nous attend, alors les deux fofolles, on se calme.
Sabine sort fait la bise à Charlotte qui s’installe. Nous les regardons partir. Je retourne installer le siège enfant. Sabine me regarde en souriant.
Ma tante a complètement craquée sur toi, elle n’en démords pas, fait attention, si tu te retrouves seul avec elle, je ne répond de rien.
-/-
C’est ce qui vous faisait rire toutes les deux, quand on est arrivé avec Charlotte. C’est charmant, ma femme qui me jette dans les griffes de sa tante.
Non, mais elle fantasmait sur toi, en s’imaginant à voix haute comment cela aurait put se passer dans la cave, si Magalie n’avait était là.
Il faudra d’ailleurs que je la remercie, elle n’avait pas tord en pensant à Lucie. J’ai quand même était ingrate avec elle, Magalie avait vue juste dans son jeu, ce qui n’est pas mon cas. Ma petite sœur m’étonnera toujours.
De toute manière je persiste et signe, ce sera non, pas question qu’il se passe quoi que ce soit avec Lucie.
Je pense qu’elle l’a compris, c’est pour cela que l’on rigolait, quand elle me racontait ce qu’elle aurait fait, tout en me disant qu’elle n’aurait jamais osée faire le premier pas.
Ayant fini de fixer le siège, nous nous dirigeons vers les rires, et les cris que nous entendons. Magalie et Louise se chamaillent, Suzanne, pleure de rire. Nous nous approchons, et nous asseyons de part et d’autre de Suzanne.
Elles ne sont pas possible. J’ai vraiment l’impression de voir deux sœurs jumelles. Elles savent tout l’une de l’autre, là elles se chamaillent pour une histoire d’amoureux au collège, que l’une aurait piqué à l’autre.
J’en apprends de belles depuis tout à l’heure sur les jumelles. Elles n’arrêtent pas. J’en ai plus apprise sur les aventures amoureuses de ta sœur ici, quand 16 ans à la maison.
On y va, dans vingt minutes, avant que cela ne se rafraichisse trop ?
Suzanne fait oui de la tête. Tout en continuant de jouer avec son petit fils. Je me lève pour aller voir les deux « sœurs jumelles », avant que je n’ai compris ce qui se passe, les deux me sautent dessus, et je me retrouve au sol, les quatre fers en l’air, les deux « sœur jumelles » assises sur mon torse.
On lui fait à ce bourreau des cœurs, a ce seul mâle de la famille, qui perturbe ma grand-mère.
Rien, il est très confortable, on reste assissent sur lui. Il n’y a pas de rivière, pour l’arroser, ou le jeter dedans.
Je regarde Sabine et Suzanne, les deux rigolent, à en pleurer.
J’attrape les deux puces, les faits tomber, et me retrouve à califourchon sur Louise, et Magalie sous le bras. Louise me regarde, ses yeux semblent paniqués. Je lâche Magalie, me relève, tend la main à Louise, qui l’attrape et tire pour se relever. Elle me souri, me fait la bise.
Mauvais souvenir avec un couillon, J’aurais mieux fait d’écouter maman à l’époque, mais quelle conne je suis.
Bon le poulailler on y va.
Mon chéri le poulailler de ce matin s’est sérieusement agrandi, va falloir que je te surveille. Je regarde Suzanne, elle rigole. Elle dépose le petit dans la poussette.
Suzanne pousse doucement la poussette aidée de Sabine. Je regarde la grand-mère et Sabine, elles ont l’air heureux, surtout Suzanne. Elle rayonne, je ne l’ai jamais vue aussi bien dans sa peau, aussi décontractée. Magalie, et Louise, se positionne de chaque côté, en passant sous mes bras qui se retrouvent sur leurs épaules.
Comment va le bourreau des cœurs ? On se sent comment de troubler une gentille mamie ?
Oui c’est vrai tu n’as pas honte à ton âge, de draguer une mamie ? C’est honteux, on va appeler la S.P.A.
Suzanne et Sabine qui les écoutent, rigolent.
C’est quoi la S.P.A. ?
Tu ne connais pas la S.P.A., maman, mais il faut que je te donne leur numéro. C’est la Société Protectrice des Ancêtres.
Je vois Magalie et Louise qui partent en courant tout en rigolant comme deux gamines.
Suzanne, est obligé de s’arrêter tant elle ri de bon cœur.
Elles ne sont pas possibles toutes les deux. Mais je suis contente que cela se passe de cette manière. On était angoissée avec Charlotte et Lucie, ne sachant pas comment vous le prendriez.
Nous arrivons à la voiture, Magalie et Louise sont déjà à bord.
Sabine installe le petit, pendant que je plie la poussette, et la range dans le coffre du Land Rover. Sabine est en train d’aider sa mère a s’installer sur le siège avant quand je reviens du coffre de la voiture. Sabine s’installe à l’arrière, nous prenons doucement la route pour rentrer au restaurant.
Vous avez discuté de quoi en venant avec la maman de ma chipie de sœur qui est à côté de moi.
De papy, et de la vie de la maman de la chipie, on en parlera ce soir à la maison.
Je voie Louise dans le rétro, qui fait la tête, et qui rigole en même temps. Nous arrivons au restaurant, le voyage s’est passé agréablement. Les jumelles descendent pour ouvrir le portail. Je rentre la voiture dans la cour. Je descends et aide Suzanne à faire de même. Les jumelles ferment le portail, vont pour rentrer. J’en profite pour sortir le siège vide du fils, celui étant déjà dans les bras de sa mère.
Louise, Magalie, le garage ne s’ouvre pas tout seul !!!
Re: Secret de famille
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Je voie Louise dans le rétro, qui fait la tête, et qui rigole en même temps. Nous arrivons au restaurant, le voyage s’est passé agréablement. Les jumelles descendent pour ouvrir le portail. Je rentre la voiture dans la cour. Je descends et aide Suzanne à faire de même. Les jumelles ferment le portail, vont pour rentrer. J’en profite pour sortir le siège vide du fils, celui étant déjà dans les bras de sa mère.
Louise, Magalie, le garage ne s’ouvre pas tout seul !!!
-/-
Elles me regardent, surprise, font demi-tour en râlant, et ouvrent la porte du garage. Je manœuvre avec précaution, pas envie d’abimer la voiture de Charlotte.
Une fois rangé à sa place, je voie Charlotte qui sourie. Je descends.
Tu te débrouilles bien Jacques, la première fois j’ai dut m’y reprendre cinq ou six fois.
Louise et Magalie referment la porte du garage. Comme elles passent à proximité, je les attrape et leur fait la bise.
Espèce de tyran, faut toujours que tu abuses de pauvres jeunes filles. On doit tout faire ici.
C’est vrai à croire que sans nous deux, rien ne peut se faire.
Elles sourient en me disant cela, ce qui ne les empêchent pas de me sauter au cou et de m’embrasser.
T’es quand même adorable comme gars et comme cousin par alliance.
Comme beau-frère ça peut aller et je n’en ai pas d’autre sous la main.
Elles se prennent par la main, et rentrent dans le bâtiment.
Charlotte que Lucie a rejoint, s’approchent, en riant. Suzanne les embrasse, elle est radieuse.
Vous faites quoi, vous mangez ici, avant de rentrer ?
En parlant de manger, Charlotte, sans vouloir te vexer, mais le repas de midi, elle est où la facture ?
Non mais il se prend pour qui le neveu par alliance, t’es ici chez moi, tu payes si tu voie la facture sinon rien. Plus sérieusement, je vous offre le repas de midi, je suis trop heureuse de ce qui s’est passé.
Je paye les boissons alors, c’est le minimum.
Quelle tête de lard celui là, il va bien dans le famille, il est pire que moi. D’accord tu payes les boissons, mais vous restez manger ce soir.
Oui si on paye notre repas.
Charlotte me regarde en souriant, me prends par le bras.
Sabine tu as une perle, fait gaffe, j’en connais qui voudront te le piquer, moi la première.
Maman tu te calmes, et les jeunes elles font quoi, elles comptent les points.
Tout le monde éclate de rire, Charlotte y compris. Nous nous dirigeons vers la salle de restaurant où Charlotte et moi entrons bras dessus bras dessous, suivi de Lucie aux bras de Suzanne et Sabine.
Charlotte souri en passant prés des tables, et nous installe à la table centrale du restaurant. J’ai l’impression que certaines personnes nous dévisagent, enfin c’est plus qu’une impression.
Il y a des têtes que je ne voie jamais le dimanche soir qui sont là, ça a déjà dut faire le tour du village. Mais je m’en fiche, j’assume, tout comme vous d’ailleurs je remarque.
En effet je remarque que Magalie et Louise qui nous rejoint tout comme Sabine sont droites comme des I, les épaules sorties, affichant fièrement leur féminité, et leur appartenance à cette famille toute nouvelle.
Magalie, qui s’est assise en face de moi et je ne crois pas que ce soit par hasard. Elle ne me lâche pas des yeux, et là, elle est plutôt à me provoquer qu’autre chose.
Louise à côté s’amuse avec son regard à comparer leur poitrine, vue la manière dont son regard passe de sa poitrine à celle de Magalie en permanence. Elle a l’air de comprendre qu’elle en est loin, bien que sa poitrine soit aussi assez opulente.
Lucie nous ramène les cartes, elle est tout sourire.
Je suis passé avant prés de certaines tables, nous sommes tous le centre de bien des conversations. C’est mieux que le téléphone arabe le coup de s’être engueuler avec l’Ernest. Tout le monde ne parle que du fait que je suis la sœur de Suzanne.
Plus sérieusement, il y a du rosbif avec des spaetzles, et il est excellent, si ça vous dit.
Sabine me regarde, fait oui de la tête, d’ailleurs tout le monde acquiesce.
D’accord, pour le vin je te fais confiance tatie.
Je n’aime pas que tu m’appelles tatie, ça me donne un coup de vieux. Surtout quand je voie ton âge, espèce de croulant.
Lucie se sauve en riant, avant que je ne lui réponde.
Le repas se passe à merveille, sauf que le fait d’être le centre d’intérêt de tant de personnes commence à être pesant. Je me lève pour allé régler la note comme à mon habitude.
Tu fais quoi, c’est moi qui invite ce soir. Et pas un mot mon cher gendre.
Pas possible cette famille. Mais je règle les boissons de midi.
Lucie reviens avec deux factures. Comme si tout était prémédité, elle en tend une à Suzanne, me tend l’autre en souriant. Nous réglons les sommes dut, tout le monde se lève.
Charlotte arrive de la cuisine, nous embrasse tous. Elle a l’air vraiment émue. Lucie et Louise nous embrassent.
Maintenant que tout est clair, est net, on ne se revoie pas dans cent sept ans. Promis.
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Je voie Louise dans le rétro, qui fait la tête, et qui rigole en même temps. Nous arrivons au restaurant, le voyage s’est passé agréablement. Les jumelles descendent pour ouvrir le portail. Je rentre la voiture dans la cour. Je descends et aide Suzanne à faire de même. Les jumelles ferment le portail, vont pour rentrer. J’en profite pour sortir le siège vide du fils, celui étant déjà dans les bras de sa mère.
Louise, Magalie, le garage ne s’ouvre pas tout seul !!!
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Elles me regardent, surprise, font demi-tour en râlant, et ouvrent la porte du garage. Je manœuvre avec précaution, pas envie d’abimer la voiture de Charlotte.
Une fois rangé à sa place, je voie Charlotte qui sourie. Je descends.
Tu te débrouilles bien Jacques, la première fois j’ai dut m’y reprendre cinq ou six fois.
Louise et Magalie referment la porte du garage. Comme elles passent à proximité, je les attrape et leur fait la bise.
Espèce de tyran, faut toujours que tu abuses de pauvres jeunes filles. On doit tout faire ici.
C’est vrai à croire que sans nous deux, rien ne peut se faire.
Elles sourient en me disant cela, ce qui ne les empêchent pas de me sauter au cou et de m’embrasser.
T’es quand même adorable comme gars et comme cousin par alliance.
Comme beau-frère ça peut aller et je n’en ai pas d’autre sous la main.
Elles se prennent par la main, et rentrent dans le bâtiment.
Charlotte que Lucie a rejoint, s’approchent, en riant. Suzanne les embrasse, elle est radieuse.
Vous faites quoi, vous mangez ici, avant de rentrer ?
En parlant de manger, Charlotte, sans vouloir te vexer, mais le repas de midi, elle est où la facture ?
Non mais il se prend pour qui le neveu par alliance, t’es ici chez moi, tu payes si tu voie la facture sinon rien. Plus sérieusement, je vous offre le repas de midi, je suis trop heureuse de ce qui s’est passé.
Je paye les boissons alors, c’est le minimum.
Quelle tête de lard celui là, il va bien dans le famille, il est pire que moi. D’accord tu payes les boissons, mais vous restez manger ce soir.
Oui si on paye notre repas.
Charlotte me regarde en souriant, me prends par le bras.
Sabine tu as une perle, fait gaffe, j’en connais qui voudront te le piquer, moi la première.
Maman tu te calmes, et les jeunes elles font quoi, elles comptent les points.
Tout le monde éclate de rire, Charlotte y compris. Nous nous dirigeons vers la salle de restaurant où Charlotte et moi entrons bras dessus bras dessous, suivi de Lucie aux bras de Suzanne et Sabine.
Charlotte souri en passant prés des tables, et nous installe à la table centrale du restaurant. J’ai l’impression que certaines personnes nous dévisagent, enfin c’est plus qu’une impression.
Il y a des têtes que je ne voie jamais le dimanche soir qui sont là, ça a déjà dut faire le tour du village. Mais je m’en fiche, j’assume, tout comme vous d’ailleurs je remarque.
En effet je remarque que Magalie et Louise qui nous rejoint tout comme Sabine sont droites comme des I, les épaules sorties, affichant fièrement leur féminité, et leur appartenance à cette famille toute nouvelle.
Magalie, qui s’est assise en face de moi et je ne crois pas que ce soit par hasard. Elle ne me lâche pas des yeux, et là, elle est plutôt à me provoquer qu’autre chose.
Louise à côté s’amuse avec son regard à comparer leur poitrine, vue la manière dont son regard passe de sa poitrine à celle de Magalie en permanence. Elle a l’air de comprendre qu’elle en est loin, bien que sa poitrine soit aussi assez opulente.
Lucie nous ramène les cartes, elle est tout sourire.
Je suis passé avant prés de certaines tables, nous sommes tous le centre de bien des conversations. C’est mieux que le téléphone arabe le coup de s’être engueuler avec l’Ernest. Tout le monde ne parle que du fait que je suis la sœur de Suzanne.
Plus sérieusement, il y a du rosbif avec des spaetzles, et il est excellent, si ça vous dit.
Sabine me regarde, fait oui de la tête, d’ailleurs tout le monde acquiesce.
D’accord, pour le vin je te fais confiance tatie.
Je n’aime pas que tu m’appelles tatie, ça me donne un coup de vieux. Surtout quand je voie ton âge, espèce de croulant.
Lucie se sauve en riant, avant que je ne lui réponde.
Le repas se passe à merveille, sauf que le fait d’être le centre d’intérêt de tant de personnes commence à être pesant. Je me lève pour allé régler la note comme à mon habitude.
Tu fais quoi, c’est moi qui invite ce soir. Et pas un mot mon cher gendre.
Pas possible cette famille. Mais je règle les boissons de midi.
Lucie reviens avec deux factures. Comme si tout était prémédité, elle en tend une à Suzanne, me tend l’autre en souriant. Nous réglons les sommes dut, tout le monde se lève.
Charlotte arrive de la cuisine, nous embrasse tous. Elle a l’air vraiment émue. Lucie et Louise nous embrassent.
Maintenant que tout est clair, est net, on ne se revoie pas dans cent sept ans. Promis.
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Re: Secret de famille
Faut expliquer hein, tout le monde ne connait pas les ""spaetzles"" Jak 



Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Secret de famille
Bikette a écrit :Faut expliquer hein, tout le monde ne connait pas les ""spaetzles"" Jak
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Recette - Spaetzle (quenelles de farine)
4 personnes
Vin(s) conseillé(s) avec ce plat : Ca dépend de l’accompagnement ...
Préparation : 1h30
Ingrédients :
300g de farine
3 oeufs
20 cl d’eau
1 c. à café rase de sel fin
un nuage de noix de muscade ( 3 coups de râpe sur la râpe à noix de muscade)
Marche à suivre :
Versez la farine tamisée dans un bol, ajoutez le sel et la noix de muscade. Cassez les œufs. Mélangez les ingrédients à la cuillère ou au batteur, en ajoutant progressivement l’eau pour obtenir un pâte souple et fluide. Laissez reposer la pâte environ une heure.
Il y a différentes façons de former les spätzle ; il existe même un ustensile pour cela. Je vous propose de les faire au couteau, comme je l’ai appris.
Faites bouillir de l’eau salée dans une grande casserole. Mettez une cuillerée de pâte sur une planchette, que vous placez au dessus de l’eau bouillante et poussez des lanières de pâte dans l’eau. La pâte doit être suffisamment fluide pour couler un peu.
Les spätzle se cuisent par petites quantités et remontent à la surface lorsqu’ils sont cuit. Sortez-les à l’aide d’une écumoire, et réservez dans un plat après les avoir passé rapidement sous de l’eau froide. Renouvelez l’opération pour utiliser la totalité de la pâte.
