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Crochetez-moi...
Où l'envie vous prend...
Reliez-moi...
Par votre lien d'argent...
Attachez-moi...
De mon cou qui s'offre...
Le cliquetis de la chaîne...
Elle se tend ou se relâche...
Entraînant ma démarche...
Dénotant ma fierté...
De suivre au plus près...
Vous que j'aime et qui me dressez...
Par vos coups ou vos caresses...
Laphoenix75 a écrit :([Vous devez vous connecter ou vous inscrire pour voir ce lien]" onclick="window.open(this.href);return false;)
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Crochetez-moi...
Où l'envie vous prend...
Reliez-moi...
Par votre lien d'argent...
Attachez-moi...
De mon cou qui s'offre...
Le cliquetis de la chaîne...
Elle se tend ou se relâche...
Entraînant ma démarche...
Dénotant ma fierté...
De suivre au plus près...
Vous que j'aime et qui me dressez...
Par vos coups ou vos caresses...
Eclipses a écrit :j'ai des larmes plein les yeux, ma vue se trouble
ma gorge se noue de cette émotion merveilleuse
mon coeur bat plus fort de cet amour infini
ma vie est plus belle depuis ta naissance
Je vais me permettre de parodier ta signature
Qu'il est bon d'être soi même!
Laphoenix75 a écrit :Une gifle qui tombe...
Ou plusieurs comme la pluie...
Le souffle haletant...
Le corps brûlant...
Elle le regarde..
À sa merci..
Il sourit...amusé...
Il se délecte...sadique...
Sa bouche vient effleurer ses tétons..
Pointant sous la caresse...
Les crocs se referment..
Il savoure...il la dévore lentement...
Savourant cette chair quelle lui offre...
Parfois ondulante...fuyante...
Mais tellement coulante...
Elle n'a qu'une envie...
Elle voudrait juste qu'il la prenne...
Mais plus loin il l'entraîne...
Elle le voudrait au fond de sa gorge...
Mais ailleurs il la mène...
Elle se tord...Elle gémit..
Son regard s'assombrit..
Il défait sa ceinture...
Lui ordonne de lui offrir ses fesses...
Qu'il fait rougir de son cuir...
Il aime la voir ainsi...
Onduler sous la douleur qu'il lui donne...
Réclamer la brûlure de ses coups...
Toujours plus fort...
Encore et encore...
Pour s'abandonner à lui...
Dans ses larmes de plaisir et de dévotion..
Juste pour son Maître qu'elle aime...
Laphoenix75 a écrit :([Vous devez vous connecter ou vous inscrire pour voir ce lien]" onclick="window.open(this.href);return false;)
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Crochetez-moi...
Où l'envie vous prend...
Reliez-moi...
Par votre lien d'argent...
Attachez-moi...
De mon cou qui s'offre...
Le cliquetis de la chaîne...
Elle se tend ou se relâche...
Entraînant ma démarche...
Dénotant ma fierté...
De suivre au plus près...
Vous que j'aime et qui me dressez...
Par vos coups ou vos caresses...
l’exacerbation des sens, pour un ressenti
Cedille92 a écrit :Si il m'était donné de choisir : alors c'est a Vos pieds que je choisirai de passer ma vie
Si il m'était donné d'offrir : alors c'est Vous a qui j'offrirai le monde pour faire de vous un Lord comblé
Si il m'était donné de pleurer : alors mes larmes ne seraient versées qu'en Votre présence
Si il m'était donné d'aimer : alors c'est pour Vous seul que mon coeur battrait
Si il m'était donné de saigner : ces larmes rouges couleraient de ma chair parce que Vous les auriez provoqués
Si il m'était donné de crier : c'est Votre nom que je prononcerai sans relâche jusqu'à devenir muette
Si il m'était donné d'embrasser : c'est Vos lèvres sur lesquelles je m’amarrerai comme un bateau à la recherche d'un coin de paradis
Elle n'a pas mal au cul, non...
Ça ce n'était rien.
Elle n'a ni mal aux seins,non...
Ça ce n'était rien.
Elle n'a pas mal à la chatte,non...
Ça ce n'était rien.
Mais elle a mal au cœur, oui...
Car il n'y a plus rien.
Mes yeux contemplent l’horizon au lever du jour.
Instant éphémère où nait l’espoir
D’un lendemain sans plus de nuages.
Furtive étincelle brillant dans le noir ;
Promesse du soleil chassant l’orage.
Le sourire se redessine, remplace les larmes.