Faites revenir les spätzle dans une poêle chaude avec un peu de beurre, jusqu’à ce qu’ils soient bien dorés. Servez-les chaud, décorés de croûtons de pain dorés dans une poêle
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Re: Secret de famille
J'connais moi, mais merci pour les autres 

Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Secret de famille
Bikette a écrit :J'connais moi, mais merci pour les autres
Elles sont pas aussi bonnes que les miennes.

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J'viendrai goûter ça alors 

Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Secret de famille
nnnnnnaaaaaaaaaaaaannnnnnnnnnnnnnn
moi j'attend j'ai envie la suite je suis en congés dnc je n'attend que sa
moi j'attend j'ai envie la suite je suis en congés dnc je n'attend que sa
Re: Secret de famille
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Tu fais quoi, c’est moi qui invite ce soir. Et pas un mot mon cher gendre.
Pas possible cette famille. Mais je règle les boissons de midi.
Lucie reviens avec deux factures. Comme si tout était prémédité, elle en tend une à Suzanne, me tend l’autre en souriant. Nous réglons les sommes dut, tout le monde se lève.
Charlotte arrive de la cuisine, nous embrasse tous. Elle a l’air vraiment émue. Lucie et Louise nous embrassent.
Maintenant que tout est clair, est net, on ne se revoie pas dans cent sept ans. Promis.
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Il n’en est pas question, dés votre retour de vacances, on se prends une semaine et on part se faire les vignobles.
Laisse nous déjà partir, en vacances, et en revenir, on verra après.
Si Magalie vient, je vais où vous voulez.
Comme a dit ma moitié, on verra en rentrant de vacances. Promis on passe dés que l’on rentre.
Charlotte, Lucie et Louise nous accompagne dans la cour arrière. Louise sans que personne ne lui demande rien, ouvre le portail. Pendant qu’elles papotent je réinstalle le siège de notre fils dans la Dangel.
J’embrasse, Charlotte, Lucie et Louise, et leur confirme à nouveau, que nous passerons dès notre retour de vacances.
J’installe, le petit dans son siège, Suzanne comme il fait froid préfère aller dans la Dangel. Sabine se tourne vers Magalie.
Tu va avec ton beau-frère préféré.
Elle souri, se rapproche et m’embrasse.
Sois sage sur la route mon chéri, comme avec Lucie.
Je réinstalle la capote, et nous partons. Magalie est songeuse à côté.
Ca se passe comment, on descend ce soir ou demain matin ?
Je ne sais pas, on verra avec Sabine quand on arrive a la maison.
Magalie n’arrête pas de me regarder en coin, elle n’a pas l’air à l’aise.
Tout en conduisant, doucement je pose ma main sur sa cuisse. Je la sens légèrement se tendre, sa main se pose sur la mienne, elle pousse un gros soupir. Elle se laisse aller dans le siège, et ferme les yeux. Ses doigts caressent ma main immobile sur sa cuisse, avec beaucoup de douceur. Sa tête se pose sur mon épaule.
J'ai eu tellement peur que tu m'en veuilles, que tu sois fâché, que ce soit fini.
Je t’en veux du fait de tes crises de jalousie.
Je serais fâché si tu continue, et ce sera fini si tu ne te maitrises pas.
Je t’aime, mais je ne le supporte pas. Je sais que tu feras tout pour ne plus être jalouse, je t’y aiderais de toutes mes forces.
Fais toi confiance, ai confiance en toi. C’est la seule chose qui peut t’aider, te donner la force d’être toi-même, de croire en toi.
Je t’aime, et je sais que tu m’aimes. Tu me donneras la force de passer ce comportement qui me dérange, qui te dérange tant, qui n’est pas moi, et s’il le faut je puiserais ma force dans notre amour.
J’adore ces petits moments d’intimité, je sais bien que d’ici peut de temps, elle en voudra plus, c’est logique, c’est normal.
Dès le retour de vacances, il faudra que j’anticipe, que je m’organise pour me libérer au moins une demi-journée voir une journée, par semaine, pour être avec elle, uniquement pour elle. Que nous puissions pleinement jouir de l’autre, de la présence de l’autre.
Je me doute qu’elle n’osera pas encore me le demander, bien que, avec sa franchise naturelle elle en serait capable.
Nous roulons tranquillement, quand nous arrivons chez Suzanne, j’enlève ma main de sa cuisse, Magalie se redresse.
Je me gare, nous rentrons. Sabine et assise en train d’allaiter le petit, Suzanne discute avec elle de la journée.
Sabine me fait signe, je m’approche.
Je t’aime mon chéri, excuse moi pour mes sautes d’humeur, mais avec tout ce qui s’est passé, j’ai presque péter un câble. Tu ne m’en veux pas.
Non je comprends, mais tu pourrais aussi...
Je sais mon chéri je vais m’excuser auprès de Magalie aussi, j’ai était injuste avec elle.
Bon sang que je t’aime mon homme. Heureusement que je t’ai à mes côtés, surtout dans des moments aussi forts, que ceux nous avons vécus aujourd’hui.
Elle m’embrasse avec violence, tout en allaitant notre fils.
Je vais dans la cuisine pour boire un peut d’eau, mais c’est surtout pour laisser ces trois femmes, mes deux amours avec leur mère, entre elles. Elles ont besoin de se retrouver.
Je pense qu’elles ont des choses à se dire. J’ai envie qu’elles se retrouvent, qu’elles soient comme elles auraient dut toujours être, des complices. Je pense vue ce qui s’est passé chez Charlotte que cela sera plus facile maintenant.
La porte de la cuisine, s’ouvre, Suzanne apparait.
Jacques reviens, cela te concerne aussi, tu fais totalement partie de la famille. Tout ce qui se passe, n’aurait jamais eut lieu sans toi, et il n’y aura plus de secret vis-à-vis de personne, jamais entre nous quatre.
Elle me prend dans les bras, m’étreint.
Ce qui serait merveilleux serait que Magalie, trouve quelqu’un comme toi, mais je n’y crois pas trop. Deux exemplaires comme toi cela ne peut pas exister, c’est impossible.
Elle me dit cela avec un petit regard en coin, et un petit sourire, exactement comme Sabine, sa fille. Regard en coin qui semble me dire, elle en a trouvé un qui te ressemble, et je crois bien que c’est l’original.
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Suzanne Ma belle mère
Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte
36)
Tu fais quoi, c’est moi qui invite ce soir. Et pas un mot mon cher gendre.
Pas possible cette famille. Mais je règle les boissons de midi.
Lucie reviens avec deux factures. Comme si tout était prémédité, elle en tend une à Suzanne, me tend l’autre en souriant. Nous réglons les sommes dut, tout le monde se lève.
Charlotte arrive de la cuisine, nous embrasse tous. Elle a l’air vraiment émue. Lucie et Louise nous embrassent.
Maintenant que tout est clair, est net, on ne se revoie pas dans cent sept ans. Promis.
-/-
Il n’en est pas question, dés votre retour de vacances, on se prends une semaine et on part se faire les vignobles.
Laisse nous déjà partir, en vacances, et en revenir, on verra après.
Si Magalie vient, je vais où vous voulez.
Comme a dit ma moitié, on verra en rentrant de vacances. Promis on passe dés que l’on rentre.
Charlotte, Lucie et Louise nous accompagne dans la cour arrière. Louise sans que personne ne lui demande rien, ouvre le portail. Pendant qu’elles papotent je réinstalle le siège de notre fils dans la Dangel.
J’embrasse, Charlotte, Lucie et Louise, et leur confirme à nouveau, que nous passerons dès notre retour de vacances.
J’installe, le petit dans son siège, Suzanne comme il fait froid préfère aller dans la Dangel. Sabine se tourne vers Magalie.
Tu va avec ton beau-frère préféré.
Elle souri, se rapproche et m’embrasse.
Sois sage sur la route mon chéri, comme avec Lucie.
Je réinstalle la capote, et nous partons. Magalie est songeuse à côté.
Ca se passe comment, on descend ce soir ou demain matin ?
Je ne sais pas, on verra avec Sabine quand on arrive a la maison.
Magalie n’arrête pas de me regarder en coin, elle n’a pas l’air à l’aise.
Tout en conduisant, doucement je pose ma main sur sa cuisse. Je la sens légèrement se tendre, sa main se pose sur la mienne, elle pousse un gros soupir. Elle se laisse aller dans le siège, et ferme les yeux. Ses doigts caressent ma main immobile sur sa cuisse, avec beaucoup de douceur. Sa tête se pose sur mon épaule.
J'ai eu tellement peur que tu m'en veuilles, que tu sois fâché, que ce soit fini.
Je t’en veux du fait de tes crises de jalousie.
Je serais fâché si tu continue, et ce sera fini si tu ne te maitrises pas.
Je t’aime, mais je ne le supporte pas. Je sais que tu feras tout pour ne plus être jalouse, je t’y aiderais de toutes mes forces.
Fais toi confiance, ai confiance en toi. C’est la seule chose qui peut t’aider, te donner la force d’être toi-même, de croire en toi.
Je t’aime, et je sais que tu m’aimes. Tu me donneras la force de passer ce comportement qui me dérange, qui te dérange tant, qui n’est pas moi, et s’il le faut je puiserais ma force dans notre amour.
J’adore ces petits moments d’intimité, je sais bien que d’ici peut de temps, elle en voudra plus, c’est logique, c’est normal.
Dès le retour de vacances, il faudra que j’anticipe, que je m’organise pour me libérer au moins une demi-journée voir une journée, par semaine, pour être avec elle, uniquement pour elle. Que nous puissions pleinement jouir de l’autre, de la présence de l’autre.
Je me doute qu’elle n’osera pas encore me le demander, bien que, avec sa franchise naturelle elle en serait capable.
Nous roulons tranquillement, quand nous arrivons chez Suzanne, j’enlève ma main de sa cuisse, Magalie se redresse.
Je me gare, nous rentrons. Sabine et assise en train d’allaiter le petit, Suzanne discute avec elle de la journée.
Sabine me fait signe, je m’approche.
Je t’aime mon chéri, excuse moi pour mes sautes d’humeur, mais avec tout ce qui s’est passé, j’ai presque péter un câble. Tu ne m’en veux pas.
Non je comprends, mais tu pourrais aussi...
Je sais mon chéri je vais m’excuser auprès de Magalie aussi, j’ai était injuste avec elle.
Bon sang que je t’aime mon homme. Heureusement que je t’ai à mes côtés, surtout dans des moments aussi forts, que ceux nous avons vécus aujourd’hui.
Elle m’embrasse avec violence, tout en allaitant notre fils.
Je vais dans la cuisine pour boire un peut d’eau, mais c’est surtout pour laisser ces trois femmes, mes deux amours avec leur mère, entre elles. Elles ont besoin de se retrouver.
Je pense qu’elles ont des choses à se dire. J’ai envie qu’elles se retrouvent, qu’elles soient comme elles auraient dut toujours être, des complices. Je pense vue ce qui s’est passé chez Charlotte que cela sera plus facile maintenant.
La porte de la cuisine, s’ouvre, Suzanne apparait.
Jacques reviens, cela te concerne aussi, tu fais totalement partie de la famille. Tout ce qui se passe, n’aurait jamais eut lieu sans toi, et il n’y aura plus de secret vis-à-vis de personne, jamais entre nous quatre.
Elle me prend dans les bras, m’étreint.
Ce qui serait merveilleux serait que Magalie, trouve quelqu’un comme toi, mais je n’y crois pas trop. Deux exemplaires comme toi cela ne peut pas exister, c’est impossible.
Elle me dit cela avec un petit regard en coin, et un petit sourire, exactement comme Sabine, sa fille. Regard en coin qui semble me dire, elle en a trouvé un qui te ressemble, et je crois bien que c’est l’original.
Re: Secret de famille
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Suzanne Ma belle mère
Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte
37)
Jacques reviens, cela te concerne aussi, tu fais totalement partie de la famille. Tout ce qui se passe, n’aurait jamais eut lieu sans toi, et il n’y aura plus de secret vis-à-vis de personne, jamais entre nous quatre.
Elle me prend dans les bras, m’étreint.
Ce qui serait merveilleux serait que Magalie, trouve quelqu’un comme toi, mais je n’y crois pas trop. Deux exemplaires comme toi cela ne peut pas exister, c’est impossible.
Elle me dit cela avec un petit regard en coin, et un petit sourire, exactement comme Sabine, sa fille. Regard en coin qui semble me dire, elle en a trouvé un qui te ressemble, et je crois bien que c’est l’original.
-/-
Viens avec moi on rejoints les deux puces, tu leurs manques déjà. Je crois que le mieux, serais que vous redescendiez ce soir avec Magalie. Le lundi matin c’est la panique sur la N4.
Elle me dit cela en entrant dans le salon où les deux sœurs sont en train de s’embrasser.
Sabine regarde sa mère et approuve de la tête. Je voie Magalie qui ne bronche pas, comme si cela ne la concerne pas.
Tu es d’accord, je pense comme Suzanne, pour la route ça va être la panique demain matin. Mais si tu préfères que je reste, pas de soucis.
Pas de soucis mon chéri de toute façon, cela sera plus sur. Il suffit d’une panne de réveil, et au revoir l’apprentissage.
Donc vous redescendez ce soir, mais il est vrai que j’aurais préféré que tu restes ce soir, mais ce serait trop risqué. Sauvez vous mes chéris, avant que je ne change d’avis.
Je vais juste chercher les affaires, dans ma chambre, dont j’aurais besoin et je redescends.
Pendant que Magalie, va dans sa chambre, je m’assieds à même le sol, près de mon épouse et pose ma tête sur ses genoux. Elle adore quand je fais cela. Je la regarde allaiter notre fils. Sa main se glisse dans mes cheveux. Je la sens apaisée. Elle me sourie, elle est heureuse, nous sommes heureux.
Mes yeux se déplacent, je voie Suzanne qui nous regarde, elle sourie de voire notre bonheur. Elle a l’air détendue, appréciant la paix, la sérénité qui règne maintenant dans cette maison.
Il va falloir que tu y aille mon chéri. Sinon vous aller arriver tard, et Magalie doit être en pleine forme, demain matin. De toute façon je rentre mardi, on ira voir la patronne du magasin ensemble, pour savoir comment cela se passe.
Magalie reviens avec un sac de voyage, bien plein.
J’espère que je n’ai rien oublié. Enfin si quelque chose manque, je me débrouillerais pour le chercher avec le bus, ou je demande à quelqu’un de me le descendre avec le bus.
Je me lève, embrasse Sabine, notre fils, me tourne vers Suzanne qui me tend les bras.
Ce n’est plus la même femme, la même Suzanne que j’ai devant moi. Elle est gentille, avenante, douce. Cela change de l’ancienne Suzanne.
J’embrasse Suzanne, qui à presque les larmes aux yeux.
Tu surveilles la petite, qu’il ne lui arrive rien, comme si s’était Sabine.
Oui Suzanne, je ferais attention à elle comme à la prunelle de mes yeux.
Pendant ce temps Magalie, embrasse Sabine, et le petit. Je prends son sac, vais le mettre dans le coffre, et reviens.
Suzanne et Sabine sont en train de passer les dernières consignes à Magalie.
De toute façon je l’ai promis à Jacques et à Sabine, je travaillerais comme une folle, pas de sortie, pas de copains, tant que mon apprentissage n’est pas fini.
Allez la puce en voiture.
Magalie sort, j’embrasse mon épouse, mon fils ainsi que Suzanne, et sort de la maison. Magalie n’est pas dans la voiture, mais attend au portail de la cour.
Sabine et Suzanne qui m’ont suivi, la regarde.
Elle a déjà commencé a changer Magalie. Avant il aurait fallu que j’insiste pour qu’elle ferme le portail, là elle y va d’elle-même.
Je sourie, j’embrasse une dernière fois Suzanne mon épouse et le petit, monte dans la voiture, démarre en douceur, m’arrête après le portail. Magalie le ferme, monte dans la voiture, nous partons direction la maison.
Le voyage se passe tranquillement, Magalie somnole. Elle doit être épuisée par la journée. Nous arrivons, j’ouvre le portail et le garage avec la télécommande, je gare la voiture.
Je prends la puce, ma puce dans les bras. Ses bras se posent sur mes épaules, elle entrouvre les yeux. Elle me transperce de son regard, je la sens qui fouille au fond de mon cœur. Elle souri, ses mains prennent délicatement ma tête, elle m’embrasse avec énormément de douceur, de tendresse.
Je t’aime, mon homme, mon amant, jamais je ne croyais pouvoir autant aimer un homme. T’aimer je le savais, mais pas avec ce bonheur qui me transperce en ce moment.
Tu es l’air que je respire, tu es ma vie, tu es le sang qui circule dans mes veines. Sans toi je ne suis rien. Et je sais que tu m’aimes, même si tu me l’as dit, mon cœur le savait depuis longtemps.
Elle pose sa tête sur mon épaule, je sens le souffle de sa respiration, dans mon cou, elle est calme, elle est apaisée.
Je m’adosse contre le mur. Il faut que je digère, que j’encaisse, que mon cerveau assimile ces petits mots, cette phrase, qui me chamboule, qui me fait si chaud au cœur, si peur, si tout venait à se savoir. Je suis certain que Suzanne et Sabine le savent, qu’elles ont compris, tout comme Lucie, qui a compris si vite ce qui se passe.
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Suzanne Ma belle mère
Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte
37)
Jacques reviens, cela te concerne aussi, tu fais totalement partie de la famille. Tout ce qui se passe, n’aurait jamais eut lieu sans toi, et il n’y aura plus de secret vis-à-vis de personne, jamais entre nous quatre.
Elle me prend dans les bras, m’étreint.
Ce qui serait merveilleux serait que Magalie, trouve quelqu’un comme toi, mais je n’y crois pas trop. Deux exemplaires comme toi cela ne peut pas exister, c’est impossible.
Elle me dit cela avec un petit regard en coin, et un petit sourire, exactement comme Sabine, sa fille. Regard en coin qui semble me dire, elle en a trouvé un qui te ressemble, et je crois bien que c’est l’original.
-/-
Viens avec moi on rejoints les deux puces, tu leurs manques déjà. Je crois que le mieux, serais que vous redescendiez ce soir avec Magalie. Le lundi matin c’est la panique sur la N4.
Elle me dit cela en entrant dans le salon où les deux sœurs sont en train de s’embrasser.
Sabine regarde sa mère et approuve de la tête. Je voie Magalie qui ne bronche pas, comme si cela ne la concerne pas.
Tu es d’accord, je pense comme Suzanne, pour la route ça va être la panique demain matin. Mais si tu préfères que je reste, pas de soucis.
Pas de soucis mon chéri de toute façon, cela sera plus sur. Il suffit d’une panne de réveil, et au revoir l’apprentissage.
Donc vous redescendez ce soir, mais il est vrai que j’aurais préféré que tu restes ce soir, mais ce serait trop risqué. Sauvez vous mes chéris, avant que je ne change d’avis.
Je vais juste chercher les affaires, dans ma chambre, dont j’aurais besoin et je redescends.
Pendant que Magalie, va dans sa chambre, je m’assieds à même le sol, près de mon épouse et pose ma tête sur ses genoux. Elle adore quand je fais cela. Je la regarde allaiter notre fils. Sa main se glisse dans mes cheveux. Je la sens apaisée. Elle me sourie, elle est heureuse, nous sommes heureux.
Mes yeux se déplacent, je voie Suzanne qui nous regarde, elle sourie de voire notre bonheur. Elle a l’air détendue, appréciant la paix, la sérénité qui règne maintenant dans cette maison.
Il va falloir que tu y aille mon chéri. Sinon vous aller arriver tard, et Magalie doit être en pleine forme, demain matin. De toute façon je rentre mardi, on ira voir la patronne du magasin ensemble, pour savoir comment cela se passe.
Magalie reviens avec un sac de voyage, bien plein.
J’espère que je n’ai rien oublié. Enfin si quelque chose manque, je me débrouillerais pour le chercher avec le bus, ou je demande à quelqu’un de me le descendre avec le bus.
Je me lève, embrasse Sabine, notre fils, me tourne vers Suzanne qui me tend les bras.
Ce n’est plus la même femme, la même Suzanne que j’ai devant moi. Elle est gentille, avenante, douce. Cela change de l’ancienne Suzanne.
J’embrasse Suzanne, qui à presque les larmes aux yeux.
Tu surveilles la petite, qu’il ne lui arrive rien, comme si s’était Sabine.
Oui Suzanne, je ferais attention à elle comme à la prunelle de mes yeux.
Pendant ce temps Magalie, embrasse Sabine, et le petit. Je prends son sac, vais le mettre dans le coffre, et reviens.
Suzanne et Sabine sont en train de passer les dernières consignes à Magalie.
De toute façon je l’ai promis à Jacques et à Sabine, je travaillerais comme une folle, pas de sortie, pas de copains, tant que mon apprentissage n’est pas fini.
Allez la puce en voiture.
Magalie sort, j’embrasse mon épouse, mon fils ainsi que Suzanne, et sort de la maison. Magalie n’est pas dans la voiture, mais attend au portail de la cour.
Sabine et Suzanne qui m’ont suivi, la regarde.
Elle a déjà commencé a changer Magalie. Avant il aurait fallu que j’insiste pour qu’elle ferme le portail, là elle y va d’elle-même.
Je sourie, j’embrasse une dernière fois Suzanne mon épouse et le petit, monte dans la voiture, démarre en douceur, m’arrête après le portail. Magalie le ferme, monte dans la voiture, nous partons direction la maison.
Le voyage se passe tranquillement, Magalie somnole. Elle doit être épuisée par la journée. Nous arrivons, j’ouvre le portail et le garage avec la télécommande, je gare la voiture.
Je prends la puce, ma puce dans les bras. Ses bras se posent sur mes épaules, elle entrouvre les yeux. Elle me transperce de son regard, je la sens qui fouille au fond de mon cœur. Elle souri, ses mains prennent délicatement ma tête, elle m’embrasse avec énormément de douceur, de tendresse.
Je t’aime, mon homme, mon amant, jamais je ne croyais pouvoir autant aimer un homme. T’aimer je le savais, mais pas avec ce bonheur qui me transperce en ce moment.
Tu es l’air que je respire, tu es ma vie, tu es le sang qui circule dans mes veines. Sans toi je ne suis rien. Et je sais que tu m’aimes, même si tu me l’as dit, mon cœur le savait depuis longtemps.
Elle pose sa tête sur mon épaule, je sens le souffle de sa respiration, dans mon cou, elle est calme, elle est apaisée.
Je m’adosse contre le mur. Il faut que je digère, que j’encaisse, que mon cerveau assimile ces petits mots, cette phrase, qui me chamboule, qui me fait si chaud au cœur, si peur, si tout venait à se savoir. Je suis certain que Suzanne et Sabine le savent, qu’elles ont compris, tout comme Lucie, qui a compris si vite ce qui se passe.
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Re: Secret de famille

Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Secret de famille
moi je dit qu'on devrait avoir un rang special quoi surtout moi vu que tu es deja le boss bikette, parce qu'on est les 2 seul vrai fan de sa belle histoire ^^Bikette a écrit :
Re: Secret de famille
je commençai a me le dire mais je sens que dans le prochain chapitre sa va revenir
Re: Secret de famille
Yuna a écrit :disons que sans sexe.. ça devient un peu longuet...
Mel29440 a écrit :je commençai a me le dire mais je sens que dans le prochain chapitre sa va revenir
En pluche ils sont difficile
Re: Secret de famille
ah non pas moi je suis resté fidele au poste sans rien dire en attendent que sa se debride ^^
Re: Secret de famille
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38)
Je t’aime, mon homme, mon amant, jamais je ne croyais pouvoir autant aimer un homme. T’aimer je le savais, mais pas avec ce bonheur qui me transperce en ce moment.
Tu es l’air que je respire, tu es ma vie, tu es le sang qui circule dans mes veines. Sans toi je ne suis rien. Et je sais que tu m’aimes, même si tu me l’as dit, mon cœur le savait depuis longtemps.
Elle pose sa tête sur mon épaule, je sens le souffle de sa respiration, dans mon cou, elle est calme, elle est apaisée.
Je m’adosse contre le mur. Il faut que je digère, que j’encaisse, que mon cerveau assimile ces petits mots, cette phrase, qui me chamboule, qui me fait si chaud au cœur, si peur, si tout venait à se savoir. Je suis certain que Suzanne et Sabine le savent, qu’elles ont compris, tout comme Lucie, qui a compris si vite ce qui se passe.
-/-
Je me ressaisie, et monte l’escalier. La puce ouvre la porte palière, me regarde intensément.
Je réalise soudain que nous franchissons tous les deux, le seuil de la maison, Magalie, ma puce, mon amour dans mes bras.
Sans le vouloir consciemment je viens de me comporter comme un jeune marié avec sa promise dans les bras, qui entre pour la première fois dans la maison.
Je lis dans ses yeux qu’elle aussi l’a compris, au même moment.
Elle me serre contre elle. Dés que nous avons passé le palier, elle se laisse glisser au sol, m’embrasse tendrement, passionnément. Sa langue fouille ma bouche, s’enroule autour de ma langue, la caresse, la titille. Nos corps sont soudés l’un à l’autre.
Mon homme, mon amour, je suis la plus heureuse des femmes. Même si je suis encore vierge, dans tes bras, je me sens femme, ta femme.
Nos mains cherchent nos corps, nos vêtement volent, tant nos mains, nos yeux sont affamés de l’autre.
Nous nous retrouvons nus, dans l’entré de la maison, nos corps collés l’un à l’autre. Des pieds à la tête chaque parcelle de mon corps est au contact du corps de ma petite puce, de mon amour.
Mes bras le long du corps, les doigts noués dans ceux de ma petite puce, de Magalie, que j’aime, comme ma vie.
Je la prends dans les bras, et m’assied sur un des fauteuils. Nous ne bougeons pas, nous profitons de ce moment, du bien être que nous ressentons, du bonheur de nous retrouver.
Magalie, ma chérie, on se douche, et on va au lit, pendant que je cherche ton sac en bas, appelle Sabine pour lui dire que l’on est bien arrivé.
N’oublie pas le linge que l’on a mis dans la machine en partant.
Je descends au garage, vais à la machine qui a fini depuis hier, sort le linge l’étend.
Je prends dans la voiture, le sac, ainsi que ceux qui contiennent les achats que nous avions emmenés, et remonte aussitôt. Magalie est au téléphone avec sa sœur, vue les propos que j’entends
Je pose les sacs prés du clic-clac, Magalie me tend le téléphone.
Bonsoir ma chérie.
Oui on est bien rentré.
Bisous à mardi soir.
Oui je t’appelle demain soir pour te dire comment tout s’est passé.
Magalie souri.
J’ai l’impression qu’elle t’a demandée et dit les mêmes choses qu’à moi.
On va se doucher ?
Sérieusement ma puce, on se douche et on se couche tout aussi sérieusement, demain on se lève tôt.
Si on veut être à 8h15 au magasin, on doit partir à 7h 45. Donc debout à 6h30 au plus tard.
Avant de se doucher, et pendant que tu prépares tes habits de demain je vais faire de la place dans l’armoire de l’ex chambre d’ami, qui va devenir la tienne, dés que je l’aurais rénovée. Pour l’instant tu y ranges seulement tes affaires.
Elle me regarde surprise, et part dans la chambre à coucher. Pendant ce temps, je verrouille la porte d’entrée et j’emporte les sacs dans la chambre d’ami. Je faits de la place dans l’armoire et la penderie. Je sens une présence derrière moi, me retourne.
La puce est là, magnifique, dans un des tailleurs de mon épouse. Elle le porte à même la peau. Je comprends maintenant les propos de Sabine.
« Pour les vêtements j’ai une idée. Tu te souviens de mon petit ensemble qui est trop grand pour moi.
Celui que tu as essayé la dernière fois que tu es venue et qui te va si bien. Qui met tellement en valeur ta poitrine. Surtout quand tu le mets sans chemisier et sans soutien-gorge, on a l’impression que tes seins veulent partir se promener tout seul, sans la veste. »
J’en reste Baba, elle est sublime, la veste est au bord d’exploser sous la pression de sa poitrine. Ses seins donnent l’impression de vouloir sortir de leur prison à tout moment. Si elle bouge trop les boutons ne résisteront pas.
La jupe s’arrête au dessus du genou. Elle a enfilé ses talons aiguilles, sa reins sont cambrés, mettant en évidence ses fesses, sa taille.
Elle s’avance doucement vers moi, avec la démarche de vamp que j’affectionne tant. Je ne bouge pas, la laissant venir à moi, dégustant chacun de ses pas qui la rapproche de moi, qui rapproche doucement de mes bras, de mon corps, la femme que j’aime, qui m’aime.
Je suis ébahi par la lumière, le bonheur qu’elle irradie.
Arrivé à un mètre de moi elle pirouette sur place. Deux fentes invisibles permettent au tissu de s’envoler. Je constate qu’elle porte une petite culotte sous son tailleur. Elle me regarde et souri.
Elle à l’air d’attendre mon commentaire. Je m’avance, et tourne autour d’elle doucement, comme si je la regardais de pied en cap, ce que je fais d’ailleurs. Je prends mon temps, je savoure, je la savoure des yeux.
Je la sens qui s’impatiente, son regard me suit. Arrivé derrière elle, je m’approche et passe mes bras autour de sa taille. Elle se laisse aller contre moi.
Tu es magnifique ma puce. Dans cette tenue, je ne pense pas que la patronne de Darjeeling Chantelle, apprécie et considère que tu as une tenue correcte.
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Suzanne Ma belle mère
Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte
38)
Je t’aime, mon homme, mon amant, jamais je ne croyais pouvoir autant aimer un homme. T’aimer je le savais, mais pas avec ce bonheur qui me transperce en ce moment.
Tu es l’air que je respire, tu es ma vie, tu es le sang qui circule dans mes veines. Sans toi je ne suis rien. Et je sais que tu m’aimes, même si tu me l’as dit, mon cœur le savait depuis longtemps.
Elle pose sa tête sur mon épaule, je sens le souffle de sa respiration, dans mon cou, elle est calme, elle est apaisée.
Je m’adosse contre le mur. Il faut que je digère, que j’encaisse, que mon cerveau assimile ces petits mots, cette phrase, qui me chamboule, qui me fait si chaud au cœur, si peur, si tout venait à se savoir. Je suis certain que Suzanne et Sabine le savent, qu’elles ont compris, tout comme Lucie, qui a compris si vite ce qui se passe.
-/-
Je me ressaisie, et monte l’escalier. La puce ouvre la porte palière, me regarde intensément.
Je réalise soudain que nous franchissons tous les deux, le seuil de la maison, Magalie, ma puce, mon amour dans mes bras.
Sans le vouloir consciemment je viens de me comporter comme un jeune marié avec sa promise dans les bras, qui entre pour la première fois dans la maison.
Je lis dans ses yeux qu’elle aussi l’a compris, au même moment.
Elle me serre contre elle. Dés que nous avons passé le palier, elle se laisse glisser au sol, m’embrasse tendrement, passionnément. Sa langue fouille ma bouche, s’enroule autour de ma langue, la caresse, la titille. Nos corps sont soudés l’un à l’autre.
Mon homme, mon amour, je suis la plus heureuse des femmes. Même si je suis encore vierge, dans tes bras, je me sens femme, ta femme.
Nos mains cherchent nos corps, nos vêtement volent, tant nos mains, nos yeux sont affamés de l’autre.
Nous nous retrouvons nus, dans l’entré de la maison, nos corps collés l’un à l’autre. Des pieds à la tête chaque parcelle de mon corps est au contact du corps de ma petite puce, de mon amour.
Mes bras le long du corps, les doigts noués dans ceux de ma petite puce, de Magalie, que j’aime, comme ma vie.
Je la prends dans les bras, et m’assied sur un des fauteuils. Nous ne bougeons pas, nous profitons de ce moment, du bien être que nous ressentons, du bonheur de nous retrouver.
Magalie, ma chérie, on se douche, et on va au lit, pendant que je cherche ton sac en bas, appelle Sabine pour lui dire que l’on est bien arrivé.
N’oublie pas le linge que l’on a mis dans la machine en partant.
Je descends au garage, vais à la machine qui a fini depuis hier, sort le linge l’étend.
Je prends dans la voiture, le sac, ainsi que ceux qui contiennent les achats que nous avions emmenés, et remonte aussitôt. Magalie est au téléphone avec sa sœur, vue les propos que j’entends
Je pose les sacs prés du clic-clac, Magalie me tend le téléphone.
Bonsoir ma chérie.
Oui on est bien rentré.
Bisous à mardi soir.
Oui je t’appelle demain soir pour te dire comment tout s’est passé.
Magalie souri.
J’ai l’impression qu’elle t’a demandée et dit les mêmes choses qu’à moi.
On va se doucher ?
Sérieusement ma puce, on se douche et on se couche tout aussi sérieusement, demain on se lève tôt.
Si on veut être à 8h15 au magasin, on doit partir à 7h 45. Donc debout à 6h30 au plus tard.
Avant de se doucher, et pendant que tu prépares tes habits de demain je vais faire de la place dans l’armoire de l’ex chambre d’ami, qui va devenir la tienne, dés que je l’aurais rénovée. Pour l’instant tu y ranges seulement tes affaires.
Elle me regarde surprise, et part dans la chambre à coucher. Pendant ce temps, je verrouille la porte d’entrée et j’emporte les sacs dans la chambre d’ami. Je faits de la place dans l’armoire et la penderie. Je sens une présence derrière moi, me retourne.
La puce est là, magnifique, dans un des tailleurs de mon épouse. Elle le porte à même la peau. Je comprends maintenant les propos de Sabine.
« Pour les vêtements j’ai une idée. Tu te souviens de mon petit ensemble qui est trop grand pour moi.
Celui que tu as essayé la dernière fois que tu es venue et qui te va si bien. Qui met tellement en valeur ta poitrine. Surtout quand tu le mets sans chemisier et sans soutien-gorge, on a l’impression que tes seins veulent partir se promener tout seul, sans la veste. »
J’en reste Baba, elle est sublime, la veste est au bord d’exploser sous la pression de sa poitrine. Ses seins donnent l’impression de vouloir sortir de leur prison à tout moment. Si elle bouge trop les boutons ne résisteront pas.
La jupe s’arrête au dessus du genou. Elle a enfilé ses talons aiguilles, sa reins sont cambrés, mettant en évidence ses fesses, sa taille.