Ressentant chaque seconde de vie résonner,
Je me relève et reprends les armes ;
Un pas après l’autre, je vais avancer…
Tu ris, je vis s'étaler tes splendeurs
S'installer patiemment, ardemment dans mon cœur
Y insuffler le désir pantelant et morbide
De l'amant aux desseins vains et cupides
Te pavanant comme une brise
Glissant de toute emprise
Fait se ployer l'univers sur ton passage
Comme un sublime orage
Toute âme qui vive
Toute lueur cynique ou candide
À tes charmes infinis
Rends les armes
Tu ris, je vis s'étaler tes splendeurs
S'installer patiemment, ardemment dans mon cœur
Y insuffler le désir pantelant et morbide
De l'amant aux desseins vains et cupides
Te pavanant comme une brise
Glissant de toute emprise
Fait se ployer l'univers sur ton passage
Comme un sublime orage
Toute âme qui vive
Toute lueur cynique ou candide
À tes charmes infinis
Rends les armes
Tu ris, je vis s'étaler tes splendeurs
S'installer patiemment, ardemment dans mon cœur
Y insuffler le désir pantelant et morbide
De l'amant aux desseins vains et cupides
Te pavanant comme une brise
Glissant de toute emprise
Fait se ployer l'univers sur ton passage
Comme un sublime orage
Toute âme qui vive
Toute lueur cynique ou candide
À tes charmes infinis
Rends les armes
Brûlant mes veines..
Le venin de notre manque...
L'envie qui me tort..
Du cuir qui me dévore...
Du bois qui m'entaille...
De votre regard sans faille
Votre poussière et plus encore...
Irradiant ma peau...
Chacun de vos coups nous emportent...
Menez-moi plus loin...
Détenez-moi sans fin...
Dans un souffle qui me libère...
Lueur de votre sadisme...
Étouffant un gémissement...
Dans le plaisir de vos coups grandissant...
Chienne qui s'offre et s'abandonne...
Votre corps contre le mien...
Votre voix qui me porte...
Si nous glissions à nouveau dans ces instants...
Ces moments qui nous appartiennent...
Où nos pulsions s'unissent et s'entremêlent...
Où nous oublions le reste du monde...
Juste Vous et moi, juste Maître et sa chienne..
Pour l'amour, l'envie, le plaisir...ainsi reliés...
La noirceur de son regard lui fit peur
elle trembla à l'idée de ce qu'elle y a vu
mais il ne la laissa pas le regarder
une gifle à chaque regard volé
il lui parla si durement que ses larmes coulèrent
humilée, rabaissé, abusée, elle n'était plus rien
il se servit d'elle comme jamais il l'avait fait
Forcément, il avait bu de l'eau toute la journée
Dernière modification par Eclipses le 30 avril 2012, 11:35, modifié 1 fois.
Eclipses a écrit :La noirceur de son regard lui fit peur
elle trembla à l'idée de ce qu'elle y a vu
mais il ne la laissa pas le regarder
une gilfle à chaque regard volé
il lui parla si durement que ses larmes coulèrent
humilée, rabaissé, abusée, elle n'était plus rien
il se servit d'elle comme jamais il l'avait fait
Forcément, il avait bu de l'eau toute la journée
T'aurais pas trainé du côté du 03 le 12/03 vers midi ?
Brûlant mes veines..
Le venin de notre manque...
L'envie qui me tort..
Du cuir qui me dévore...
Du bois qui m'entaille...
De votre regard sans faille
Votre poussière et plus encore...
Irradiant ma peau...
Chacun de vos coups nous emportent...
Menez-moi plus loin...
Détenez-moi sans fin...
Dans un souffle qui me libère...
Lueur de votre sadisme...
Étouffant un gémissement...
Dans le plaisir de vos coups grandissant...
Chienne qui s'offre et s'abandonne...
Votre corps contre le mien...
Votre voix qui me porte...
Si nous glissions à nouveau dans ces instants...
Ces moments qui nous appartiennent...
Où nos pulsions s'unissent et s'entremêlent...
Où nous oublions le reste du monde...
Juste Vous et moi, juste Maître et sa chienne..
Pour l'amour, l'envie, le plaisir...ainsi reliés...
Trés beau !!
Eclipses a écrit :La noirceur de son regard lui fit peur
elle trembla à l'idée de ce qu'elle y a vu
mais il ne la laissa pas le regarder
une gilfle à chaque regard volé
il lui parla si durement que ses larmes coulèrent
humilée, rabaissé, abusée, elle n'était plus rien
il se servit d'elle comme jamais il l'avait fait
Forcément, il avait bu de l'eau toute la journée