Elle s’avance doucement vers moi, avec la démarche de vamp que j’affectionne tant. Je ne bouge pas, la laissant venir à moi, dégustant chacun de ses pas qui la rapproche de moi, qui rapproche doucement de mes bras, de mon corps, la femme que j’aime, qui m’aime.
Je suis ébahi par la lumière, le bonheur qu’elle irradie.
Arrivé à un mètre de moi elle pirouette sur place. Deux fentes invisibles permettent au tissu de s’envoler. Je constate qu’elle porte une petite culotte sous son tailleur. Elle me regarde et souri.
Elle à l’air d’attendre mon commentaire. Je m’avance, et tourne autour d’elle doucement, comme si je la regardais de pied en cap, ce que je fais d’ailleurs. Je prends mon temps, je savoure, je la savoure des yeux.
Je la sens qui s’impatiente, son regard me suit. Arrivé derrière elle, je m’approche et passe mes bras autour de sa taille. Elle se laisse aller contre moi.
Tu es magnifique ma puce. Dans cette tenue, je ne pense pas que la patronne de Darjeeling Chantelle, apprécie et considère que tu as une tenue correcte.
Re: Secret de famille
Mel29440 a écrit :ah non pas moi je suis resté fidele au poste sans rien dire en attendent que sa se debride ^^
Comme les amis allemands de Munich (Ocktober Fest) arrivent ce soir pour 3 jours,
je vous postent quelques suites d'avance.
Re: Secret de famille
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Suzanne Ma belle mère
Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte
39)
Arrivé à un mètre de moi elle pirouette sur place. Deux fentes invisibles permettent au tissu de s’envoler. Je constate qu’elle porte une petite culotte sous son tailleur. Elle me regarde et souri.
Elle à l’air d’attendre mon commentaire. Je m’avance, et tourne autour d’elle doucement, comme si je la regardais de pied en cap, ce que je fais d’ailleurs. Je prends mon temps, je savoure, je la savoure des yeux.
Je la sens qui s’impatiente, son regard me suit. Arrivé derrière elle, je m’approche et passe mes bras autour de sa taille. Elle se laisse aller contre moi.
Tu es magnifique ma puce. Dans cette tenue, je ne pense pas que la patronne de Darjeeling Chantelle, apprécie et considère que tu as une tenue correcte.
-/-
J’ouvre les deux boutons qui ferment la veste. Sa poitrine libérée, jailli au devant de mes doigts qui ne peuvent s’empêcher de la caresser. Mes doigts passent en limite de ses aréoles. Elle frémi, sa tête se pose sur mon épaule.
J’aime quand tu me fais cela, j’ai du mettre une petite culotte, je suis indisposée. Je sens que je coule comme une fontaine.
Je la retourne face à moi et l’embrasse, doucement.
Essaye le chemisier dont ta sœur a parlé s’il te plait.
Elle repart dans la chambre à coucher, reviens cinq minutes plus tard. la veste est ouverte sur un chemisier en soie Blanche, suffisamment opaque pour cacher sa poitrine nue. Elle est toujours aussi magnifique, elle le lit dans mes yeux. Elle s’approche doucement, ses mains se posent sur mon cou et ma nuque, ses lèvres picorent les miennes d’une foultitude de petits baisers. Ses yeux se noient dans les miens.
Tu est superbe pour aller travailler. Maintenant tu te changes, on range vite fait tes affaires, on se douche et au lit ma chérie. Il est presque 23heures.
Je commence a accrocher ses robes, ses ensembles dans la penderie. Elle me rejoint discrètement, elle m’embrasse dans la nuque, je sens sa poitrine nue contre mon dos nu. Ses bras se nouent sur mon ventre.
Je t’aime mon Jacques. Je suis tellement heureuse que l’on soit redescendu ce soir. On sera seul au moins une nuit tous les deux.
Elle vient à côté de moi et range ses affaires sur les étagères. Je pose les sacs derrière le chapeau de gendarme l’armoire. Elle me prend par la main et nous nous dirigeons comme deux adolescents vers la salle de bain.
Elle se précipite sous la douche règle la température de l’eau, ouvre le robinet, le temps qu’elle se retourne, je suis collé contre elle.
Nos mains cherchent, caressent nos corps. Deux jours sans presque se toucher, j’ai l’impression de la découvrir, de la redécouvrir.
Mes mains comme animés de leur propres volontés, caressent, palpent, ce corps qui après si peut de temps, me manque déjà tant, m’a tellement manqué. Nos yeux ne se lâchent pas, ne se quittent pas comme si, notre vie dépendait du regard de l’autre.
Elle prend le gel douche, commence à me savonner. Je m’adosse au mur de la douche, je ferme les yeux, je savoure, je profite du plaisir de sentir les mains de ma petite puce qui parcourent, qui caressent mon corps. Elle s’applique comme si elle voulait enlever toute trace, toute odeur.
Elle s’agenouille, me fait écarter les jambes, je sens ses doigts, qui me savonne les jambes, elle évite tout en le frôlant mon pubis. J’ouvre les yeux, la regarde. Sa figure est à quelques centimètres de mon sexe, de ma verge qui est face à sa bouche, à ses lèvres que je voie frémirent. Comme si elle se retenait de la prendre en bouche.
Mon sexe se dandine devant ses yeux. Je la voie qui consciencieusement fait tout pour ne pas le toucher, ne pas le frôler. De la voir faire avec ses mains, de sentir son souffle, sa respiration qui effleure mon gland je sens ma verge qui gonfle.
Magalie lève les yeux, me regarde en souriant. Elle pose ses mains sur mes hanches et souffle doucement sur ma verge, sur mon gland qui commence à s’affoler. Je m’agenouille prend sa tête entre mes mains, l’embrasse furieusement. Mes mains la caresse, elle se redresse, ma main descend vers son pubis.
J’ai mes régles.
Je le sais ma chérie, pour moi c’est normal, il n’y a aucune différence. Si cela te gêne, dis le moi.
Je ne sais pas, mais presque toutes mes copines m’ont dit que leurs copains n’aimaient pas les toucher quand ça leurs arrivent.
Je continue de la caresser, ses yeux ne quittent pas les miens comme si elle cherchait, s’il elle attendait de voir mes réactions dans mon regard.
Mes doigts trouvent son clitoris qui apparait, comme s’il attendait mes doigts, sachant le plaisir qu’ils vont lui donner. Elle se crispe légèrement.
Je reviens.
J’ai l’impression qu’elle est gênée. Je peux le comprendre, elle est si jeune. D’après ce que sabine m‘a dit cela fait à peine un an qu’elle a ses règles, et encore d’une façon anarchique. Il est vrai que ça chamboule le corps, sans parle du mental, qui en prend un coup à chaque fois.
J’aimerais tant qu’elle comprenne, que pour moi une femme, c’est un tout, qu’il n’y a aucun tabou, aucun interdit, aucune appréhension, même en ce moment. Que j’assume, que je l’assume, comme elle est, telle qu’elle est en tout moment.
Elle revient, souri en me voyant songeur.
Tu penses à quoi ?
Pourquoi es tu partie ?
Elle baisse les yeux, je la sens gêner. Délicatement mes doigts prennent son menton, relève doucement sa tête, amène tendrement ses yeux dans les miens.
Ma chérie, tu es indisposée, il n’y a aucune honte à avoir. C’est la vie, la vie des femmes.
Pour moi tu es une femme, et ce quelque soit le moment de ta vie. Je te le redis, tu ne dois, et tu ne devras jamais avoir honte de ton corps, de ce qui se passe avec ton corps.
Maintenant ma puce, réponds à ma question.
Je ne veux pas te gêner. Mais tu dois assumer ton corps, avec ce que tu en penses, en ce moment précis. Avec ce qui pour toi est une imperfection, une gêne et qui te trouble tant en ce moment.
Ses yeux d’abord gêné, reprennent peut à peut de leur pétillant.
J’ai était l’enlever, cela me dérangeait, me gênait de sentir ta main, qui me caressait et ce tampon en moi.
Tout en me le disant, elle passe ses bras autour de mon cou, sa bouche se pose prés de mon oreille, comme si elle voulait ne pas voir mes yeux, comme si elle voulait se lâcher dans ses mots, sans avoir à me regarder. Et doucement, comme un murmure.
C’est vrais que cela ne te gêne pas, ne te dérange pas.
Non ma chérie, en aucune manière quoi que ce soit venant de ton corps ne me dérange.
J’ai senti ta main qui commencé à me caressait et cela m’a gênait. Tu aurais fais quoi si je ne l’avais pas enlevé ? Tu, tu l’aurais….
Je tourne ma tête l’embrasse délicatement, tendrement, la regarde, attends qu’elle ouvre les yeux. Et dans nos souffles.
Oui ma chérie je l’aurais délicatement enlevé et sans aucune honte ni gêne. Sauf si tu ne le veux pas.
Elle prend ma tête entre ses mains, m’embrasse, picore mes lèvres, et soudain telle une furie, se jette sur mes lèvres, les mord, les gobe, sa langue force ma bouche, je la sens qui se bat, s’enroule, fouette la mienne, pour finalement la caresser doucement, alors que son corps se frotte contre le mien, comme si elle voulait qu’il ne fasse qu’un.
Tout est tellement simple, tellement doux, tu es si attentionné, avec moi.
Tout est simple ma chérie, quand on parle.
On fini de se doucher, et on se couche. Tu ne seras pas en forme demain si tu n’as pas ton quota d’heure de sommeil.
Elle me regarde, elle semble déçue. Je prends le gel douche, la savonne doucement, en essayant de ne pas trop l’exciter. Elle me savonne, mais essaie par tous les moyens de faire l’inverse. Je prends le pommeau de douche et nous rince. Je prends une serviette et sans lui laisser le temps de dire quoi que ce soit, je commence à la sécher.
Rageusement elle prend ma serviette des mains, et fini de se sécher en sortant de la salle de bain. Je prends une autre serviette, et la suit. Magalie est en train de déplier le clic-clac. Elle ouvre le lit, se couche, en tournant le dos. Se relève énervée, part dans la chambre d’ami, revient après avoir enfilée une petite culotte adorable, se recouche.
Je vais dans ma chambre, préparer mes affaires pour le lendemain. Je ressorts, règle le radio réveil, ferme le volet, et me couche.
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Suzanne Ma belle mère
Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte
39)
Arrivé à un mètre de moi elle pirouette sur place. Deux fentes invisibles permettent au tissu de s’envoler. Je constate qu’elle porte une petite culotte sous son tailleur. Elle me regarde et souri.
Elle à l’air d’attendre mon commentaire. Je m’avance, et tourne autour d’elle doucement, comme si je la regardais de pied en cap, ce que je fais d’ailleurs. Je prends mon temps, je savoure, je la savoure des yeux.
Je la sens qui s’impatiente, son regard me suit. Arrivé derrière elle, je m’approche et passe mes bras autour de sa taille. Elle se laisse aller contre moi.
Tu es magnifique ma puce. Dans cette tenue, je ne pense pas que la patronne de Darjeeling Chantelle, apprécie et considère que tu as une tenue correcte.
-/-
J’ouvre les deux boutons qui ferment la veste. Sa poitrine libérée, jailli au devant de mes doigts qui ne peuvent s’empêcher de la caresser. Mes doigts passent en limite de ses aréoles. Elle frémi, sa tête se pose sur mon épaule.
J’aime quand tu me fais cela, j’ai du mettre une petite culotte, je suis indisposée. Je sens que je coule comme une fontaine.
Je la retourne face à moi et l’embrasse, doucement.
Essaye le chemisier dont ta sœur a parlé s’il te plait.
Elle repart dans la chambre à coucher, reviens cinq minutes plus tard. la veste est ouverte sur un chemisier en soie Blanche, suffisamment opaque pour cacher sa poitrine nue. Elle est toujours aussi magnifique, elle le lit dans mes yeux. Elle s’approche doucement, ses mains se posent sur mon cou et ma nuque, ses lèvres picorent les miennes d’une foultitude de petits baisers. Ses yeux se noient dans les miens.
Tu est superbe pour aller travailler. Maintenant tu te changes, on range vite fait tes affaires, on se douche et au lit ma chérie. Il est presque 23heures.
Je commence a accrocher ses robes, ses ensembles dans la penderie. Elle me rejoint discrètement, elle m’embrasse dans la nuque, je sens sa poitrine nue contre mon dos nu. Ses bras se nouent sur mon ventre.
Je t’aime mon Jacques. Je suis tellement heureuse que l’on soit redescendu ce soir. On sera seul au moins une nuit tous les deux.
Elle vient à côté de moi et range ses affaires sur les étagères. Je pose les sacs derrière le chapeau de gendarme l’armoire. Elle me prend par la main et nous nous dirigeons comme deux adolescents vers la salle de bain.
Elle se précipite sous la douche règle la température de l’eau, ouvre le robinet, le temps qu’elle se retourne, je suis collé contre elle.
Nos mains cherchent, caressent nos corps. Deux jours sans presque se toucher, j’ai l’impression de la découvrir, de la redécouvrir.
Mes mains comme animés de leur propres volontés, caressent, palpent, ce corps qui après si peut de temps, me manque déjà tant, m’a tellement manqué. Nos yeux ne se lâchent pas, ne se quittent pas comme si, notre vie dépendait du regard de l’autre.
Elle prend le gel douche, commence à me savonner. Je m’adosse au mur de la douche, je ferme les yeux, je savoure, je profite du plaisir de sentir les mains de ma petite puce qui parcourent, qui caressent mon corps. Elle s’applique comme si elle voulait enlever toute trace, toute odeur.
Elle s’agenouille, me fait écarter les jambes, je sens ses doigts, qui me savonne les jambes, elle évite tout en le frôlant mon pubis. J’ouvre les yeux, la regarde. Sa figure est à quelques centimètres de mon sexe, de ma verge qui est face à sa bouche, à ses lèvres que je voie frémirent. Comme si elle se retenait de la prendre en bouche.
Mon sexe se dandine devant ses yeux. Je la voie qui consciencieusement fait tout pour ne pas le toucher, ne pas le frôler. De la voir faire avec ses mains, de sentir son souffle, sa respiration qui effleure mon gland je sens ma verge qui gonfle.
Magalie lève les yeux, me regarde en souriant. Elle pose ses mains sur mes hanches et souffle doucement sur ma verge, sur mon gland qui commence à s’affoler. Je m’agenouille prend sa tête entre mes mains, l’embrasse furieusement. Mes mains la caresse, elle se redresse, ma main descend vers son pubis.
J’ai mes régles.
Je le sais ma chérie, pour moi c’est normal, il n’y a aucune différence. Si cela te gêne, dis le moi.
Je ne sais pas, mais presque toutes mes copines m’ont dit que leurs copains n’aimaient pas les toucher quand ça leurs arrivent.
Je continue de la caresser, ses yeux ne quittent pas les miens comme si elle cherchait, s’il elle attendait de voir mes réactions dans mon regard.
Mes doigts trouvent son clitoris qui apparait, comme s’il attendait mes doigts, sachant le plaisir qu’ils vont lui donner. Elle se crispe légèrement.
Je reviens.
J’ai l’impression qu’elle est gênée. Je peux le comprendre, elle est si jeune. D’après ce que sabine m‘a dit cela fait à peine un an qu’elle a ses règles, et encore d’une façon anarchique. Il est vrai que ça chamboule le corps, sans parle du mental, qui en prend un coup à chaque fois.
J’aimerais tant qu’elle comprenne, que pour moi une femme, c’est un tout, qu’il n’y a aucun tabou, aucun interdit, aucune appréhension, même en ce moment. Que j’assume, que je l’assume, comme elle est, telle qu’elle est en tout moment.
Elle revient, souri en me voyant songeur.
Tu penses à quoi ?
Pourquoi es tu partie ?
Elle baisse les yeux, je la sens gêner. Délicatement mes doigts prennent son menton, relève doucement sa tête, amène tendrement ses yeux dans les miens.
Ma chérie, tu es indisposée, il n’y a aucune honte à avoir. C’est la vie, la vie des femmes.
Pour moi tu es une femme, et ce quelque soit le moment de ta vie. Je te le redis, tu ne dois, et tu ne devras jamais avoir honte de ton corps, de ce qui se passe avec ton corps.
Maintenant ma puce, réponds à ma question.
Je ne veux pas te gêner. Mais tu dois assumer ton corps, avec ce que tu en penses, en ce moment précis. Avec ce qui pour toi est une imperfection, une gêne et qui te trouble tant en ce moment.
Ses yeux d’abord gêné, reprennent peut à peut de leur pétillant.
J’ai était l’enlever, cela me dérangeait, me gênait de sentir ta main, qui me caressait et ce tampon en moi.
Tout en me le disant, elle passe ses bras autour de mon cou, sa bouche se pose prés de mon oreille, comme si elle voulait ne pas voir mes yeux, comme si elle voulait se lâcher dans ses mots, sans avoir à me regarder. Et doucement, comme un murmure.
C’est vrais que cela ne te gêne pas, ne te dérange pas.
Non ma chérie, en aucune manière quoi que ce soit venant de ton corps ne me dérange.
J’ai senti ta main qui commencé à me caressait et cela m’a gênait. Tu aurais fais quoi si je ne l’avais pas enlevé ? Tu, tu l’aurais….
Je tourne ma tête l’embrasse délicatement, tendrement, la regarde, attends qu’elle ouvre les yeux. Et dans nos souffles.
Oui ma chérie je l’aurais délicatement enlevé et sans aucune honte ni gêne. Sauf si tu ne le veux pas.
Elle prend ma tête entre ses mains, m’embrasse, picore mes lèvres, et soudain telle une furie, se jette sur mes lèvres, les mord, les gobe, sa langue force ma bouche, je la sens qui se bat, s’enroule, fouette la mienne, pour finalement la caresser doucement, alors que son corps se frotte contre le mien, comme si elle voulait qu’il ne fasse qu’un.
Tout est tellement simple, tellement doux, tu es si attentionné, avec moi.
Tout est simple ma chérie, quand on parle.
On fini de se doucher, et on se couche. Tu ne seras pas en forme demain si tu n’as pas ton quota d’heure de sommeil.
Elle me regarde, elle semble déçue. Je prends le gel douche, la savonne doucement, en essayant de ne pas trop l’exciter. Elle me savonne, mais essaie par tous les moyens de faire l’inverse. Je prends le pommeau de douche et nous rince. Je prends une serviette et sans lui laisser le temps de dire quoi que ce soit, je commence à la sécher.
Rageusement elle prend ma serviette des mains, et fini de se sécher en sortant de la salle de bain. Je prends une autre serviette, et la suit. Magalie est en train de déplier le clic-clac. Elle ouvre le lit, se couche, en tournant le dos. Se relève énervée, part dans la chambre d’ami, revient après avoir enfilée une petite culotte adorable, se recouche.
Je vais dans ma chambre, préparer mes affaires pour le lendemain. Je ressorts, règle le radio réveil, ferme le volet, et me couche.
Re: Secret de famille
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Suzanne Ma belle mère
Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte
40)
Rageusement elle prend ma serviette des mains, et fini de se sécher en sortant de la salle de bain. Je prends une autre serviette, et la suit. Magalie est en train de déplier le clic-clac. Elle ouvre le lit, se couche, en tournant le dos. Se relève énervée, part dans la chambre d’ami, revient après avoir enfilée une petite culotte adorable, se recouche.
Je vais dans ma chambre, préparer mes affaires pour le lendemain. Je ressorts, règle le radio réveil, ferme le volet, et me couche.
-/-
Je passe mon bras au dessus de Magalie, ma main se pose sur une des siennes. Je l’entends murmurer :
Je croyais que tu aller dormir dans ta chambre quand je t’ai entendu y partir. J’aurais était trop malheureuse de dormir seule. J’aime tant être dans tes bras, alors m’endormir contre toi, dans tes bras je suis heureuse.
Tu m’énerves, tu as encore raison, je suis crevée.
Elle prend mon autre bras, le passe sous sa nuque le plaque contre sa poitrine. Elle se love contre moi, ses fesses viennent se coller contre mon ventre. Elle prend ma main la pose sur sa petite culotte, l’emprisonne entre ses cuisses.
Elle se détend, moi aussi. Je sombre dans les bras de Morphée.
Je me réveille ne bouge pas, la puce est contre moi, dans la même position que lorsque nous nous sommes couché.
Ma main pendant la nuit a dut glissée dans sa petite culotte, mon doigt joue avec son clitoris.
Il commence doucement à frétiller au bout de mon doigt quand je sens les fesses de Magalie qui se frottent doucement contre mon ventre.
Je réalise que comme tous les matins une belle érection se manifeste. Magalie est en train de se charger de l’amplifier, et je ne pense pas que ce soit pour mon seul plaisir.
J’aime quand tu me réveilles comme cela. Dommage que j’ai mes règles, j’aurais aimé que tu me réveilles comme je te l’ai fais l’autre jour, cela doit être merveilleux de se faire réveiller par mon amant qui me dévore ma petite chatte.
Elle se retourne, m’embrasse, nos corps sont collé l’un à l’autre.
J’ai envie de toi, de te sentir en moi. Déjà hier soir rien. Je suis d’accord j’étais fatigué, et je pense que toi aussi.
Je me suis réveillé cette nuit, tu dormais comme un gros bébé.
J’ai aimé sentir ton souffle dans ma nuque, sentir ton sexe endormi contre mes fesses. Simplement sentir le corps de mon homme, contre moi
Ses mains se promènent sur mon corps, me provoquant de doux frissons. Ses yeux ne me quittent pas. Sa cuisse appui doucement sur mon sexe, comme si elle le caressait. J’embrasse, son cou descend vers sa poitrine, commence doucement, à lui lécher ses tétons qui pointent. Elle prend ma tête, m’embrasse.
J’ai envie de te sentir en moi, pas que tu me fasses l’amour, juste te sentir en moi.
J’aimerais tant un jour, m’endormir avec ton sexe en moi, dormir en sentant le sexe de l’homme que j’aime au plus profond de mon ventre.
Je me lève, regarde discrètement le réveil il est 5h 00. Je vais chercher un drap de bain, l’étale sur le lit. Magalie me regarde étonné, se lève, me prend par la main, m’attire vers elle, prend mes mains, les posent sur ses fesses.
Elle m’embrasse tendrement.
Emporte-moi sous la douche mon amour. Il y aura moins de risque de salir quelque chose.
Mes mains la soulèvent, elle croise ses jambes dans mon dos, ses seins s’écrasent sur ma poitrine. Elle me mordille le lobe de l’oreille tout en frottant sa petite culotte contre mon sexe. Le frottement de la soie contre mon gland, m’électrise. Des frissons parcours mon corps, elle le remarque et souri.
Quand elle veut quelque chose, elle se donne les moyens de ces envies. Elle se frotte comme une diablesse contre moi, elle en a envie, elle veut faire monter mon désir, que j’en ai aussi envie. Elle fait tout pour me faire plier, pour me faire céder à ses envies. Elle est sublime quand elle se donne, car en ce moment elle se donne à notre amour.
Tout en marchant je soulève son corps, et amène ses tétons face à ma bouche. Je les pince doucement avec les dents, Magalie sursaute, et prends appuis sur mes épaules avec ses coudes. Elle écrase sa poitrine sur mes lèvres.
C’est fou, j’ai des décharges dans tout le corps. Continue je t’en pris, c’est trop bon, c’est trop fort.
Je m’adosse au cadre de porte et continue à mordiller ses tétons les uns après les autres.
Magalie à chaque pincement serre ses cuisses comme une folle, se frotte contre mon ventre.
Ses tétons qui sont durs comme du bois, roulent entre mes dents. Je coince délicatement un de ses tétons et m’amuse à le faire rouler, à le faire tourner avec la langue.
Magalie se tétanise. Commence à gémir.
Je desserre les dents, mes lèvres, ma langue joue avec son téton, apaise la tension que je sens monter en elle. Ses seins sont durs comme du béton.
Continue je t’en prie, sinon je te fais pareil, mais sur ton sexe. Je t’en prie, continue.
Sa petite culotte est trempée. Elle se frotte comme une démente contre ma hanche.
Je me dirige vers la douche tout en la faisant glisser doucement vers le sol. Arriver à la douche, je lui enlève sa petite culotte qui est trempée de sa mouille et de son sang. Je la mets dans une bassine, Magalie me la prend gentiment des mains, et la remplie d’eau froide. S’approche.
J’ai compris que maintenant que cela ne te gêne pas, mais je préfère l’enlever moi-même, comprends moi.
Je le regarde un petit sourire aux lèvres.
Elle part aux toilettes et reviens tout joyeuse, entre sous la douche, se rince.
Elle regarde l’eau rougit qui s’écoule sur ses cuisses, dans le fond de la douche, qui disparait en circonvolutions dans le siphon de la douche.
Discrètement elle me regarde. J’entre dans la douche, lui relève doucement le menton, l’embrasse.
Ma puce, ma petite puce, je t’ais dit, que tu n’es pas prête.
Ta tête n’est pas prête, tu ne t’acceptes pas encore totalement, comme étant une femme.
Tu as un corps de femme, des envies de femme, mais dans ta tête tu n’es pas encore une femme. Ce n’est pas une critique loin de moi cette idée.
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Suzanne Ma belle mère
Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte
40)
Rageusement elle prend ma serviette des mains, et fini de se sécher en sortant de la salle de bain. Je prends une autre serviette, et la suit. Magalie est en train de déplier le clic-clac. Elle ouvre le lit, se couche, en tournant le dos. Se relève énervée, part dans la chambre d’ami, revient après avoir enfilée une petite culotte adorable, se recouche.
Je vais dans ma chambre, préparer mes affaires pour le lendemain. Je ressorts, règle le radio réveil, ferme le volet, et me couche.
-/-
Je passe mon bras au dessus de Magalie, ma main se pose sur une des siennes. Je l’entends murmurer :
Je croyais que tu aller dormir dans ta chambre quand je t’ai entendu y partir. J’aurais était trop malheureuse de dormir seule. J’aime tant être dans tes bras, alors m’endormir contre toi, dans tes bras je suis heureuse.
Tu m’énerves, tu as encore raison, je suis crevée.
Elle prend mon autre bras, le passe sous sa nuque le plaque contre sa poitrine. Elle se love contre moi, ses fesses viennent se coller contre mon ventre. Elle prend ma main la pose sur sa petite culotte, l’emprisonne entre ses cuisses.
Elle se détend, moi aussi. Je sombre dans les bras de Morphée.
Je me réveille ne bouge pas, la puce est contre moi, dans la même position que lorsque nous nous sommes couché.
Ma main pendant la nuit a dut glissée dans sa petite culotte, mon doigt joue avec son clitoris.
Il commence doucement à frétiller au bout de mon doigt quand je sens les fesses de Magalie qui se frottent doucement contre mon ventre.
Je réalise que comme tous les matins une belle érection se manifeste. Magalie est en train de se charger de l’amplifier, et je ne pense pas que ce soit pour mon seul plaisir.
J’aime quand tu me réveilles comme cela. Dommage que j’ai mes règles, j’aurais aimé que tu me réveilles comme je te l’ai fais l’autre jour, cela doit être merveilleux de se faire réveiller par mon amant qui me dévore ma petite chatte.
Elle se retourne, m’embrasse, nos corps sont collé l’un à l’autre.
J’ai envie de toi, de te sentir en moi. Déjà hier soir rien. Je suis d’accord j’étais fatigué, et je pense que toi aussi.
Je me suis réveillé cette nuit, tu dormais comme un gros bébé.
J’ai aimé sentir ton souffle dans ma nuque, sentir ton sexe endormi contre mes fesses. Simplement sentir le corps de mon homme, contre moi
Ses mains se promènent sur mon corps, me provoquant de doux frissons. Ses yeux ne me quittent pas. Sa cuisse appui doucement sur mon sexe, comme si elle le caressait. J’embrasse, son cou descend vers sa poitrine, commence doucement, à lui lécher ses tétons qui pointent. Elle prend ma tête, m’embrasse.
J’ai envie de te sentir en moi, pas que tu me fasses l’amour, juste te sentir en moi.
J’aimerais tant un jour, m’endormir avec ton sexe en moi, dormir en sentant le sexe de l’homme que j’aime au plus profond de mon ventre.
Je me lève, regarde discrètement le réveil il est 5h 00. Je vais chercher un drap de bain, l’étale sur le lit. Magalie me regarde étonné, se lève, me prend par la main, m’attire vers elle, prend mes mains, les posent sur ses fesses.
Elle m’embrasse tendrement.
Emporte-moi sous la douche mon amour. Il y aura moins de risque de salir quelque chose.
Mes mains la soulèvent, elle croise ses jambes dans mon dos, ses seins s’écrasent sur ma poitrine. Elle me mordille le lobe de l’oreille tout en frottant sa petite culotte contre mon sexe. Le frottement de la soie contre mon gland, m’électrise. Des frissons parcours mon corps, elle le remarque et souri.
Quand elle veut quelque chose, elle se donne les moyens de ces envies. Elle se frotte comme une diablesse contre moi, elle en a envie, elle veut faire monter mon désir, que j’en ai aussi envie. Elle fait tout pour me faire plier, pour me faire céder à ses envies. Elle est sublime quand elle se donne, car en ce moment elle se donne à notre amour.
Tout en marchant je soulève son corps, et amène ses tétons face à ma bouche. Je les pince doucement avec les dents, Magalie sursaute, et prends appuis sur mes épaules avec ses coudes. Elle écrase sa poitrine sur mes lèvres.
C’est fou, j’ai des décharges dans tout le corps. Continue je t’en pris, c’est trop bon, c’est trop fort.
Je m’adosse au cadre de porte et continue à mordiller ses tétons les uns après les autres.
Magalie à chaque pincement serre ses cuisses comme une folle, se frotte contre mon ventre.
Ses tétons qui sont durs comme du bois, roulent entre mes dents. Je coince délicatement un de ses tétons et m’amuse à le faire rouler, à le faire tourner avec la langue.
Magalie se tétanise. Commence à gémir.
Je desserre les dents, mes lèvres, ma langue joue avec son téton, apaise la tension que je sens monter en elle. Ses seins sont durs comme du béton.
Continue je t’en prie, sinon je te fais pareil, mais sur ton sexe. Je t’en prie, continue.
Sa petite culotte est trempée. Elle se frotte comme une démente contre ma hanche.
Je me dirige vers la douche tout en la faisant glisser doucement vers le sol. Arriver à la douche, je lui enlève sa petite culotte qui est trempée de sa mouille et de son sang. Je la mets dans une bassine, Magalie me la prend gentiment des mains, et la remplie d’eau froide. S’approche.
J’ai compris que maintenant que cela ne te gêne pas, mais je préfère l’enlever moi-même, comprends moi.
Je le regarde un petit sourire aux lèvres.
Elle part aux toilettes et reviens tout joyeuse, entre sous la douche, se rince.
Elle regarde l’eau rougit qui s’écoule sur ses cuisses, dans le fond de la douche, qui disparait en circonvolutions dans le siphon de la douche.
Discrètement elle me regarde. J’entre dans la douche, lui relève doucement le menton, l’embrasse.
Ma puce, ma petite puce, je t’ais dit, que tu n’es pas prête.
Ta tête n’est pas prête, tu ne t’acceptes pas encore totalement, comme étant une femme.
Tu as un corps de femme, des envies de femme, mais dans ta tête tu n’es pas encore une femme. Ce n’est pas une critique loin de moi cette idée.
Re: Secret de famille
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Suzanne Ma belle mère
Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte
41)
Je le regarde un petit sourire aux lèvres.
Elle part aux toilettes et reviens tout joyeuse, entre sous la douche et se rince. Elle regarde l’eau rougit qui s’écoule sur ses cuisses, dans le fond de la douche, qui disparait en circonvolutions dans le siphon de la douche.
Discrètement elle me regarde. J’entre dans la douche, lui relève doucement le menton, l’embrasse.
Ma puce, ma petite puce, je t’ais dit, que tu n’es pas prête.
Ta tête n’est pas prête, tu ne t’acceptes pas encore totalement, comme étant une femme.
Tu as un corps de femme, des envies de femme, mais dans ta tête tu n’es pas encore une femme. Ce n’est pas une critique loin de moi cette idée.
-/-
Elle me regarde, avec une intensité qui me dit tout le combat qui se déroule en ce moment dans sa tête. Des larmes commencent à perler aux coins de ses yeux. Tenant toujours son menton, je me penche et doucement lape ses larmes.
Elle me saute au cou, ses jambes enserrent ma taille. Mes mains se posent sur ses fesses. Elle frotte son pubis contre mon sexe.
Ce que tu viens de me dire est dur, très dur a accepter. Je commence enfin à comprendre ce que tu voulais que je comprenne, que ma tête comprenne.
Tout ce qui s’est passé entre nous, jusqu’à présent c’est ma tête qui le voulait, qui le veut.
Quand je t’ai fait jouir avec ma bouche, que tu as joui dans mes entrailles, là c’est mon corps qui hurlait son désir, son envie de se donner. Je ne dirigeais rien, mon corps le voulait.
Là mon corps et ma tête veulent sentir ta verge dans mon ventre. Je t’en prie laisse-moi faire. Je n’irais pas plus loin que je ne dois, que je ne le dois, je te l’ai promis.
Mais je le veux, je veux te sentir en moi, dans mon ventre qui pleure des larmes de sang, qui te veux en lui.
Elle m’embrasse tendrement. Sa main glisse entre nous, me guide dans son ventre en feu.
J’ai envie de sentir tes doigts me fouiller pendant que ton sexe m’empli. Cela a était si intense, si doux entre nous la dernière fois, que mon corps en a envie, j’en ai besoin.
Elle m’embrasse doucement, amoureusement, pose son front contre le mien, me fixe. Je lis tous ses doutes, toutes les questions, qu’elle se pose en ce moment, dans son regard qui semble si loin, perdu qu’elle est dans ses pensées.
Elle commence doucement à bouger. Se laisse doucement descendre sur mon sexe. Je sens son hymen, qui doucement appui sur mon gland. Mes mains qui ne la retiennent pas caressent ses fesses.
Une de mes mains quitte ses fesses, et viens caresser ses cheveux, elle semble sortir de ses pensés.
Ma main s’approche de ma bouche, elle fait non de la tête et entrouvre ses lèvres. Deux de mes doigts s’approchent de ses lèvres, sa langue commence à les lécher comme s’il s’agissait de mon sexe.
De la voire faire les yeux dans les yeux, sans aucune pudeur, naturellement, me fait un effet incroyable. Elle penche légèrement la tête et aspire mes doigts. Sa langue continue son manège infernale sur eux. Ses yeux brillent, ma main est obligée de la soutenir, tant elle tremble. Je sens sa mouille, ou est ce son sang qui coule sur ma verge, mes bourses.
De légères contractions parcourent son ventre. Ma main quitte sa bouche, et commence doucement à caresser son petit œillet. Un doigt la pénètre doucement suivi d’un deuxième.
Lentement, très lentement mes doigts s’immiscent en elle.
Elle ne bouge plus, elle essaie de se bloquer de se retenir, sur mes épaules.
Je la sens hésiter, à se laisser aller, à s’empaler sur mon sexe.
Ses yeux ont l’air fou, sont fou, sa figure est crispée, tendue. Est-ce mon sexe dans son ventre, est-ce mes doigts qui maintenant, la fouille honteusement au plus profond de ses fesses qui la mettent dans cet état.
Elle me regarde, prends appuis sur mes épaules, remonte. Mon sexe quitte son fourreau si chaud. Elle prend la douchette me lave, tout en me caressant.
Elle s’agenouille, recule sa tête me regarde, prend mon sexe en bouche.
Ses lèvres se serrent au passage de mon gland. Sa langue le lèche le titille. Ses yeux brillent, elle commence un lent va et vient avec sa bouche. Mon sexe grandi dans sa bouche.
Elle se relève, prends appuis contre le mur, se retourne en dirigeant mon sexe vers ses fesses.
Prend mes fesses. Je te les donne, elles se donnent à toi. Elles veulent juste te sentir en elles.
Elles veulent à nouveau sentir ce sexe qui les a fait tant jouir il y a si longtemps, pour elles maintenant.
Je m’agenouille derrière elle, mes doigts tout en caressant son anus, écarte ses fesses. Ma langue, doucement joue avec, le lèche, le pénètre, ses mains chassent les miennes et écartent encore plus ses deux globes, comme pour mieux me le présenter, me l’offrir. Deux de mes doigts, la pénètre, la fouille. Elle cambre ses reins pour mieux m’offrir son petit trou, sa voie secrète, qu’elle aime que je profane sans retenue.
Mes yeux se lève, elle me regarde, elle regarde ma bouche qui embrasse son petit oeillet, mes doigts qui la fouillent, ma langue, qui joue avec les plis de son si petit anus.
Ses yeux, semble réagir comme tout son corps d’ailleurs, lorsque mes doigts la pénètrent, elle pousse comme si elle voulait les faire pénétrer au plus profonde d’elle..
Prend moi s’il te plait, mes fesses, mon anus veulent sentir ton sexe le pénétrer, tes cuisses claquer sur mes fesses. Baise moi je t’en prie, vibre pour moi, vibre pour mes fesses.
Je me redresse, ses yeux brillent, je voie ses mains écarter violement ses deux magnifiques globes que sont ses fesses.
Mon gland ce coquin comme s’il connaissait le chemin, comme s’il avait envie de retourner dans ces entrailles où il a déjà joui avec un si grand plaisir, est déjà contre son œillet qui s’élargie déjà, Magalie poussant comme la première fois.
Laisse moi faire s’il te plait, je veux m’empaler sur ton sexe, je veux le sentir me prendre, prendre possession de mes fesses, comme elles, elles le veulent.
Elle pousse doucement. Je sens son anus se dilater, mon gland commence à la pénétrer. Elle est détendue. Je prends ma hampe en main, Magalie, recule et s’empale tout doucement. Mon gland est en elle. Elle s’arrête me regarde.
Magalie la tête tournée, ne me quitte pas des yeux. Ses yeux brillent comme si elle jouissait du fait de s’empaler elle-même sur ma hampe, de me voir attentif à ses moindres désirs, à ses envies du moment.
Elle se cambre encore plus, mes mains se posent sur ses hanches. Une après l’autre ses mains quittent ses fesses, et attrapent mes mains.
Elle tire sur ses bras. Plus son dos se creuse, plus elle cambre ses fesses. Son dos me donne l’impression d’être un arc, un arc qui se tend autant que son désir d’avoir mon sexe en elle.
Elle commence a tirer sur mes bras je sens mon sexe qui s’enfonce doucement, lentement en elle. Inexorablement je progresse dans ses fesses, dans son anus, qui m’accepte complètement en lui.
Ses yeux pétillent, son souffle est court, rapide. Son visage me montre, m’expose le plaisir, qu’elle se donne en se moment en s’empalant, à son rythme, sur mon sexe.
Elle tire brusquement sur mes bras, et s’empale complètement. Ses yeux chavirent, elle se mord les lèvres.
Ses mains me lâchent et se posent sur le mur face à elle. Elle ne bouge pas, c’est comme si elle savourait ce moment où elle me sent complètement en elle.
Mes mains se posent sur ses hanches, je commence doucement à bouger.
Sa tête se tourne, elle me fait non de la tête, je me plaque contre elle, mon sexe fiché entièrement dans ses fesses ne bouge plus. Je sens son bassin qui bascule doucement de haut en bas, son anus qui se contracte, se relâche.
Tout en étant en appuis sur le mur, elle se redresse lentement. Ses yeux sont complètement chavirés, son visage est crispé. Mes mains ont quittés ses hanches, et joue avec ses tétons, qui sont si apparents, si durs. Elle gémi, une de mes mains quitte un téton, glisse sur son ventre, que je sens frissonner. Je trouve immédiatement son clitoris qui est énorme. Il frétille déjà de sentir mes doigts approchés, comme s’il leur faisait signe pour montrer où mes doigts doivent venir se poser.
Je le caresse, l’écrase, le martyrise, Magalie gémit, je sens son anus qui se serre, chaque fois que je martyrise, maltraite son bouton d’amour. Elle coule comme une folle, est-ce sa mouille, est-ce son sang, je ne sais, ne veux pas le savoir, cela ne m’intéresse pas. Tout ce qui m’intéresse en ce moment est le plaisir que nous avons, a être ensemble tous les deux. Une de ses mains se plaque sur la mienne.
Maltraite le, martyrise le, j’aime quand tu es violent avec lui.
En ce moment je suis le plus heureux des hommes, Ma puce commence a accepter ce qui la dérange, ce qui est pour elle une imperfections de sa vie d’une femme.
Je commence à la sentir bouger, elle gémi, elle râle de plaisir, elle bouge sur mon sexe, joue avec lui, va à presque le faire sortir d’elle pour mieux s’empaler dessus. Mes mains se posent sur ses hanches, doucement je l’attire vers moi, cela ne doits pas être assez fort, assez puissant, elle s’empale violement, comme pour me faire comprendre de la prendre avec plus de force.
Mes mains suivent sa volonté, ses fesses claquent contre mes cuisses, je la prends, la baise comme elle veut, avec force, avec violence.
Elle gémi, j’ai du mal, tant les coups de boutoirs qu’elle se fait subir sont violent. Ce n’est pas moi qui lui défonce ses fesses, qui la prend violement, c’est elle qui se sert de moi, de mon sexe, pour son plaisir.
Ses gémissements, vont crescendo, mon sexe sort de complètement de son anus pour replonger avec violence en lui. Je sens son corps qui commence à se tétaniser, sa tête bouge dans tous les sens.
Plus fort je vais jouir, défonce moi.
De l’entendre se lâcher, m’exprimer ce qu’elle ressent, un frisson parcours ma colonne vertébrale, je sens mon sexe gonflé, grossir dans ses fesses, que j’adore, dans ses fesses qu’elle me donne, dans ses fesses où je vais jouir sans retenue, pour son plaisir et le mien.
J’ai du mal à la tenir, la retenir, tant elle se donne. Je l’entends gémir de plus en plus fort, ses gémissements se transforment en feulement.
Ma lionne est là, la lionne que j’aime, qui se donne, qui a décidé que ce serait moi son mâle, vient de réapparaitre.
Quand enfin elle laisse sortir son feulement de lionne en chaleur, elle s’empale avec violence, son anus se resserre sur mon sexe, son corps se tétanise, je ne puis me retenir plus longtemps, je joui dans ses entrailles, en longues saccades. J’ai l’impression de les ressentir doublement. A chacune, son corps frémi, comme si elle voulait me faire partager son ressenti.
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Suzanne Ma belle mère
Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte
41)
Je le regarde un petit sourire aux lèvres.
Elle part aux toilettes et reviens tout joyeuse, entre sous la douche et se rince. Elle regarde l’eau rougit qui s’écoule sur ses cuisses, dans le fond de la douche, qui disparait en circonvolutions dans le siphon de la douche.
Discrètement elle me regarde. J’entre dans la douche, lui relève doucement le menton, l’embrasse.
Ma puce, ma petite puce, je t’ais dit, que tu n’es pas prête.
Ta tête n’est pas prête, tu ne t’acceptes pas encore totalement, comme étant une femme.
Tu as un corps de femme, des envies de femme, mais dans ta tête tu n’es pas encore une femme. Ce n’est pas une critique loin de moi cette idée.
-/-
Elle me regarde, avec une intensité qui me dit tout le combat qui se déroule en ce moment dans sa tête. Des larmes commencent à perler aux coins de ses yeux. Tenant toujours son menton, je me penche et doucement lape ses larmes.
Elle me saute au cou, ses jambes enserrent ma taille. Mes mains se posent sur ses fesses. Elle frotte son pubis contre mon sexe.
Ce que tu viens de me dire est dur, très dur a accepter. Je commence enfin à comprendre ce que tu voulais que je comprenne, que ma tête comprenne.
Tout ce qui s’est passé entre nous, jusqu’à présent c’est ma tête qui le voulait, qui le veut.
Quand je t’ai fait jouir avec ma bouche, que tu as joui dans mes entrailles, là c’est mon corps qui hurlait son désir, son envie de se donner. Je ne dirigeais rien, mon corps le voulait.
Là mon corps et ma tête veulent sentir ta verge dans mon ventre. Je t’en prie laisse-moi faire. Je n’irais pas plus loin que je ne dois, que je ne le dois, je te l’ai promis.
Mais je le veux, je veux te sentir en moi, dans mon ventre qui pleure des larmes de sang, qui te veux en lui.
Elle m’embrasse tendrement. Sa main glisse entre nous, me guide dans son ventre en feu.
J’ai envie de sentir tes doigts me fouiller pendant que ton sexe m’empli. Cela a était si intense, si doux entre nous la dernière fois, que mon corps en a envie, j’en ai besoin.
Elle m’embrasse doucement, amoureusement, pose son front contre le mien, me fixe. Je lis tous ses doutes, toutes les questions, qu’elle se pose en ce moment, dans son regard qui semble si loin, perdu qu’elle est dans ses pensées.
Elle commence doucement à bouger. Se laisse doucement descendre sur mon sexe. Je sens son hymen, qui doucement appui sur mon gland. Mes mains qui ne la retiennent pas caressent ses fesses.
Une de mes mains quitte ses fesses, et viens caresser ses cheveux, elle semble sortir de ses pensés.
Ma main s’approche de ma bouche, elle fait non de la tête et entrouvre ses lèvres. Deux de mes doigts s’approchent de ses lèvres, sa langue commence à les lécher comme s’il s’agissait de mon sexe.
De la voire faire les yeux dans les yeux, sans aucune pudeur, naturellement, me fait un effet incroyable. Elle penche légèrement la tête et aspire mes doigts. Sa langue continue son manège infernale sur eux. Ses yeux brillent, ma main est obligée de la soutenir, tant elle tremble. Je sens sa mouille, ou est ce son sang qui coule sur ma verge, mes bourses.
De légères contractions parcourent son ventre. Ma main quitte sa bouche, et commence doucement à caresser son petit œillet. Un doigt la pénètre doucement suivi d’un deuxième.
Lentement, très lentement mes doigts s’immiscent en elle.
Elle ne bouge plus, elle essaie de se bloquer de se retenir, sur mes épaules.
Je la sens hésiter, à se laisser aller, à s’empaler sur mon sexe.
Ses yeux ont l’air fou, sont fou, sa figure est crispée, tendue. Est-ce mon sexe dans son ventre, est-ce mes doigts qui maintenant, la fouille honteusement au plus profond de ses fesses qui la mettent dans cet état.
Elle me regarde, prends appuis sur mes épaules, remonte. Mon sexe quitte son fourreau si chaud. Elle prend la douchette me lave, tout en me caressant.
Elle s’agenouille, recule sa tête me regarde, prend mon sexe en bouche.
Ses lèvres se serrent au passage de mon gland. Sa langue le lèche le titille. Ses yeux brillent, elle commence un lent va et vient avec sa bouche. Mon sexe grandi dans sa bouche.
Elle se relève, prends appuis contre le mur, se retourne en dirigeant mon sexe vers ses fesses.
Prend mes fesses. Je te les donne, elles se donnent à toi. Elles veulent juste te sentir en elles.
Elles veulent à nouveau sentir ce sexe qui les a fait tant jouir il y a si longtemps, pour elles maintenant.
Je m’agenouille derrière elle, mes doigts tout en caressant son anus, écarte ses fesses. Ma langue, doucement joue avec, le lèche, le pénètre, ses mains chassent les miennes et écartent encore plus ses deux globes, comme pour mieux me le présenter, me l’offrir. Deux de mes doigts, la pénètre, la fouille. Elle cambre ses reins pour mieux m’offrir son petit trou, sa voie secrète, qu’elle aime que je profane sans retenue.
Mes yeux se lève, elle me regarde, elle regarde ma bouche qui embrasse son petit oeillet, mes doigts qui la fouillent, ma langue, qui joue avec les plis de son si petit anus.
Ses yeux, semble réagir comme tout son corps d’ailleurs, lorsque mes doigts la pénètrent, elle pousse comme si elle voulait les faire pénétrer au plus profonde d’elle..
Prend moi s’il te plait, mes fesses, mon anus veulent sentir ton sexe le pénétrer, tes cuisses claquer sur mes fesses. Baise moi je t’en prie, vibre pour moi, vibre pour mes fesses.
Je me redresse, ses yeux brillent, je voie ses mains écarter violement ses deux magnifiques globes que sont ses fesses.
Mon gland ce coquin comme s’il connaissait le chemin, comme s’il avait envie de retourner dans ces entrailles où il a déjà joui avec un si grand plaisir, est déjà contre son œillet qui s’élargie déjà, Magalie poussant comme la première fois.
Laisse moi faire s’il te plait, je veux m’empaler sur ton sexe, je veux le sentir me prendre, prendre possession de mes fesses, comme elles, elles le veulent.
Elle pousse doucement. Je sens son anus se dilater, mon gland commence à la pénétrer. Elle est détendue. Je prends ma hampe en main, Magalie, recule et s’empale tout doucement. Mon gland est en elle. Elle s’arrête me regarde.
Magalie la tête tournée, ne me quitte pas des yeux. Ses yeux brillent comme si elle jouissait du fait de s’empaler elle-même sur ma hampe, de me voir attentif à ses moindres désirs, à ses envies du moment.
Elle se cambre encore plus, mes mains se posent sur ses hanches. Une après l’autre ses mains quittent ses fesses, et attrapent mes mains.
Elle tire sur ses bras. Plus son dos se creuse, plus elle cambre ses fesses. Son dos me donne l’impression d’être un arc, un arc qui se tend autant que son désir d’avoir mon sexe en elle.
Elle commence a tirer sur mes bras je sens mon sexe qui s’enfonce doucement, lentement en elle. Inexorablement je progresse dans ses fesses, dans son anus, qui m’accepte complètement en lui.
Ses yeux pétillent, son souffle est court, rapide. Son visage me montre, m’expose le plaisir, qu’elle se donne en se moment en s’empalant, à son rythme, sur mon sexe.
Elle tire brusquement sur mes bras, et s’empale complètement. Ses yeux chavirent, elle se mord les lèvres.
Ses mains me lâchent et se posent sur le mur face à elle. Elle ne bouge pas, c’est comme si elle savourait ce moment où elle me sent complètement en elle.
Mes mains se posent sur ses hanches, je commence doucement à bouger.
Sa tête se tourne, elle me fait non de la tête, je me plaque contre elle, mon sexe fiché entièrement dans ses fesses ne bouge plus. Je sens son bassin qui bascule doucement de haut en bas, son anus qui se contracte, se relâche.
Tout en étant en appuis sur le mur, elle se redresse lentement. Ses yeux sont complètement chavirés, son visage est crispé. Mes mains ont quittés ses hanches, et joue avec ses tétons, qui sont si apparents, si durs. Elle gémi, une de mes mains quitte un téton, glisse sur son ventre, que je sens frissonner. Je trouve immédiatement son clitoris qui est énorme. Il frétille déjà de sentir mes doigts approchés, comme s’il leur faisait signe pour montrer où mes doigts doivent venir se poser.
Je le caresse, l’écrase, le martyrise, Magalie gémit, je sens son anus qui se serre, chaque fois que je martyrise, maltraite son bouton d’amour. Elle coule comme une folle, est-ce sa mouille, est-ce son sang, je ne sais, ne veux pas le savoir, cela ne m’intéresse pas. Tout ce qui m’intéresse en ce moment est le plaisir que nous avons, a être ensemble tous les deux. Une de ses mains se plaque sur la mienne.
Maltraite le, martyrise le, j’aime quand tu es violent avec lui.
En ce moment je suis le plus heureux des hommes, Ma puce commence a accepter ce qui la dérange, ce qui est pour elle une imperfections de sa vie d’une femme.
Je commence à la sentir bouger, elle gémi, elle râle de plaisir, elle bouge sur mon sexe, joue avec lui, va à presque le faire sortir d’elle pour mieux s’empaler dessus. Mes mains se posent sur ses hanches, doucement je l’attire vers moi, cela ne doits pas être assez fort, assez puissant, elle s’empale violement, comme pour me faire comprendre de la prendre avec plus de force.
Mes mains suivent sa volonté, ses fesses claquent contre mes cuisses, je la prends, la baise comme elle veut, avec force, avec violence.
Elle gémi, j’ai du mal, tant les coups de boutoirs qu’elle se fait subir sont violent. Ce n’est pas moi qui lui défonce ses fesses, qui la prend violement, c’est elle qui se sert de moi, de mon sexe, pour son plaisir.
Ses gémissements, vont crescendo, mon sexe sort de complètement de son anus pour replonger avec violence en lui. Je sens son corps qui commence à se tétaniser, sa tête bouge dans tous les sens.
Plus fort je vais jouir, défonce moi.
De l’entendre se lâcher, m’exprimer ce qu’elle ressent, un frisson parcours ma colonne vertébrale, je sens mon sexe gonflé, grossir dans ses fesses, que j’adore, dans ses fesses qu’elle me donne, dans ses fesses où je vais jouir sans retenue, pour son plaisir et le mien.
J’ai du mal à la tenir, la retenir, tant elle se donne. Je l’entends gémir de plus en plus fort, ses gémissements se transforment en feulement.
Ma lionne est là, la lionne que j’aime, qui se donne, qui a décidé que ce serait moi son mâle, vient de réapparaitre.
Quand enfin elle laisse sortir son feulement de lionne en chaleur, elle s’empale avec violence, son anus se resserre sur mon sexe, son corps se tétanise, je ne puis me retenir plus longtemps, je joui dans ses entrailles, en longues saccades. J’ai l’impression de les ressentir doublement. A chacune, son corps frémi, comme si elle voulait me faire partager son ressenti.
Re: Secret de famille
Mel29440 a écrit :![]()
![]()
yuna la tu es servi ^^
Vais je être gentil?
Dernière modification par DeLsEp9 le 13 août 2011, 02:45, modifié 1 fois.
Re: Secret de famille
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De l’entendre se lâcher, m’exprimer ce qu’elle ressent, un frisson parcours ma colonne vertébrale, je sens mon sexe gonflé, grossir dans ses fesses, que j’adore, dans ses fesses qu’elle me donne, dans ses fesses où je vais jouir sans retenue, pour son plaisir et le mien.
J’ai du mal à la tenir, la retenir, tant elle se donne. Je l’entends gémir de plus en plus fort, ses gémissements se transforment en feulement.
Ma lionne est là, la lionne que j’aime, qui se donne, qui a décidé que ce serait moi son mâle, vient de réapparaitre.
Quand enfin elle laisse sortir son feulement de lionne en chaleur, elle s’empale avec violence, son anus se resserre sur mon sexe, son corps se tétanise, je ne puis me retenir plus longtemps, je joui dans ses entrailles, en longues saccades. J’ai l’impression de les ressentir doublement. A chacune, son corps frissonne, comme si elle voulait me faire partager son ressenti.
-/-
Je voie ses mains glisser du mur, je l’attrape par la taille la plaque contre moi, m’assieds sur le bord de la douche. Magalie ne bouge pas. Son cœur bat la chamade. J’embrasse sa nuque, son cou. Elle tourne sa tête ses yeux brillent, son plaisir, la jouissance qu’elle vient d’avoir se voie, se lit sur sa figure. Elle est radieuse. Sa bouche cherche la mienne, nos langues doucement se caressent. Elle se redresse lentement. Mon sexe encore en elle, quitte avec nostalgie, ce doux fourreau si accueillant. Elle me regarde, se regarde.
Tu as du sang partout, tout comme moi.
Je me lève, prends la douchette, rince Magalie, me rince. Regarde ma montre il est 5h45.
Ma puce on se douche, on prend tranquillement le petit déjeuner, et je t’accompagne au boulot.
Magalie prends le gel douche, me savonne lentement. Elle ne me lave pas, ses mains ne font que me caresser, me survoler. Elles papillonnent sur mon corps, comme un oiseau mouche qui butine une fleur. Par moment sa bouche prend le relais de ses mains.
Mes yeux se ferment, j’apprécie ce que mon corps subit, ce qu’elle lui fait subir.
Elle me caresse un téton, sa bouche se pose délicatement pour l’embrasser, comme pour apaiser l’envie qu’elle vient de faire naître.
Elle savonne doucement mon sexe, ses lèvres l’embrassent tendrement. Tout mon corps subit avec délices, ces essaimages de caresses de baisers, de douceurs.
Sans le savoir, j’ose le penser, elle m’amène dans un état proche d’une jouissance dévastatrice.
Ne sentant plus rien j’ouvre les yeux. Magalie ma petite puce est agenouillée devant moi le regard fixé sur mon sexe tendu, qui dodeline devant ses yeux gourmands.
Une de ses mains soulève délicatement mon sexe, sa bouche embrasse mes bourses, sa langue joue avec elles, avec beaucoup de tendresse, de douceur.
Elle remarque que mes yeux sont ouverts. Son regard est à la fois excité, et d’une perversité incroyable. Sans lâcher mes yeux, sa langue joue avec ma hampe, remonte doucement vers mon gland turgescent, qui vibre devant ses yeux. Elle l’embrasse, joue avec, avant de le prendre délicatement entre ses lèvres. Sa langue, comme s’il s’agissait de ma langue, le caresse, s’enroule autour, l’excite. Je commence à sentir que je ne vais pas pouvoir tenir encore longtemps.
Magalie doit le voir, dans mes yeux, sur mon visage qui se crispe, dans les contractions de mon corps. Tout en me caressant mes bourses dont la peau est fripée, ce qui amplifie ses caresses, me provoque des frissons dans tout le corps, Magalie sort doucement mon sexe de sa bouche si douce et souffle dessus. C’est horrible, et si doux à la fois. Cette sensation de douceur et d’excitation, que provoque ce tout petit filet d’air sur l’extrémité de mon gland, est indescriptible.
Je voie ses yeux rire, elle joue avec moi, avec mon plaisir, avec ma jouissance.
En si peut de temps, elle joue avec mon corps, avec mes envies. Elle sait exactement comment je réagis, ce que mon corps fait. Et surtout ce qu’il attend.
Elle me regarde ses yeux, ne ri plus, j’y lis une envie, sa bouche est entrouverte, le bout de sa langue joue avec mon gland, elle le lèche juste avec le pointe de sa langue, la sensation est exquise, divinement excitante.
Elle est en train de m’emmener vers un plaisir, vers une jouissance qu’elle semble vouloir maitriser, ce à quoi je ne m’attendais pas si vite de sa part.
En si peut de temps, elle a compris comment je fonctionne, comment faire de moi ce qu’elle veut.
Je suis comme un pantin, entre ses mains, un pantin qu’elle aime, pour qui elle se donne, entièrement, sans arrière pensée, sans duplicité. Elle se donne à notre amour.
Je ne la lâche pas des yeux, elle me prend délicatement en bouche. Ses mains se posent sur mes hanches, elle coulisse lentement le long de ma hampe. Ses mouvements s’accélèrent, je butte dans le fond de sa gorge, sa bouche heurte mon pubis, je sens les prémices de ma jouissance arrivé, elle aussi je pense.
Elle sent mes contractions j’essaie de me retenir, elle serre ses lèvres, sa langue joue avec mon gland, elle reprend ses vas et viens, de plus en plus vite, un de ses doigts s’égare sur mon anus, de le sentir qui me caresse, je n’arrive plus à me retenir, ne peut plus me retenir.
Le regard Magalie fixé dans le mien, j’y lis une telle joie, une telle envie que je me laisse aller, à jouir, Magalie aspire mon sexe, comme pour ne rien perdre de ma semence qui jailli violemment dans sa bouche.
Je voie sa joie dans ses yeux, le plaisir qu’elle a de m’avoir fait jouir avec sa bouche, le plaisir quand elle commence a avaler ma semence.
Je me précipite, m’agenouille prends sa tête tendrement, l’embrasse avec passion. Nos langues se caressent, elle partage avec moi le peu de semence qu’il lui reste en bouche, nos langues s’échangent, se mélangent se partagent ma semence.
Jamais je ne pensais pouvoir le faire. Naturellement sans apriori, par amour j’ai voulu le faire avec elle, qu’elle comprenne la beauté de son geste, la beauté des sentiments qui nous lient. Plus simplement que je l’aime comme un fou que je suis.
Elle semble lire dans mes yeux, et ce qu’elle y lit la transporte, la comble de joie. Elle m’embrasse, doucement, tendrement amoureusement. Tout en nous embrassant, nous nous relevons. Nos corps sont collés, comme soudés l’un à l’autre. Magalie transpire le bonheur, l’amour.
Je t’aime tant. Je voulais te donner mon corps. J’ai compris, que pour ma vulve, mon hymen, mon vagin je ne suis pas prête. Je l’accepte, le comprend maintenant.
J’ai voulu que tu jouisses dans mes entrailles, dans ma bouche. J’ai voulu te faire jouir, pour que tu comprennes que le reste de mon corps, lui se donne, lui est prêt. Il se donne complètement à toi mon amour.
Que tu comprennes qu’il se donne à notre amour, à nos désirs, à nos jouissances. Que je le veux, autant que toi, autant que mon corps le veut.
Maintenant il faut que l’on se dépêche mon amour.
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Suzanne Ma belle mère
Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte
42)
De l’entendre se lâcher, m’exprimer ce qu’elle ressent, un frisson parcours ma colonne vertébrale, je sens mon sexe gonflé, grossir dans ses fesses, que j’adore, dans ses fesses qu’elle me donne, dans ses fesses où je vais jouir sans retenue, pour son plaisir et le mien.
J’ai du mal à la tenir, la retenir, tant elle se donne. Je l’entends gémir de plus en plus fort, ses gémissements se transforment en feulement.
Ma lionne est là, la lionne que j’aime, qui se donne, qui a décidé que ce serait moi son mâle, vient de réapparaitre.
Quand enfin elle laisse sortir son feulement de lionne en chaleur, elle s’empale avec violence, son anus se resserre sur mon sexe, son corps se tétanise, je ne puis me retenir plus longtemps, je joui dans ses entrailles, en longues saccades. J’ai l’impression de les ressentir doublement. A chacune, son corps frissonne, comme si elle voulait me faire partager son ressenti.
-/-
Je voie ses mains glisser du mur, je l’attrape par la taille la plaque contre moi, m’assieds sur le bord de la douche. Magalie ne bouge pas. Son cœur bat la chamade. J’embrasse sa nuque, son cou. Elle tourne sa tête ses yeux brillent, son plaisir, la jouissance qu’elle vient d’avoir se voie, se lit sur sa figure. Elle est radieuse. Sa bouche cherche la mienne, nos langues doucement se caressent. Elle se redresse lentement. Mon sexe encore en elle, quitte avec nostalgie, ce doux fourreau si accueillant. Elle me regarde, se regarde.
Tu as du sang partout, tout comme moi.
Je me lève, prends la douchette, rince Magalie, me rince. Regarde ma montre il est 5h45.
Ma puce on se douche, on prend tranquillement le petit déjeuner, et je t’accompagne au boulot.
Magalie prends le gel douche, me savonne lentement. Elle ne me lave pas, ses mains ne font que me caresser, me survoler. Elles papillonnent sur mon corps, comme un oiseau mouche qui butine une fleur. Par moment sa bouche prend le relais de ses mains.
Mes yeux se ferment, j’apprécie ce que mon corps subit, ce qu’elle lui fait subir.
Elle me caresse un téton, sa bouche se pose délicatement pour l’embrasser, comme pour apaiser l’envie qu’elle vient de faire naître.
Elle savonne doucement mon sexe, ses lèvres l’embrassent tendrement. Tout mon corps subit avec délices, ces essaimages de caresses de baisers, de douceurs.
Sans le savoir, j’ose le penser, elle m’amène dans un état proche d’une jouissance dévastatrice.
Ne sentant plus rien j’ouvre les yeux. Magalie ma petite puce est agenouillée devant moi le regard fixé sur mon sexe tendu, qui dodeline devant ses yeux gourmands.
Une de ses mains soulève délicatement mon sexe, sa bouche embrasse mes bourses, sa langue joue avec elles, avec beaucoup de tendresse, de douceur.
Elle remarque que mes yeux sont ouverts. Son regard est à la fois excité, et d’une perversité incroyable. Sans lâcher mes yeux, sa langue joue avec ma hampe, remonte doucement vers mon gland turgescent, qui vibre devant ses yeux. Elle l’embrasse, joue avec, avant de le prendre délicatement entre ses lèvres. Sa langue, comme s’il s’agissait de ma langue, le caresse, s’enroule autour, l’excite. Je commence à sentir que je ne vais pas pouvoir tenir encore longtemps.
Magalie doit le voir, dans mes yeux, sur mon visage qui se crispe, dans les contractions de mon corps. Tout en me caressant mes bourses dont la peau est fripée, ce qui amplifie ses caresses, me provoque des frissons dans tout le corps, Magalie sort doucement mon sexe de sa bouche si douce et souffle dessus. C’est horrible, et si doux à la fois. Cette sensation de douceur et d’excitation, que provoque ce tout petit filet d’air sur l’extrémité de mon gland, est indescriptible.
Je voie ses yeux rire, elle joue avec moi, avec mon plaisir, avec ma jouissance.
En si peut de temps, elle joue avec mon corps, avec mes envies. Elle sait exactement comment je réagis, ce que mon corps fait. Et surtout ce qu’il attend.
Elle me regarde ses yeux, ne ri plus, j’y lis une envie, sa bouche est entrouverte, le bout de sa langue joue avec mon gland, elle le lèche juste avec le pointe de sa langue, la sensation est exquise, divinement excitante.
Elle est en train de m’emmener vers un plaisir, vers une jouissance qu’elle semble vouloir maitriser, ce à quoi je ne m’attendais pas si vite de sa part.
En si peut de temps, elle a compris comment je fonctionne, comment faire de moi ce qu’elle veut.
Je suis comme un pantin, entre ses mains, un pantin qu’elle aime, pour qui elle se donne, entièrement, sans arrière pensée, sans duplicité. Elle se donne à notre amour.
Je ne la lâche pas des yeux, elle me prend délicatement en bouche. Ses mains se posent sur mes hanches, elle coulisse lentement le long de ma hampe. Ses mouvements s’accélèrent, je butte dans le fond de sa gorge, sa bouche heurte mon pubis, je sens les prémices de ma jouissance arrivé, elle aussi je pense.
Elle sent mes contractions j’essaie de me retenir, elle serre ses lèvres, sa langue joue avec mon gland, elle reprend ses vas et viens, de plus en plus vite, un de ses doigts s’égare sur mon anus, de le sentir qui me caresse, je n’arrive plus à me retenir, ne peut plus me retenir.
Le regard Magalie fixé dans le mien, j’y lis une telle joie, une telle envie que je me laisse aller, à jouir, Magalie aspire mon sexe, comme pour ne rien perdre de ma semence qui jailli violemment dans sa bouche.
Je voie sa joie dans ses yeux, le plaisir qu’elle a de m’avoir fait jouir avec sa bouche, le plaisir quand elle commence a avaler ma semence.
Je me précipite, m’agenouille prends sa tête tendrement, l’embrasse avec passion. Nos langues se caressent, elle partage avec moi le peu de semence qu’il lui reste en bouche, nos langues s’échangent, se mélangent se partagent ma semence.
Jamais je ne pensais pouvoir le faire. Naturellement sans apriori, par amour j’ai voulu le faire avec elle, qu’elle comprenne la beauté de son geste, la beauté des sentiments qui nous lient. Plus simplement que je l’aime comme un fou que je suis.
Elle semble lire dans mes yeux, et ce qu’elle y lit la transporte, la comble de joie. Elle m’embrasse, doucement, tendrement amoureusement. Tout en nous embrassant, nous nous relevons. Nos corps sont collés, comme soudés l’un à l’autre. Magalie transpire le bonheur, l’amour.
Je t’aime tant. Je voulais te donner mon corps. J’ai compris, que pour ma vulve, mon hymen, mon vagin je ne suis pas prête. Je l’accepte, le comprend maintenant.
J’ai voulu que tu jouisses dans mes entrailles, dans ma bouche. J’ai voulu te faire jouir, pour que tu comprennes que le reste de mon corps, lui se donne, lui est prêt. Il se donne complètement à toi mon amour.
Que tu comprennes qu’il se donne à notre amour, à nos désirs, à nos jouissances. Que je le veux, autant que toi, autant que mon corps le veut.
Maintenant il faut que l’on se dépêche mon amour.
Re: Secret de famille
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Suzanne Ma belle mère
Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte
43)
Je t’aime tant. Je voulais te donner mon corps. J’ai compris, que pour ma vulve, mon hymen, mon vagin je ne suis pas prête. Je l’accepte, le comprend maintenant.
J’ai voulu que tu jouisses dans mes entrailles, dans ma bouche. J’ai voulu te faire jouir, pour que tu comprennes que le reste de mon corps, lui se donne, lui est prêt. Il se donne complètement à toi mon amour.
Que tu comprennes qu’il se donne à notre amour, à nos désirs, à nos jouissances. Que je le veux, autant que toi, autant que mon corps le veut.
Maintenant il faut que l’on se dépêche mon amour.
-/-
Elle est incroyable, tellement adulte. Elle me fait une déclaration, qui n’est pas une simple déclaration d’amour, mais qui est tout bêtement son offrande à notre amour. L’offrande de son corps, de son âme à notre amour.
Immédiatement, après elle redescend sur terre. Elle est irréelle, incroyable, mais tellement femme, tellement mature malgré son si jeune âge.
Je regarde ma montre, il est 6h15. Elle prend le gel douche, me regarde avec un énorme sourire.
Plus sérieusement que la dernière fois.
Elle m’embrasse, me met du Gel douche sur la main, fait de même, et commence à savonner mon corps. Je l’imite, elle ne réagit pas, ne réagit plus, quand ma main se pose sur son pubis, pour la savonner. Elle me regarde droit dans les yeux, comme par défi.
Elle veut me montrer qu’elle assume, qu’elle s’assume en tant que femme, qu’elle est une femme à part entière.
Déjà avant, quand elle a dit :
« Mais je le veux, je veux te sentir en moi, dans mon ventre qui pleure des larmes de sang, qui te veux en lui. »
Elle commence à assumer complètement son corps, sa tête commence a assumer son corps.
Nous nous rinçons, sortons de la douche, elle prend une serviette me frotte, me sèche. J’ai l’impression qu’elle veut réveiller l’homme qui en ce moment est dans ses songes, dans le plaisir qu’elle vient de lui donner. Elle m’embrasse tendrement.
Mon amour tu me sèches, réveille toi, tu es partie où ?
D’un seul coup je réalise que j’étais en train de rêver. Je nous voyais déjà en vacances, en Corse avec Magalie en train de faire l’amour dans la mer.
Je pensais aux vacances ma puce, je suis certain qu’elles vont être magnifiques. Vivement dans 15 jours.
Elle me souri, m’embrasse tendrement.
En attendant il faut que je sois à l’heure pour ma journée d’essai. Si tu rêves tout le temps, on ne va pas y arriver, mon chéri.
Je me fais l’effet d’un collégien, la tête dans la lune, en train de rêver aux vacances. C’est la puce qui me ramène sur terre. J’y comprends rien, ce n’est pas moi, cela me ressemble si peu.
Je prends la serviette, la sèche doucement, enfin pour le peu qu’il reste à faire, elle ne m’a pas attendu, plongé que j’étais dans mes rêves. On enfile chacun un peignoir, direction la cuisine. En passant j’arrête le radio réveil qui aller se déclencher dans peut de temps. Je fais deux cafés, lui passe un mug pendant ce temps elle a préparé des tartines, que nous dévorons.
Tu fais quoi après m’avoir déposé ?
Je viens avec toi, pour voir ta patronne, discuter des modalités de ton essai et savoir quand tu finis, pour venir te chercher, si mes horaires le permettent. Bon il est 6h40 on s’habille, et on y va.
Nous lavons nos mugs, débarrassons la table, direction la chambre, pour nous habiller. Nous enlevons, nos peignoirs, presque en même temps, cela me fait drôle de m’habiller avec ma petite puce dans la chambre à coucher.
Un peut comme si nous étions en couple. Je m’approche l’embrasse tendrement, tout en continuant à m’habiller.
Elle me regarde, me souri, elle est radieuse.
Ce n’est plus la petite jeune fille, celle que je considérais encore comme une gamine quand elle est arrivée il y a quatre jours.
A mes côtés, je voie une femme, magnifique, tant physiquement, que par ce qu’elle irradie. Que ce soit, sa joie, son bonheur, son amour, tout en elle est beau, magnifique, me transporte.
Nous nous habillons. Tu devrais mettre une autre chemise, donne plus d’ampleur à ton chemisier, nous nous comportons comme un couple, comme si nous vivions ensemble. J’adore cette complicité, cette attention de tous les moments que chacun porte à l’autre.
Tu pourrais m’aider à mettre mes talons aiguilles s’il te plait.
Elle papillote des yeux en me le demandant d’une voix si chaude, qu’un frisson me parcours le dos. Je voie, dans le miroir de la porte de l’armoire, son regard. Il me transperce.
Je me retourne, elle s’est assise sur le lit. Je prends une des chaussures, enfile son pied, ferme la lanière. Ses cuisses s’écartent légèrement me laissant entrevoir une petite culotte du même style, que celle qu’elle portait hier au soir.
Mes mains massent doucement le mollet. Elle ferme les yeux, une de mes mains caresse l’intérieur de sa cuisse, je la voie frissonner.
Tu n’es pas possible mon amour, j’aime tant tes caresses, de sentir tes doigts qui se rapprochent si doucement de ma petite chatte que tu es en train d’embraser. Si tu continue, je vais devoir me changer, je sens déjà que je commence à couler comme une folle, une folle qui t’aime.
Je prends l’autre chaussure, enfile son pied, ferme la lanière. Mes mains massent doucement l’autre mollet. Elle ferme les yeux, une de mes mains commence a caresser l’intérieur de sa cuisse, sa main se pose avec beaucoup de tendresse sur la mienne.
Arrête mon amour, j’adore, j’en meurt d’envie, mais je n’ai rien pour me changer.
Elle se penche, et m’embrasse tendrement. Nous sortons de la chambre, je la suis. J’admire, l’admire.
En si peut de temps, qu’une jeune fille se transforme en femme, et quelle femme. La femme de ma vie, la sœur de la femme de ma vie.
Je ne peux m’empêcher de lui prendre les doigts et tel un danseur de Flamenco, devant son idole qui danse pour lui, la fait pirouetter sur place.
Sa jupe s’envole, me laissant admirer ses jambes. En tournant sur elle-même sa jupe vient telle une caresse effleurer mon sexe qui commence doucement à se réveiller, mon boxer devient vraiment étroit.
Tu es magnifique ma puce. On fait ton lit vite fait, pas la peine de plier le clic-clac, et on y va.
Le lit fait, comme a mon habitude, je ne peu m’empêcher de faire un tour pour tout vérifier.
Je ne peu m’empêcher de vouloir, tout vérifier, on ne sait jamais, si elle rentrait plus tôt. Merde je pense elle au lieu de penser Sabine. Il va falloir que je fasse attention.
Dans la salle de bain, la bassine où trempe la petite culotte de Magalie.
Cela peut paraître normal, elle. Merde, pas elle, Sabine, c’est Sabine qu’il faut penser. Sabine ne devrait pas y trouver à redire, si elle rentre plus tôt.
Rien d’autre n’attirant mon attention, en dehors du fait que mon lit est trop parfait, étant sensé y avoir dormi.
Nous sortons, arrivé au garage, j’ouvre la porte avec la télécommande, fais signe à la puce de monter dans la coccinelle.
Nous nous installons, je sors la voiture du garage, Magalie ferme la porte du garage avec la télécommande, et ouvre le portail. Je sors doucement de la cour, Magalie commande la fermeture du portail, je vérifie dans le rétroviseur, qu’il se ferme comme il faut.
Je passe par les petites routes, la circulation y est plus fluide. Magalie pose sa main sur ma cuisse. J’aime quand elle se comporte comme cela, sentir la chaleur de sa main à travers la toile de mon pantalon, j’adore.
Ma puce tu te souviens de ma phrase concernant les clients, et comment tu dois te comporter face à eux ?
Oui mon chéri. Ta phrase m’a tellement marquée, qu’elle tourne en boucle dans ma tête. Tu m’a dis :
« Quand tu seras apprentis, tu dois faire croire à tes clientes, qu’elles sont les plus belles. Leurs laisser croire que tu es toute ouïe à leurs envies, leurs soucis, leurs désirs.
Pour mieux arriver à tes fins. Les amenées où toi tu veux.
Pas leur vendre ce qu’elles veulent, et en plus leur vendre ce que tu voudrais leur caser.
Mais qu’elles achètent ce qu’elles veulent, et en sus ce que tu les as amenées à vouloir, à désirer.
Qu’elles se disent, cette chose, ce vêtement qu’elle me conseille, il me le faut, il faut que je l’achète, il est fait pour moi, seulement pour moi.
La nuance est énorme.
Si tu vends le client peut ne pas être content.
S’il achète, c’est qu’il le veut, qu’il le décide. Il reviendra, car il est heureux de ses achats. »
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
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Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte
43)
Je t’aime tant. Je voulais te donner mon corps. J’ai compris, que pour ma vulve, mon hymen, mon vagin je ne suis pas prête. Je l’accepte, le comprend maintenant.
J’ai voulu que tu jouisses dans mes entrailles, dans ma bouche. J’ai voulu te faire jouir, pour que tu comprennes que le reste de mon corps, lui se donne, lui est prêt. Il se donne complètement à toi mon amour.
Que tu comprennes qu’il se donne à notre amour, à nos désirs, à nos jouissances. Que je le veux, autant que toi, autant que mon corps le veut.
Maintenant il faut que l’on se dépêche mon amour.
-/-
Elle est incroyable, tellement adulte. Elle me fait une déclaration, qui n’est pas une simple déclaration d’amour, mais qui est tout bêtement son offrande à notre amour. L’offrande de son corps, de son âme à notre amour.
Immédiatement, après elle redescend sur terre. Elle est irréelle, incroyable, mais tellement femme, tellement mature malgré son si jeune âge.
Je regarde ma montre, il est 6h15. Elle prend le gel douche, me regarde avec un énorme sourire.
Plus sérieusement que la dernière fois.
Elle m’embrasse, me met du Gel douche sur la main, fait de même, et commence à savonner mon corps. Je l’imite, elle ne réagit pas, ne réagit plus, quand ma main se pose sur son pubis, pour la savonner. Elle me regarde droit dans les yeux, comme par défi.
Elle veut me montrer qu’elle assume, qu’elle s’assume en tant que femme, qu’elle est une femme à part entière.
Déjà avant, quand elle a dit :
« Mais je le veux, je veux te sentir en moi, dans mon ventre qui pleure des larmes de sang, qui te veux en lui. »
Elle commence à assumer complètement son corps, sa tête commence a assumer son corps.
Nous nous rinçons, sortons de la douche, elle prend une serviette me frotte, me sèche. J’ai l’impression qu’elle veut réveiller l’homme qui en ce moment est dans ses songes, dans le plaisir qu’elle vient de lui donner. Elle m’embrasse tendrement.
Mon amour tu me sèches, réveille toi, tu es partie où ?
D’un seul coup je réalise que j’étais en train de rêver. Je nous voyais déjà en vacances, en Corse avec Magalie en train de faire l’amour dans la mer.
Je pensais aux vacances ma puce, je suis certain qu’elles vont être magnifiques. Vivement dans 15 jours.
Elle me souri, m’embrasse tendrement.
En attendant il faut que je sois à l’heure pour ma journée d’essai. Si tu rêves tout le temps, on ne va pas y arriver, mon chéri.
Je me fais l’effet d’un collégien, la tête dans la lune, en train de rêver aux vacances. C’est la puce qui me ramène sur terre. J’y comprends rien, ce n’est pas moi, cela me ressemble si peu.
Je prends la serviette, la sèche doucement, enfin pour le peu qu’il reste à faire, elle ne m’a pas attendu, plongé que j’étais dans mes rêves. On enfile chacun un peignoir, direction la cuisine. En passant j’arrête le radio réveil qui aller se déclencher dans peut de temps. Je fais deux cafés, lui passe un mug pendant ce temps elle a préparé des tartines, que nous dévorons.
Tu fais quoi après m’avoir déposé ?
Je viens avec toi, pour voir ta patronne, discuter des modalités de ton essai et savoir quand tu finis, pour venir te chercher, si mes horaires le permettent. Bon il est 6h40 on s’habille, et on y va.
Nous lavons nos mugs, débarrassons la table, direction la chambre, pour nous habiller. Nous enlevons, nos peignoirs, presque en même temps, cela me fait drôle de m’habiller avec ma petite puce dans la chambre à coucher.
Un peut comme si nous étions en couple. Je m’approche l’embrasse tendrement, tout en continuant à m’habiller.
Elle me regarde, me souri, elle est radieuse.
Ce n’est plus la petite jeune fille, celle que je considérais encore comme une gamine quand elle est arrivée il y a quatre jours.
A mes côtés, je voie une femme, magnifique, tant physiquement, que par ce qu’elle irradie. Que ce soit, sa joie, son bonheur, son amour, tout en elle est beau, magnifique, me transporte.
Nous nous habillons. Tu devrais mettre une autre chemise, donne plus d’ampleur à ton chemisier, nous nous comportons comme un couple, comme si nous vivions ensemble. J’adore cette complicité, cette attention de tous les moments que chacun porte à l’autre.
Tu pourrais m’aider à mettre mes talons aiguilles s’il te plait.
Elle papillote des yeux en me le demandant d’une voix si chaude, qu’un frisson me parcours le dos. Je voie, dans le miroir de la porte de l’armoire, son regard. Il me transperce.
Je me retourne, elle s’est assise sur le lit. Je prends une des chaussures, enfile son pied, ferme la lanière. Ses cuisses s’écartent légèrement me laissant entrevoir une petite culotte du même style, que celle qu’elle portait hier au soir.
Mes mains massent doucement le mollet. Elle ferme les yeux, une de mes mains caresse l’intérieur de sa cuisse, je la voie frissonner.
Tu n’es pas possible mon amour, j’aime tant tes caresses, de sentir tes doigts qui se rapprochent si doucement de ma petite chatte que tu es en train d’embraser. Si tu continue, je vais devoir me changer, je sens déjà que je commence à couler comme une folle, une folle qui t’aime.
Je prends l’autre chaussure, enfile son pied, ferme la lanière. Mes mains massent doucement l’autre mollet. Elle ferme les yeux, une de mes mains commence a caresser l’intérieur de sa cuisse, sa main se pose avec beaucoup de tendresse sur la mienne.
Arrête mon amour, j’adore, j’en meurt d’envie, mais je n’ai rien pour me changer.
Elle se penche, et m’embrasse tendrement. Nous sortons de la chambre, je la suis. J’admire, l’admire.
En si peut de temps, qu’une jeune fille se transforme en femme, et quelle femme. La femme de ma vie, la sœur de la femme de ma vie.
Je ne peux m’empêcher de lui prendre les doigts et tel un danseur de Flamenco, devant son idole qui danse pour lui, la fait pirouetter sur place.
Sa jupe s’envole, me laissant admirer ses jambes. En tournant sur elle-même sa jupe vient telle une caresse effleurer mon sexe qui commence doucement à se réveiller, mon boxer devient vraiment étroit.
Tu es magnifique ma puce. On fait ton lit vite fait, pas la peine de plier le clic-clac, et on y va.
Le lit fait, comme a mon habitude, je ne peu m’empêcher de faire un tour pour tout vérifier.
Je ne peu m’empêcher de vouloir, tout vérifier, on ne sait jamais, si elle rentrait plus tôt. Merde je pense elle au lieu de penser Sabine. Il va falloir que je fasse attention.
Dans la salle de bain, la bassine où trempe la petite culotte de Magalie.
Cela peut paraître normal, elle. Merde, pas elle, Sabine, c’est Sabine qu’il faut penser. Sabine ne devrait pas y trouver à redire, si elle rentre plus tôt.
Rien d’autre n’attirant mon attention, en dehors du fait que mon lit est trop parfait, étant sensé y avoir dormi.
Nous sortons, arrivé au garage, j’ouvre la porte avec la télécommande, fais signe à la puce de monter dans la coccinelle.
Nous nous installons, je sors la voiture du garage, Magalie ferme la porte du garage avec la télécommande, et ouvre le portail. Je sors doucement de la cour, Magalie commande la fermeture du portail, je vérifie dans le rétroviseur, qu’il se ferme comme il faut.
Je passe par les petites routes, la circulation y est plus fluide. Magalie pose sa main sur ma cuisse. J’aime quand elle se comporte comme cela, sentir la chaleur de sa main à travers la toile de mon pantalon, j’adore.
Ma puce tu te souviens de ma phrase concernant les clients, et comment tu dois te comporter face à eux ?
Oui mon chéri. Ta phrase m’a tellement marquée, qu’elle tourne en boucle dans ma tête. Tu m’a dis :
« Quand tu seras apprentis, tu dois faire croire à tes clientes, qu’elles sont les plus belles. Leurs laisser croire que tu es toute ouïe à leurs envies, leurs soucis, leurs désirs.
Pour mieux arriver à tes fins. Les amenées où toi tu veux.
Pas leur vendre ce qu’elles veulent, et en plus leur vendre ce que tu voudrais leur caser.
Mais qu’elles achètent ce qu’elles veulent, et en sus ce que tu les as amenées à vouloir, à désirer.
Qu’elles se disent, cette chose, ce vêtement qu’elle me conseille, il me le faut, il faut que je l’achète, il est fait pour moi, seulement pour moi.
La nuance est énorme.
Si tu vends le client peut ne pas être content.
S’il achète, c’est qu’il le veut, qu’il le décide. Il reviendra, car il est heureux de ses achats. »
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Re: Secret de famille
Jak, ayé, zé tout lu 

Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.